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mardi 26 janvier 2021

Enseignants : défilés corporatistes qui oublient de dénoncer la diminution du nombre de tests depuis le 3 novembre moins 8 % et moins 44 % depuis le 24 décembre

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
 #IpEaVaEaFaF
26/01/2021






LIRE AUSSI :

Covid 19 dans les écoles : précautions à Rouen, irresponsabilité au Havre !! 6 malades dont un enfant à l'école maternelle Pierre et Marie Curie

Enseignants : défilés corporatistes qui oublient de dénoncer la diminution du nombre de tests depuis le 3 novembre moins 8 % et moins 44 % depuis le 24 décembre


Aujourd'hui les enseignants manifestent pour dénoncer la gestion de la crise sanitaire dans les établissements scolaires et pour demander une augmentation de leurs salaires.

 

Pas de dénonciation sur le manque de tests réalisés sur les enfants, pas de revendication pour Tester 100 proches comme nous le réclamons depuis le début de la contamination en France.  

La France malgré la menace du variant britannique, du variant sud africain et du variant brésilien fait en ce moment moins de tests que le 8 janvier. Nous sommes passés de 293 000 tests par jour le 8 janvier à 288 000.
Une diminution de 1,7 % quand il faudrait multiplier par 7 le nombre de tests.
La manifestation corporatiste des enseignants aurait dû avoir un slogan unique « nous exigeons 7 fois plus de tests »

Quand on annonce 19 942 nouveaux malades par jour, il faut faire 100 fois plus de tests.
Pour 20 000 malades contaminés par jour, ce sont donc 2 millions de tests qu’il faut faire.
Faire 2 millions de tests multiplié par 7 le nombre de tests est la priorité absolue. C’est une priorité sanitaire. C’est une priorité qui concerne évidemment les jeunes qui sont les catégories les moins testés avec les plus anciens.
Chez les moins de 10 ans il faudrait faire 8 fois plus de tests.
Parmi les 10-19 ans, il faudrait multiplier le nombre de tests par 7,5.

7,5 est en effet le taux de positivité des adolescents de 7 à 19 ans
Ce taux de positivité supérieur à celui de la population (6,9) montre que les jeunes sont moins testés que les autres.
Au lieu de 35 000 tests pour cette classe d’âge, ce sont plus de 260 000 tests qui devraient être faits chaque jour.
De la même façon pour les moins de 10 ans, ce sont 83 000 tests qui devraient être faits chaque jour au lieu des 10 000 faits actuellement

Le taux de positivité des moins de 10 ans qui est égal à 8,1 % indique à la fois qu’il faudrait faire 8,1 fois plus de tests et il indique en même temps que ce sont seulement 12 cas contacts qui sont testés par malade au lieu de 100 comme le ferait un gouvernement qui souhaite éradiquer la pandémie.
Quand on regarde la courbe du nombre de tests, on comprend comment le gouvernement gère la pandémie pour qu’elle perdure.






Le communiqué d'appel à la grève du 26 janvier des organisations syndicales n'utilise pas une seule fois le mot test, pas une seule fois le mot pandémie, ni le mot Covid, ni coronavirus, une fois le mot "situation sanitaire". Par contre, on y lit les expressions "rattrapage des pertes salariales" , "le dégel de la valeur du point d'indice couplé à des mesures de revalorisation des salaires et des carrières dans l'éducation".








jeudi 3 mars 2016

L'Education Nationale réclame 668€ à une institutrice anti-violences à enfants exclue 2 ans & condamnée au RSA

Lettre de l'Inspecteur d"Académie de Seine Maritime
me réclamant 668,33 euros et refusant de me verser le revenu
de remplacement auquel j'ai le droit



Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
Le 03/03/2016









En plus de m'avoir exclue 2 ans avec un prétexte mensonger, l’Éducation Nationale a refusé de me remettre un revenu de remplacement et maintenant.... alors que je perçois qu'un RSA .... cette même administration me réclame 668,33 euros .

