avec Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
18 février 2022
Il faut toujours se méfier des imposteurs aux discours pseudo rebelles qui n'appellent pas la population à construire des CDR Sankara et donc à se choisir ses représentants, ses délégués révocables.
S'ils ne veulent pas l'auto-organisation de la population, c'est qu'ils travaillent au service d'une classe sociale spoliatrice et des impérialistes (les classes sociales privilégiées en Afrique ont besoin de l'impérialisme pour conserver leurs privilèges).
""Je vais aller à l'école à Harvard à l'automne 2018 pour étudier les relations internationales", explique Ibrahima. "Et après cela, je retournerai probablement dans mon pays d'origine et j'essaierai de me présenter à la présidence à l'avenir
Quand on connait la répression qui frrappe les révolutionnaires anti-impérialistes nés et citoyens des pays d'Europe ou des USA on comprend que si Ibrahima était lui un ennemi de l'impérialisme, ça ne se passerait pas comme ça...
Quand on sait que les véritables sankaristes sont carrément interdits de s'inscrire en master en France, par exemple, le tapis rouge pour un pseudo opposant du régime burkinabè a l'odeur des tapis rouge de la CIA préparant leurs pantins Sauvons de rechange !
Un coup d'Etat sans aucun programme en faveur des pauvres et sans véritable mobilisation populaire est toujours manipulé par les impérialistes.
On commence à voir l'ombre des services secrets impérialistes dans ce putsch.
Le fondateur de l'organisation qui a appelé à une manifestation la veille du coup d'Etat le 22 février vivait tranquillement aux USA depuis bientôt huit ans tout en faisant de pseudo-révélations qui lui étaient évidemment transmises par les comploteurs militaires.
Ibrahima Maïga "Sauvons le Faso" : Une fausse mobilisation au service des impérialistes pour faire un coup d'Etat
Un militaire qui renverse un pouvoir civil SANS FAIRE une révolution est donc un CONTRE-REVOLUTIONNAIRE faisant une CONTRE-REVOLUTION préventive contre le peuple.
Il renverse un pouvoir vacillant en faisant une REVOLUTION DE PALAIS.
Le putschiste fasciste Damiba vient de l'avouer lui-même :
"L’œuvre de refondation portée par le MPSR ne s’inscrit pas dans une logique révolutionnaire. Elle est plutôt un projet de transformation positive profonde qui consiste à revenir aux fondamentaux. Retrouver nos valeurs et les replacer au centre de toutes nos actions, voici ce qui me semble être la base" (source)
Son putsch avait été préparé en coulisse avec deux gredins : Ibrahima Maiga un soutien de Kaboré devenu pseudo lanceur d'alerte, mais vrai manipulateur au service de l'armée et Abdoul Wahab Drabo un député compradore de la
clique de Saran Sérémé qui a cessé son soutien à Kaboré le 26 octobre 2021 - 26 octobre 2021 date du probable début du complot MPSR.
Voir deux civils accompagner les putschistes fascistes MPSR a été une sonnette d'alarme très puissante parmi les naïfs du Burkina Faso
"Cette présence d’Ibrahima Maïga à cette cérémonie solennelle est d’autant plus
remarquable qu’il était l’un des deux seuls civils, avec Abdoul Wahab Drabo, diplomate et ex député du PDC de Saran Sérémé, parmi les militaires encadrant le lieutenant-colonel Damiba en tant que membres du MPSR. Mais des deux, l’activiste est sans doute celui dont l’apparition fait le buzz sur les réseaux sociaux.Membre fondateur et président du mouvement « Sauvons le Burkina », Ibrahima Maïga avait contribué, par ses publications sur la situation sécuritaire, à la chute du régime de Roch Kaboré ; même s’il se défend d’être un des tombeurs du pouvoir du MPP. Le Faso
IBRAHIMA MAIGA FAUX LANCEUR D'ALERTE
VRAI COMPLOTEUR AU SERVICE DE L'IMPERIALISME
Ibrahima Maiga est le fondateur de "Sauvons le Faso" une des organisations ayant appelé à la manifestation du 22 janvier.
♦️♦️ Vie d'activiste : Qui est Ibrahima Maïga?
Une arrivée en héros, l'activiste Ibrahima Maiga est attendu demain 05...
Publiée par B-Médias sur Vendredi 4 février 2022
Ibrahima Maiga était présenté comme un lanceur d'alerte car il publiait des informations sur l'armée du Burkina. Il avait même prévenu de la mutinerie.
