jeudi 27 septembre 2018

Après des menaces de mort téléphoniques, le journaliste indépendant camerounais Lionel Massogui Mayi victime d'un cambriolage politique en son absence (un article Agora-mag.net par Arnaud Kévin Ngano)

par Julie Amadis

27/9/2018


Après des menaces de mort téléphoniques, le journaliste camerounais Lionel Massogui Mayi victime d'un cambriolage politique en son absence (un article Agora-mag.net par Arnaud Kévin Ngano) 

Ce journaliste victime de vols et de menaces est un de mes amis Facebook, un des rares journalistes à me soutenir au Cameroun.
C'est lui qui avait tenté de dénicher un avocat honnête en France pour lutter contre la saisie illégale de mon revenu par Bruno Lemaire - qui visiblement crache sur la Cour de Cassation et les rappels à la loi.
Le lecteur de l'article d'Arnaud Kévin Ngano constatera qu'un voleur qui "oublie" l'argent mais vole des documents, des photos et le dossier médical ressemble davantage à un milicien Franceàfric qu'à un délinquant ordinaire



Si ce cousin Massogui Mayi Lionel,adoptait l'analyse humanocrate de l'avenir de l'Afrique, il comprendrait que la seule riposte possible à un tel cambriolage politique,
à de telles menaces de morts politiques est exactement la même que dans le cas de résistants interpellés, placés en garde à vue, condamnés, emprisonnés.

Dans ces cas, la riposte pour toute incarcération de militant est la formation immédiate d'un mini-conseil CDR de 4 personnes, 4 adjoints statutaires donnant l'accréditation à la victime d'incarcération en tant que DIB immédiatement.
(...)
Si le cousin Massogui Mayi Lionel veut réellement inquiéter ceux qui tentent de le terroriser il faut une riposte à la hauteur  et donc une riposte CDR
(...)avec cette organisation, la mafia Biya et ses gangsters politiques comprendront que toute avancée dans la répression donne l'occasion d'une avancée plus que proportionnelle vers la construction de l'humanocratie au Cameroun demain et dans toute l'Afrique après-demain.




Après des menaces de mort téléphoniques, le journaliste camerounais Lionel Massogui Mayi victime d'un cambriolage politique en son absence (un article Agora-mag.net par Arnaud Kévin Ngano) 
Ce journaliste victime de vols et de menaces est un de mes amis Facebook, un des rares journalistes à me soutenir au Cameroun.
C'est lui qui avait tenté de dénicher un avocat honnête en France pour lutter contre la saisie illégale de mon revenu par Bruno Lemaire - qui visiblement crache sur la Cour de Cassation et les rappels à la loi.
Le lecteur de l'article d'
Arnaud Kévin Ngano constatera qu'un voleur qui "oublie" l'argent mais vole des documents, des photos et le dossier médical ressemble davantage à un milicien Franceàfric qu'à un délinquant ordinaire.