INSTITUTRICE ANTI-VIOLENCE A ENFANTS EXCLUE 2 ANS  : DU HARCÈLEMENT D'UN INSPECTEUR, PROTECTEUR DES AGRESSEURS D'ENFANTS, A MON EXCLUSION 2 ANS


Pour avoir écrit à la rectrice, connue maintenant pour avoir volée de l'argent dans les caisses de l'Etat, pour lui demander d'être protégée, j'ai été sanctionnée d'un avertissement.
J'ai ensuite été inspectée administrativement par Mr Basély, qui a écrit un rapport d'inspection mensonger visant à faciliter ma suspension puis mon exclusion.
Il était inscrit entre autre

 "pas de traces d'activité esthétique""et "Madame Amadis n'a présenté à ce jour aucune fiche de préparation spécifique"(les photos ci - dessous prouvent le contraire)


141° jour d'exclusion d'une prof des écoles pour avoir dénoncé des violences à enfants





Ici les marionnettes fabriquées par mes élèves de CE1. Elles ont été crées par eux pour la représentation d'un spectacle mettant en scène les histoires qu'ils avaient écrites et mises en scène.


Ci-contre les maisons crées par les enfants pour le projet "Perrey".
Ces "maisons" toute différentes toutes originales.






Les enfants de ma classe étaient heureux de venir à l'école tous les jours. 
Ces élèves âgés de 7 et 8 ans n'ont plus vu leur maîtresse du jour au lendemain sans explication. Je n'ai même pas pu les prévenir. J'ai su aussi que mes élèves de CE2 que je ne voyais pourtant qu'une fois par semaine et qui avaient "leur maîtresse principale" ont aussi très mal vécu ce changement brutal.

DES EXPOSES TOUS LES JOURS STOPPES NET

Les projets en cours ont été stoppés du jour au lendemain. Les enfants présentaient des exposés tous les jours à la classe et nous étions en train de préparer un nouveau spectacle d'exposés pour les parents. La création d'un site avec leurs créations était aussi en projet....

BENOIT HAMON VA POURSUIVRE LA PROVOCATION ET LE HARCÈLEMENT COMMENCE PAR VINCENT PEILLON
  Deux parents d'élèves délégués avertis de l'injustice et du harcèlement que je subissais décident de réagir. Le 21 mars 2014, ils distribuent un tract devant les grilles de l'école.
Le 28 mars 2014, je suis suspendue sans motif.

La témoin des violences Julie Amadis suspendue sans motif par l'Inspecteur d'Académie Philippe Carrière (directeur OMERTA76) : le texte du courrier de suspension reçu aujourd'hui par l'institutrice témoin des violences

CRÉER UN CONTEXTE ME DISCRÉDITANT
POUR M EXCLURE SANS PROBLÈME

L’Éducation Nationale n'avait rien. Absolument rien pour me réprimer... Et qui plus est, mon travail était très apprécié par les parents d'élèves !
Il leur fallait donc à tout prix trouver quelque chose contre moi.

Alors, il faut en premier lieu construire un contexte me discréditant.
C'est ce que la hiérarchie de l’Éducation Nationale met en place avec l'appui d'autres services de l’État, police, renseignements généraux.

L'Havrais Vérité au Havre;Devant l'école Valmy 2 policiers du Havre faisant la propagande des violences qu'ils ont subies quand ils étaient enfants

Interpellée par la police dans un café à cause d'.... un commentaire sur YouTube (Une plainte de Patrick Deplanque OMERTA76)


8 AVRIL 2014 : JE SUIS ACCUSÉE D'ANTISEMITISME,
d 'INTELLIGENCE AU SERVICE D'UNE PUISSANCE ÉTRANGÈRE

Ça commence par une réunion calomniatrice et diffamatoire à mon encontre le 8 avril 2014.
Dans cette réunion, il est dit entre autre - et on voit là le lien avec la Françafrique dans cette affaire - de moi que je suis "une intelligence au service d'une puissance étrangère".


