et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
23/12/2019
La crevure militaire est crevée, le harki serviteur des impérialismes est mort.
Il aura réussi avant sa mort un dernier acte contre-révolutionnaire : l'élection présidentielle de Tebboune.
La mort du gredin doit être l'occasion de relancer la nouvelle révolution algérienne et donc la construction du CNRA appuyé sur 16 000 arouch de base
Il n'est pas besoin d'être une petite souris dans les casernes d'Algérie pour deviner qu'est déjà commencée la révolution de Palais pour succéder au dictateur camouflé d'Algérie.
Il n'est pas besoin d'être une petite souris dans les casernes d'Algérie pour deviner qu'est déjà commencée la révolution de Palais pour succéder au dictateur camouflé d'Algérie.
Gaid Salah mort d'un dictateur marionnettiste planqué derrière Bouteflika Tebboune and C° ! Si la révolution humanocrate des arouch tarde, il aura un successeur par révolution de palais : Lechkham, Ghriss, Chengriha ou Benbicha ?
Aucun des manifestants proto-révolutionnaires du Hirak ne pleurera le décès de celui qui tirait les ficelles en coulisses, le général en chef de la dictature algérienne.
Personne ne pleurera la disparition du véritable maître de l'Algérie, appliquant la technique US du "command behind"
La même technique de dictateur marionnettiste que celle de son maître et concurrent en saloperies néo-coloniales Toufik Mohamed Médiène.
Il est arrêté le 4 mai 2019 et condamné à 15 ans de prison par le tribunal militaire de Blida en septembre de la même année. WikipédiaLe gredin Toufik doit ricaner dans sa cellule de la mort du gredin Gaid Salah.
Le général Ahmed Gaïd Salah, puissant chef d’état-major de l’armée algérienne et vice-ministre de la défense, pilier du régime depuis 1962, est mort d’une crise cardiaque à l’âge de 79 ans, a annoncé lundi 23 décembre l’agence de presse officielle Algérie Presse Service (APS), citant un communiqué de la présidence.La crevure militaire est crevée, le harki serviteur des impérialismes est mort.
Sur le devant de la scène après avoir arraché début avril la démission du président Abdelaziz Bouteflika, le général Gaïd Salah était le visage du haut commandement militaire, qui a assumé ouvertement la réalité du pouvoir jusqu’à l’élection le 12 décembre d’Abdelmadjid Tebboune comme nouveau chef de l’Etat. Malgré l’élection – contestée – d’un nouveau président, c’est bien Gaïd Salah qui dirigeait l’Algérie. (Le Monde)
Il aura réussi avant sa mort un dernier acte contre-révolutionnaire : l'élection présidentielle de Tebboune.
#LeHavre dans la #manifestation17decembre— Julie Amadis (@Julie_Amadis) December 17, 2019
"#Delevoye dégagé#Macron dégage #Tebboune dégage #DéléguésRévocables#1pour25"#grève17décembre pic.twitter.com/tNsEV6QzUi
La mort du gredin doit être l'occasion de relancer la nouvelle révolution algérienne et donc la construction du CNRA appuyé sur 16 000 arouch de basePour que #TebbouneDEGAGE, mal élu par 4,5 M de harkis, il faut construire un #CNRA 2019, un #gouvernementrévolutionnaire en désignant 16 000 #déléguésdarouch #1pour625 https://t.co/xy1MGpJhc2 pic.twitter.com/GfANa5ua2i— Julie Amadis (@Julie_Amadis) December 13, 2019
#15mars #NonAu4èmeMandat=#RecommencerLaRévolution— Yanick Toutain (@YanickToutain) March 15, 2019
1956 #congrèsdelaSoummam+#11décembre1960
=> RECONSTRUIRE les #6WILAYAS
avec 6M #délégateurs dans chaque #wilaya
URGENT 15 000 #arouchConseils de base
2500 #déléguésDArouch #1pour625 par wilaya#DégageSystème=#remplacerSystème pic.twitter.com/5MgZRzstdj
POUR QUE TEBBOUNE DEGAGE IL FAUT 16 000 AROUCH DE BASE
Chacune des 16 000 #arouch à construire est un SOCLE du futur #CNRA à RECONSTRUIRE— Yanick Toutain (@YanickToutain) May 21, 2019
Avec 25 #étudiants 10 #professeurs #déléguésPédagogie
30 #déléguésRévocables #MissionEconomie
