Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
23/12/2019
Interrogé sur les aspects politiques au cours de son audition, le général Gilbert Diendéré a balayé du revers de la main, tout acte politique qui aurait influencé l’action du 16 septembre 2015.
Selon ses dires, la politique ne l’intéresse pas. A titre d’exemple, il a pris un cas : "Hervé Ouattara m’a demandé de faire un coup d’État le 30 octobre 2014", a-t-il confié.
L'objectif d'Hervé Ouattara était bien entendu de redorer l'image du traître démasqué par l'annonce des impérialistes Franceàfric de création d'un FCFA dévalué.
Les Africains honnêtes manipulés par Kémi Séba ont compris que l'annonce d'une nouvelle monnaie par Macron et Alassane Ouattara samedi rendait caduque le pseudo combat anti FCFA.
Kémi Séba qui brûlait son billet au moment où la révolution commençait au Togo pour faire détourner le regard des Africains vers ce qui aurait pu être le début d'une révolution de tout le continent pour la libération de l'Afrique.
Il brûlait son billet FCFA au moment où la Franceàfric avait prévu de mettre fin au FCFA pour reproduire l'opération de 1994 de dévaluation de la monnaie .... sans résistance africaine.....
Pour cela rien de tel que de choisir une nouvelle monnaie, tout en organisant la campagne anti FCFA.... Les Africains ont ainsi l'impression de gagner une victoire alors qu'ils subissent la plus grande des défaites.
Hervé Ouattara,
qui "m'a demandé de faire un coup d'Etat"
dixit Gilbert Diendiéré,
continue son activité contre-révolutionnaire
en invitant Kémi Séba à insulter RMC Kaboré
en valorisant.... Blaise Compaoré..... le protecteur des terroristes MNLA Ansardine
Qui se ressemble s'assemble : le 30 octobre 2014 Hervé Ouattara proposait alliance à Gilbert Diendiéré, le 21 décembre 2019, le même Hervé Ouattara était l'hôte de l'imposteur raciste contre-révolutionnaire Kémi Séba.
Dans le premier cas, Hervé Ouattara secrètement pantin du MPP voulait perpétuer le régime Compaoré sous déguisement en demandant au chef du RSP de faire ..... un coup d'Etat..... dans le deuxième cas ce Ouattara-là veut saboter la révolution Sankara à Ouagadougou en invitant l'ami des racistes GUD de France, l'allié de Toussaint Alain, le conseiller de Laurent Gbagbo qui le poignarda dans le dos en passant alliance avec ..... Guillaume Soro !!
On a donc le terroriste Guillaume Soro allié au traître Toussaint Alain, allié à l'imposteur Kémi Séba, allié au traître Hervé Ouattara qui .... proposait alliance putschiste à Gilbert Diendiéré.
LE SAMEDI 21 DECEMBRE MACRON ANNONCE LA NOUVELLE MONNAIE L'ECO, UN ECOCAURICO prévu pour être dévalué
HERVE OUATTARA INVITE LE TRAITE ANTI FRANC CFA QUI TRAVAILLE AU SERVICE DU PLAN MACRON
Samedi 21 décembre au moment où Alassane Ouattara et Macron annoncent la création d'une nouvelle monnaie l'Eco, Hervé Ouattara invite Kemi Séba le traitre qui au service de Macron organisait la campagne anti Franc CFA sans jamais parler du projet diabolique de la Franceàfric de création d'une nouvelle monnaie servant de camouflage à une dévaluation ultérieure. L'ECO c'est en réalité FCFA dévalué, c'est #ECOcauriCO, une nouvelle monnaie qui a pour objectif de dévaluer la monnaie africaine et donc à aggraver encore la situation économique du continent, rendant hors de prix tous les objets importés en Afrique comme les ordinateurs et autres robots nécessaires au développement,
Le secret aura été gardé jusqu’au dernière instant. Samedi, à Abidjan, Emmanuel Macron et le président ivoirien Alassane Ouattara ont annoncé ensemble « une réforme historique » du franc CFA, la monnaie commune à huit pays de l’Union monétaire l’Afrique de l’Ouest (UEMOA).« Le franc CFA a été un outil de développement de notre économie, mais il fallait effectuer une réforme. C’est une décision prise en toute souveraineté », a expliqué Alassane Ouattara. Les changements, qui interviendront en 2020, seront profonds sur trois points. Le premier est surtout symbolique : un changement de nom. La nouvelle monnaie sera l’Eco. Les deux autres tiennent à deux modifications certes techniques, mais d’une portée bien réelle. Le Figaro
samedi 21 décembre 2019
MACRON REALISANT LE PROJET DE KEMI SEBA, IL FALLAIT DONC FAIRE ENFUMAGE
L'objectif d'Hervé Ouattara était bien entendu de redorer l'image du traître démasqué par l'annonce des impérialistes Franceàfric de création d'un FCFA dévalué.