HARCÈLEMENT CONTRE LES PARENTS
DU COMITÉ DE SOUTIEN
PAR LE "GANG VALMY"


La quasi totalité des parents qui m'ont soutenue à un moment ont été menacés. Un groupe qui se nommait "le gang Valmy" formé d'anciens parents d'élèves, de quelques grands parents, de quelques (très peu) de parents a été constitué et terrorisait dans la ville tous mes soutiens. Injures, menaces physiques... accompagnaient leurs escapades dans la ville pour terroriser les personnes qui me soutenaient.

HARCÈLEMENT POLICIERS PRO-VIOLENCES A ENFANTS


Mais ce n'est pas tout. La mère d'élève, parent déléguée élue, qui s'était le plus engagée, Séverine Breton, a été poursuivie pour diffamation. Elle avait crée un blog de soutien, L'Eure Juste. Elle a cessé de me soutenir après être sorti du commissariat de police. Elle a supprimé son blog.

Après presque 4 mois de suspension sans motif. Après 4 mois d'une opération de discrédit bien organisée, un conseil de discipline vote mon exclusion pour 2 ans.
 Le motif invoqué est "distribution de tract".
Un motif mensonger.

RÉPRESSION CONTRE DES ACTIVISTES FREE GBABGO

 
Séverine Breton a distribué avec Yazid Meddad
le tract présenté
dans le dossier d'accusation. Elle témoigne.
Séverine Breton témoigne avoir distribué les tract sans que je n'ai été à aucun moment présente.
Mais l’Éducation Nationale va utiliser le fait qu'à la même période que la distribution de tracts des parents d'élèves je distribuais des tracts FreeGbagbo pour semer la confusion dans les esprits, avoir des témoignages partiels de collègues (qui disent "elle a distribué des tracts" sans dire de quel tract il s'agit ? et sans que Monique Béaur partiale ne leur pose la question)
Le principale témoin de l'accusation n'est autre que l'enseignant dont il a été prouvé qu'il tapait ses élèves depuis 20 ans.


Le mercredi 26 mars 2014, Julie Amadis est passée prés du "marché d'Harfleur", à 90 km/h, en train, en direction de Rouen pour aller distribuer un tract #FreeGbagbo ! Léon Launay est un menteur ! Et un agresseur d'élèves protégé par OMERTA76

 

Scan OCR de l'arrêté: La témoin des violences de 2008 exclue pour T2 ans de l'Education Nationale par l'Inspecteur d'Académie Philippe Carrière après 1 an de harcèlement moral. pour qu'elle s'excuse auprès de l'inspecteur Patrick Deplanque

EXCLUE 2 ANS SANS REVENU DE REMPLACEMENT
 AU RSA


JURISPRUDENCE : L'avocat André Icard précise dans son blog que si la loi ne donne pas droit au revenu de remplacement pour les exclusions de courte durée, le jugement du Tribunal administratif de Paris, du 4 février 1988 a donné raison à un fonctionnaire exclu pour une période de plus de 1 an qui réclamé un revenu de remplacement au motif que « l'agent titulaire d'une commune exclu de ses fonctions pour une durée d'un an doit être regardé comme involontairement privé d'emploi au sens de l'article L. 351-1 du code du travail et a droit au revenu de remplacement prévu par cet article. » (Blog de l'Avocat André Icard). Ce jugement fait donc jurisprudence. (légifrance)

Un dialogue de sourd s'est instauré avec l'Inspection Académique qui fait l'autruche sur l'existence de cette jurisprudence et me ramène sans cesse à la circulaire du 21 février 2011 qui dit que :


" Une exclusion temporaire de fonctions ne peut ouvrir droit au bénéfice du revenu de remplacement. En effet, le Conseil d’Etat a considéré que si une sanction d’exclusion temporaire prononcée à l’encontre d’un agent entraîne pour celui-ci la privation de la rémunération attachée à son emploi, elle n’a pas pour effet de le priver, au sens des dispositions de l’article L.5424-1 du code du travail, de cet emploi, puisqu’il a un droit à réintégration au terme de la période d’exclusion (CE req. n°227770 du 29 janvier 2003 CHU de Montpellier).http://circulaire.legifrance.gouv.fr/pdf/2011/02/cir_32604.pdf"
Mais cette circulaire n'évoque pas la situation particulière des exclusions de longue durée.

