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jeudi 20 juin 2019

La révolution soudanaise doit dégager du Soudan Fatou Bensouda complice des terroristes de Côte d'Ivoire et bourreau du président Gbagbo

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
20/06/2019










La révolution soudanaise doit dégager du Soudan Fatou Bensouda complice des terroristes de Côte d'Ivoire et bourreau du président Gbagbo


L'ONU ressort de son chapeau Fatou Bensouda la procureur de la CPI complice des terroristes de Côte d'Ivoire et bourreau du président Gbagbo pour tuer la révolution soudanaise.
Fatou Bensouda a fait un discours hier à l'ONU - l'instance mondiale de défense de l'impérialisme - soi-disant en faveur d'une justice pour les victimes du Darfour.
El Béchir, le dictateur du Soudan destitué le 11 avril, est un criminel sans limite responsable de milliers de morts au Darfour.
Il devient officiellement président de la République du plus grand pays d’Afrique le 16 octobre 1993. Sous l’influence d’Hassan al-Tourabi, Béchir oriente le pays vers un islam radical. Il envoie les Forces populaires de défense, armée créée après le coup d’Etat, au sud du pays pour combattre les «infidèles» et imposer la charia : le sud du Soudan est alors à majorité chrétienne et animiste. Il ouvre ainsi un nouveau chapitre d’une guerre civile amorcée en 1983 et qui a fait deux millions de morts jusqu’en 2005.
Dans les années 90, Khartoum devient la plaque tournante de l’internationale islamiste avec la présence de nombreux jihadistes ayant combattu en Afghanistan y compris le chef d’Al-Qaeda, Oussama ben Laden, plus tard expulsé sous la pression des Etats-Unis. Libération
Bensouda est l'ex ministre de la justice du dictateur de Gambie,  devenue procureur de la Franceàfric terroriste, qui a emprisonné Gbagbo pour que la Franceàfric y installe les terroristes Ouattara et Soro.

BENSOUDA EX MINISTRE DE LA JUSTICE DU DICTATEUR DE GAMBIE DEVIENT PROCUREUR GÉNÉRAL DE LA CPI POUR JUGER GBAGBO RENVERSE PAR UN COUP D’ÉTAT FRANCEAFRIC INSTALLANT LES TERRORISTES SORO OUATTARA

MINISTRE DE LA JUSTICE D'UN DICTATEUR QUI TUAIT LES OPPOSANTS POLITIQUE


Bensouda la procureur qui a décidé de mener l'enquête contre les soldats US était la ministre de la justice en Gambie de Yahya Jammeh, un dictateur qui avait imposé une République islamique s'attaquant aux droits humains les plus élémentaires.

Yahya Jammeh n'a pas seulement menacé de morts des défenseurs des droits de l'homme, il est responsable de la disparition de nombreux opposants politiques.

"Le , Yahya Jammeh menace de mort les défenseurs des droits de l'homme, lors d'un entretien à la télévision d'État, accusant ceux qui aideraient ces derniers de vouloir « déstabiliser le pays »23. Alors qu'elle en était membre depuis 1965, la Gambie annonce le 2 octobre 2013 son retrait du Commonwealth24, le pays refusant les injonctions du Royaume-Uni au sujet des droits de l'homme alors que le régime du président Jammeh se fait plus autoritaire25. En 2016, en réponse à la demande d'Amnesty International et de Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations unies, que soit ouverte une enquête sur la mort de l'opposant politique Solo Sandeng, Yahya Jammeh déclare26 : « Ban Ki-moon et Amnesty International peuvent aller en enfer ! Qui sont-ils pour exiger cela ? […] Où est le problème ? Des gens qui meurent en détention ou pendant un interrogatoire, c’est très commun. Personne ne me dira que faire dans mon pays »" Wikipédia

TRAVAILLER AUPRÈS DUN TYRAN EST UN BON CV POUR LA CPI QUI LA RECRUTE POUR JUGER LA VICTIME D UN COUP D'ÉTAT TERRORISTE FRANCEAFRIC GBAGBO


Travailler au service d'un tyran est un bon CV pour la CPI !

Au moins la Bourgeoisie esclavagiste avait l'assurance que Bensouda ne deviendrait jamais une lanceuse d'alerte et qu'elle allait participer à tous les complots et magouilles !

Ainsi Fatou Bensouda est nommée Procureur Générale de la Cour Pénale Internationale le 15 juin 2012, en plein procès contre Gbagbo.

Gbagbo le Président de Côte d'Ivoire élu par la population ivoirienne en 2010 avec 57,58% des suffrages a subi un coup d'Etat Franceàfric en avril 2011 parce qu'il ne refusait de laisser la totalité du port d'Abidjan à Bolloré.

