Pour chasser l'assassin de Sankara, pour chasser Blaise Compaoré, il était possible, samedi 31 mai, de former 1400 CDR !
Les CDR étaient le principal outil que le plus grand des Africains avait légué au peuple du Burkina Faso : des Comités de Défense de la Révolution – inspirés de l'héritage guévariste.
Mais l'opposition ne l'avait pas fait !
1400 CDR AU STADE DU 4 AOÛT 83
Telle aurait pu être la solution pour sortir le Burkina Faso de la crise, de la boue sanguinaire dans lequel plonge le pays Blaise Compaoré !
"Le RPD invite le peuple burkinabé à faire corps avec les nouvelles autorités pour l’atteinte de leurs objectifs. Le RPD pour sa part, reste disponible à accompagner les nouvelles autorités dans la sauvergarde et la restauration du territoire burkinabé."
Chaque 30-31 octobre depuis 8 ans, le bal des contre-révolutionnaires hypocrites anti CDR Sankara ! Traoré-Kyélem aussi cyniques que Damiba-Kaboré-Zida
Les révolutionnaires supersankaristes qui appelaient à la révolution Sankara dès janvier 2011 sont les mieux placés pour dénoncer Kyélem et Traoré. Car ils ont dénoncé les premiers Zida, Kaboré et toute la clique auxiliaire du MPP, les collabos saboteurs CAR et Balai Citoyen
Les révolutionnaires supersankaristes, 5 MOIS AVANT LA REVOLUTION du 30 octobre 2014 avaient appelé à reconstruire les CDR pour chasser Blaise Compaoré.
Nous en verrons le détail infra, mais voici résumé ce que nous donnions comme conseil le 1° juin 2014. Cinq mois avant le 30 octobre
Pour chasser l'assassin de Sankara, pour chasser Blaise Compaoré, il était possible, samedi 31 mai, de former 1400 CDR !
Ceci a été écrit le 1° juin 2014. Avant les tueries du régime CDP.
Nous rappelions l'héritage de Thomas Sankara.
Les CDR étaient le principal outil que le plus grand des Africains avait légué au peuple du Burkina Faso : des Comités de Défense de la Révolution – inspirés de l'héritage guévariste.
Mais l'opposition ne l'avait pas fait !
1400 CDR AU STADE DU 4 AOÛT 83
Telle aurait pu être la solution pour sortir le Burkina Faso de la crise, de la boue sanguinaire dans lequel plonge le pays Blaise Compaoré !
1400 CDR de base de 25 personnes auraient été le socle d'un gouvernement sankariste dès le mois de juin. Et cela sans envoyer aucun manifestant à la mort.
Nos recommandations du 1° juin 2014 continuaient
Rassembler 35 000 personnes sans les appeler à former 1400 groupes de 25 personnes est une absurdité formoise sans nom !
1400 DÉLÉGUÉS DE BASE
56 CONSEILS DE DÉLÉGUÉS = 56 DÉLÉGUÉS DE CONSEIL
1400 délégués de base auraient pu former 56 groupes de délégués de base sur la pelouse du stade du 4 août.
2 DÉLÉGUÉS DÉPUTÉS DU 4 AOÛT
Et ces délégués députés auraient été les premiers piliers pour former un groupe de 25 délégués députés habilités à désigner un délégué national, pour former un gouvernement du peuple
Ces recommandations, qu'en pensait Kyélem à l'époque ?
Rien ! L'imposteur anti-Sankara était trop occupé à donner des conseils à Blaise Compaoré : RESTER AU POUVOIR JUSQU'EN 2015
Voici ce que Kyélem le déserteur disait en mars 2014 à Touwendinda Zongo (MUTATIONS N°49)
Kyélem "....Pour moi, un peuple qui en est là à discuter pour savoir comment on va faire partir son président est un peuple mineur. Et ce peuple a ce qu’il mérite. S’il faut proposer des garanties pour quémander le départ du président, son successeur pourrait aussi en faire à sa tête car il héritera d’une jurisprudence.Touwendinda Zongo Mais que doit faire le président pour sa sortie de scène en 2015 ?Le régime a un programme. Le président a été élu en 2010 sur la base d’un programme. Il applique simplement son programme. A la fin de son mandat, il fera le bilan au peuple et il s’en va"
Pendant que les véritables sankaristes appelaient à reconstruire la révolution de 1983, les faux sankaristes donnaient des conseils - contre-révolutionnaires - à Blaise Compaoré.