Si ce cousin Massogui Mayi Lionel,adoptait l'analyse humanocrate de l'avenir de l'Afrique, il comprendrait que la seule riposte possible à un tel cambriolage politique, à de telles menaces de morts politiques est exactement la même que dans le cas de résistants interpellés, placés en garde à vue, condamnés, emprisonnés.
Dans ces cas, la riposte pour toute incarcération de militant est la formation immédiate d'un mini-conseil CDR de 4 personnes, 4 adjoints statutaires donnant l'accréditation à la victime d'incarcération en tant que DIB immédiatement.
Ainsi on a deux résultats immédiats : la rupture de l'isolement de la victime de la dictature, et instantanément le coeur d'un comité de popularisation de cette répression.
Puis le recrutement de 20 activistes supplémentaires pour former un CDR élargi le socle et donne le statut de délégué de base à celui qui est victime de la Franceàfric USAfric.
Le cousin Massogui Mayi Lionel, s'il n'avait pas de telles illusions électoralistes aurait renoncé à son absurde campagne pour la présence de téléphone dans les bureaux électoraux de Biya, et il aurait fait d'une pierre deux coups : appeler à boycotter toutes sortes d'élections et commencé à faire ce que Mboua Massock n'a jamais fait depuis le 23 février 2011 : former un CDR
Son exemple serait contagieux sur André Blaise Essama, qui, malgré son appel à le désigner délégué révocable fait sur son compte facebook il y a plusieurs années.
Si le cousin Massogui Mayi Lionel veut réellement inquiéter ceux qui tentent de le terroriser il faut une riposte à la hauteur  et donc une riposte CDR
Il doit se fixer comme objectif à court terme la formation de 25 CDR de base et donc le soutien de 625 (25*25) délégateurs : avec cette organisation, la mafia Biya et ses gangsters politiques comprendront que toute avancée dans la répression donne l'occasion d'une avancée plus que proportionnelle vers la construction de l'humanocratie au Cameroun demain et dans toute l'Afrique après-demain.




Cameroun-Journaliste en danger : Lionel Massogui Mayi échappe de justesse à la mort

Le journaliste indépendant a été victime d’une attaque, le mardi 25 septembre 2018 aux environs de 2 heures du matin.
Documents et vêtements éparpillés dans la chambre, tiroirs ouverts, tout est jeté en désordre chez le journaliste « freelance »  Lionel Mayi, lorsqu’on arrive chez lui au petit matin. Son appartement au quartier Etoug Ebe, lieudit « Centre des Handicapés » a été visité par des présumés bandits, qui l’ont heureusement raté. L’historien du présent était avec des amis, après une dure et longue journée de travail.
Les agresseurs, qu’il qualifie d’assassins, ont emportés sa bouteille à gaz, des documents importants, et quelques billets de banque. « Ils voulaient m’assassiner. Ils ont cassé ma porte et ont emporté mes documents. C’est une chance  qu’ils ne m’aient pas trouvé à la maison », précise-t-il, en grelottant de peur. Lionel affirme également que plusieurs fois avant le cambriolage, il a reçu des appels téléphoniques anonymes. Ses interlocuteurs, le menaçaient de mort.
Pour l‘instant, il est en bonne santé, même s’il semble être moralement affaibli. Il a comme la règle l’exige, déposé une plainte contre inconnu, dans une brigade de la ville. Les enquêtes ont ainsi été ouvertes.
Cependant ce cambriolage du domicile de Lionel Massogui Mayi, n’est pas une première au Cameroun. Plusieurs journalistes en ont été victimes par le passé, certains ont même été tués par leurs agresseurs (  le feu Piero  Titjoko en service à Radio star, à Bafoussam par exemple, assassiné par des inconnus alors qu’il dormait chez lui…). Récemment, le 28 juillet 2018 précisément, des hors la loi bien armés, se sont rendu chez Jean Jacques Ze, Rédacteur en Chef de la chaine de télévision vision 4 à Yaoundé, qu’ils ont tenu à respect, pour semer le trouble avant de partir avec un ordinateur portable, téléphones mobiles, bijoux et bien d’autres objets.



 DES MEDIAS CAMEROUNAIS ANGLOPHONES
 RELAIENT AUSSI CETTE INFORMATION





Bandits Attack Critical Independent Journalist in yaounde



Massogui Mayi Lionel, an independent journalist was victim of a burglary attack early Tuesday September 25.
The unknown bandits attacked his Yaounde residence around Centre des Andicapés at 2:00am in his absence, took away money and other important documents.

« They were after my life…they broke my door and took away my documents, pictures and money…l am lucky I was not home, » Massogui Mayi Lionel wrote on his Facebook page after the shocking discovery.
The freelance journalist is in good health but worried about his safety.
He said the attack in his home came after he received several threats from anonymous sources.
He has notified the police pending investigations.

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