La CPI était là pour légitimer le coup d'Etat.

L'article de Fanny Pigeaud a démontré que le complot mêlant la CPI aux dirigeants français Franceàfric a démarré bien avant que Gbagbo soit jugé.

#ICC #CPI : Ce ne sont pas la procureur Bensouda complice de Compaoré et les juges complices des terroristes de Côte d'Ivoire du Burkina

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Le discours de Bensouda hier pour juger El Béchir à la CPI pour ses crimes au Darfour est d'une hypocrisie complète.
« Il est désormais temps d’agir », a déclaré mercredi Fatou Bensouda devant les membres du Conseil de sécurité des Nations Unies.
Le Soudan connait depuis plusieurs mois des manifestations antigouvernementales. Ces dernières ont contraint le Président Omar el-Béchir à quitter le pouvoir le 11 avril dernier.
Consciente que le Soudan traverse actuellement une « période de transition politique incertaine », Mme Bensouda a dit ne pas sous-estimer la complexité et la fluidité des événements qui se déroulent dans ce pays d’Afrique de l’Est.
La Procureure estime cependant que « le temps est venu pour le peuple soudanais de choisir le droit au détriment de l'impunité et de veiller à ce que les suspects de la CPI dans la situation au Darfour soient finalement traduits en justice devant un tribunal ».
A l’instar du Conseil de sécurité, Mme Bensouda a demandé la cessation immédiate des violences à l’égard des civils au Soudan et demandé à ce que les responsables des crimes présumés répondent de leurs actes. « Il est impératif que les autorités soudanaises enquêtent rapidement et efficacement sur les allégations de violence à l'encontre de civils, y compris de violence sexuelle et sexiste, et que les responsables soient traduits en justice », a-t-elle dit.
Pour la Procureure, le Soudan « est maintenant à la croisée des chemins » et peut choisir d’entrer « dans un nouveau chapitre » de coopération avec son bureau et ainsi rendre des comptes pour les victimes du Darfour.
Mme Bensouda a rappelé que les cinq mandats d'arrêt de la CPI concernant la situation au Darfour restent en vigueur mais que les circonstances ont radicalement changé. « L'ancien statu quo est terminé », a-t-elle dit, rappelant qu’Omar el-Béchir a été déposé, arrêté, placé en détention et inculpé d'infractions nationales. Abdel Raheem Hussein et Ahmad Harun, deux autres suspects dans la situation au Darfour, seraient également détenus à Khartoum, a-t-elle indiqué.
Selon la Procureure, le Soudan reste légalement tenu de déférer ces suspects à la CPI pour y être jugés, à moins que les nouvelles autorités du pays puissent démontrer aux juges de La Haye qu’elles sont capables de véritablement les traduire en justice pour les mêmes affaires.
Conformément au principe fondamental de complémentarité inscrit dans le Statut de Rome, Mme Bensouda s’est dit prête à dialoguer avec les autorités soudanaises pour que les suspects du Darfour soient traduits en justice de manière indépendante et impartiale, soit devant la CPI à La Haye, soit devant un tribunal au Soudan.
Mais « le maintien de l’impunité n’est pas une option », a-t-elle prévenu, soulignant que les victimes du Darfour méritent d’être enfin entendues au tribunal. « Les victimes de la situation au Darfour attendent depuis trop longtemps que justice soit rendue », a dit la Procureure. « Nous ne devons pas les laisser tomber ». ONU info
Une hypocrisie complète car  cela  fait 10 ans que la CPI a lancé un mandat d'arrêt contre El Béchir !
10 ans sans qu'il soit jugé !
El Béchir serait "actuellement en fuite" pour la CPI (c'est ce qui est inscrit sur leur site)
Il vient pourtant d'être arrêté il y a quelques jours au Soudan par le régime militaire en place !



Quand il s'agissait de répondre aux intérêts des esclavagistes de la Franceàfric en arrêtant Gbagbo, cela n'a pas pris 10 ans !

Et maintenant que les Soudanais ont viré El Béchir par une révolution, la CPI s'inquiète ....
La CPI s'inquiète pour l'impérialisme qu'elle a pour fonction de défendre.
Car dans toute véritable révolution, la population s'organise pour créer une justice populaire.
Une justice du peuple.
Des juges accrédités par la population soudanaise jugeront El Béchir....



Mais ces juges accrédités par les Africains jugeront aussi Bensouda ....
C'est cela dont a peur Bensouda et tous les impérialistes esclavagistes.
C'est cela que cache le discours de Bensouda en faveur d'une justice contre les crimes d'El Béchir ....
C'est pour SABOTER la révolution et donc la justice humanocrate que Bensouda mets ses mains pleines de sang sur le Soudan




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