Cérémonie d'hommage de Kyélem aux victimes de la révolution du 30 octobre 2014 et du coup d'Etat RSP raté de 2015 pour camoufler la nomination de 5 ex ministres d'un gouvernement assassin des 24 révolutionnaires de 2014.
Rendre hommage aux martyrs d'octobre 2014 c'est reconstruire les CDR Sankara !
Cette cérémonie d'hommage aux victimes de la révolution du 30 octobre 2014 et du coup d'Etat raté de 2015 qui a eu lieu hier vise à camoufler sa nomination de cinq ex ministre du gouvernement de celui qui a assassiné les 24 manifestants lors de la révolution volée de 2014.
🔴 Le Président de la Transition qui devrait présider ce 31 octobre 2022 la cérémonie d'hommage aux victimes de l'insurrection populaire de 2014 et du coup d'Etat de 2015 s'est fait représenter par le Premier ministre
— Burkina 24 (@burkina24) October 31, 2022
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Le coup d'Etat RSP de septembre 2015 a fait 11 morts
Le chef de l’éphémère Conseil national pour la démocratie avait affirmé le 23 septembre, peu après la cérémonie de réinstallation des autorités de transition : « Je n’ai pas peur d’affronter [la justice]. Je répondrai aux questions qu’on me posera. Je ne vais pas nier qu’il y a eu des morts. » Selon le bilan officiel, la répression des manifestations s’est soldée par la mort de 11 personnes et 271 ont été blessées. Le Monde
La révolution volée du 30 octobre 2014 avait subi 24 morts.
Selon un comité d’experts désigné par le Premier ministre Yacouba Isaac Zida, 24 personnes étaient mortes et 625 autres blessées dans les manifestations contre Compaoré du 30 octobre au 2 novembre 2014, sur l’ensemble du territoire burkinabè. Sur ces 24 morts, 19 avaient péri du fait de « complications de blessure par balle », « noyade », « asphyxie », ou « complications de traumatisme et de brûlure grave ». Les cinq autres étaient des prisonniers, qui sont morts à la prison de Ouagadougou, dont trois avaient tenté de s’évader. Toujours d’après ce comité d’experts, les 625 blessés présentaient des « lésions et des blessures par balle ou par objets tranchants, ou encore des troubles respiratoires après l’inhalation de gaz lacrymogènes ». Jeune Afrique
Au moment où la contestation grandit pour dénoncer les ex ministres de Damiba, Kyélem organise une cérémonie en hommage aux victimes de ceux qu'il a nommés pour gouverner le pays.
🔴 Ministres décriés : Un mouvement demande au Premier ministre « de ne pas faire de la résistance » Après un mois de...
Publiée par Burkina 24 sur Lundi 31 octobre 2022
Le gouvernement Damiba était un gouvernement de recyclage de collaborateurs de Blaise Compaoré.
Yéro Boly nommé par Damiba " Ministre d’Etat auprès du Président du Faso, chargé de la Cohésion sociale et de la réconciliation nationale" numéro 2 juste après le Premier Ministre avait déclaré dans l’émission Actu Hebdo sur RTB - Radiodiffusion Télévision du Burkina en 2020 :
« Je suis un fervent partisan du retour du président Compaoré et de tout le monde. Il n’y a pas de raison qu’on ait des enfants du Burkina dehors si on veut véritablement parler de réconciliation "
Damiba avait même recyclé à l'Assemblée Nationale le dernier Premier Ministre de Compaoré celui qui est directement responsable de l'assassinat des 24 manifestants, Luc Adolphe Tiao.
