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mardi 5 novembre 2019

Guinée #AlphaCondéDEGAGE 3 morts de plus par le pantin de Bolloré ! Total 15 morts URGENT : 100 000 délégués de base #1pour25 de CDR Sankara pour un gouvernement révolutionnaire #CNR Guinée

Par Julie Amadis
avec Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
05/11/2019









Lire aussi :

Guinée : 3 jeunes de plus tués par Alpha Condé : Abdoulrahim Diallo, Chérif Bah et Mamadouba Sylla

Marche du 24 octobre Alpha Condé dégage. Pour le virer il faut 100 000 CDR de base désignant 100 000 délégués de base révocables #1pour25 comme socle populaire d'un gouvernement provisoire révolutionnaire

 

Guinée  ! 3 morts de plus par le pantin de Bolloré ! Total 15 morts URGENT : 100 000 délégués de base #1pour25 de CDR Sankara pour un gouvernement révolutionnaire Guinée



Alpha Condé assassin !
C'est ce que criaient les Guinéens venus manifester hier lors de la "marche funèbre" des 11 opposants tués par Alpha Condé depuis le mouvement pour virer Alpha Condé commencé le 14 octobre.
Des centaines de Guinéens, parmi lesquels les proches et des personnalités de l’opposition, ont défilé à pied ou à moto dans le quartier de Bambeto derrière les cercueils drapés dans le drapeau national (rouge, jaune et vert) et portés à l’épaule. Du cortège s’élevaient les slogans « Justice pour les morts » et « Alpha assassin ».
Le Monde
Au total une quinzaine de manifestants ont été assassinés par Alpha Condé depuis le 14 octobre !
Une quinzaine de manifestants ont été tués depuis cette date selon l’opposition, des dizaines d’autres ont été blessés, des dizaines arrêtés et jugés. Un gendarme a également trouvé la mort.Le Monde
Mais même pendant une marche funèbre, le dictateur corrompu de Bolloré tue.
2 jeunes hommes ont été tués hier pendant cette marche !
Deux jeunes hommes sont morts lundi 4 novembre à Conakry, selon les autorités, quand une marche organisée par l’opposition derrière les cercueils de Guinéens tués lors de récentes manifestations a dégénéré en nouveaux affrontements violents avec les forces de l’ordre. Six autres participants à cette procession ont été blessés par les balles des forces de l’ordre, a annoncé l’opposition
Le Monde
Abdourahim Diallo, 17 ans a reçu une balle et en est mort hier.

Abdourahim Diallo, 17 ans, a été touché au ventre et a succombé à ses blessures à l'hôpital alors qu'il était venu "assister aux obsèques de son ami tué il y a deux semaines", a dit à l'AFP sa soeur Diariana. Selon elle, il a été tué par une arme à feu "à bout portant".TV5Monde

Et un enfant a été tué hier mais de lui les médiafric ne parle pas. Il n'était pas venu à cette marche mais a reçu une balle !

"Au moins trois morts ont été enregistrés dans la commune de Ratoma, dont le collégien
Mamadouba Sylla, 14 ans tué par Alpha Condé le 4 novembre 2019
Mamadouba Sylla. Il a été touché par balle au niveau du carrefour marché, au quartier Wanindara, par des agents à bord d’un pickup, avant de rendre l’âme à l’hôpital Ignace Dean, a appris un reporter que Guineematin.com a dépêché dans sa famille ce mardi."Guinée Matin
Mamadouba Sylla avait 14 ans !
Alpha Condé tue aussi des enfants innocents !
  Âgé de 14 ans et élève en classe de 7ème année, Mamadouba Sylla est originaire du village de Samounkiri, dans la sous-préfecture de Samayah (préfecture de Kindia), fait partie des trois victimes de l’attaque du cortège.Guinée Matin











 
Alpha Condé le corrompu notoire de Vincent Bolloré, n'a aucune limite dans l'inhumanité ....
Deux personnes sont mortes, mais le communiqué du ministère guinéen de la sécurité ne précise pas si elles ont été tuées par balle.
"Alpha Condé n’a pas voulu pas qu’il y ait un cortège à partir de l’hôpital Ignace Deen, il s’était même permis, à la grande surprise de tout le monde, d’extraire les corps de la morgue et de venir les jeter dans la cour de cet hôpital. Les corps que vous voyez, la plus part sont décomposés en raison des traitements inhumains qu’Alpha Condé leur a infligés", s’indigne Cellou Dalein Diallo, chef de file de l’opposition guinéenne avant la levée des corps à l’hôpital sino-guinéen.VOA


ALPHA CONDE DEGAGE
URGENT : 100 000 DELEGUES DE BASE #1POUR25 DE CDR SANKARA POUR UN GOUVERNEMENT REVOLUTIONNAIRE CNR GUINEE


L'urgence pour virer Alpha Condé le dictateur de la Franceàfric esclavagiste qui paie 50 euros par mois, c'est de reprendre le programme de Sankara et de refaire des CDR !

