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jeudi 14 octobre 2021

En ce 34° anniversaire de l'assassinat de #ThomasSankara et de ses compagnons, de l'assassinat des #CDR et du #CNR, de l'assassinat des LIBERTES au Burkina Faso, tout militant sankariste doit mettre en œuvre ce projet: Reconstruire les CDR avec 25 armées sankaristes populaires pour l'Afrique de l'Ouest. 25 armées sous le contrôle du Comité Exécutif Révolutionnaire d'Afrique de l'Ouest ! #NiMacronNiPoutine #NiServalNiWagner

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
15 octobre 2021

"Nous ne pouvons pas accepter de mettre les CDR de côté.

Il n'y a pas deux Burkina Faso.
Il n'y a qu'un seul Burkina Faso : le Burkina Faso des CDR.
Il commence avec les CDR et finit avec les CDR.
[Applaudissements] C'est pourquoi, il faut que là où il n'y a pas encore des CDR qu'ils soient rapidement constitués.
Partout où se trouvent des Burkinabè, le premier réflexe doit être pour eux de constituer un Comité de défense de la révolution parce qu'ils sont et existent grâce à la révolution.
Et s'ils ne le font pas, ils vont à l'encontre de la révolution et il n'y a pas de raison qu'ils bénéficient des bienfaits de la révolution (extrait du DOP 4 avril 1986)

Il faut être naïf pour avoir cru Macron en 2017

La promesse d’Emmanuel Macron, le 28 novembre 2017,à l’université de Ouagadougou était claire : « Tous les documents produits par des administrations françaises pendant le régime de Sankara et après son assassinat [qui sont toujours] couverts aujourd’hui par le secret-défense national [seront] déclassifiés pour être consultés en réponse aux demandes de la justice burkinabè  ». 
Comment croire en la parole d'un gredin qui a versé 20M€ au chef jihadiste Iyad Ag Ghali en 2013 avec Hollande et Le Drian.... dans le but de financer le recrutement de nouveaux islamofascistes et de financer la fusion Ansardine Al Qaeda AQMI
Comment croire en la parole d'un gredin ayant participé au financement des terroristes dont la mission principale était de PROTEGER BLAISE COMPAORE en allant pourrir le Burkina Faso
!

Le complot pour l'assassiner réunit les puissances impérialistes françaises et étasuniennes. Avec les compradores criminels du Togo, de la Côte d'Ivoire et même de Libye
François Mitterrand, Jacques Chirac (Premier Ministre), Jacques Foccart, Ronald Reagan) ainsi que Kadhafi avec Charles Taylor , Eyadéma Gnassingbé, Felix Houphouët Boigny



En ce 34° anniversaire de l'assassinat de #ThomasSankara et de ses compagnons, de l'assassinat des #CDR et du #CNR, de l'assassinat des LIBERTES au Burkina Faso, tout militant sankariste doit mettre en œuvre ce projet: Reconstruire les CDR avec 25 armées sankaristes populaires pour l'Afrique de l'Ouest. 25 armées sous le contrôle du Comité Exécutif Révolutionnaire d'Afrique de l'Ouest ! #NiMacronNiPoutine #NiServalNiWagner


En ce 34° anniversaire de l'assassinat de Thomas Sankara, tout militant sankariste doit poursuivre l'oeuvre du héros de l'Afrique, donc doit remettre en place les CDR.
Pour dégager du Sahel les terroristes envoyés par Sarkozy en janvier 2012, il faut une armée du peuple.
Les milices Wagner de Poutine de valent pas plus cher que Barkhane et Serval.
Ces armées ont pour fonction première la perpétuation des salaires esclavagistes à 50 € par mois.
Pour mettre en oeuvre  ce projet #NiMacronNiPoutine #NiPoutineNiMacron #NiServalNiWagner #NiImpérialismeEuropéenNiImpérialismeRusse et se débarrasser du terrorisme il faut former 2 armées révolutionnaires sankaristes au Mali et  au Burkina, il faut former 3 armées révolutionnaires sankaristes au Niger et en Côte d'Ivoire.
Les membres de l'armée révolutionnaires sont désignés par les habitants d'une province révolutionnaire de 10 millions d'habitants (8,3 M actuellement au Niger dont la démographie augmente en 2030)
L'armée révolutionnaire est sous le contrôle total et absolu des civils par les comités exécutifs. Il y a toujours 2 militaires sur les 25 délégués du comité exécutif.

Le projet est de doter l'Afrique de l'Ouest de 25 armées sur ce modèle :

15 OCTOBRE 1897 : ASSASSINAT DE THOMAS SANKARA
CREATEUR DES CDR 

15 octobre 1987, le créateur des CDR comités de défense de la révolution, organe institutionnel assurant le pouvoir du peuple et donc la défense de la révolution, est assassiné par son ex bras droit Blaise Compaoré (qui sous l'influence de sa femme Chantal Terrasson de Fougères devient le pantin des puissances impérialistes américaines et françaises). 