La justice leur reproche leur participation au conseil extraordinaire des ministres du 29 octobre 2014, alors que les mouvements de la société civile et de l’opposition manifestaient contre la modification de la Constitution. « Au cours de ce conseil des ministres, il a été décidé de prendre une réquisition complémentaire spéciale faisant appel à l’armée pour maintenir l’ordre avec usage d’armes à feu », avait expliqué le parquet en février. Jeune Afrique
TIAO L'ASSASSIN RECYCLE SUPPORTER D'IBRAHIM TRAORE
Mais l'assassin du 30 octobre Tiao au lieu de purger ses crimes en prison est devenu un fervent supporter d'Ibrahim Traoré
Le Secrétariat Permanent du Rassemblement Patriotique pour le Développement (RPD) s’est réuni le 10 octobre 2022 à Ouagadougou pour analyser la situation nationale au lendemain des changements politiques intervenus le 30 septembre 2022 à la tête de l’Etat. ()
Les membres du Secrétariat Permanent ont pris acte de la déclaration du 30 septembre 2022, signée du Capitaine Ibrahim TRAORE et ses compagnons de lutte, mettant fin au pouvoir du Lieutenant-Colonel Paul Henri Sandaogo DAMIBA.
Le RPD invite le peuple burkinabé à faire corps avec les nouvelles autorités pour l’atteinte de leurs objectifs. Le RPD pour sa part, reste disponible à accompagner les nouvelles autorités dans la sauvergarde et la restauration du territoire burkinabé.
Puisse Dieu, le Tout Puissant sauver le Burkina Faso.
RPD, s’unir pour Bâtir !
Pour le RPD
Le Président
Dr. Beyon Luc Adolphe TIAO
Ce gouvernement des putschistes MPSR Transition est le recyclage d'une bande de voyous COMPLICES de #Compaoré et #Kaboré ! Encore un gouvernement anti-CDR qui assassine à nouveau Sankara !!
Kyélem en gardant cinq des ministres du gouvernement Damiba Franceàfric, en recyclant - comme du linge sale plein de sang passé à la machine à laver - la clique Compaoré montre à la population qui voudrait s'insurger qu'il conserve comme alliés des pions Franceàfric pro Blaise Compaoré. Des pions serviles prêts à assassiner des manifestants et des opposants.
Ces compradores sont d'ailleurs déjà discrédités dans la population.
A commencer par le traitre syndicaliste Bassolma Bazié qui conserve son poste de ministre d'Etat, ministre de la Fonction publique, du travail et de la protection sociale,
Aminata Zerbo/Sabané Ministre de la Transition Digitale, des Postes et des Communications électroniques garde le même poste que sous Damiba.
Monsieur Robert Lucien Jean Claude Kargougou garde son poste au ministère de la santé et de l’Hygiène publique.
Olivia Ragnaghnewendé ROUAMBA Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération régionale sous Damiba est maintenant ministre d des Affaires Étrangères, de la Coopération Régionale et des Burkinabés de l’ExtérieurDe plus il y a un des trois ministres délégués qui garde son poste Karamoko Jean Marie Traoré le ministère délégué auprès du ministère des Affaires étrangères, de la coopération régionale et des Burkinabè de l’extérieur chargé de coopération régionale.
Le secrétaire général du gouvernement, Jacques Sosthène Dingara sous Damiba garde aussi son poste.
Burkina Faso : Nomination des ministres du gouvernement Kyélem Traoré "Du neuf avec du vieux" 23 gredins compradores dont 4 ex ministres de Damiba et 2 nouveaux ministres qui font scandale
Les 24 victimes de l'insurrection d'octobre 2014 sont les victimes d'une révolution volée.
Révolution volée par tous les anti CDR.
A commencer par le CAR annexe du MPP Franceàfric. Hervé Ouattara président du CAR demandait en pleine révolution au chef du RSP de faire un coup d'Etat. Il complotait avec les leaders du Balai Citoyens Sams'K Le Jah et Hervé Kam pour empêcher une prise de pouvoir par le peuple.