Maintenant qu'il est apparu à la cérémonie d'investiture au côté de Damiba, nombreux sont ceux qui en concluent que ces informations provenaient de ses amis militaires putschistes avec qui il préparait le coup d'Etat.
"Il faut non plus pas omettre que pour un individu ne résident pas sur le territoire burkinabè, ce dernier détenait à sa solde des informations combien précieuses. D’où des réactions spéculatives l’accusant d’avoir reçu les informations de l’actuel président. « FINALEMENT C’ETAIT DAMIBA QUI TE FILAIT LES INFOS TOP SECRETS. DIEU EST GRAND. TOUT VA FINIR PAR CE SAVOIR. COMMENT UN CHOMEUR AUX USA PEUT CONNAITRE CE QUI SE PASSE DANS TOUS LES RECOINS DU BURKINA ET N’ETANT PAS DU SERVICE DE RENSEIGNEMENT ? » ce sont ici présentés, les propos d’un internaute.
De même il faut constater que l’homme a été l’un des premiers à informer l’opinion nationale d’une mutinerie, la matinée du 23 janvier 2022. Toute chose qui peut porter à croire, qu’il en savait quelque chose !
« Fin de cérémonie ; place au travail »
Tels ont aussi été les premiers mots de l’homme posté sur son compte à l’issue de la cérémonie de prestation de serment du lieutenant colonel Damiba. Au-delà de ces mots l’activiste a été apercu sur l’une des images avec le nouveau président, où il était l’un des seuls civils au côté du président et de l’armée. Sur cette question, bien qu’affirmant n’avoir rien a voir avec l’arrivée du MPSR, il dit par ailleurs partager la vision du MPSR, raison de son adhésion. « je n’ai rien a voir avec l’arrivée du MPSR ; je partage la vision du MPSR, et j’ai adhéré » avait-il fait comprendre a certains médias.
Est-ce des yeux doux au MPSR? D’autant plus que toujours dans certains de ces postes, l’on voit l’homme qui fait la communication du lieutenant colonel Damiba. « Le début du renouveau ; c’est de ça qu’il s’agit. Sinon que c’est au front hein (…) » peut-on lire de ses postes sur des actions du président.
Alex SOME source
LA MANIFESTATION DU 22 JANVIER
FAIT PARTIE DU COMPLOT PUTCHISTE
Les groupes politiques dits de la "société civile" "sauvons le Faso" et "sauvons le Burkina Faso" appelaient à deux manifestations, l'une en soutien au Mali l'autre en soutien aux FDS la veille du coup d'Etat de Damiba le 22 janvier.
Deux manifestations prévues samedi 22 janvier au Burkina Faso, l’une en soutien au Mali,
l’autre contre l’insécurité dans ce pays frappé par les violences djihadistes, ont été interdites jeudi par la mairie de Ouagadougou, où un précédent rassemblement interdit en novembre 2021 avait donné lieu à des violences.La manifestation contre « l’incapacité » du pouvoir à empêcher les attaques djihadistes, à l’appel du mouvement de la société civile Sauvons le Burkina, a été interdite pour des « raisons de sécurité », indique dans un courrier le secrétaire général de la mairie de Ouagadougou, Christian Charles Rouamba.
Sauvons le Burkina avait été à l’origine, le 27 novembre 2021, d’une précédente manifestation, également interdite, qui avait fait une dizaine de blessés dans des heurts entre manifestants et forces de l’ordre.
Une autre manifestation en soutien au Mali visé par des sanctions renforcées de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao), a également été interdite pour des raisons de sécurité. Le Monde
La manifestation était organisée par plusieurs organisations de la société civile dont « Sauvons le Faso ». Ces OSC réclament aussi pour certaines, la démission du président Roch Marc Kaboré. source
LES ORGANISATEURS DE LA MANIFESTATION DU 22 JANVIER
CONTRE KABORE DEVIENNENT - LE LENDEMAIN -
LES PROPAGANDISTES DU PUTSCH DE DAMIBA
Ibrahima Maiga, ex faux lanceur d'alerte est devenu le porte parole officieux de Damiba :
Est-ce des yeux doux au MPSR? D’autant plus que toujours dans certains de ces postes, l’on voit l’homme qui fait la communication du lieutenant colonel Damiba. « Le début du renouveau ; c’est de ça qu’il s’agit. Sinon que c’est au front hein (…) » peut-on lire de ses postes sur des actions du président. Alex SOME Infowakat
Le secrétaire exécutif de "sauvons le Faso" Mamadou Drabo" fait lui aussi propagande du MPSR.
