Par Julie Amadis
avec Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
05/07/2019
Hirak Algérie #GaidSalahDégage : C'est en désignant 16 000 délégués d'arouch #1pour625 que les Algériens construiront
un dia-Etat libre
Au cours de la manifestation d'aujourd'hui les Algériens étaient nombreux à revendiquer un Etat d'Algérie libre.
Un Etat est toujours une casemate de la strate des Parasites, un Etat libre se construit par la désignation de délégués révocables 1 pour 25, de délégués d'Arouch 1 pour 625.
Cette construction d'un dia-Etat libre est urgente en Algérie....
Sans cela, le Talon de fer de l'impérialisme va s'abattre contre les Algériens.
Même si, encore aujourd'hui 5 juillet, les Algériens ne lâchent rien.
Ils sont plus nombreux que jamais dans les rues de presque toutes les villes en Algérie.
Aux cris de « Les Algériens, khawa khawa », "Bensalah Bedoui Gaid Salah dégagent", « la libération des détenus d’opinion », " « Pour un Etat civil et non militaire »", "Non au dialogue"(à Constantine), "la restitution de la liberté confisquée par la bande de Oujda." les Algériens ont manifesté massivement dans les rues ce 20° vendredi de mobilisation ce 5 juillet 2019 qui correspond au 57° anniversaire de l'indépendance.
Des manifestations pacifiques se déroulent actuellement dans plusieurs villes du pays : Alger, Bouira, Tizi Ouzou, Oran, Mostaganem, Tiaret, El Tarf, Constantine, Djelfa, etc. Les Algériens célèbrent aussi leur fête d’indépendance en scandant : « Libérez l’Algérie » et « Tahia El Djazaïr ». Ils demandent la libération de Lakhdar Bouregaa et des détenus du Hirak. Ils demandent à Bensalah et Bedoui de partir. TSA
A ALGER
— Sk' (@SkouuuS) 5 juillet 2019
Des manifestants réclament l'arrestation et le jugement de Gaid Salah
« Ya men 3ch, ya men 3ch, Gaïd Salah fil Harrach ». Les manifestants réclament l’emprisonnement du chef d’Etat-Major, Ahmed Gaïd Salah. #Alger #Algérie #5_juillet_2019 pic.twitter.com/JBWjOkHuVE— Zahra Rahmouni (@ZahraaRhm) 5 juillet 2019
A MOSTAGANEM
Ça démarre fort à Mostaganem et plus de monde que les vendredi passé.....#Algérie #5JuilletNekherdjouGa3 #5juillet pic.twitter.com/mzx8BXf8Tk— Inal Ahmed Boukhalfa 🍀 بوخالفة أحمد إينال (@Inal_Boukhalfa) 5 juillet 2019
#Mostaganem : l’Avenue Mohamed Khemisti est remplie de monde venu de toute la wilaya. Les manifestants réclament l’instauration d’un Etat civil et refusent la tenue des élections en présence des 2B— TSA Algérie (@TSAlgerie) 5 juillet 2019
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(Via: Mostaganem Aujourd'hui) pic.twitter.com/ne1IKOIyMu
A BEJAIA
Foule immense à Béjaia pour ce 20eme vendredi de la révolution du 22 février. #Algerie_Libre_Democratique pic.twitter.com/WAb5OUjajj— Karim (@kRim0o) 5 juillet 2019
A CONSTANTINE
#Constantine : la foule entonne Qassaman. Impressionnant !— TSA Algérie (@TSAlgerie) 5 juillet 2019
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Une manifestante réclame la restitution de la liberté confisquée par le #clandOujda.
