samedi 29 septembre 2018

Quand Bolloré tue, il paye 2 mois de SMIC à chaque victime #JeSuisEséka #Camrail #BolloréAssassin #BiyaDEGAGE #révolution #1pour25 #CNRC

Par Julie Amadis
avec Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
29/09/2018


Ces Camerounais n'auraient pas dû mourir. L'accident a eu lieu parce que Bolloré n'entretient pas ses trains pour faire encore plus d'argent. La sécurité des Camerounais,
il s'en fiche complètement.

« Pourquoi il n’y a que le conducteur du train qui a écopé de la prison ferme alors que tous les donneurs d’ordre ont pris de la prison avec sursis ? Nous, en tout cas, nous pensons que cela vient casser un minimum de joie que nous avions à la déclaration de culpabilité. On a bien vu qu'on a choisi un bouc émissaire. » propos de Guy Olivier Moteng (RFI)

Cette justice qui ne condamne aucun chef à de la prison ferme alors que
79 personnes sont mortes et plus de 600 blessés (nombreux sont les blessés invalides)
est une justice coloniale d'un territoire esclavagiste.
Pour qu'une véritable justice existe, il faut libérer ce territoire
de l'esclavage immobilier des patrons Franceàfric et USAfric.
La révolution anti esclavagiste triomphera bientôt et tous ces criminels à commencer par Bolloré et Biya seront jugés par des JDR Juges Délégués Révocables choisis par 80 000 Camerounais.
Ce sera le Nuremberg de l'Afrique ! Tous les criminels esclavagistes seront jugés !





79 personnes sont mortes à cause de la vétusté d'un train de Bolloré, le 21 octobre 2016 à Eseka, commune située entre Douala et Yaoundé.
Mercredi 26 septembre 2018, presque deux années près le drame, l'entreprise Camrail de Bolloré est jugée coupable d'"homicide involontaire" et d'"activités dangereuses".

Cameroon Railways (Camrail), entreprise contrôlée à hauteur de 77,4 % par le groupe français Bolloré, ainsi que onze de ses anciens et actuels employés sont reconnus coupables d’« homicide involontaire » et d’« activités dangereuses ». Trois prévenus sont en revanche acquittés  Le Monde


Ces Camerounais n'auraient pas dû mourir. L'accident a eu lieu parce que Bolloré n'entretient pas ses
trains pour faire encore plus d'argent. La sécurité des Camerounais, il s'en fiche complètement.

Bolloré, c'est le patron esclavagiste qui paie 50€/mois les salariés de ses plantations au Cameroun. Des salariés qui travaillent dans des conditions difficiles et dangereuses et risquent à tout moment un accident du travail pour un salaire qui ne leur permet pas de nourrir leur famille et encore moins de se soigner.

Esclavage : pas d'abolition pour Bolloré



JEAN MARC BIKIKO DÉMONTRAIT LA RESPONSABILITÉ ACCABLANTE DE BOLLORE DANS L'ACCIDENT : UN CRIME ESCLAVAGISTE


Jean-Marc Bikoko Président de la Centrale syndicale du secteur public, dénonçait la responsabilité criminelle écrasante de Bolloré dans cet accident.


De mon point de vue, la responsabilité de la compagnie Camrail et donc du Groupe Bollore Logistics, dans cette catastrophe, est entière. Elle se situe à trois niveaux. Sa première responsabilité réside dans la non modernisation des chemins de fer camerounais après la concession en 1999 et leur maintien dans les normes coloniales. (..) Sa deuxième responsabilité réside dans la vétusté et le mauvais état du matériel roulant dont la maintenance ne serait pas rigoureuse. Certaines sources évoquent à propos de cet accident « les freins du train qui auraient lâché ». Le conducteur du train aurait appelé la gare pour le signaler. Certains survivants parmi les passagers affirment d’ailleurs avoir été surpris de voir le train rouler subitement à vive allure y compris dans les virages, suite à de fortes odeurs de brûlé et des bruits bizarres. La troisième responsabilité réside dans la surcharge organisée par les responsables de Camrail qui, sous le prétexte de satisfaire la masse des passagers désemparés par la rupture de l’axe lourd Yaoundé-Douala et de permettre à plusieurs d’entre eux de rallier Douala, ont décidé de faire passer leur offre habituelle de 740 sièges à 1224 sièges le 21 octobre Revactu
LIRE :

Réquisitoire implacable contre l'assassin esclavagiste Bolloré par Jean-Marc Bikoko président de la Centrale syndicale du secteur public,


BOLLORE N'EST PAS CONDAMNE
SA SOCIÉTÉ CAMRAIL CONDAMNÉE A PAYER 2 MOIS DE SMIC A CHAQUE VICTIME ! UNE PEINE DÉRISOIRE

Malgré sa responsabilité écrasante dans l'accident, Bolloré n'est pas condamné.
Son entreprise seulement est condamnée. Une toute petite condamnation, 50 000 FCFA ce qui revient à 76 000 euros, à 2400 euros par victime, 2 SMIC français !