La situation est différente quand vous êtes exclu 15 jours et quand vous êtes exclu 2 ans !
Pour les congés de longue durée c'est la jurisprudence du 
Tribunal administratif de Paris, du 4 février 1988 qui y répond donc.


Par contre, le versement de ces indemnités a été reconnu par un jugement du Tribunal administratif de Paris, du 4 février 1988, mentionné aux tables du recueil Lebon à un agent titulaire exclu pour une durée d'un an. Le Tribunal ayant jugé que « l'agent titulaire d'une commune exclu de ses fonctions pour une durée d'un an doit être regardé comme involontairement privé d'emploi au sens de l'article L. 351-1 du code du travail et a droit au revenu de remplacement prévu par cet article. » Il semble donc, que lorsque la durée de l'exclusion est longue, les juges admettent le bénéfice du revenu de remplacement. 
L'arrêt du Conseil d'Etat ne se prononce à aucun moment en contradiction avec cette jurisprudence du Tribunal administratif. Aucune mention sur le distingo lié à la DUREE de l'exclusion.


Le Tribunal ayant jugé que « l'agent titulaire d'une commune exclu de ses fonctions pour une durée d'un an doit être regardé comme involontairement privé d'emploi au sens de l'article L. 351-1 du code du travail et a droit au revenu de remplacement prévu par cet article.

CE DISTINGO avait fait l'objet d'une question

Question écrite n° 02107 de Mme Nicole Borvo Cohen-Seat (Paris - CRC)

publiée dans le JO Sénat du 31/07/1997 - page 2051

Réponse du ministère : Fonction publique


publiée dans le JO Sénat du 25/06/1998 - page 2081


Réponse. - Les fonctionnaires exclus temporairement de leurs fonctions pour un motif disciplinaire ne peuvent percevoir d'allocation pour perte d'emploi, comme le confirme la cour administrative d'appel de Nancy dans son arrêt du 24 octobre 1996 car la réintégration est de droit et la sanction " avait pour effet, et d'ailleurs pour objet, d'interrompre (la) rémunération (de l'agent) pour une durée limitée ". Cependant, le versement de ces indemnités a été reconnu par le tribunal administratif de Paris le 4 février 1988 à un agent titulaire exclu pour une durée d'un an. Il semble donc, que lorsque la durée de l'exclusion est longue, les juges admettent le bénéfice du revenu de remplacement. Il doit être précisé s'agissant des fonctionnaires territoriaux que la durée d'exclusion temporaire ne dépasse pas six mois. Il ne paraît pas souhaitable de modifier les textes actuels pour admettre que le fonctionnaire exclu temporairement pour faute disciplinaire puisse être assimilé à un agent involontairement privé d'emploi et perçoive un revenu de remplacement. L'obligation de versement d'un revenu de remplacement, sous forme d'allocation pour perte d'emploi, par la collectivité à un fonctionnaire exclu de fonctions, aboutirait, en limitant les conséquences financières de la sanction, à rendre identiques les sanctions d'exclusion de fonctions avec des sanctions de moindre gravité, réduisant de ce fait l'échelle des sanctions possibles. En outre, il convient de rappeler que la procédure disciplinaire prévue aux articles 89 et suivants de la loi du 26 janvier 1984 est strictement encadrée. Celle-ci garantit l'examen des situations individuelles par la commission administrative paritaire siégeant en conseil de discipline. De plus, l'agent mis en cause peut faire appel de la décision prise par l'autorité territoriale auprès du conseil de discipline de recours, présidé par un magistrat de l'ordre administratif. L'article 91 de la loi précitée dispose que l'autorité territoriale ne peut prononcer de sanction plus sévère que celle proposée par cette instance.
Le ministère de la fonction publique avait une interprétation diamétralement opposée à celle du fonctionnaire
Jacques Manuel Mounier,