25 #déléguésSanté
25 #déléguésSécurité dont 15 #déléguésProtection policiers et 10 #déléguésDéfense pic.twitter.com/BulnnyA38l
UNE REVOLUTION DE PALAIS EST EN COURT
Il n'est pas besoin d'être une petite souris dans les casernes d'Algérie pour deviner qu'est déjà commencée la révolution de Palais pour succéder au dictateur camouflé d'Algérie.On peut relire avec intérêt cet article au fait des coulisses de la dictature compradore militaire en Algérie
Il a été écrit il y a 3 mois, en octobre
Lechkham, Ghriss, Chengriha ou Benbicha ?C'est évidemment l'attitude de la proto-formoisie compradore qui sera déterminante : continuer à vouloir protéger les privilèges attendus par ces étudiants ou s'allier avec les paysans pauvres. Telle est la clé pour la construction - ou non - des 16 000 arouch dont a besoin la révolution algérienne
L’armée algérienne subit en ce moment des déchirements internes qui risquent de lui provoquer une inquiétante crise de dysfonctionnement. Ces déchirements internes tournent autour de la délicate question de la succession de Gaid Salah. Selon nos informations confirmées auprès de plusieurs sources très bien introduites au sein de l’institution militaire algérienne, la course à cette succession a été bel et bien lancée car l’âge avancé de Gaid Salah et l’épuisement qu’il commence à ressentir, les attaques et critiques sévères dont il fait l’objet de la part d’une rue bouillonnante de colère et l’importance de la réussite des futures échéances électorales ne lui permettent plus de conserver encore longtemps son poste à la tête de l’Armée Nationale et Populaire (ANP), aujourd’hui le véritable et seul centre détenteur du pouvoir en Algérie. Nos sources ont été, d’abord, claires : aucun agenda précis n’a été encore fixé pour annoncer le départ de Gaid Salah. Il paraît donc improbable qu’il parte avant le 12 décembre prochain. Ce scénario ne peut se concrétiser que dans un seul contexte : si la réussite de l’élection présidentielle est totalement compromise en raison des positions brutales de Gaid Salah, l’armée peut, dés lors, envisager un mouvement interne pour procéder à son remplacement, attestent nos sources.Mais qui peut remplacer Gaid Salah ? Aujourd’hui, de nombreux clans se composent et se recomposent au sein de l’armée autour des généraux les plus influents ou les plus expérimentés. Et chaque clan tente de défendre son poulain dans l’espoir d’accéder à la fonction suprême, celle du Chef d’Etat-Major de l’ANP, le poste le plus stratégique en Algérie puisque cette fonction donne naissance au véritable décideur du pays.Si l’on tient compte des traditions historiques de l’armée algérienne, c’est toujours le commandant des forces terrestres qui prend le relai et assure la succession. Dans ces conditions, c’est Said Chengriha, l’actuel chef des forces terrestres, qui devra succéder à Gaid Salah. Ce général-Major est puissant depuis de nombreuses années et il reste respecté pour son parcours académique et ses compétences universitaires. Il avait, lui-même, succédé en août 2018 ainsi au vétéran Lahcen Tafer, en poste à la tête du commandement des Forces Terrestres depuis 2004. Il dirigeait, auparavant, la 3e région militaire.Sa nomination avait été qualifiée d’une promotion majeure pour ce haut gradé. Il était jusqu’au déclenchement du Hirak le 22 février, le troisième personnage de l’armée après le chef suprême des forces armées (président de la République) et le chef d’état-major. Un poste hautement stratégique dans la chaîne du commandement militaire.Mais Chengriha est un officier âgé et ne pourra pas refléter le rajeunissement nécessaire du commandement militaire de l’ANP. L’armée algérienne veut offrir aux algériens une nouvelle image pour rompre avec celle du passé : une armée dirigée par des jeunes aux compétences