"La décision du tribunal a condamné l'entreprise ferroviaire Camrail, filiale locale du groupe Bolloré, à payer 50 millions de FCFA (76.000 euros) de réparations aux 60 victimes défendues par Me Guy-Olivier Moteng." VOA





Didier Vandenbon l'ancien directeur général de la société n'ira même pas en prison !
Et l'amende est dérisoire, 600 000 FCFA !
Seul le conducteur du bus Mathias Yedna a été condamné à de la prison ferme. Cinq ans d'emprisonnement.

L'avocat de 10 des victimes, 
Guy Olivier Moteng, dénonce le fait qu'aucun des dirigeants n'écope d'une peine de prison ferme !
« Pourquoi il n’y a que le conducteur du train qui a écopé de la prison ferme alors que tous les donneurs d’ordre ont pris de la prison avec sursis ? Nous, en tout cas, nous pensons que cela vient casser un minimum de joie que nous avions à la déclaration de culpabilité. On a bien vu qu'on a choisi un bouc émissaire. » propos de Guy Olivier Moteng (RFI)

Les victimes sont insatisfaites de ces condamnations minimes.

"Si les conseils des victimes se réjouissent de ces condamnations, ils se disent unanimement insatisfaits des indemnisations – même s’ils réclamaient des montants très différents, entre 2 et 152 milliards de francs CFA. « Nous pensons que ce juge a manqué de courage », maugrée Me Guy Olivier Moteng, quand son confrère Guy Alain Tougoua promet qu’il va « s’opposer à cette décision » afin d’obtenir « les 152 milliards que nous réclamons pour nos victimes ». Les avocats de Camrail ont quant à eux annoncé qu’ils allaient faire appel du jugement." Le Monde

BOLLORE, BIYA, DIDIER VANDENBON SERONT JUGES AU NUREMBERG DE L'AFRIQUE PAR DES JUGES DÉLÉGUÉS RÉVOCABLES 

Cette justice qui ne condamne aucun chef à de la prison ferme alors que 79 personnes sont mortes et plus de 600 blessés (nombreux sont les blessés invalides) est une justice coloniale d'un territoire esclavagiste.
Pour qu'une véritable justice existe, il faut libérer ce territoire de l'esclavage immobilier des patrons Franceàfric et USAfric.
La révolution anti esclavagiste triomphera bientôt et tous ces criminels à commencer par Bolloré et Biya seront jugés par des JDR Juges Délégués Révocables choisis par 80 000 Camerounais.
Ce sera le Nuremberg de l'Afrique ! Tous les criminels esclavagistes seront jugés !



Bolloré ne sera pas jugé uniquement pour la mort des 79 personnes morts et 600 blessés du Train à Eseka.
Il sera aussi jugé pour le crime sanitaire qu'il organise en payant des salaires de misère, 50€/mois.
Dans les territoires sous occupation militaire française, territoires où Bolloré paie des salaires vingt fois inférieurs aux salaires français, 5800 enfants de moins de 5 ans meurent chaque jour !
Ces bébés meurent pour que Bolloré puisse faire 80% de ces profits en Afrique !

Franceàfric : 5800 enfants de moins de 5 ans meurent chaque jour en Afrique subsaharienne






   Biya est un dictateur Franceàfric qui protège les esclavagistes comme Bolloré. Il l'autorise à payer des salaires de misère et à laisser les infrastructures de transports dans des conditions de dégradations telles que les accidents et les morts sont inévitables.



vendredi 28 septembre 2018

Togo : Gnassingbé assassine Anselme Sinandaré Guyano (12 ans en 2013), il tue en 2017 Abdoulaye Yacoubou 9 ans, Joseph Kokou Zoumekey, 13 ans, Agrigna Rachad, 15 ans et Macron l'invite à New York

Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
28/09/2018











Certains des jeunes tués par la dictature manifestaient pour un avenir meilleur : c'est le cas de Anselme Sinandaré Guyano en 2012, certains se trouvaient à proximité d'une manifestation des opposants et ont été tués par des tirs criminels de la police et de l'armée togolaises au service de la dictature Bolloré-Gnassingbé-Macron-Hollande-Sarkozy.
Tous sont victimes de l'Elysée, de l'armée française, de la DGSE et donc de la bourgeoisie esclavagiste mondiale alliée à la bancocratie impérialiste : la bankoslavoisie criminelle.
Il est donc logique que Macron invite à New York le psychopathe criminel Gnassingbé héritier d'une dictature vieille de 55 ans - une dictature commencée dans le sang ! Celui du président Sylvanus Olympio assassiné par Eyadéma Gnassingbé, le père de l'actuel dictateur, le criminel missionné par De Gaulle pour commettre le crime fondateur de cette dynastie esclavagiste Franceàfric