De la même façon, l'organisation "Sauvons le Burkina Faso" de Marcel Tankoana, Hervé Ouattara et Pascal Zaida soutient la junte.
IBRAHIMA MAIGA ET L'OMBRE DES SERVICES SECRETS IMPERIALISTES US
Un coup d'Etat sans aucun programme en faveur des pauvres et sans véritable mobilisation populaire est toujours manipulé par les impérialistes.
On commence à voir l'ombre des services secrets impérialistes dans ce putsch.
Le fondateur de l'organisation qui a appelé à une manifestation la veille du coup d'Etat le 22 février vivait tranquillement aux USA depuis bientôt huit ans tout en faisant de pseudo-révélations qui lui étaient évidemment transmises par les comploteurs militaires.
Ces gredins ont fait une révolution de palais pour MANIPULER LE PEUPLE et pour EMPÊCHER UNE RÉVOLUTION SANKARA AVEC DES CDR.
Il faut toujours se méfier des imposteurs aux discours pseudo rebelles qui n'appellent pas la population à construire des CDR Sankara et donc à se choisir ses représentants, ses délégués révocables.
S'ils ne veulent pas l'auto-organisation de la population, c'est qu'ils travaillent au service d'une classe sociale spoliatrice et des impérialistes (les classes sociales privilégiées en Afrique ont besoin de l'impérialisme pour conserver leurs privilèges).
Le fondateur de l'organisation "sauvons le Faso" vivait tranquillement aux USA, principal pays impérialiste mondial (il avait son entreprise, a fait des études, a reçu une distinction) depuis bientôt huit ans.
Il dénonce la mal gouvernance et la corruption qui sévissent sous le régime de Blaise Compaoré. Menacé, il obtient un asile politique aux États-Unis. Il s'inscrit à l'université de Cincinnati pour faire une sciences politiques et relation international et un Master en cyber sécurité à l'Université militaire de Norwich. Wikipédia
Nous savons qu'il vivait aux USA depuis 2014.
Il vit aux Etats-Unis, précisément dans la ville de St Cloud dans le Minnesota depuis maintenant deux ans. Directeur de publication du journal « Sahel Info », il s’est retrouvé au pays de « l’oncle Sam » parce qu’il estimait être menacé par l’ancien régime déchu de Blaise Compaoré. Aux USA, il étudie l’économie et travaille parallèlement dans son entreprise « Agribel Trading ». article du 24 aout 2016 Source
Est-il citoyen américain ? On peut le penser quand on lit la lettre de l'organisation "Brassards Noir" qui avait qualifié Ibrahima Maïga de "citoyen américain" quand elle avait protesté auprès de l'ambassadeur des USA.
"Dans la missive, ils demandent aux deux pays « d’interpeller leurs citoyens Aminata Sawadogo dit Aminata Rachow et Ibrahima Maïga » sur leurs agissements sur les réseaux sociaux qui sont de nature à « prôner l’apologie du terrorisme et l’insurrection » au Burkina Faso. Le Faso
Il n'était pas considéré comme un ennemi du plus grand pays impérialiste mondial qui ne lui cause aucun problème.
Il a même un article américain dithyrambique le concernant. Quand on connait la répression qui frrappe les révolutionnaires anti-impérialistes nés et citoyens des pays d'Europe ou des USA on comprend que si Ibrahima était lui un ennemi de l'impérialisme, ça ne se passerait pas comme ça...
Quand on sait que les véritables sankaristes sont carrément interdits de s'inscrire en master en France, par exemple, le tapis rouge pour un pseudo opposant du régime burkinabè a l'odeur des tapis rouge de la CIA préparant leurs pantins de rechange !
Maiga Ibrahima Cherishes Work as a Promise Fellow; Looks Forward to Future
Ibrahima Maiga se vantait même publiquement aux USA en 2017 de vouloir devenir "président" de son pays d'origine, donc du Burkina à l'avenir !!!!
Un pays impérialiste qui accueille si chaleureusement un Burkinabè dissident qui veut devenir président et lui permet de faire de hautes études, ne le fait pas sans arrières pensées....