Cependant, le versement de ces indemnités a été reconnu par le tribunal administratif de Paris le 4 février 1988 à un agent titulaire exclu pour une durée d'un an. Il semble donc, que lorsque la durée de l'exclusion est longue, les juges admettent le bénéfice du revenu de remplacement. Il doit être précisé s'agissant des fonctionnaires territoriaux que la durée d'exclusion temporaire ne dépasse pas six mois

AUCUNE RESSOURCE EN SEPTEMBRE 2014

Après mon exclusion le 3 juillet 2014, je n'ai reçu aucune ressource en Septembre - ce que je n'avais absolument pas pu prévoir - car tout travailleur a le droit de percevoir ses congés payés!

Il a fallu la générosité du CCAS qui m'a remis 56 euros de coupons alimentaires pour 15 jours puis des restos du cœur pour les 15 jours suivants pour survivre au mois de septembre.

#IpEaVàEaFàF Quand on ne peut plus se nourrir, on va au CCAS (Centre Communal d'Action Sociale)

Institutrice exclue pour avoir témoigné de violences à enfants aujourd'hui bénéficiaire des Restos du Coeur


Depuis octobre 2015, je perçois le RSA soit 461,26 euros par mois (aide au logement déduite).

Après avoir été harcelée par le fisc pour que je paie 1607 euros d’impôt sur le revenu puis 122 euros de taxe d'habitation (annulée par l'administration suite à mon courrier et à la médiatisation), l’Éducation Nationale a trouvé un moyen supplémentaire de me punir pour m'être battue contre les violences à enfants. Me demander l'impossible, une somme que - si je leur versais - m’empêcherait de manger !

LE RECTORAT ME RÉCLAME 668,33 €
ALORS QUE LE FISC LUI NE RÉCLAMAIT QUE 184,93 €

Dernière relance de
la direction des finances publiques
Réclamation de 184,93€
Alors que la dernière lettre de relance du fisc me réclame un indu sur rémunération de 184,93 euros, l'éducation nationale, elle, réclame 668,33 € soit 520 euros de plus que l'administration fiscale !

L'Inspecteur des Finances Publiques devant l'ampleur du scandale que je lui décris dans ma lettre (exclue avec un faux en écriture public, absence de revenu de remplacement, au RSA depuis 1 an et demi) préfère remettre ma lettre au Rectorat et ne pas se mouiller davantage dans cette affaire.

Réponse de l'Inspecteur des
Finances Publiques, Pascal Dupont,
à ma réclamation du 18/12


"Je vous informe que je les transmets ce jour au Rectorat à Rouen qui a émis les titres de perception susvisés." (voir lettre ci-contre)

C'est en réponse à ma lettre de réclamation concernant l'exigence de verser 184,93 € que l'Inspection Académique de Rouen me réclame une somme gigantesque, encore plus importante que celle que je contestais.



Lettre de l'IA de Rouen
me réclamant 668,33 €
Le 22 février - jour où la ministre Najat Vallaud Belkacem se trouvait dans la seule école de France où une enseignante anti-violence à enfants est exclue -  l'Inspectrice d'Académie, Catherine Benoît-Mervant, m'écrit une lettre dans laquelle elle exige à la fois 668, 33 € et me refuse un revenu de remplacement.

La ministre Vallaud Belkacem en visite dans mon école Valmy où un instit a tapé ses élèves pendant 20 ans


J'avais déjà écrit à l'Inspection Académique en septembre 2014 afin de réclamer mes congés payés et le revenu de remplacement auquel j'ai droit.
Jacques Manuel Mounier, le chef de la division des personnels enseignants du 1er degré m'avait alors répondu que l'Education Nationale n'avait aucune obligation légale de me verser un revenu de remplacement. Il faisait silence concernant les congés payés réclamés.