Sankara arrive à 16 h 30 à bord de sa 205, escorté par cinq gardes du corps. À 16 h 35, il s’assoit à la table. Alouna Traoré prend la parole. Mais un bruit de pot d’échappement couvre sa voix. Puis le vacarme des kalachnikovs. Les sept hommes s’aplatissent au sol. Ils ne le savent pas encore, mais dehors, la garde rapprochée du président a été liquidée. « Sortez ! » entendent-ils.

Sankara se lève. « Restez ! C’est moi qu’ils veulent. » Nouvelle rafale. « Il avait à peine franchi la porte de la villa, les mains en l’air, qu’il a été canardé. Puis on est sorti, et on nous a tiré dessus », raconte aujourd’hui Alouna Traoré, le seul survivant de la tuerie qui dit « ne plus avoir peur de parler » et « être l’otage de ceux qui veulent savoir ». Au total, treize corps obstruent l’entrée de la villa ce 15 octobre à 16 h 45. Ils seront enterrés à la va-vite, comme des chiens, une fois l’obscurité tombée Jeune Afrique

Il faut être naïf pour avoir cru Macron en 2017

La promesse d’Emmanuel Macron, le 28 novembre 2017,à l’université de Ouagadougou était claire : « Tous les documents produits par des administrations françaises pendant le régime de Sankara et après son assassinat [qui sont toujours] couverts aujourd’hui par le secret-défense national [seront] déclassifiés pour être consultés en réponse aux demandes de la justice burkinabè  ». source
Comment croire en la parole d'un gredin qui a versé 20M€ au chef jihadiste Iyad Ag Ghali en 2013 avec Hollande et Le Drian.... dans le but de financer le recrutement de nouveaux islamofascistes et de financer la fusion Ansardine Al Qaeda AQMI
Comment croire en la parole d'un gredin ayant participé au financement des terroristes dont la mission principale était de PROTEGER BLAISE COMPAORE en allant pourrir le Burkina Faso !

Le complot pour l'assassiner réunit les puissances impérialistes françaises et étasuniennes. Avec les compradores criminels du Togo, de la Côte d'Ivoire et même de Libye
François Mitterrand, Jacques Chirac (Premier Ministre), Jacques Foccart, Ronald Reagan) ainsi que Kadhafi avec Charles Taylor, Eyadéma Gnassingbé, Felix Houphouët Boigny

Momo Allen, l’un des participants au documentaire mentionné plus haut, a affirmé: « Le piano fut accordé par les Américains et les Français. Il y avait un homme de la CIA à l’ambassade des États-Unis au Burkina qui a travaillé en étroit contact avec le chef des services de renseignements français de l’ambassade française,  eux ont pris les décisions les plus importantes… » et rebondit quand le documentariste le relance en disant : « Ensuite la CIA et les services français »…il le coupe: « et les services secrets français décidèrent de mettre hors-jeu Sankara. Ce sont les faits ».

Le 23 février 2012 selon l’émission Rendez-vous avec M. X. (présenté comme un ancien agent des services secrets français) sur France Inter, consacrée à la mort de Sankara, après la victoire de la droite aux législatives de 1986, qui a conduit à une période de cohabitation avec le président socialiste, des chefs d’État africains ont appelé Jacques Foccart l’homme de l’ombre à la tête de réseaux sur le continent. Ils lui auraient demandé de les débarrasser de Sankara. Parmi eux Houphouët-Boigny le président de la Côte d’Ivoire, voisine du Burkina Faso, l’allié privilégié de la France dans la sous-région. Quand son compère dans l’émission pose la question: « les services français ont-ils joué un rôle? » M. X répond: « Comment pourrait-il en être autrement? L’Afrique est truffée d’agents, des anciens qui travaillent directement pour des dirigeants africains ou des sociétés. Il y a ceux qui sont en activité et qui veillent à préserver nos intérêts là-bas ».

Lors d’une conférence-débat organisé à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, dans le cadre des activités du Prix Albert-Londres en mai 2008, François Hauter, grand reporter au Figaro, a raconté que Guy Penne, le conseiller Afrique de François Mitterrand, l’avait appelé pour demander qu’il écrive un article hostile à Thomas Sankara. Mais ce n’est pas tout. Il le met en relation avec l’amiral Lacoste qui lui propose de rencontrer le chef des opérations africaines à la Direction des renseignements généraux. Et le journaliste de conclure son témoignage: « c’est la plus importante tentative de manipulation que j’ai jamais vue dans toute ma carrière de journaliste ».