Le jour où la famille du petit Joseph Kokou Zoumekey, 13 ans, dévoile officiellement que l'autopsie de leur enfant mort démontre qu'il a été assassiné par les forces de l'ordre de Gnassingbé, il y a un an, dans une manifestation, Macron invite le dictateur à New York pour le One Planet Summitt.



25 SEPTEMBRE 2018 :

- LA FAMILLE DE JOSEPH KOKOU ZOUMEKEY 13 ANS RÉVÈLE QUE LEUR ENFANT A ÉTÉ ASSASSINE PAR GNASSINGBE DANS UNE MANIFESTATION

- MACRON INVITE GNASSINGBE A NEW YORK


Tout cela s'est passé le même jour le 25 septembre 2018 !
 Le 25 septembre, la famille de Joseph Kokou Zoumekey dévoilait officiellement le résultat de l'autopsie de leur garçon assassiné lors d'une manifestation le 18 octobre 2017.

Mardi 25 septembre, ses parents faisaient face à la presse pour dévoiler le résultat de l'autopsie et demander justice. RFI

Joseph Kokou Zoumekey a été tué lors d'une manifestation pour Gnassingbé dégage.
 Gnassingbé avait donner l'ordre de tuer.
Les forces de l'ordre étaient munis de matraques et d'armes à feu dans tout le pays.
Et Joseph Kokou Zoumekey a reçu des balles. Il en est mort.

Et Macron qui n'a pas dit un mot pour dénoncer ces assassinats, invite officiellement Faure Gnassingbé à un sommet le One Planet Summitt à New York.



JOSEPH KOKOU ZOUMEKEY 13 ANS MORT PAR BALLES LORS D'UNE MANIFESTATION POUR GNASSINGBE DÉGAGE LE 18 OCTOBRE 2017


Le petit Joseph était élève de 6ème, il ne participait pas à la manifestation. C'est en sortant pour aller chercher de la nourriture pour sa mère qui faisait la cuisine qu'il a été assassiné.

"Il était 10 heures ce 18 octobre 2017. La persistance des tires à balles réelles sur les manifestants à mains nues et la violence qu’exercent les forces de l’ordre et les militaires, appuyés par une milice que le gouvernement a dénommé "groupe d'autodéfense" sur la population, même ceux qui ne participent pas à ces manifestations, avaient amené les enseignants à libérer les élèves qui devraient aller se réfugier chez eux. Zoumekey Kokou Joseph était aussi rentré à la maison. Il était ressorti quelques instants après pour aller chercher des condiments pour sa maman qui s’affairait à la cuisine pour le déjeuner. Malheureusement, le petit garçon ne rentrera plus à la maison." Ici Lomé
La famille avait refusé que l'enfant soit enterré. Exigeant une autopsie et une enquête. Il a fallu qu'elle bataille pendant presque un an pour que l'autopsie et l'enquête aient lieu.

« Quand je suis allé voir mon fils, il avait du sang plein la poitrine, témoigne son père. On l’a couché. Il n’était plus vivant. "Mais que s’est-il passé ?" leur ai-je demandé. On m’a dit qu’il a été tué avant qu’on ne le rapporte et on m’a demandé d’aller enterrer la dépouille. "L’enterrer, mais pourquoi ?" ai-je demandé. "Je ne comprends pas. C’est mon fils qui est mort ! Je veux savoir ce qui s’est passé." Nous avons alors déposé le corps à la morgue. Ensuite, nous sommes allés déposer une plainte chez le procureur qui nous a promis de suivre le dossier. »

Le corps du petit Joseph Kokou Zoumekey est resté à la morgue jusqu'au 13 juillet, jour où le procureur a annoncé à sa famille le résultat de l'autopsie, selon lequel l'enfant présentait des lésions d'une mort violente par arme à feu. « Nous savons maintenant de quoi il est mort, déclare Hola, le grand frère de Joseph. Qu’est-ce que nous attendons ? Nous attendons la justice. » RFI

La famille va enterrer son enfant le 29 septembre à Lomé. Elle réclame que justice soit faite.

« Après presqu’un an de quête pour la vérité, nous irons enterrer notre enfant Zoumekey Kokou Joseph le samedi 29 septembre 2018, afin de pouvoir faire notre deuil. L’enterrement ne met cependant pas un terme à notre désir de justice et de vérité », précise la famille de la victime.