Julie Amadis a répondu vendredi 5/9 à Jacques-Manuel Mounier Chef de la division des personnels enseignants du 1er degré (Inspection académique de Rouen)

Quand il s'agit de punir les contestataires, les anti-violences à enfants, l’État ne connait plus les lois sociales. Il est possible du jour au lendemain de se retrouver à la rue, sans le sou.
Les entreprises privés souvent montrés du doigt à juste titre par les syndicats n'auraient pas osé faire le tiers ce que l’État me fait subir !
Exclure un travailleur avec un prétexte mensonger (avoir distribué les tracts des parents d'élèves) parce que cette personne a mis le doigt sur un scandale... puis ensuite refuser de lui verser des congés payés ... puis un revenu de remplacement.
Quand tous les salariés du secteur privé et publique ont droit à des Assédics à partir de 28 mois de travail. Je travaillais en tant que professeur des écoles depuis plus de 3 ans.

Je ne pense pas que la Rectrice Claudine Schmidt Lainé en poste au moment de ma suspension et de mon exclusion, connue pour avoir volé l'argent du contribuable et mutée en conséquence à Grenoble comme rectrice le 9 septembre 2015 soit harcelée comme je le suis pour rembourser les sommes qu'elle a volées.
LIRE L'article de Paris Normandie :
La justice enquête sur l'ancienne rectrice de Rouen et ses notes de frais

Moi, je me suis juste battue pour défendre les enfants... Dans notre belle République française les valeurs sont inverses à celles des droits de l'homme.
 Les voleurs et les agresseurs d'enfants sont récompensés. Leurs protecteurs sont durement réprimés !


mardi 1 septembre 2015

2° rentrée sans élève : je suis exclue pendant 2 ans pour avoir dénoncé des violences à enfants

Mes élèves adoraient le personnage du petit Nicolas
De Goscinny et Sempé

Par Julie Amadis
#IPEAVAEAFAF
Le 01/09/2015





Aujourd'hui, c'est la rentrée scolaire. Tous les professeurs vont retrouver leur place dans une salle de classe et .... de nouveaux élèves.
Pas moi, qui suis pourtant une professeur des écoles titulaire.
C'est la deuxième rentrée que je ne ferai pas.
Comme pour la rentrée 2014. A cette rentrée, il y a un an, j'avais écrit (Je ne fais pas la rentrée des classes 2014-2015 : je suis exclue après avoir dénoncé des violences à enfants)
"Je ne verrai pas 23 enfants bien habillés en train de regarder leurs nouveaux crayons et
Exclusion 2 ans de l’Éducation Nationale
sous un motif mensonger : avoir distribué les tracts
des parents d'élèves
leurs nouvelles trousses, en train d'essayer de deviner quelle maîtresse je pourrais bien être, si je vais être sévère, bienveillante, intransigeante ...

Je ne verrai pas non plus les parents inquiets pour leur enfant.
Les parents qui serrent leur enfant dans les bras, qui l'embrassent comme si ils n'allaient pas les revoir pendant un mois.
La petite fille ou le petit garçon qui pleure et qui ne veut plus lâcher sa mère ; ceux qui posent des tas de question sur la sécurité,  les horaires et les modalités de la cantine pendant que vous avez vos élèves en rang impatients de découvrir leur nouvelle classe. Je ne verrai pas non plus les petites imperfections de rentrée, les erreurs dans les listes d'élèves qui ont pour conséquence qu'un enfant ne soit pas dans la "bonne classe", le matériel qui manque et les collègues qui demandent "tu as assez de stylos bleus, toi ?".
Je n'ai pas passé des heures cette année à préparer les cahiers, à coller les intercalaires et à mettre les protège-cahiers de couleurs en fonction de la discipline.
Je n'ai pas préparé de jeu des présentations afin de détendre l'atmosphère un peu crispé quand même à la rentrée, ni l'activité art , traditionnelle.
Je n'ai pas non plus fait connaissance de nouveaux collègues qui m'auraient raconté leurs vacances "trop courtes" ou leur préparation de classe "un peu trop longue".
Non rien de tout ça."