avérées. En plus, Chengriha compte de nombreux adversaires notamment dans le clan de Gaid Salah. Chengriha est le seul officier qui ose adopter un langage sincère, franc et vrai à l’égard de Gaid Salah sans faire preuve d’un excès de zèle à l’égard de Gaid Salah. Nous reviendrons sur ce personnage important de l’armée dans nos prochaines publications.A côté de Chengriha, d’autres généraux-majors sont présentés comme les futurs successeurs de Gaid Salah. Et chaque candidat compte des adversaires et des partisans. Nous avons, ainsi, le Directeur du service national au ministère de la Défense nationale, le général-major Mohamed-Salah Benbicha, qui est beaucoup moins âgé que les autres actuels puissants généraux de l’ANP. Mais Benbicha est en concurrence avec d’autres généraux comme le général-major Abdelhamid Ghriss, l’actuel secrétaire général du ministère de la Défense Nationale, qui est très apprécié par de nombreux officiers supérieurs de l’ANP.Le SG du ministère de la Défense Nationale est le seul interlocuteur de l’ANP avec les personnalités politiques et l’appareil judiciaire. C’est lui qui transmis les instructions du haut commandement de l’ANP et c’est lui qui coordonnait les enquêtes et mesures décidées dans les plus gros dossiers de corruption.Le général-major Abdelkader Lechkham, patron du service des transmissions et d’une direction chargée des questions numériques, pourrait incarner la surprise et se positionner très rapidement dans cette course à la succession de Gaid Salah. Ce général méconnu, secret et discret, est présenté comme un officier très influent qui est très écouté par Gaid Salah. C’est lui qui s’est chargé des “offensives cybernétiques” de l’ANP contre ses adversaires politiques et pour blanchir l’image d’Ahmed Gaid Salah contre ses principaux détracteurs. Cependant, comme tous les autres prétendants, rien ne peut empêcher sa disqualification à la dernière minute car la lutte sera acharnée et seul le plus soutenu des généraux pourra succéder à Gaid Salah. Quoi qu’il en soit, si cette succession n’est pas résolue dans les plus brefs délais, l’armée vivra le même dangereux scénario que celui qui avait détruit la Présidence de la République avec le 5e mandat de Bouteflika. Un scénario d’instabilité que l’Algérie doit cruellement éviter pour sortir la tête de cette crise politique qui n’en finit pas.*Source : Algerie Part
ON PEUT RELIRE LES ARTICLES DE LA REVOLUTION ALGERIENNE
vendredi 22 février 2019
mardi 26 février 2019
Toute l'Algérie se soulève contre Bouteflika le pantin de Macron pour un 5° mandat ! Urgent désigner 360.000 délégués de base pour un gouvernement du peuple
Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
26/02/2019
Il est possible de virer Bouteflika de manière totalement pacifique, il suffit que le nombre de personnes se choisissant leurs représentants, leurs délégués révocables soit supérieur au nombre de personnes ayant mis un bulletin Bouteklika dans l'urne aux dernières élections de 2014.
Si 9 M d'Algériens choisissent 360 000 délégués de base 1 pour 25 14 400 délégués conseillers 1 pour 625 et 23 délégués nationaux ministres révocables 1 pour 390 625 pour construire un gouvernement du peuple, ils vireront en même temps Bouteflika et toute sa mafia.
Il faut que les Algériens reprennent l'héritage des Arouch (Aarchs au singulier). Ce mode d'auto organisation kabyle a refait surface lors du mouvement de 2001.
jeudi 4 avril 2019
Lettre ouverte à Mostefa Bouchachi : comment devenir un des 2 délégués justice du comité exécutif provisoire du CNRA (Comité National de la Révolution Algérienne) gouvernement provisoire révocable… sans imiter Kerensky
Je vous ai écrit sur Twitter et sur Facebook pour insister sur l’appel immédiat à ce que 9 millions d’Algériens se réunissent en 15 000 arouch de base.