Les Africains honnêtes manipulés par Kémi Séba ont compris que l'annonce d'une nouvelle monnaie par Macron et Alassane Ouattara samedi rendait caduque le pseudo combat anti FCFA.
Kémi Séba qui brûlait son billet au moment où la révolution commençait au Togo pour faire détourner le regard des Africains vers ce qui aurait pu être le début d'une révolution de tout le continent pour la libération de l'Afrique.
Il brûlait son billet FCFA au moment où la Franceàfric avait prévu de mettre fin au FCFA pour reproduire l'opération de 1994 de dévaluation de la monnaie .... sans résistance africaine.....
Pour cela rien de tel que de choisir une nouvelle monnaie, tout en organisant la campagne anti FCFA.... Les Africains ont ainsi l'impression de gagner une victoire alors qu'ils subissent la plus grande des défaites.
La meilleure façon pour les impérialistes de préserver leurs intérêts est de choisir leurs "opposants politiques". Ceux ci sont ultra médiatisés, subissent quelques répressions... mais jamais bien puissantes ... qui servent à donner l'illusion qu'ils sont de "vrais opposants".
C'est ce qui se passe avec Kémi Séba. Il a de l'argent, voyage, est invité par les médias serviles, fait l'objet d'articles élogieux de la part de médias qui font omerta sur ce que subissent les révolutionnaires sankaristes en France...... et quand sa réputation d'"opposant" est mise à mal, il subit une arrestation.
Comme ce qui vient de se passer au Burkina Faso !
Au cours de ce débat le 21 décembre à l'université Ouagadougou 1 sur le franc CFA, le militant franco-béninois Kémi Seba a traité le président burkinabè Roch Marc Christian Kaboré de « passoire politique ». Des propos mal accueillis par des jeunes proches du parti au pouvoir, le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP).Une " répression" reprise partout.... pour le présenter comme "victime" alors qu'il n'en est rien.
Il a été amené à la gendarmerie, dans un premier temps, pour le mettre à l'abri de partisans du parti au pouvoir en colère. Mais dans un second temps, les gendarmes lui ont expliqué qu'il était en garde à vue. Maître Prosper Farama a pu rencontrer son client, samedi en fin d'après-midi :
« Dès mon arrivée, l'agent enquêteur lui a signifié que sur de nouvelles instructions du procureur, désormais, il devrait considérer qu'il était retenu dans le cadre d'une procédure engagée contre lui pour injure à l'encontre du chef de l'État, M. Roch Christian Kaboré. Au delà des injures, on lui reproche d'avoir incité les populations et notamment la jeunesse à la révolte ; d'avoir aussi, d'avoir tenu certains propos, notamment en disant que sous le régime du président Compaoré, la sécurité était mieux assurée au Burkina que sous le régime du président Kaboré. Il avait, par ce fait là, tenté de démoraliser, selon les termes de l'agent enquêteur, "tous ceux qui se battent au Burkina Faso contre le terrorisme. »
Pour Hervé Ouattara, le responsable du Front anti-CFA qui avait invité Kémi Seba à participer au débat, son interpellation marque les limites de la liberté d’expression au Burkina Faso. RFI
RMC Kaboré préfère 1000 fois un pseudo opposant type Balai Citoyen ou type Kémi Séba qu'un constructeur de CDR, révolutionnaire sankariste.