““I will be going to school at Harvard in the fall of 2018 to study International Relations,” says Ibrahima. “And after that, I will probably go back to my home country and try to run for president in the future.” source
Traduction google translate
" ""Je vais aller à l'école à Harvard à l'automne 2018 pour étudier les relations internationales", explique Ibrahima. "Et après cela, je retournerai probablement dans mon pays d'origine et j'essaierai de me présenter à la présidence à l'avenir." google translate
Pourquoi avoir choisi les USA pour obtenir l'asile et pas un pays d'Afrique ?
Pourquoi Trump puis Biden ont-ils laissé un immigrant Burkinabè déclarant vouloir devenir "Président" appeler à l'insurrection dans son pays d'origine ?
Le journaliste Alex Some décrypte l'hypocrisie de Maiga faisant croire qu'il est revenu des USA pour "apporter sa pierre" au pays.
Au pays des hommes intègres, coup d’État rime avec retours des exilés politique. Hors du pays pour des raisons soit politiques ou personnelles, de nombreux Burkinabè ont choisi de « fuir » plutôt que d’affronter !
Tout récemment avec les évènements qu’à connu le Burkina Faso jusqu’à la monté du MPSR au pouvoir, et même partant, de l’investiture du lieutenant colonel Paul Henri Sandaogo Damiba, désormais « Président du Faso, l’on assiste non seulement au « bal des sorcières » avec les OSC, mais également à des retours au « bayiri » de façon spontanée !
Vous l’aurez bien compris, l’activiste politique burkinabè Ibrahima Maïga, est de retour au pays après s’être exilé durant quelques années au USA !
« Je viens apporter ma pierre pour la construction de la nation » tels furent les premiers mots de l’homme à son arrivée à l’aéroport international de Ouagadougou quelques jours après la prise du pouvoir par le MPSR. Des OSC et ses compères activistes y ont été pour l’accueillir.
Ce n’est pas un leurre que de porter tout haut ce questionnement de plus d’un ! Pourquoi avoir décidé de rentrer au pays pour « apporter sa pierre à la construction du pays » après ce coup d’État portant à la présidence du Faso, Paul Henri Damiba ?
C’est là une question assez fondée qui taraude l’esprit de nombreux Burkinabè. Alex SOME Infowakat
Pour Alex Some, Ibrahima Maiga est revenu des USA parce qu'il savait qu'il aurait surement un poste au pouvoir auprès de Damiba.
Son retour n’est pas fortuit. La grande attente fondée des détracteurs de Ibrahim Maïga sur les réseaux sociaux, c’est la liste future des membres du gouvernement de la transition. Sera-t-il contacté par le président Damiba ? La stratégie de Maïga porteront du fruit pour lui même et spécifiquement pour le Burkina Faso ?
Le temps donnera les réponses à tous ces questionnements !! Infowakat
COUP D'ETAT DU 23 JANVIER: LA REPONSE CONTRE REVOLUTIONNAIRE AUX PREMICES D'UNE REVOLUTION ANTI IMPERIALISTE DE JUILLET 2021
Le 3 juillet une grande manifestation de "milliers de personnes" contre Kaboré a lieu à Ouagadougou.
« Non à l’abandon des populations », « Non aux attaques sans fin », « Y-a-t-il encore un président au Burkina Faso ? » Des milliers de personnes ont marché samedi 3 juillet dans les rues de plusieurs villes du Burkina Faso, dont la capitale Ouagadougou, pour protester contre « l’aggravation » de la situation sécuritaire.
Ces manifestation, à laquelle avaient également appelé plusieurs organisations de la société civile, étaient les premières organisées par l’opposition depuis la réélection du président Roch Marc Christian Kaboré en 2020. Evoquant des cortèges qui se sont déployés « de Dori à Kampti, de Dedougou à Diebougou, de Ouagadougou à Diapaga », le chef de file de l’opposition, Eddie Komboïgo a salué une « mobilisation gigantesque à travers le pays malgré les appels au boycott par le pouvoir ». Le chef de l’Etat avait demandé aux organisateurs de « surseoir » aux marches de samedi. Le Monde
Suite à cette manifestation une coalition d'organisations politiques anti sankaristes anti délégués révocables se crée pour empêcher l'auto-organisation de la population. Elle s'appelle le MP3 Mouvement populaire du 3 juillet.
Mouvement du 3 juillet, suite à la manifestation, ont signé les organisations suivantes
"CED, M21, MPB, CPPU, MPRBC, ANC, CAIJ-BG, MJDD, JEK, MOEPP, MVIJ, CPAK, AFLG, ASDD, MP, PMR, AJD, MAJPU, JAE/BF, MCR, MCRN, CPAK,
MADEB
Les marches sont poursuivies durant le mois de juillet mais sans appel aux populations à former des CDR sans appel à désigner des délégués révocables.