#Constantine, 20e vendredi : une manifestante réclame la restitution de la liberté confisquée par la bande de #Oujda— TSA Algérie (@TSAlgerie) 5 juillet 2019
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(Photos : @TSAlgerie) pic.twitter.com/LAyuLKaLGu
A TIZI OUZOU
Marche exceptionnelle actuellement à Tizi-ouzou, impossible de mettre ses jambes quelques part #5JuilletNekherdjouGa3 #5Juillet2019 pic.twitter.com/XubL9MMIo0— Mecipsa (@Tractatori_) 5 juillet 2019
A ORAN
#Oran : « Djazaïr Hora Démocratia (Pour une Algérie libre et démocratique) », scandent les manifestants dont le nombre ne cesse de grossir au fur et à mesure.https://t.co/hfIToQQ6fy— TSA Algérie (@TSAlgerie) 5 juillet 2019
LA NOUVELLE CÉLÉBRITÉ DU CLAN D'OUJDA LES ASSASSINS DE RAMDANE ABANE CHEZ LES JEUNES EST LA REVANCHE
DE LA VÉRITABLE RÉVOLUTION POPULAIRE
Aujourd'hui encore, des manifestants en Algérie faisaient référence au clan d'Oujda, le clan des assassins du véritable révolutionnaire Ramdane Abane.
La référence à ses assassins résume ce que sont ceux qui se sont assis sur le cheval de la révolution anti colonialiste et qu'ils l'ont trahi.
Il faut reprendre le combat de Ramdane Abane l'organisateur principal du congrès de la Soummam arrêté en 1957 par son assassinat.
La référence à ses assassins résume ce que sont ceux qui se sont assis sur le cheval de la révolution anti colonialiste et qu'ils l'ont trahi.
Il faut reprendre le combat de Ramdane Abane l'organisateur principal du congrès de la Soummam arrêté en 1957 par son assassinat.
Ramdane Abane (en arabe : رمضان عبان, en berbère : Remḍan Ɛebban), le plus souventdésigné comme Abane Ramdane (le patronyme avant le prénom), né le à Azouza dans la commune de Larbaâ Nath Irathen dans l'actuelle wilaya de Tizi Ouzou (Algérie), et mort assassiné le à Tétouan au Maroc, est un militant politique et révolutionnaire algérien, ayant joué un rôle clé dans l'organisation de la lutte indépendantiste lors de la guerre d'Algérie.Souvent considéré comme le dirigeant le plus politique du FLN, il est surnommé « l'architecte de la révolution ».
Ramdane Abane
Abane Ramdane a su regrouper et unir au sein du FLN l’ensemble des courants politiques pour lutter contre la domination française. Principal organisateur du congrès de la Soummam, il trace les grandes lignes du mouvement révolutionnaire consistant à créer un État dans lequel l'élément politique l'emporte sur l'élément militaire, et a opté pour le pluralisme politique et linguistique en Algérie1. Wikipédia
La nouvelle célébrité du #ClandOujda assassins de #RamdaneAbane chez les jeunes est la REVANCHE de la véritable #REVOLUTION populaire#ManifestationsPacifiques telle #11décembre1960— Yanick Toutain (@YanickToutain) 18 avril 2019
Priorité du civil (il faut LIMITER à 8% #déléguésdéfense #déléguésdarouch)#CongrèsdelaSoummam pic.twitter.com/kVeknSYCob
MAIS..... les #harkis comme le #ClandOujda les infiltrés de l'#impérialisme en #Algérie— Yanick Toutain (@YanickToutain) 20 avril 2019
même s'ils étaient un #CancerDeLaTrahison était bel et bien les AGENTS #COMPRADORES des #esclavagistes étrangers
Comme #IBK #MNLA #Ansardine #Gnassingbé #Biya #Issoufou #MackySall #Ouattara pic.twitter.com/wfsmSMQWf2
De #RamdameAbane au #clandoujda— Julie Amadis (@Julie_Amadis) 20 avril 2019
De #Bouteflika aux #Arouch https://t.co/au7stqfCoq pic.twitter.com/3obYmdlMss
#Dilem— Yanick Toutain (@YanickToutain) 5 juillet 2019
Les #harkis camouflés #ClanDOujda avaient CASSE la #révolutionAlgérienne en ASSASSINANT #RamdaneAbane 1957
La #révolution #11décembre1960 avait relancé le processus qui repart actuellement
URGENT #humanocratie #déléguésDarouch #1pour625#Algerie #5juillet #JournaLiberteDZ https://t.co/h0oUGcRNoE
#Dilem— Yanick Toutain (@YanickToutain) 5 juillet 2019
Les #harkis camouflés #ClanDOujda avaient CASSE la #révolutionAlgérienne en ASSASSINANT #RamdaneAbane 1957
La #révolution #11décembre1960 avait relancé le processus qui repart actuellement
URGENT #humanocratie #déléguésDarouch #1pour625#Algerie #5juillet #JournaLiberteDZ https://t.co/h0oUGcRNoE
Le projet de Gaid Salah est démasqué par Nicolas Beau de Mondafrique : magouiller pour faire élire Ali Benflis
Les grandes manoeuvres ont débuté en Algérie
Ali Benflis sur orbitePour Gaïd Salah et ses amis, le futur candidat aux élections présidentielles doit être déconnecté du système DRS, indemne des largesses du clan Bouteflika et suffisamment légitimiste par rapport à l’armée. Ce qui en fait un oiseau rare. D’autant plus que qu’au sommet d’une hiérarchie militaire structurellement collégiale, les sensibilités historiques et les fidélités régionalistes sont souvent antagonistes.