"L’ancien président de Citoyen africain pour la Renaissance (CAR) indique avoir été la cible de jeunes à son domicile. « Après l’activité, j’ai rejoint mon domicile et des jeunes du MPP ont assiégé mon domicile et ont commencé à scander: Hervé, à bas! Kemi Séba, à bas ! avant d’entonner l’hymne nationale par 2fois. Et ils ont exigé à ce que je sorte de ma maison. Après mon refus, ce sont des pierres qui ont commencé à pleuvoir sur ma maison et d’autres ont même tenté de forcer ma porte. J’ai dû faire des tirs de sommation pour contenir la foule » a-t-il expliqué.." NetAfrique
Tout cela est du cirque mis en scène.
HERVE OUATTARA AVAIT AVOUE LE COUP D'ETAT QU'IL AVAIT PROPOSE A GILBERT DIENDIERE
Rien d'étonnant à ce que Hervé Ouattara lui aussi faux révolutionnaire vrai organisateur de contre révolution invite Kémi Séba qui travaille au service du plan Macron ECOcauriCo. Hervé Ouattara c'est le traitre qui demandait en pleine révolution Burkinabè au général Gilbert Diendéré, ancien chef d'Etat-major particulier de Blaise Compaoré l'assassin de Thomas Sankara de faire un coup d'Etat.
JEUDI 17 SEPTEMBRE 2015
2014 Hervé Ouattara: "nous avons voulu inciter Gilbert Diendiéré à perpétrer un coup d’Etat (avec Sams’K Le Jah, Hervé Kam & Smockey)
17/9/2015
Contrairement à ce que croient les naîfs activistes de base du Balai citoyen, ce qui se passe actuellement n'est que la suite du plan des escrocs Hervé Ouattara Sams’K Le Jah, Hervé Kam & Smockey
C'est le plan qui était prévu en octobre 2014 qui se déroule actuellement :
MERCREDI 3 DÉCEMBRE 2014
Révolution volée au Burkina Faso. Les 4 traîtres du 30-31 octobre: Hervé Ouattara, Serge Smockey Bambara, Guy Hervé Kam et Sams'K le Jah
Yanick Toutain
RevActu
RevActu
2/12/14
Hervé Ouattara: "Au départ, nous avons
"
Hervé Ouattara: "Au départ, nous avons
voulu inciter Gilbert Diendiéré,
lui-même, à perpétrer un coup d’Etat".
"Hervé Ouattara: "On a discuté entre nous et finalement, c’est nous qui avons gagné. Sams’K Le Jah et Hervé Kam, qui sont arrivés plus tard, étaient dans la même logique que Smockey et moi. Finalement, nous avons dit à Zida de prendre ses responsabilités",
Hervé Ouattara: "j’ai découvert monsieur Bambara qui est un militaire. C’est lui qui m’a informé qu’il se pourrait que le général Kouamé Lougué vienne notre la secours pour prendre Kosyam
Les aveux détaillés du traitre Hervé Ouattara nouveau membre du CNT quand il balançait ses complices !++++++++++LE TRAITRE STUPIDE HERVE OUATTARA REVELAIT TOUTE LA VERITEHervé Ouattara A MEME TENTE DE DONNER LE POUVOIR à GILBERT DIENDERE !!!!!!!!!!!!!!!!+++++++++++++++++++++
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http://www.lobservateur.bf/index.php/component/k2/item/2992-transition-politique-au-burkina-faso-herve-ouattara-l-un-des-derniers-a-avoir-vu-blaise
on trouve aussi l'article ici
http://www.blaisecompaore2015.info/Nouvel-article,351
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ATTENTION LISEZ ATTENTIVEMENT CE QUI SUIT
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On voit un MILITAIRE APPARAITRE et une FOULE CRIER.....
Quel lien entre CE MILITAIRE et cette prétendue "FOULE" ?
QUI A FAIT CRIER LE NOM DE "LOUGUE" ?