Pour les parents de Joseph, il ne s’agit pas désormais de venger leur fils. « Notre conscience et notre croyance nous l’interdisent fortement. Notre seul désir, le seul qui nous importe et qui nous anime est de contribuer ou d’aider d’une manière ou d’une autre à mettre fin à ce cycle infernal au Togo. Nous n’en pouvons plus », insiste la famille.

Elle demande au Procureur de la République de finir le travail qu’il a commencé afin que justice soit faite. La famille a témoigné sa gratitude à Amnesty International pour le travail abattu à ses côtés. Elle rend hommage à toutes les victimes des manifestations politiques depuis le 19 août 2017. « Nos messages de soutien et de condoléances aux familles éplorées », adresse-t-elle.

Ici Lomé

JOSEPH KOKOU ZOUMEKEY 13 ANS ASSASSINE DANS UNE MANIFESTATION "GNASSINGBE DÉGAGE" COMME AGNIGNA RACHAD 15 ANS,
COMME ABDOULAYE YACOUBOU 9 ANS 

C'est lors des deux premiers mois de la mobilisation pour Gnassingbé dégage que la répression a été la plus terrible. Officiellement 12 personnes ont été tuées par les forces de l'ordre, 100 personnes arrêtées et 28 condamnées.
Douze personnes, dont une majorité d'adolescents, ont ainsi été tuées en à peine deux mois. Amnesty International a également recensé l'arrestation de "plus de 100 manifestants, dont au moins 28 condamnés". France 24
 RFI parle d'un total de 10 personnes tuées pour l'ensemble de la mobilisation. Ce qui parait bien peu par rapport à la réalité. C'est moins que ce qu'annonçait France 24 en octobre 2017 !
Officiellement, dix personnes sont mortes, dont le petit Joseph Kokou Zoumekey, alors âgé de 13 ans.RFI


Le 18 octobre, le jour où Joseph Kokou Zoumekey est mort, la répression a été particulièrement féroce.

La tension reste vive au Togo. Au moins quatre personnes ont été tuées par balle, mercredi 18 octobre, au cours d'affrontements entre manifestants et forces de l'ordre dans les deux principales villes du Togo, où des marches contre le pouvoir prévues par l'opposition avaient été interdites.
D'autres jeunes sont morts de la répression des militaires de Gnassingbé. 3 jeunes au total sont morts à Mango.
France 24

Nous ne connaissons pas tous les noms des jeunes tués par Gnassingbé. Seul certains noms ont été médiatisés.

ABDOULAYE YACOUBOU 9 ANS EN 2017


Abdoulaye Yacoubou avait 9 ans lorsqu'il a été tué par balles par les forces de l'ordre de Gnassingbé à Mango.

"Lors de cette même journée fatidique du 20 septembre, un enfant de 9 ans a été lâchement tué à Mango. Il s’agit du petit Abdoulaye Yacoubou. Il devrait commencer la classe de CM1 cette rentrée scolaire. Mais apparemment Faure Gnassigbé et sa bande d’assassins avaient un autre plan pour lui : le priver d’une jeunesse et d’une vie d’adulte."27avril.com

Enterrement de Abdoulaye Yacoubou 9 ans tué par les forces de l'ordre de Gnassingbé

AGNIGNA RACHAD 15 ANS


Agnigna Rachad avait 15 ans. Il a reçu des balles lors d'une manifestation à laquelle il participait en septembre 2017 contre Gnassingbé. Il a agonisé deux jours et est mort.

"Cet adolescent, qui avait participé aux manifestations antigouvernementales à Bafilo

(centre-nord du Togo) et qui avait été transféré à l'hôpital de Sokodé, a succombé à ses blessures vendredi.
"Le garçon n'a pas survécu", a expliqué un employé de l'hôpital de Sokodé, deuxième ville du Togo. "Il a eu les organes perforés et il est décédé après l'opération", a-t-il dit sous couvert de l'anonymat. Le personnel de l'hôpital n'a pas souhaité indiquer si sa blessure avait été provoqué par une bombe de gaz lacrymogène, une balle de caoutchouc ou une balle réelle." VOA


Omertafric : Bolloré tue au Togo Agrigna Rachad élève de 3ème mort après 2 jours d'agonie