Dessin de Jacques Risso,
directeur d'école
Lui aussi a été réprimé pour
des motifs politiques
Ce matin, au lieu d'être dans une classe avec de nouveaux élèves, j'étais à la Banque Alimentaire pour recueillir mon colis.
En effet, je suis condamnée par les ministres Vincent Peillon, Benoit Hamon, Najat Vallaud Belkacem à devoir vivre avec un RSA.
Ils se sont mis à trois pour me nommer dans une école où un collègue tapait, pour construire la provocation avec l'inspecteur pro-fessées en maternelle, pour me suspendre sous le prétexte de mon courrier à la rectrice, pour m'exclure en juillet 2013 puis pour me refuser les indemnités chômage.

VIVRE D'AIDES SOCIALES AU LIEU DE RECEVOIR MON SALAIRE EN TRAVAILLANT DANS UNE CLASSE

Les bénévoles de la Banque Alimentaire étaient, comme à chaque fois, très gentils...
Leur gentillesse tranchait avec l'attitude de mes collègues de l'école Valmy dans laquelle j'ai été suspendue en mars 2014 puis exclue en juillet 2014, collègues qui,eux, ont montré le pire de ce qu'ils avaient en eux dans cette affaire. Pour protéger leur collègue agresseur (avant même que j'apprenne par des parents d'élèves qu'il tapait les enfants..... depuis 20 ans), ils ont usé de tous les moyens pour me faire taire sur le harcèlement de l'inspecteur Deplanque.
Certains sont allés jusqu'à - sous la manipulation de l'administration bien sûr - commettre de faux témoignages.
Le collègue agresseur d'élèves allant - sous la complicité de Monique Béaur - jusqu'à inventer que j'aurais été vue distribuant des tracts dans un endroit où je n'ai jamais mis les pieds.
"A l'espace Coty, elle aurait distribué des tracts. Au marché d'Harfleur, on l'a vue là-bas, des parents d'élèves l'ont vue et reconnue à Aplemont, distribuer les tracts."(extrait de l'acte d'accusation de Monique Béaur faux témoignage de Léon Launay")

Le mercredi 26 mars 2014, Julie Amadis est passée prés du "marché d'Harfleur", à 90 km/h, en train, en direction de Rouen pour aller distribuer un tract #FreeGbagbo ! Léon Launay est un menteur ! Et un agresseur d'élèves protégé par OMERTA76

Pour Léon Launay "on" m'a vu à Harfleur.Je suis de Compiègne, de Boulogne sur mer, je suis née à Roubaix..... et je ne suis jamais allée sur le marché d'Harfleur.....
Mais le faux témoin Léon Launay est tenu par l'inspection et était contraint et forcé par Monique Béaur, sa protectrice, de raconter n'importe quoi. On peut se douter de pourquoi. Il suffit de lire ceci
"Le 9/5/2014
Je soussigné LE TÉMOIN ayant été élevé à Valmy dans les années 93 avoir vu Mr Launay professeur à Valmy 2 avoir donné des coups de pied à certains élèves et des claques au cul
Cordialement
SIGNATURE DU TEMOIN"
C'est un faux témoin agresseur d'enfants tenu par ses supérieurs qui a été le principal (faux) témoin de l'accusation.
Et, je n'ai jamais distribué de tracts (même pour le président Gbagbo de Côte d'Ivoire) ni à Aplemont ni à Coty.
J'en ai distribué d'autres (tel celui ci-contre FreeGbagbo) dans d'autres endroits - y compris à l'université de Rouen..... mais, ni à Aplemont ni à Coty.
Tout est faux chez Léon Launay.

L'acte d'accusation Carrière-Béaur ! Un dossier délirant et mensonger recel de faux témoignages et fabrications de mensonges supplémentaires par Monique Béaur