ON CONTINUE LA SUITE
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Cela a révolté davantage la foule et elle a continué d’avancer. Nous avons réussi à repousser le barrage jusqu’à BF1 puis au dernier feu tricolore avant le palais de Kosyam. Nous étions à environ 400 mètres du palais. Le dispositif sécuritaire y était bien sûr plus important. Mais on était déjà dans le feu de l’action et il fallait faire avec. C’est à cet endroit que Gilbert Diendiéré (NDLR : le chef d’état-major particulier de Blaise Compaoré) est venu nous voir. Il a demandé à parler au leader de ce mouvement et je me suis avancé, accompagné de Bambara et d’un autre, Ouédraogo, dont le prénom m’échappe. Il nous a fait comprendre que notre action a porté ses fruits, car c’est arrivé à qui de droit. Donc pour lui, ce n’était plus nécessaire que l’on verse le sang."
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UN BAMBARA MILITAIRE INCONNU DE TOUT LE MONDE DEVIENT UN DES LEADERS ......... C'EST QUOI CE BORDEL ?
Hervé Ouattara ment ou c'est un parfait crétin !!
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Qu’est-ce qui s’est dit entre le président et vous et qui était là ?
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VOICI MAINTENANT QUE LE FAMEUX MILITAIRE BAMBARA DEVIENT UN DES NEGOCIATEURS DE LA REVOLUTION !!!
je saute un passage sur Compaoré... et ensuite
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Comment avez-vous connu le président Zida ?
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DONC Hervé OUATTARA VIENT DE FAIRE CONNAISSANCE DE ZIDA
encore un saut dans le texte et on arrive à la trahison
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"D’aucuns disent que le CAR ainsi que d’autres organisations comme le Balai citoyen ont dealé avec le lieutenant-colonel Isaac Zida, le chef d’Etat par intérim. Y a-t-il vraiment eu des arrangements entre vous ?
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DONC HERVE OUATTARA REVELE QUE C'EST LUI QUI A DIT A ZIDA DE PRENDRE LE POUVOIR LE 30.
LISEZ ATTENTIVEMENT CE QUI SUIT
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ON A DONC LE CAMP DES TRAITRES QUI SE PRECISE
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LES NOMS DES TRAITRES PRO-ZIDA SONT DONC
HERVE OUATTARA (manipulé par le mystérieux militaire Bambara) , Serge SMOCKEY Bambara (homonyme du militaire pro-Lougué) SAMS'K LE JAH et HERVE KAM
AVEC CONTRE EUX
Luc Marius Ibriga et peut-être Augustin Loada mais le témoignage de Ouattara n'est pas clair.
RESULTAT
30 MORTS PARTIELLEMENT VOLES DE LEUR SACRIFICE
ON A LE N°2 DU RSP PANTIN DE L'AMBASSADEUR DE FRANCE L'ASSASSIN ZIDA
ON A UN VOYOU FRANCEàFRIC EX AMBASSADEUR KAFANDO
ET .... LE TRAITRE HERVE OUATTARA A EU SA RECOMPENSE DE POURRI.... INVITE A SIEGER AU CNT
Hervé Ouattara: "Au départ, nous avons voulu inciter Gilbert Diendiéré, lui-même, à perpétrer un coup d’Etat.
Hervé Ouattara: ""On a discuté entre nous et finalement, c’est nous qui avons gagné. Sams’K Le Jah et Hervé Kam, qui sont arrivés plus tard, étaient dans la même logique que Smockey et moi. Finalement, nous avons dit à Zida de prendre ses responsabilités, c’est pourquoi nous sommes revenus le lendemain l’accompagner à la place de la Nation pour son message.
Hervé Ouattara: "Après cette étape, vers 12h-13h, j’ai décidé, avec quelques militants, sur un coup de tête, je le reconnais, de monter sur Kosyam. J’ai donc tenu un discours dans les environs du palais du Mogho Naaba pour dire aux gens qu’il était temps qu’on en finisse avec le président Compaoré. Nous avons donc pris la direction de Ouaga 2000 avec une foule immense, c’est là-bas d’ailleurs que j’ai découvert monsieur Bambara qui est un militaire. C’est lui qui m’a informé qu’il se pourrait que le général Kouamé Lougué vienne notre la secours pour prendre Kosyam. C’est à ce moment que les choses ont commencé à se tisser entre nous (NDLR : avec Bambara) et un cordon de sécurité s’est immédiatement organisé autour de nous".
Hervé Ouattara: "Puis la foule a commencé à clamer le nom de Lougué".