Qu’ils commencent par former 1,8 millions de mini-conseils de 5 personnes désignant 1,8 million de délégués intermédiaires de base DIB, par former 360 000 conseils de base de 25 désignant 360 000 délégués de base, par désigner 72 000 délégués intermédiaires conseillers (DIC délégués intermédiaires d’arouch) qui formeront les cabinets statutaires et les cabinets fonctionnels d’arouch comités de base et d’arouch conseils de base.
Qu’ils commencent par désigner 15 000 (14 400) délégués d’arouch en formant 15 000 arouch de base.
Mon expérience de 46 ans d’études et de militantisme révolutionnaire m’incite à vous donner les conseils suivants.
Naturellement, ils s’adressent à vous comme à n’importe quel révolutionnaire ayant l’accréditation du peuple pour occuper le statut de délégué justice dans l’exécutif urgemment nécessaire de cette nouvelle révolution algérienne – non pas fille mais nièce de celle du 1° novembre 1954 – fille de la révolution populaire du 10 décembre 1960.
lundi 8 avril 2019
L'arrestation de Salah Dabouz, début de la contre-offensive contrerévolutionnaire du système. Chaque avocat réprimé par Gaid Salah, les 3 B et leurs procureurs voyous doit être désigné comme un des 1200 délégués justice, délégués d'arouch
Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
08/04/2019
La contre révolution est déjà à l’œuvre en Algérie.
A peine Bouteflika dégagé, que les larbins compradores au service de l'impérialisme recommencent déjà à réprimer. Les méthodes répressives sous Bouteflika reprennent de plus belle.
Un avocat Salah Dabouz est arrêté par la police à Alger parce qu'il critique des décisions de justice !
vendredi 19 avril 2019
Sur #Les3B il en reste deux à DEGAGER plus Gaid Salah ! Il faut les remplacer par 15 000 délégués d'arouch #1pour625
Bouteflika a été dégagé le 2 avril.Tayeb Belaiz il y a 3 jours.
Il reste encore à dégager Abdelkader Bensalah et Noureddine Bedoui auquel il faut ajouter Gaid Salah.
Bouteflika a été dégagé le 2 avril.Tayeb Belaiz il y a 3 jours.
vendredi 26 avril 2019
vendredi 31 mai 2019
Algérie 31 mai 2019 : grosses manifestations partout dans le pays "Bensalah Bedoui faussaires dégagez" "Système dégage" "Non au dialogue truqué de Gaid Salah". Il faut remplacer ce système pourri par 16 000 Arouch pour désigner un CNRA Comité National de la Révolution Algérienne
Par Julie Amadis
avec Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
31/05/2019
15° vendredi de manifestation.
Les Algériens ne veulent pas du "dialogue" proposé par Gaid Salah ni des élections.
Les Algériens sont déterminés à virer ceux qui sont au pouvoir.
Ils ne veulent pas de cette révolution de palais.
Ils veulent une véritable révolution du peuple.
mardi 18 juin 2019
Algérie : les étudiants refusant de participer aux élections de Gaid Salah. exigent #SystèmeDégage URGENT 16000 Arouch 16 000 délégués d'arouch révocables #1pour625
Par Julie Amadis
avec Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
18/06/2019
Le lendemain du discours de Gaid Salah promotionnant les élections pour tuer la révolution, les étudiants sont à nouveau dans les rues pour la 17° fois.
Les revendications sont "système dégage" "Bensalah dégage" "Bedoui dégage".
Les étudiants scandent les slogans habituels contre les symboles du pouvoir, notamment Abdelkader Bensalah et Noureddine Bedoui.TSA
vendredi 5 juillet 2019
Hirak Algérie #GaidSalahDégage : C'est en désignant 16 000 délégués d'arouch #1pour625 que les Algériens construiront un DIA Etat libre
Au cours de la manifestation d'aujourd'hui les Algériens étaient nombreux à revendiquer un Etat d'Algérie libre.