Ce matin aussi, j'ai rencontré sur la route, les enfants et leurs parents en partance vers l'école. Des
Dessin de Zep
enfants bien habillés, des parents un peu inquiets...
Ce mois de septembre 2015, j'ai reçu 513,88 euros, le minimum vital. L’Éducation Nationale me doit un revenu de remplacement depuis 1 an.
Non seulement je n'ai rien reçu, mais en plus, l’Éducation Nationale me harcèle pour que je lui rembourse un "trop perçu" !
En septembre 2014, je n'avais RIEN !Même pas un RSA ! Devant mon compte sans aucun solde et le mutisme de l'Inspection Académique, j'avais contacté le J M Mounier, chef de la division des personnels lui rappelant la législation :
publiée dans le JO Sénat du 25/06/1998 - page 2081
Réponse. - Les fonctionnaires exclus temporairement de leurs fonctions pour un motif disciplinaire ne peuvent percevoir d'allocation pour perte d'emploi, comme le confirme la cour administrative d'appel de Nancy dans son arrêt du 24 octobre 1996 car la réintégration est de droit et la sanction " avait pour effet, et d'ailleurs pour objet, d'interrompre (la) rémunération (de l'agent) pour une durée limitée ". Cependant, le versement de ces indemnités a été reconnu par le tribunal administratif de Paris le 4 février 1988 à un agent titulaire exclu pour une durée d'un an. Il semble donc, que lorsque la durée de l'exclusion est longue, les juges admettent le bénéfice du revenu de remplacement.++++
SOURCE :
http://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ120122049.html
Voir :

lundi 8 septembre 2014

Julie Amadis a répondu vendredi 5/9 à Jacques-Manuel Mounier Chef de la division des personnels enseignants du 1er degré (Inspection académique de Rouen)

PLUS DE DIX ECOLES OU DES PARENTS TEMOIGNENT DE VIOLENCES DANS LES ECOLES DU HAVRE


Lorsque je raconte mon histoire il y a toujours quelqu'un pour raconter une anecdote sur des violences vécues dans une école du Havre. Les écoles Varlin et Valmy ne font donc pas exception !
Les enfants sont tapés dans les écoles, c'est un fait.
L'Omerta règne en grand maître ! Tout le monde a peur de parler,  témoins travaillant dans les écoles, parents, enfants victimes !

UN 2° PROF AGRESSEUR A L'ECOLE VALMY
APRES MON EXCLUSION (2014-2015)

J'ai appris par une parent d'élève déléguée de l'école Valmy (qui craint les représailles sur ses enfants et ne veut pas combattre !) et par une ancienne collègue de l'IUFM institutrice dans une école privée maintenant qui a un ami parent d'élève à Valmy qu'un deuxième enseignant sur l'école tapait ses élèves. Des plaintes auraient été déposées.... Mais les craintes, les peurs sont plus fortes....
Et le fait que la ministre Najat Vallaud Belkacem se vantait de donner des fessées à ses enfants de 5 ans en prétendant que la loi était pour elle alors qu' il est inscrit l'article 222-13 du code Pénal : une mère qui commet des violences légères sur ses enfants de moins de 15 ans risque 5 ans de prison donne une caution à tous ceux qui tapent les enfants !
Le parti des agresseurs d'enfants a gagné la bataille. Ils n'ont pas gagné la guerre.
La simple pensée de ces enfants subissant des coups dans les écoles, ces enfants que l'on oblige à se taire, ces enfants qui voient leurs bourreaux tous les jours... suffit à intensifier le combat contre les agresseurs et contre ceux qui les protègent (tout le système, administration et syndicats !).
L’Éducation Nationale retrouvera une enseignante plus combative que jamais à la rentrée 2016 !
Continuons le combat ! Nous gagnerons la bataille.

Un jour, quand on évoquera les violences sur des enfants, ça apparaîtra des barbaries du moyen âge révolues.


VOIR AUSSI

11/04/2015


5 jours avant ma suspension (puis mon exclusion 2 ans) de mon poste d'institutrice pour avoir dénoncé des violences à enfants, mes élèves avaient participé au projet "La grande lessive"

samedi 1 août 2015


Julie Amadis, institutrice anti-fessées interpellée par la BAC du Havre le 29/7/2014 après sa condamnation à 2 ans d'exclusion le 3 juillet, il y a un an

mardi 29 juillet 2014


Interpellée par la police dans un café à cause d'.... un commentaire sur YouTube (Une plainte de Patrick Deplanque OMERTA76)