Hervé Ouattara: ""Puis la foule a commencé à clamer le nom de Lougué. Nous avons évolué ensemble jusqu’à Palace hôtel, où nous avons été arrêtés par le RSP. Il y a eu des tirs de sommation et c’est à partir de là-bas que je suis ressorti pour demander aux camarades de faire un geste pour montrer que nous n’étions pas armés et que notre seule volonté, c’était de libérer notre pays. Même s’il fallait que l’on passe sur nos corps, il fallait avancer étant donné qu’il y avait déjà des militants qui étaient tombés. Une tentative qui a échoué trois fois. La quatrième fois, nous avancions les mains nues et levées ; certains étaient même à quatre pattes pour signifier vraiment que nous n’étions pas armés. Les tirs de sommation ont continué puis les militaires ont rebroussé chemin jusqu’à l’hôtel Laïco. Nous avons poursuivi notre route et les militaires ont continué à tirer. Je crois que c’est à ce moment que trois d’entre nous ont été touchés. Ils ont été évacués à l’hôpital Blaise-Compaoré où ils ont succombé à leurs blessures malheureusement.
Hervé Ouattara: ""Nous lui avons fait savoir que notre objectif n’était pas d’échanger avec l’aide de camp du président ou quelqu’un d’autre que lui. Nous lui avons dit que nous étions venus pour nous assurer que Kosyam était libéré, car, à en croire des gens, Blaise Compaoré ne serait plus au pays. Il a dit que cela allait être compliqué à faire et lui on a rétorqué qu’il lui faudrait donc tuer tout le monde. Il nous a répondu que tirer sur la foule n’était pas leur objectif. Nous lui avons dit alors de nous laisser passer pour aller le voir. C’est ainsi qu’il a passé un coup de fil de presque 15 mn avant de nous dire que l’on pouvait y aller.
Hervé Ouattara: "Nous avons été conduits (NDLR : Bambara, Ouédraogo et moi-même) par le général Diendiéré au palais. Nous avons traversé deux salons avant de voir le président au troisième, debout en train de nous attendre. Il nous a salués et nous a installés. J’ai tout de suite compris que c’était quelqu’un qui lisait la presse et suivait les médias dans leur ensemble. Par exemple, il connaissait mon nom. Ce qui m’a d’ailleurs surpris. J’étais aussi effrayé et je me demandais dans quelle merde je m‘étais mis. Il a même ironisé en disant qu’il avait appris que nous voulions son départ. Je lui ai dit que c’était la vérité, car il y a eu trop de morts déjà."
Hervé Ouattara: ""Quand je me suis rendu à Canal 3 pour leur demander de rejoindre Kosyam, je suis allé tomber sur une déclaration de Blaise Compaoré qui instaurait l’état de siège. J’étais tellement choqué et énervé que j’ai continué à la radio Oméga pour dire mon mécontentement. Nous avons donc dit que nous remonterions sur Kosyam le lendemain à 8h, quel que soit le prix à payer. Après, j’ai été appelé par l’actuel président, le lieutenant-colonel Zida, qui m’a dit que j’avais commis une erreur en allant parler au président, car lui il savait qu’il allait nous rouler dans la farine. Il m’a fait savoir que l’armée avait décidé de prendre ses responsabilités et de démettre Compaoré de ses fonctions et qu’il fallait juste déterminer qui allait endosser cette responsabilité. Il y a eu ensuite les mouvements à l’état-major de l’armée que vous avez suivis avec nous, Le Balai citoyen et d’autres organisations. Ensemble, on a presque imposé Zida, et nous de notre côté nous savions que c’était un jeu fait depuis la veille 30 octobre.
Hervé Ouattara: "C’est à Kosyam que j’ai fait sa connaissance, lorsque nous y sommes allés avec le général Diendiéré rencontrer le président."
Hervé Ouattara: "J’ai l’habitude de dire aux gens que nous sommes tous comptables de ce qui est arrivé aujourd’hui. Le départ de Blaise Compaoré est le fruit de la lutte de tous les Burkinabè. S’il y a des gens qui peuvent vous dire comment Zida est venu, c’est bien nous ; et ce n’est pas pour nous vanter.