L’historien Stephen Ellis nous avait personnellement déclaré en 2001: « Charles Taylor était aussi en contact avec Michel Dupuch, ancien conseiller de Jacques Chirac à l’Élysée, à l’époque ambassadeur en Côte d’Ivoire. Un homme d’affaires français, Robert de Saint-Pai, servait d’intermédiaire. Il est mort il y a quelques années ». Jean-Pierre Bat confirme que la France soutenait Charles Taylor dans son livre Le Syndrome Foccart, publié en 2012. Les réseaux de la Françafrique ne se contentent pas de déstabiliser le régime: il leur faut aussi laisser entendre que Blaise Compaoré aura aussi le soutien du nouveau gouvernement français.

L’hebdomadaire Jeune Afrique fera allusion en 1998 à ces ouvertures à Blaise Compaoré avant octobre 1987. « À cette époque numéro 2 d’une révolution en laquelle il ne croit plus, de plus en plus proche d’Houphouët, grâce auquel il fit la connaissance de sa future femme, le beau Blaise rencontrera son homologue français, alors Premier ministre, via le président ivoirien et Jacques Foccart qui lui présenta l’état-major de la droite française, en particulier Charles Pasqua ». Quelques années plus tard, Blaise Compaoré remettra à Jacques Foccart l’Etoile d’or du Nahouri, la plus haute distinction burkinabè. ( Thomas Sankara.net)

Kadhafi que certains voient comme un "héros de l'Afrique" fait aussi partie de complot.

Signe qui en dit long : le 1er septembre 1987, ce n'est pas Thomas Sankara, mais Blaise Compaoré qui assiste à Tripoli aux cérémonies du 18e anniversaire de la prise de pouvoir par Mouammar Kadhafi. « J’étais là-bas, se souvient Mousbila Sankara. Kadhafi a insisté pour qu’il vienne. C’était un signe d’éloignement et ils l’ont accepté comme tel. » L’ambassadeur dément l’information selon laquelle Blaise Compaoré aurait prolongé sa visite à Tripoli et serait resté plus longtemps que prévu… Mais il assure que Blaise Compaoré a rencontré le guide libyen et qu'il a eu aussi des entretiens avec l’un de ses puissants conseillers, Moussa Koussa, qui était selon son expression « le Foccart de Kadhafi  »

En revanche, Mousbila Sankara ne peut s’empêcher de penser que quelque chose s’est tramé à ce moment-là à Tripoli. L’ambassadeur du Burkina en Libye affirme que Blaise Compaoré a obtenu par un canal non officiel des équipements, c’est-à-dire des armes. « Il y a eu un déplacement de matériel dont, par inadvertance, on m’a envoyé une copie. » Le contenu du bordereau est transmis à Ouagadougou. Où il provoque également l’étonnement. Mousbila Sankara explique que c’est après le 15 octobre qu’il a fait le lien. Ce serait, selon lui, pour éviter toute traçabilité que Blaise Compaoré aurait demandé à recevoir directement le matériel. Pour l’ambassadeur, cette manipulation n’a pas permis en l’occurrence d’obtenir plus d’armes - il en avait au Burkina -, mais de disposer d’un stock qu’il pouvait utiliser à sa guise sans que le matériel ne soit consigné par un magasinier, sans laisser la moindre trace. RFI 

RENDRE HOMMAGE A THOMAS SANKARA
 C'EST RECONSTRUIRE LES CDR CNR


L'assassin de Thomas Sankara a immédiatement dissous les CDR et le CNR.
Ces institutions sont les seules institutions légales du Burkina Faso.
Les institutions de la démocratie esclavagistes prônés par tous les faux sankaristes Balai Citoyen and co.... sont les institutions d'un meurtrier.

Pour Thomas Sankara, sans les CDR la révolution n'aurait pas été possible. Les CDR allaient de pair avec le Burkina Faso, le pays des hommes intègres. 

"Nous ne pouvons pas accepter de mettre les CDR de côté.

Il n'y a pas deux Burkina Faso.
Il n'y a qu'un seul Burkina Faso : le Burkina Faso des CDR.
Il commence avec les CDR et finit avec les CDR.
[Applaudissements] C'est pourquoi, il faut que là où il n'y a pas encore des CDR qu'ils soient rapidement constitués.
Partout où se trouvent des Burkinabè, le premier réflexe doit être pour eux de constituer un Comité de défense de la révolution parce qu'ils sont et existent grâce à la révolution.
Et s'ils ne le font pas, ils vont à l'encontre de la révolution et il n'y a pas de raison qu'ils bénéficient des bienfaits de la révolution (extrait du DOP 4 avril 1986)




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