Le 19 novembre, une marche importante avait lieu à Ouahigouya. La population criait sa colère contre l'incapacité de l'Etat à combattre le terrorisme.
Essentiellement composés de jeunes scolaires, de commerçants du secteur informel et de nombreuses personnes déplacées internes (PDI), les manifestants, venus des communes occupées du Yatenga (Barga, Koumbri, Kaîn, Tangaye), ont marqué leur ras-le-bol par rapport à la situation sécuritaire délétère, rapporte notre correspondant qui était sur le terrain ce vendredi 19 novembre 2021.
Au titre des revendications, les marcheurs exigent de l’Etat central, des moyens adéquats pour les forces de défense et de sécurisé et les volontaires pour la défense de la patrie. L’objectif étant de stopper l’avancée des groupes terroristes au Yatenga en particulier et au Nord en général. Lefaso.net
Ce sont des marches spontanées, des marches qui font peur aux impérialistes. Il leur fallait donc des jumeaux camoufleurs pour organiser la contre révolution.
On voit alors "sauvons le Faso" et "Sauvons le Burkina Faso" être médiatisés.
Une coalition d'organisations anti sankaristes anti CDR dont "sauvons le Burkina Faso" appelait à une manifestation le 27 novembre.
La « Coalition du 27 novembre » a invité ses « troupes » à une forte mobilisation pour la marche du 27 novembre prochain à Bobo-Dioulasso. L’annonce a été faite ce mercredi 24 novembre 2021, au cours d’une conférence de presse. Cette coalition regroupe en son sein trois mouvements à savoir , le mouvement G33 et le mouvement populaire sauvons le Burkina Faso source
Une manifestation où l'on pouvait voir un portrait de Gilbert Diendéré, le putschiste de 2015, ex chef d'Etat-major de Compaoré et co-organisateur de l'assassinat de Thomas Sankara.
Hervé Ouattara le saboteur de la révolution de 2014 qui avait contacté Gilbert Diendéré pour lui proposer de faire un coup d'Etat le 30 octobre 2014 est un des chefs de l'organisation "sauvons le Burkina faso".
Interrogé sur les aspects politiques au cours de son audition, le général Gilbert Diendéré a balayé du revers de la main, tout acte politique qui aurait influencé l’action du 16 septembre 2015.
Selon ses dires, la politique ne l’intéresse pas. A titre d’exemple, il a pris un cas : "Hervé Ouattara m’a demandé de faire un coup d’État le 30 octobre 2014", a-t-il confié Lefaso.net
Si Ibrahima Maïga n'était pas un comploteur contre révolutionnaire, il aurait demandé au peuple Burkinabé de lui donner accréditation
80 000 citoyens organisés en 3200 Grands CDR de Base de 125 donneraient leur nom comme ses 80 000 délégateurs.
Il parlerait et voterait en leur nom.
Sans ce soutien il n'est qu'un petit pion de la CIA dans un Putsch Fasciste compradore
Les véritables révolutionnaires, eux, étudient les failles de la révolution de 1993-87 pour les colmater et appeler le peuple Burkinabè à reconstruire des CDR améliorés
par Yanick Toutain
REVACTU
édité par Julie Amadis
16 février 2022
Pour désigner les 3200 Délégués Conseillers (DC de la révolution voltaïque, les 16 000 délégués DIC, les 16 000 Délégués Intermédiaires Conseillers, se grouperont par 5 EN FONCTION DE LEURS SPÉCIALITÉS
Chaque DIC devra se réunir avec quatre DIC sur sa même ligne.
Le délégué numéro 16 devra par exemple se grouper avec les délégués 17, 18 19 et 20.
On verra de la même façon un délégué sécurité civile pompier se réunir avec un délégué santé 11, un délégué justice 12, un délégué professeur de philosophie et biologie 14 et un délégué 15 chargé de l’agriculture
11 août 1983
C’est donc dans 8 jours que sera formé le gouvernement révolutionnaire provisoire, le Comité Exécutif de la Révolution Voltaique.
En effet, 5 commissaires nationaux désigneront l’un d’entre eux en tant que coordinateurs.
Le gouvernement de la Haute-Volta révolutionnaire seront donc ces 25 coordinateurs nationaux.
Chacun parlera, agira, votera au nom des 80 000 citoyens qui l’aura désigné et pourra le révoquer à tout moment.