Hervé Ouattara: "Au départ, nous avons voulu inciter Gilbert Diendiéré, lui-même, à perpétrer un coup d’Etat. Mais il m’a dit que ça ne l’intéressait pas et qu’il ne voulait pas en entendre parler. Concernant Zida, c’est des situations politiques qui ont amené les gens où ils sont. Dans la nuit du 30, nous avons entamé des négociations avec des gens auxquels nous avons fait savoir que si l’armée devait prendre ses responsabilités, nous ne voulions pas d’Honoré Traoré, le chef d’état-major. Mais Zida lui-même nous a demandé si nous étions convaincus de ce que nous voulions. Nous nous sommes toujours assumés. Dans la salle, j’ai été le premier à dire à Zida, car je lui ai parlé la veille, de prendre ses responsabilités.
"La seule personne dans la salle qui a refusé cette option était Luc Marius Ibriga. Il m’a appelé de côté pour me dire que j’étais en train de jouer à un jeu dangereux. Je lui ai dit que ce qui m’intéressait à ce jour était que le président Compaoré quitte le pouvoir et que le reste on gèrerait. Peut-être que j’ai fait ça sur un coup de tête, mais je l’assume. Il a appelé Augustin Loada, puis Smockey. Hervé Kam n’était même pas encore là. Le Pr Ibriga nous a fait comprendre que lui était pour une transition civile et qu’il n’appartenait pas à la société civile d’amener des militaires au pouvoir."
"On a discuté entre nous et finalement, c’est nous qui avons gagné. Sams’K Le Jah et Hervé Kam, qui sont arrivés plus tard, étaient dans la même logique que Smockey et moi. Finalement, nous avons dit à Zida de prendre ses responsabilités, c’est pourquoi nous sommes revenus le lendemain l’accompagner à la place de la Nation pour son message. Il n’y a eu aucun deal. Maintenant le CAR accompagne la nouvelle dynamique qui veut que le pouvoir soit civil."L'explication est simple. Hervé Ouattara du CAR collectif antiréférendum et ses amis du Balai Citoyen craignaient que la population ne reprenne le programme de Sankara en faveur des jeunes, des pauvres et des femmes.
En tant que membre de l'Innovoisie et de la Bourgeoisie, ces derniers ne voulaient pas que les richesses soient partagées.
Ils craignaient que le peuple ne s'organise lui même en CDR que Sankara appela à créer, les Comités de défense de la révolution et ne fasse émerger de nouveau leaders, des leaders égalistes au service des plus pauvres !
GILBERT DIENDERE AVOUE QU'HERVE OUATTARA LUI A DEMANDE DE FAIRE UN COUP D’ÉTAT LE 30 OCTOBRE 2014
Le putschiste Gilbert Diendiéré avait attendu 11 mois avant de réaliser le projet d'Hervé Ouattara. Onze mois entre la révolution du 30 octobre 2014 et sa proposition de coup d'Etat... et le véritable putsch de septembre 2015Un putsch dont l'excuse donnée par Diendiéré.... sera .... la proposition d'Hervé Ouattara..... qu'il confirma donc par ses aveux de 2018.
Il faut donc relire le Faso de novembre 2018
Débuté le lundi 27 novembre 2018, le grand déballage du général Gilbert Diendéré se poursuit ce mercredi 28 novembre 2018. Il faut le rappeler, l’accusé a commencé par planter le décor. Il est parti du 25 octobre 2014 jusqu’au 1er octobre 2016, date de son arrestation après le putsch. "La boîte noire" du régime de Blaise Compaoré est revenu sur les détails qui selon lui "ne justifient pas ce qui s’est passé le 16 septembre 2015 mais qui expliquent". Ce mercredi 28 novembre 2018, c’est la phase des questions et observations du parquet.Le général Gilbert Diendéré est revenu ce mercredi matin sur les Procès-verbaux (PV) de la hiérarchie militaire qui n’ont pas été faits " correctement". Selon lui, la hiérarchie ne devrait pas être citée au cours de ce procès en tant que "témoin, mais sous une autre forme".
"Leur absence ne me dédouane pas. Moi, j’assume mes actes. Nous avons dit que nous voulons la vérité et NON une part de vérité", a déclaré le général à la barre.