Après avoir hésité pendant quelques semaines entre plusieurs anciens Premiers ministres, dont notamment Hamrouche, Benbitour et Benflis, il semble que les militaires au pouvoir se soient mis d’accord sur la candidature de ce dernier. Deux fois candidat aux élections présidentielles de 2004 et 2014, Ali Benflis a le profil d’un homme d’expérience. Très médiatisé à Paris et en bons termes avec les Américains, cet homme du sérail n’a pas cessé d’appeler au compromis avec l’armée.
Il y a donc urgence à ce que le peuple construise lui-même son gouvernement
URGENT : GOUVERNEMENT DE 25 DÉLÉGUÉS NATIONAUX MINISTRES RÉVOCABLES
16 000 DÉLÉGUÉS CONSEILLERS D'AROUCH
400 000 DÉLÉGUÉS DE BASE
Il est donc urgent que la population algérienne s'organise sans attendre les élections organisées par la bourgeoisie compradore, sans attendre que les organisations de la Formoisie compradore ne leur indiquent la marche à suivre car ces organisations craignent les pauvres et donc leur auto organisation, et que les Algériens désignent ses délégués révocables 1 pour 25, ses délégués d'Arouch 1 pour 625, ses délégués conseillers 1 pour 15625, ses délégués nationaux 1 pour 390 625.
60 morts au Soudan. Combien demain en Algérie ? Urgent : CNRA + 16000 délégués d'arouch
La proto Formoisie étudiante et la haute Formoisie algérienne avec arrogance prétendent s'affranchir des leçons du passé, celles des arouch et de la Commune de Paris, celles du Congrès de la Soummam pour le modèle institutionnel, et s'affranchir des leçons du passé sur les contre-révolutions toujours menaçantes.Chaque heure laissée à Gaid Salah est une heure de trop comme l'ont été les heures laissées au général Abdel Fattah al-Burhane du Soudan.Quand la démocratie est morte, totalement discréditée il ne faut aucun délai pour mettre en place les institutions de l'Humanocratie.Cela fait plus de deux mois que les 16 000 délégués d'arouch (se groupant par 25 pour désigner 640 délégués députés puis par groupes de 5 délégués députés) auraient dû désigner 125 d'entre eux pour former le CNRA 2019.Cela fait plus de deux mois que le peuple aurait dû recruter 1280 militaires parmi les 16000 délégués d'arouch.Cela fait plus de deux mois que 1024 capitaines devraient avoir le statut de délégués d'arouch et donc la fonction de délégués défense de la nouvelle révolution algérienne.Cela fait plus de deux mois que 205 commandants dirigeant 205 bataillons révolutionnaires auraient dû avoir accréditation par le peuple.Cela fait plus de deux mois que 41 colonels dirigeant 41 régiments aux ordres de la révolution auraient dû avoir accréditation par le peuple.Cela fait plus de deux mois que 8 généraux commandant 8 divisions en deux armées auraient plus avoir accréditation par le peuple et protéger la révolution.
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