Par Julie Amadis
Le 06/02/2016
#IpEaVaEaFaF
Monsieur,
Le 06/02/2016
#IpEaVaEaFaF
Monsieur,
Je suis depuis 5 ans harcelée par la
justice de mon pays à cause de mon militantisme politique en défense
des Africains payés 50€/mois par Bolloré et des enfants tapés
dans les écoles.
Tout débute en septembre 2012 par la condamnation au TGI d'Angoulème
en atteinte à la vie privée pour un article dénonçant le coup
d’État organisé en Côte d'Ivoire par la France. Je suis
condamnée à 31000 euros alors que je n'ai pas écrit l'article. Les
mensonges sont nombreux et multiformes dans ce jugement.
Je fais appel de la décision en Cour d'Appel de Bordeaux. L'avocate
payée 2000 euros n'ira pas au procès et gardera le dossier !
La Cour d'appel va encore plus loin que le TGI d’Angoulême dans le
mensonge puisqu'elle invente que j'aurai co-écrit l'article.
N'ayant pas les moyens de payer un avocat pour la Cour de Cassation à
cause des saisis je demande l'aide juridictionnelle, elle est refusée
!
Mais pas une ruse : le refus est
verbal. Aucun courrier ne me fut adressé.
Un an plus tard, je suis nommée
(délibérément par une administration et des syndicats en
connaissance de cause) dans une école où un enseignant tape ses
élèves depuis 20 ans avec la protection de toute la hiérarchie. Je
subis un harcèlement moral du fait de mon combat contre les
violences à enfants.
La Rectrice qui vole dans la caisse me fait sanctionner quand je lui demande assistance. Je suis suspendue sans motif puis exclue 2 ans avoir un faux en écritures publiques inventant que j'aurai distribué les tracts des parents d'élèves.
La Rectrice qui vole dans la caisse me fait sanctionner quand je lui demande assistance. Je suis suspendue sans motif puis exclue 2 ans avoir un faux en écritures publiques inventant que j'aurai distribué les tracts des parents d'élèves.
Le (faux) témoin est l'agresseur Léon
Launay. Tenu en laisse par ceux qui le protègent depuis 20 ans/
Deux ans plus tard en juillet 2016 je
suis révoquée pour "atteinte à la République Française".
Je suis donc sans travail et dans une
situation précaire.
Mais le harcèlement continue quand
même. Une société que je ne connais pas, avec laquelle je n'ai
jamais conclu aucun contrat me réclame une somme de 1889,93 € sans
aucune motivation ni aucun détail (date de la supposé créance,
nature très vague...). J'ai donc fait opposition suite à cette
injonction de payer.
J'ai aussi réclamé les documents
censés prouver la preuve de ma dette. Je n'ai rien reçu du Tribunal
d'Instance du Havre.
Veuillez recevoir mes salutations
distinguées
Julie Amadis
Julie Amadis
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