Toujours dans sa quête de "vérité", le général dit ne pas comprendre qu’on accuse quelqu’un qu’on a appelé pour aller réparé une moto à la Place de la nation, et on laisse celui qui a été à ses côtés du 16 au 21 septembre 2015, qui lui a donné un hélicoptère pour ses missions en tant que président du CND, puisse ne pas être au box des accusés.
A ce raisonnement de Diendéré le parquet militaire rétorqua : "En tant que procureur, ce qui m’intéresse, c’est l’accusé qui est devant moi".
"Moi qui suis là, ce qui m’intéresse, c’est la vérité pour les parents des victimes qui sont là", a lancé Diendéré.
Interrogé sur les aspects politiques au cours de son audition, le général Gilbert Diendéré a balayé du revers de la main, tout acte politique qui aurait influencé l’action du 16 septembre 2015.
Selon ses dires, la politique ne l’intéresse pas. A titre d’exemple, il a pris un cas : "Hervé Ouattara m’a demandé de faire un coup d’État le 30 octobre 2014", a-t-il confié.
Lefaso.net
"Leur absence ne me dédouane pas. Moi, j’assume mes actes. Nous avons dit que nous voulons la vérité et NON une part de vérité", a déclaré le général à la barre.
Toujours dans sa quête de "vérité", le général dit ne pas comprendre qu’on accuse quelqu’un qu’on a appelé pour aller réparé une moto à la Place de la nation, et on laisse celui qui a été à ses côtés du 16 au 21 septembre 2015, qui lui a donné un hélicoptère pour ses missions en tant que président du CND, puisse ne pas être au box des accusés.
A ce raisonnement de Diendéré le parquet militaire rétorqua : "En tant que procureur, ce qui m’intéresse, c’est l’accusé qui est devant moi".
"Moi qui suis là, ce qui m’intéresse, c’est la vérité pour les parents des victimes qui sont là", a lancé Diendéré.
Interrogé sur les aspects politiques au cours de son audition, le général Gilbert Diendéré a balayé du revers de la main, tout acte politique qui aurait influencé l’action du 16 septembre 2015.
Selon ses dires, la politique ne l’intéresse pas. A titre d’exemple, il a pris un cas : "Hervé Ouattara m’a demandé de faire un coup d’État le 30 octobre 2014", a-t-il confié.
Lefaso.net
LES FAUX OPPOSANTS ALLIES AUX IMPÉRIALISTES POUR EMPÊCHER UNE RÉVOLUTION SANKARISTE AU BURKINA FASO ET EN AFRIQUE
Le Burkina Faso est le pays d'où la révolution sankariste devrait démarrer pour faire tâche d'huile à tous les pays d'Afrique sous esclavage Franceàfric Chinafric USAfric Russiàfric.
La mémoire de celui qui avait la clé de la victoire pour la libération de l'Afrique de tous les impérialismes, les CDR, y est très forte...
C'est pour cette raison que la Franceàfric a crée sa 4° guerre contre l'Afrique en y développant le jihadisme au Mali, jihadistes recrutés pour attaquer la gendarmerie de Samorogouan du 9 octobre 2015, jihadistes qui sévissent actuellement au Burkina Faso pour servir de prétexte à l'invasion militaire de la France dans le pays.
ONU-MINUSMA VS peuple malien : Après Abidjan, c'est Bamako. La 4° guerre contre l'Afrique est commencée (un article anticipatoire publié en décembre 2012 par Yanick Toutain)
En plus de recruter les jihadistes, la Franceàfric et ses médias serviles valorisent ceux qui travaillent à son service comme "faux opposants".
Les faux opposants ont pour principale mission d'empêcher la mise en place de CDR avec des délégués révocables.
Kémi Séba remplit parfaitement son rôle. Il fait campagne contre le FCFA au moment où la Franceàfric projette de mettre en place une nouvelle monnaie servant de camouflage à une dévaluation ultérieure.
Sa campagne anti FCFA sert même à camoufler la révolution togolaise .....
Un faux opposant pareil ne doit pas être "perdu" par la Franceàfric.... qui organise une mise en scène de "répression" au moment où son émissaire risque d'être démasqué.
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