Nous avions cité cet extrait
Hervé Ouattara: "Au départ, nous avons voulu inciter Gilbert Diendiéré,lui-même, à perpétrer un coup d’Etat"."Hervé Ouattara: "On a discuté entre nous et finalement, c’est nous qui avons gagné. Sams’K Le Jah et Hervé Kam, qui sont arrivés plus tard, étaient dans la même logique que Smockey et moi. Finalement, nous avons dit à Zida de prendre ses responsabilités"
MERCREDI 3 DÉCEMBRE 2014
Voici le passage intégral où Hervé Ouattara démasquait l'hypocrisie de Smockey et de tous ces anti CDR contrerévolutionnaires (La source a été effacée mais elle avait été archivée ici)
J’ai l’habitude de dire aux gens que nous sommes tous comptables de ce qui est arrivé aujourd’hui. Le départ de Blaise Compaoré est le fruit de la lutte de tous les Burkinabè. S’il y a des gens qui peuvent vous dire comment Zida est venu, c’est bien nous ; et ce n’est pas pour nous vanter.Au départ, nous avons voulu inciter Gilbert Diendiéré, lui-même, à perpétrer un coup d’Etat. Mais il m’a dit que ça ne l’intéressait pas et qu’il ne voulait pas en entendre parler. Concernant Zida, c’est des situations politiques qui ont amené les gens où ils sont. Dans la nuit du 30, nous avons entamé des négociations avec des gens auxquels nous avons fait savoir que si l’armée devait prendre ses responsabilités, nous ne voulions pas d’Honoré Traoré, le chef d’état-major. Mais Zida lui-même nous a demandé si nous étions convaincus de ce que nous voulions. Nous nous sommes toujours assumés. Dans la salle, j’ai été le premier à dire à Zida, car je lui ai parlé la veille, de prendre ses responsabilités.La seule personne dans la salle qui a refusé cette option était Luc Marius Ibriga. Il m’a appelé de côté pour me dire que j’étais en train de jouer à un jeu dangereux. Je lui ai dit que ce qui m’intéressait à ce jour était que le président Compaoré quitte le pouvoir et que le reste on gèrerait. Peut-être que j’ai fait ça sur un coup de tête, mais je l’assume. Il a appelé Augustin Loada, puis Smockey. Hervé Kam n’était même pas encore là. Le Pr Ibriga nous a fait comprendre que lui était pour une transition civile et qu’il n’appartenait pas à la société civile d’amener des militaires au pouvoir. On a discuté entre nous et finalement, c’est nous qui avons gagné. Sams’K Le Jah et Hervé Kam, qui sont arrivés plus tard, étaient dans la même logique que Smockey et moi. Finalement, nous avons dit à Zida de prendre ses responsabilités, c’est pourquoi nous sommes revenus le lendemain l’accompagner à la place de la Nation pour son message. Il n’y a eu aucun deal. Maintenant le CAR accompagne la nouvelle dynamique qui veut que le pouvoir soit civil.
SMOCKEY OUATTARA SAMS'K LE JAH SABOTEURS
ANTI CDR SANKARA AU SERVICE DE L'IMPERIALISTE :
IL FALLAIT SAUVER LA CONSTITUTION DE BLAISE COMPAORE
DIMANCHE 1 JUIN 2014
Pour chasser l'assassin de Sankara, pour chasser Blaise Compaoré, il était possible, samedi 31 mai, de former 1400 CDR !
Les CDR étaient le principal outil que le plus grand des Africains avait légué au peuple du Burkina Faso : des Comités de Défense de la Révolution – inspirés de l'héritage guévariste.
Mais l'opposition ne l'avait pas fait !
On peut voir sur Wikipédia comment les colonialistes continuent à salir la mémoire de cet outil : les mêmes mots de "Coup d'Etat" que ceux utilisés contre la Révolution Malienne de mars 2012, les mêmes calomnies diffusées par les amis de la Franceàfric aveugles au génocide sanitaire qui tue 3 millions de bébés africains chaque année.
"Un nouveau coup d'État, le 4 août 1983, place Thomas Sankara à la présidence du Conseil national révolutionnaire. Il définit son programme comme anti-impérialiste, en particulier dans son « Discours d'orientation politique », écrit par Valère Somé. Son gouvernement retira aux chefs traditionnels les pouvoirs féodaux qu'ils continuaient d'exercer. Il créa les CDR (Comités de défense de la révolution), qui eurent toutefois tendance à se comporter en milice révolutionnaire faisant parfois régner une terreur peu conforme aux objectifs de lutte contre la corruption5."
1400 CDR AU STADE DU 4 AOÛT 83
Telle aurait pu être la solution pour sortir le Burkina Faso de la crise, de la boue sanguinaire dans lequel plonge le pays Blaise Compaoré !
Rassembler 35 000 personnes sans les appeler à former 1400 groupes de 25 personnes est une absurdité formoise sans nom !
1400 DÉLÉGUÉS DE BASE
Rassembler 35000 personnes sans leur demander de désigner 1400 délégués de base pour les représenter est une absurdité.