ANSELME SINANDARE GUYANO, 12 ANS ASSASSINE LORS D'UNE MANIFESTATION EN 2013




GNASSINGBE APPLIQUE LES VOLONTÉS DE MACRON ET BOLLORE AU TOGO

POUR DIVISER LES SALAIRES PAR 20, LA BOURGEOISIE ESCLAVAGISTE TUE DES JEUNES DE 9, 13 ET 15 ANS DANS LES MANIFESTATIONS


Rien d'étonnant à ce que le jour où le scandale des enfants assassinés dans les manifestations ressurgit, Macron invite Gnassingbé à New York.
Macron est le chef de Gnassingbé.
Si Gnassingbé est toujours au pouvoir malgré des manifestations monstres toutes les semaines pendant presque une année, c'est parce que la Franceàfric le soutient sans faille.
Pour diviser les salaires par 20 - le salaire moyen est de 45 dollars en 2018 - il faut une dictature sanguinaire. Donc pour la Franceàfric esclavagiste, Gnassingbé remplit bien son rôle et ils n'ont aucune intention de changer de dictateur.







Macron n'a cessé de mettre Gnassingbé en valeur afin de légitimer son poste de Président.




jeudi 27 septembre 2018

Un milliard d'euros de pouvoir d'achat volés aux pauvres pour les profits de Carrefour, Casino et Auchan ! "Arnaque enfumage" même le capitaliste ME Leclerc dénonce Macron Travert et leur loi Agriculture Alimentation qui vient d'être adoptée

Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
27/09/2018







Le projet de loi "agriculture et alimentation" qui va augmenter les prix de l'alimentation bas de gamme sans aider les agriculteurs vient d'être adopté.
Les Sénateurs l'avaient pourtant rejeté.


Le projet de loi Agriculture et Alimentation vient d'être adopté... faute de combattants. Il a été rejeté mardi par les sénateurs lors de sa seconde lecture. Comme il ne peut revenir à l'Assemblée, comme c'était prévu la semaine prochaine, dans l'état où elle l'a laissé la semaine dernière, le texte défendu par Stéphane Travert est adopté. Ouest France

Cette loi est la suite des Etats généraux de l'alimentation de Macron qui ont lieu entre aout et décembre 2017 et qui avaient été présentés comme la solution pour que les Français mangent mieux.
Alors qu'en fait l'objectif caché était d'augmenter les prix des produits bas de gamme de 10%.
Ce qui a pour conséquence directe d'empêcher les plus pauvres en France de manger à leur faim et convenablement !
J'avais écrit cet article à la fin des "Etats généraux de l'alimentation" de Macron :

Moins d'APL, bouffe plus chère ! Il faut que quelqu'un paye les avions de Macron et d' Edouard Philippe

Aujourd'hui Michel Edouard Leclerc, propriétaire des supermarchés Leclerc, homme parmi les plus riches en France, met du point sur la table pour dénoncer la gigantesque magouille entre ses concurrents Casino, Carrefour, Auchan et Macron.
Une magouille qui vise à augmenter les prix de l'alimentation et celles des gros capitalistes que sont les patrons de  Carrefour, Casino et Auchan !

« C’est de l’enfumage ! », fulmine Michel-Edouard Leclerc. Le patron du plus grand réseau français de distribution y voit une manipulation pilotée par des multinationales de l’agroalimentaire et certains de ses concurrents


LE CAPITALISTE MICHEL ÉDOUARD LECLERC DÉNONCE LE PROJET DE LOI AGRICULTURE ET ALIMENTATION DE MACRON ET TRAVERT


Le capitaliste Michel Edouard Leclerc dénonce ses concurrents.
Pourquoi ?
Parce que ceux ci ont conclu un pacte avec Macron : - augmenter les prix des produits alimentaires de manière importante en magouillant sur la législation de "seuil de revente à perte (SRP)".
Les distributeurs dans le projet de loi agriculture et alimentation devront revendre les produits au minimum 10% plus cher que le montant qu'ils les ont achetés.
Fini les promotions.
Fini les petits prix des produits bas de gamme.
Ce sont tous les produits qu'achètent les pauvres qui ont des difficultés à se nourrir (d'autant plus que le RSA a baissé relativement à l'inflation) qui sont touchés !
Michel Edouard Leclerc  est connu pour avoir une politique du prix bas. Il est reconnu et critiqué pour batailler avec les fournisseurs pour permettre les prix le plus attractifs possibles.

"Les adhérents continuent à suivre à la lettre les tables de la loi. Premier commandement : le prix bas. Pour entrer dans le mouvement, il faut signer une charte et s'engager à vendre aux tarifs les moins chers du marché, au minimum 2,5% en dessous de la moyenne nationale. Le dogme érigé par "Edouard" n'a pas changé ; mais la méthode s'est industrialisée." L'Obs

Devoir augmenter de 10% le prix de certains produits va à l'encontre de l'image de la marque Leclerc.
Donc son patron s'insurge.
Michel Edouard Leclerc n'est pas un humanitaire ni un humaniste, loin de là. C'est un gros capitaliste qui fait d'énorme bénéfices.
Mais il arrive parfois, que pour des raisons strictement commerciales, un capitaliste dénonce une vérité dont les principales victimes sont les pauvres.