Un Etat est toujours une casemate de la strate des Parasites, un Etat libre se construit par la désignation de délégués révocables 1 pour 25, de délégués d'Arouch 1 pour 625.
Cette construction d'un dia-Etat libre est urgente en Algérie....
Sans cela, le Talon de fer de l'impérialisme va s'abattre contre les Algériens.
Même si, encore aujourd'hui 5 juillet, les Algériens ne lâchent rien.
Ils sont plus nombreux que jamais dans les rues de presque toutes les villes en Algérie.
Aux cris de « Les Algériens, khawa khawa », "Bensalah Bedoui Gaid Salah dégagent", « la libération des détenus d’opinion », " « Pour un Etat civil et non militaire »", "Non au dialogue"(à Constantine), "la restitution de la liberté confisquée par la bande de Oujda." les Algériens ont manifesté massivement dans les rues ce 20° vendredi de mobilisation ce 5 juillet 2019 qui correspond au 57° anniversaire de l'indépendance.
Au cours de la manifestation d'aujourd'hui les Algériens étaient nombreux à revendiquer un Etat d'Algérie libre.
Un Etat est toujours une casemate de la strate des Parasites, un Etat libre se construit par la désignation de délégués révocables 1 pour 25, de délégués d'Arouch 1 pour 625.
Cette construction d'un dia-Etat libre est urgente en Algérie....
Sans cela, le Talon de fer de l'impérialisme va s'abattre contre les Algériens.
Même si, encore aujourd'hui 5 juillet, les Algériens ne lâchent rien.
Ils sont plus nombreux que jamais dans les rues de presque toutes les villes en Algérie.
Aux cris de « Les Algériens, khawa khawa », "Bensalah Bedoui Gaid Salah dégagent", « la libération des détenus d’opinion », " « Pour un Etat civil et non militaire »", "Non au dialogue"(à Constantine), "la restitution de la liberté confisquée par la bande de Oujda." les Algériens ont manifesté massivement dans les rues ce 20° vendredi de mobilisation ce 5 juillet 2019 qui correspond au 57° anniversaire de l'indépendance.
Un Etat est toujours une casemate de la strate des Parasites, un Etat libre se construit par la désignation de délégués révocables 1 pour 25, de délégués d'Arouch 1 pour 625.
Cette construction d'un dia-Etat libre est urgente en Algérie....
Sans cela, le Talon de fer de l'impérialisme va s'abattre contre les Algériens.
Même si, encore aujourd'hui 5 juillet, les Algériens ne lâchent rien.
Ils sont plus nombreux que jamais dans les rues de presque toutes les villes en Algérie.
Aux cris de « Les Algériens, khawa khawa », "Bensalah Bedoui Gaid Salah dégagent", « la libération des détenus d’opinion », " « Pour un Etat civil et non militaire »", "Non au dialogue"(à Constantine), "la restitution de la liberté confisquée par la bande de Oujda." les Algériens ont manifesté massivement dans les rues ce 20° vendredi de mobilisation ce 5 juillet 2019 qui correspond au 57° anniversaire de l'indépendance.
mercredi 4 septembre 2019
Algérie : 28° mardi ! 3 fois plus d'étudiants refusant la démocratie crient "Pas de vote" "Pas d'élections avec cette bande de mafieux" "Bensalah Bedoui dégagez" La solution : Humanocratie avec 16 000 délégués d'Arouch #1pour625
Par Julie Amadis
avec Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
04/09/2019
28° mardi consécutif de manifestations des étudiants en Algérie.
A Oran, Alger, Constantine, Tizi Ouzou, Bejaia les étudiants étaient trois fois plus nombreux que la semaine dernière.
le 28e mardi consécutif à travers plusieurs villes universitaires du pays. À Alger, ce mardi marque incontestablement le grand retour des étudiants dans la rue. Ils étaient au moins trois fois plus nombreux que mardi dernier et la marche d’aujourd’hui est la plus imposante depuis le début du ramadan. TSALes manifestants scandaient "pas de vote" et Bensalah Bedoui Gaid Salah dégagent.
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