Imaginez 35 000 personnes dans les tribunes.
Au centre, sur la pelouse, ils sont (ils auraient été!) 1400 à s'y rendre....
Et à se grouper eux-mêmes par 25...
56 CONSEILS DE DÉLÉGUÉS = 56 DÉLÉGUÉS DE CONSEIL
1400 délégués de base auraient pu former 56 groupes de délégués de base sur la pelouse du stade du 4 août.
En effet les 1400 délégués de base désignés par le peuple des tribune auraient pu former 56 conseils sur la pelouse qui auraient pu désigner 56 délégués de conseil.
2 DÉLÉGUÉS DÉPUTÉS DU 4 AOÛT
Et ces délégués députés auraient été les premiers piliers pour former un groupe de 25 délégués députés habilités à désigner un délégué national, pour former un gouvernement du peuple
L'INNOVOISIE PSEUDO-REBELLE
Tout ce scénario, digne de Thomas Sankara, digne de la révolution burkinabé 1983-1987, ne s'est pas réalisé :
rappeur engagé Smockey. « Nous n’allons pas tolérer une seconde de plus cette forfaiture qui se prépare pour 2015. La lutte va continuer pendant les mois à venir jusqu’à cette date. Ensemble nous vaincrons car notre nombre est notre force », a-t-il déclaré. (source Burkina Faso: Un gigantesque meeting de l’opposition pour dire non à la modification constitutionnelle by Alain Serge on 31st-mai-2014)
Ce genre de baratin est du vent !
C'est aujourd'hui qu'il est possible de DEGAGER Compaoré !
Au jorud'hui qu'il est possible de construire un gouvernement révocable !
UNE FORMOISIE ET PROTO-FORMOISIE COMPRADORES DANS LE DROIT FIL DES ERREURS DE LA PETITE-BOURGEOISIE INTELLECTUELLE QUE DENONCAIT THOMAS
« Des responsables d’une trentaine de partis de l’opposition ont pris part au rassemblement. Ils sont mobilisés contre un éventuel référendum visant à modifier l’article 37 de la Constitution, qui limite à deux le nombre de mandats présidentiels et empêche pour l’instant Blaise Compaoré, d’être candidat en novembre 2015.Blaise Compaoré, a évoqué une éventuelle modification de la Constitution en décembre 2013 pour se représenter à la prochaine élection. » (source Burkina Faso: Un gigantesque meeting de l’opposition pour dire non à la modification constitutionnelle by Alain Serge on 31st-mai-2014)
COMPAORE DEGAGE
Se mobiliser pour « empêcher un référendum » est piteux. Ce n'est pas un « référendum » qu'il faut empêcher c'est tout le régime fasciste colonialiste !
Thomas Sankara se méfiait de ce qu'il appelait « le petite-bourgeoisie intellectuelle ». CITATIONS
C'est précisément cette classe sociale, la proto-formoisie compradore (qui consomme plus que le PIB du pays mais moins que le PIB mondial) et son alliée la formoisie compradore
PAS D'ALLIANCE AVEC CEUX QUI REFUSENT DE DÉGAGER COMPAORE
L'argument que certains avancent c'est de faire une alliance plus large. Une alliance incluant des partisans du régime mais qui refuseraient le référendum.
Ce type d'alliance est absurde. Il revient à protéger les privilégiés du régime.
Alors même que la seule et unique solution est de donner la priorité aux pauvres
LES TROIS PRIORITES DE THOMAS SANKARA : PAYSANS PAUVRES, JEUNES ET FEMMES
Ce n'est pas avec la petite bourgeoisie intellectuelle qu'il faut s'allier.
C'est avec le SOCLE DE L'AFRIQUE, le paysan pauvre qu'il faut organiser la chute du tyran.
Rendre hommage aux manifestants tués c'est former une armée Sankara de 80 000 militaires avec une armée Sankara de réserve VDP de 80 000 autres délégués sécurité.
Rendre hommage aux manifestants tués c'est reconstruire sauver le Burkina Faso et lui donner une impulsion révolutionnaire.
Rien d'autre
Pour que ces courageux ne soient pas morts pour rien.
Pour qu'ils ne soient pas morts pour donner le pouvoir à des putschistes compradores qui sont la roue de secours secrète de la clique compradore de Blaise Compaoré....
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