Et là, il nous révèle le pot aux roses de l’énorme magouille que Macron a essayé de nous faire avaler. Augmenter les prix de l'alimentation ,arroser ses copains de Casino Auchan et Carrefour en faisant passer cela pour un plan d'aide aux agriculteurs, ce qui absolument faux puisque la grande majorité des produits qui vont augmenter ne sont pas des produits issus de l'agriculture française et que nulle part en Afrique, en Asie et en Amérique on a entendu parler d'augmentation des revenus des agriculteurs grâce à la loi agriculture et alimentation de Macron !
1 milliard vont donc atterrir dans les poches des actionnaires des gros distributeurs !

Pourquoi êtes-vous opposé à la hausse des prix au profit des agriculteurs ?
MICHEL-EDOUARD LECLERC. Je ne suis pas, contrairement à ce que dit Monsieur Travert (NDLR : le ministre de l’Agriculture), contre l’augmentation des prix dans l’agriculture. Je suis pour relâcher la pression sur les prix des produits agricoles comme le lait et la viande. Je suis favorable à ce que l’on se mette d’accord avec les pouvoirs publics pour acheter plus cher, sur la base d’accords avec les professions qui tiennent compte des coûts sociaux de production.
Pourquoi alors être contre le relèvement de 10 % des seuils de revente à perte ?
C’est une arnaque, de l’enfumage, ce truc-là ! Il n’y a pas de lien avec le revenu des agriculteurs. Dans les hypermarchés, cette hausse des prix touchera de 3 000 à 3 700 articles qui augmenteront de 1 à 10 %. Cette disposition va donc porter sur les grands produits d’appels qui ne sont pas des produits agricoles comme le Coca-Cola, le Nescafé, le Nutella etc. Nous avons fait les calculs : c’est une ponction d’un milliard d’euros sur le pouvoir d’achat des consommateurs. Tout ça va se faire par ordonnance. Le Premier ministre nous a convoqués vendredi pour nous en parler.
Et, selon vous, les agriculteurs ne profiteront pas de cette rémunération supplémentaire ?
L’augmentation des prix va toucher par exemple des barres chocolatées de la marque Mars, alors que l’on ne produit pas de chocolat en France ou, les eaux Evian et Vittel qui ne sont pas des produits de l’agriculture. Autre exemple, prenez le jambon Herta. La moitié de cette charcuterie n’est pas fabriquée en France. Je pose la question : comment cette augmentation de marge va-t-elle revenir aux agriculteurs français, par quels mécanismes, par quels engagements ? Le gouvernement et les députés sont incapables de l’expliquer car c’est inexplicable. J’ai du mal à croire que les actionnaires de Nestlé, vont, depuis Vevey (NDLR : siège suisse du géant de l’agroalimentaire), se mettre d’accord pour, renoncer à transformer cette marge supplémentaire en dividende et faire ruisseler tout ça vers les éleveurs finistériens !
Alors à qui profitera de cette hausse des prix ?
Tous les professionnels le savent : cette demande a été faite par certains distributeurs et industriels avant les Etats généraux de l’alimentation. Elle a été soutenue par la fédération du commerce et de la distribution (FCD) qui regroupe Casino, Carrefour et Auchan. En revanche, Lidl, Leclerc et Intermarché n’y participent pas. Cette demande a ensuite été transformée, par un coup de baguette magique, en mesure favorisant le revenu des agriculteurs. Ils ont fait avaler ça aux députés mais c’est juste une manière de venir au secours de Carrefour et de Casino. Dans la réalité, ce qu’ils veulent c’est obliger les distributeurs les moins chers à relever leurs prix. En gros, ils voudraient que Leclerc vende au prix de Carrefour. Le Parisien

HAUSSE DES PRIX DE L'ALIMENTATION : UNE ATTAQUE DE PLUS CONTRE LES PAUVRES EN FRANCE
MACRON APPLIQUE LE PLAN JP MORGAN DE 2013 : AMENER LES PAUVRES D'EUROPE AU NIVEAU DE VIE DE L'AFRIQUE DU NORD



Pour amener les pauvres d'Europe au niveau de la Tunisie, le but du plan JPMorgan 2013, il y a deux procédés :
- diminuer les revenus
- augmenter les prix
La diminution des revenus a commencé par la perte de tous les statuts protecteurs et la création de nouveaux statuts aux droits inférieurs - RMI devenu RSA, et toutes ses variantes, ASS, Revenu Minimum Vieillesse, Allocation Adulte Handicapé avec toutes les mesures de chantage pour priver les gens bénéficiaires de ce revenu prétendument protecteur.
On assiste maintenant sous le prétexte hypocrite d'augmenter les revenus des agriculteurs? au braquage d'un milliard d'euros des proches des plus pauvres.