Pour virer Condé il faut plus de délégateurs choisissant leurs délégués révocables que d’électeurs d'Alpha Condé. Il faut  2,5 millions de délégateurs choisissant 100 000 délégués de base 1 pour 25 !



Les jeunes comme le préconisait Sankara doivent aussi avoir leurs représentants : 164 000 délégués de base de CDR jeunes
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COMPLEMENT
ARTICLE DE GUINEE MATIN :




Comme annoncé précédemment, la marche funèbre du FNDC a été émaillée de violences hier, lundi 04 novembre 2019, avec l’attaque du cortège par les forces de l’ordre. Au moins trois morts ont été enregistrés dans la commune de Ratoma, dont le collégien Mamadouba Sylla. Il a été touché par balle au niveau du carrefour marché, au quartier Wanindara, par des agents à bord d’un pickup, avant de rendre l’âme à l’hôpital Ignace Dean, a appris un reporter que Guineematin.com a dépêché dans sa famille ce mardi.



Mamadouba Sylla, tué hier à Wanindra
Le décompte macabre se poursuit au lendemain de l’attaque de la procession funèbre du FNDC qui partait ensevelir 11 victimes du projet de 3ème mandat du président Alpha Condé, tués elles-aussi par balle à la mi-octobre 2019. Âgé de 14 ans et élève en classe de 7ème année, Mamadouba Sylla est originaire du village de Samounkiri, dans la sous-préfecture de Samayah (préfecture de Kindia), fait partie des trois victimes de l’attaque du cortège.
Dans sa famille, domiciliée au quartier Wanindara, c’est la consternation qui prévaut ce mardi, 05 novembre 2019. La mère de ce benjamin de la famille est effondrée. Madame Sylla Maciré Soumah a expliqué comment elle a appris le décès de son garçon.



Madame Maciré Soumah, mère de feu Mamadouba Sylla
« On était assis ensemble à la maison quand il a déposé son sac, puis il est sorti. Cela n’a pas mis du temps, des jeunes sont venus frapper à ma porte pour m’informer que les forces l’ordre ont tiré sur mon fils au carrefour marché. J’ai dit pourquoi ? Ils ont dit « on ne sait pas ». Les enfants sont allés voir. A leur arrivée, ils ont trouvé qu’une ambulance est venue le chercher pour l’évacuer à l’hôpital de Donka. Malheureusement, il n y a avait pas de place à Donka, ils l’ont transféré à Ignace Deen. Un peu plus tard, on m’a appelé pour me dire qu’il est décédé. Ils lui ont tiré dessus au carrefour marché, à Wanindara. Il partait jouer au ballon quand les forces de l’ordre revenaient de l’enterrement à Bambéto. Ils tiraient à balles réelles en l’air. C’est ce qui a touché mon fils », a raconté la maman.
Maciré Soumah, effondrée et en larmes, s’en remet au bon Dieu et fait savoir que son fils n’était pas un manifestant. « On n’a rien à dire, à part nous en remettre au bon Dieu. Parce qu’on n’a aucune force, sauf regarder l’État. Il ne faisait pas partie des manifestants, on ne savait même pas qu’il y avait une marche hier ou que les gens sont sortis. Parce qu’il n’y avait aucun bruit ici hier. On a juste appris qu’il y avait un accrochage à Bambéto. Mais, c’était calme ici », a-t-elle fait savoir.



Fodé Sylla, oncle du défunt
Pour sa part, Fodé Sylla, oncle du défunt, s’est dit dépassé par ce drame d’autant plus que le père de feu Mamadouba Sylla a été tué dans les mêmes conditions en 2004. « C’est quelque chose qui n’est pas du tout facile à évoquer. L’enfant qui a été tué comme ça, c’était le seul et unique garçon de son père. Son père aussi est décédé comme ça. Mamadou Sylla n’a pas été à Bambéto pour le cortège funèbre. Ils étaient tous au salon. Il est sorti, mais 30 minutes après, ses amis sont venus en courant, nous alerter, qu’ils ont tiré sur lui. C’est ainsi que la famille est allée. Ils se sont croisés avec la Croix Rouge qui l’a transporté à l’hôpital où il a rendu l’âme. Ils lui ont tiré au niveau du front. Ils avaient dit qu’il était touché par les projectiles du gaz lacrymogène. C’est après diagnostic à l’hôpital qu’on nous a dit qu’il était touché par une balle réelle. Ce qui se passe aujourd’hui, c’est l’Etat qu’on accuse, c’est lui qui détient le pouvoir. Son père aussi a été tué comme ça en 2004 à Yattayah par les policiers. On avait demandé justice ; mais, jusqu’ici, rien », s’est-il lamenté.
Fatoumata Diouldé Diallo pour Guineematin.com

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