Ce braquage je le dénonçais déjà en décembre 2017.
Extrait de mon article de décembre 2017 écrit à la fin des "Etats généraux de l'alimentation".

Moins d'APL, bouffe plus chère ! Il faut que quelqu'un paye les avions de Macron et d' Edouard Philippe



Avant même l'adoption de la loi "agriculture et alimentation" qui va augmenter les prix de 10%, les prix avaient déjà augmenté de 2,5% à cause principalement de la hausse de l’énergie.

Sur un an, les prix à la consommation ont augmenté de 2,3 %. La cause est notamment la hausse du prix de l'énergie et des produits alimentaire et des cigarettes.
Les prix à la consommation ont augmenté de 2,3 % sur un an en France au mois d'août, soutenus par l'énergie et l'alimentation, selon une estimation provisoire publiée vendredi par l'Insee. Sur un an, le rythme de l'inflation est le même que celui du mois de juillet, mais sur un mois, les prix se sont redressés de 0,5 % en août, après une baisse de 0,1 % enregistrée le mois précédent, précise l'Institut national des statistiques.

La hausse des prix va se poursuivre et largement s'aggraver avec cette loi.

Et dans le même temps l'APL baisse et le RSA aussi (relativement à l'inflation).

Après des menaces de mort téléphoniques, le journaliste indépendant camerounais Lionel Massogui Mayi victime d'un cambriolage politique en son absence (un article Agora-mag.net par Arnaud Kévin Ngano)

par Julie Amadis

27/9/2018


Après des menaces de mort téléphoniques, le journaliste camerounais Lionel Massogui Mayi victime d'un cambriolage politique en son absence (un article Agora-mag.net par Arnaud Kévin Ngano) 

Ce journaliste victime de vols et de menaces est un de mes amis Facebook, un des rares journalistes à me soutenir au Cameroun.
C'est lui qui avait tenté de dénicher un avocat honnête en France pour lutter contre la saisie illégale de mon revenu par Bruno Lemaire - qui visiblement crache sur la Cour de Cassation et les rappels à la loi.
Le lecteur de l'article d'Arnaud Kévin Ngano constatera qu'un voleur qui "oublie" l'argent mais vole des documents, des photos et le dossier médical ressemble davantage à un milicien Franceàfric qu'à un délinquant ordinaire



Si ce cousin Massogui Mayi Lionel,adoptait l'analyse humanocrate de l'avenir de l'Afrique, il comprendrait que la seule riposte possible à un tel cambriolage politique,
à de telles menaces de morts politiques est exactement la même que dans le cas de résistants interpellés, placés en garde à vue, condamnés, emprisonnés.

Dans ces cas, la riposte pour toute incarcération de militant est la formation immédiate d'un mini-conseil CDR de 4 personnes, 4 adjoints statutaires donnant l'accréditation à la victime d'incarcération en tant que DIB immédiatement.
(...)
Si le cousin Massogui Mayi Lionel veut réellement inquiéter ceux qui tentent de le terroriser il faut une riposte à la hauteur  et donc une riposte CDR
(...)avec cette organisation, la mafia Biya et ses gangsters politiques comprendront que toute avancée dans la répression donne l'occasion d'une avancée plus que proportionnelle vers la construction de l'humanocratie au Cameroun demain et dans toute l'Afrique après-demain.




Après des menaces de mort téléphoniques, le journaliste camerounais Lionel Massogui Mayi victime d'un cambriolage politique en son absence (un article Agora-mag.net par Arnaud Kévin Ngano) 
Ce journaliste victime de vols et de menaces est un de mes amis Facebook, un des rares journalistes à me soutenir au Cameroun.
C'est lui qui avait tenté de dénicher un avocat honnête en France pour lutter contre la saisie illégale de mon revenu par Bruno Lemaire - qui visiblement crache sur la Cour de Cassation et les rappels à la loi.
Le lecteur de l'article d'
Arnaud Kévin Ngano constatera qu'un voleur qui "oublie" l'argent mais vole des documents, des photos et le dossier médical ressemble davantage à un milicien Franceàfric qu'à un délinquant ordinaire.





Si ce cousin Massogui Mayi Lionel,adoptait l'analyse humanocrate de l'avenir de l'Afrique, il comprendrait que la seule riposte possible à un tel cambriolage politique, à de telles menaces de morts politiques est exactement la même que dans le cas de résistants interpellés, placés en garde à vue, condamnés, emprisonnés.
Dans ces cas, la riposte pour toute incarcération de militant est la formation immédiate d'un mini-conseil CDR de 4 personnes, 4 adjoints statutaires donnant l'accréditation à la victime d'incarcération en tant que DIB immédiatement.
Ainsi on a deux résultats immédiats : la rupture de l'isolement de la victime de la dictature, et instantanément le coeur d'un comité de popularisation de cette répression.
Puis le recrutement de 20 activistes supplémentaires pour former un CDR élargi le socle et donne le statut de délégué de base à celui qui est victime de la Franceàfric USAfric.
Le cousin Massogui Mayi Lionel, s'il n'avait pas de telles illusions électoralistes aurait renoncé à son absurde campagne pour la présence de téléphone dans les bureaux électoraux de Biya, et il aurait fait d'une pierre deux coups : appeler à boycotter toutes sortes d'élections et commencé à faire ce que Mboua Massock n'a jamais fait depuis le 23 février 2011 : former un CDR
Son exemple serait contagieux sur André Blaise Essama, qui, malgré son appel à le désigner délégué révocable fait sur son compte facebook il y a plusieurs années.
Si le cousin Massogui Mayi Lionel veut réellement inquiéter ceux qui tentent de le terroriser il faut une riposte à la hauteur  et donc une riposte CDR
Il doit se fixer comme objectif à court terme la formation de 25 CDR de base et donc le soutien de 625 (25*25) délégateurs : avec cette organisation, la mafia Biya et ses gangsters politiques comprendront que toute avancée dans la répression donne l'occasion d'une avancée plus que proportionnelle vers la construction de l'humanocratie au Cameroun demain et dans toute l'Afrique après-demain.




Cameroun-Journaliste en danger : Lionel Massogui Mayi échappe de justesse à la mort

Le journaliste indépendant a été victime d’une attaque, le mardi 25 septembre 2018 aux environs de 2 heures du matin.
Documents et vêtements éparpillés dans la chambre, tiroirs ouverts, tout est jeté en désordre chez le journaliste « freelance »  Lionel Mayi, lorsqu’on arrive chez lui au petit matin. Son appartement au quartier Etoug Ebe, lieudit « Centre des Handicapés » a été visité par des présumés bandits, qui l’ont heureusement raté. L’historien du présent était avec des amis, après une dure et longue journée de travail.
Les agresseurs, qu’il qualifie d’assassins, ont emportés sa bouteille à gaz, des documents importants, et quelques billets de banque. « Ils voulaient m’assassiner. Ils ont cassé ma porte et ont emporté mes documents. C’est une chance  qu’ils ne m’aient pas trouvé à la maison », précise-t-il, en grelottant de peur. Lionel affirme également que plusieurs fois avant le cambriolage, il a reçu des appels téléphoniques anonymes. Ses interlocuteurs, le menaçaient de mort.
Pour l‘instant, il est en bonne santé, même s’il semble être moralement affaibli. Il a comme la règle l’exige, déposé une plainte contre inconnu, dans une brigade de la ville. Les enquêtes ont ainsi été ouvertes.
Cependant ce cambriolage du domicile de Lionel Massogui Mayi, n’est pas une première au Cameroun. Plusieurs journalistes en ont été victimes par le passé, certains ont même été tués par leurs agresseurs (  le feu Piero  Titjoko en service à Radio star, à Bafoussam par exemple, assassiné par des inconnus alors qu’il dormait chez lui…). Récemment, le 28 juillet 2018 précisément, des hors la loi bien armés, se sont rendu chez Jean Jacques Ze, Rédacteur en Chef de la chaine de télévision vision 4 à Yaoundé, qu’ils ont tenu à respect, pour semer le trouble avant de partir avec un ordinateur portable, téléphones mobiles, bijoux et bien d’autres objets.



 DES MEDIAS CAMEROUNAIS ANGLOPHONES
 RELAIENT AUSSI CETTE INFORMATION





Bandits Attack Critical Independent Journalist in yaounde



Massogui Mayi Lionel, an independent journalist was victim of a burglary attack early Tuesday September 25.
The unknown bandits attacked his Yaounde residence around Centre des Andicapés at 2:00am in his absence, took away money and other important documents.

« They were after my life…they broke my door and took away my documents, pictures and money…l am lucky I was not home, » Massogui Mayi Lionel wrote on his Facebook page after the shocking discovery.
The freelance journalist is in good health but worried about his safety.
He said the attack in his home came after he received several threats from anonymous sources.
He has notified the police pending investigations.