Algérie : 4° anniversaire du Hirak
il faut 16 000 Arouch #1pour625
pour que Tebboune Dégage
22 février 2019 les Algériens étaient sortis massivement dans les rues pour dégager Bouteflika
Il y a 3 ans, le 22 février 2019, les Algériens sortaient dans la rue après plus de deux décennies de léthargie et de divorce avec la politique. Dans la capitale et dans les grandes et petites villes, ils étaient des dizaines de milliers à marcher pacifiquement pour rejeter le projet fou du président Abdelaziz Bouteflika de rester à la tête du pays après l’avoir dirigé pendant 20 ans.
La contestation avait débuté timidement quelques jours plus tôt à Bordj Bou Arreridj et Kherrata. Le 22 février, c’est toute l’Algérie qui s’est soulevée, portant d’abord le rejet du cinquième mandat, puis partout la même revendication d’une démocratisation véritable du pays.TSA
Les Algériens ont réussi à destituer Bouteflika en un mois et demi grâce à des manifestations pacifiques massives et à la fraternisation révolutionnaire avec les forces de l'ordre. Zahir Moulaoui, policier courageux qui, le 15 mars 2019 s'était joint aux manifestants avec une pancarte "Chorta chaâb, khawa khawa ! » (Police et citoyens sont frères) avait montré l'exemple.
Mais comme ils n'ont pas fait d'auto-organisation, comme ils n'ont pas repris l'héritage des Arouch, ces délégués révocables 1 pour 625 utilisé par les kabyles en 2001, les Algériens n'ont jamais eu de gouvernement du peuple.#ChortaChaâbKhawaKhawa » #LettreOuverte à #ZahirMoulaoui #policier courageux de #Bejaia #Algérie
— Yanick Toutain (@YanickToutain) March 16, 2019
quittant publiquement le système
pour rallier la #révolutionalgérienne
devenez le 1° des #déléguéssécurité #1pour625 #déléguésdArouch #déléguésProtectionhttps://t.co/LXXw7RvZqa pic.twitter.com/UynJZQBSmh
Etre né en 1953 quelques mois avant vous ne me donne pas de privilèges argumentatoires sauf à être fondés sur la #productivitéHistorique institutionnelle donc et sur le projet de généraliser à la planète la fusion des#arouch+#CongrèsDeLaSoummam+#CommunedeParis+#CDR #Sankara pic.twitter.com/bPiBKzANAB
— Yanick Toutain (@YanickToutain) April 4, 2019
#Algérie#pasDeDialogue#PasDElections#PasDeTransition non plus
— Yanick Toutain (@YanickToutain) May 11, 2019
PRENDRE IMMEDIATEMENT LE POUVOIR formant 15 000 #arouch de 625 #délégateurs en désignant 15 000 #déléguésDarouch pour former un #GouvernementProvisoire de 23 #coordinateursNationaux#GaidSalahDEGAGE #Révolution2019 pic.twitter.com/owbXWondDe
TEBBOUNE DEGAGELIBERATION DES PRISONNIERS POLITIQUES
Des centaines d'opposants politiques emprisonnés, des journaux interdits.... La répression s'aggrave de jour en jour en Algérie.C’est un régime qui est nettement plus autoritaire qu’avant. Il était autoritaire, mais avec des marges de manœuvre pour les libertés. Aujourd’hui, nous sommes entrés dans une phase dictatoriale pour plusieurs raisons : la remise en cause du pluralisme, l’instrumentalisation politique de l’accusation de terrorisme, définie très largement, et un contexte politique marqué par une militarisation et un chauvinisme conservateur assumés. D’abord, le pluralisme, qui était formel mais qui avait une sorte d’ancrage [dans la vie politique], est à peine toléré. Il y a une remise en cause progressive de ce pluralisme par des procédures de dissolution qui ont été engagées contre plusieurs partis politiques et associations. On voit aussi une pression très forte s’exercer sur les médias indépendants. Pour le régime, ces médias libres doivent se soumettre ou disparaître. C’est le premier élément. Le deuxième marqueur de ce changement de la nature du régime est la révision de la législation sur le terrorisme. Cette révision « enrichit » un arsenal législatif répressif déjà largement utilisé dans un contexte de répression constante, avec plusieurs centaines de détenus d’opinion et un nombre important de poursuites pénales et autres interdictions de sortie du territoire dont le motif réel est purement politique. Le Monde tribune de Mouloud Boumghar
Encore un jour noir pour le journalisme & la presse libre en #Algérie :
— Houari BOUKAR ⵀⵓⴰⵔⵉ هواري بوكار (@Houari_Boukar) February 19, 2023
- Le journaliste Mustapha BENJAMAA placé en détention préventive.
- Les locaux algérois de @BerbereTV mis sous scellés.
Stop répression.
LIBÉREZ LES DÉTENUS D'OPINION.#Algeria #Hirak #No_6e_Mandat#الجزائر pic.twitter.com/VJ7U3IJs5N
Bon vendredi à toutes et à tous d'un pays où la liberté d'expression est bannie, l'opposition réprimée, les associations de défense des droits humains dissoutes et les médias libres fermés.
— Houari BOUKAR ⵀⵓⴰⵔⵉ هواري بوكار (@Houari_Boukar) February 17, 2023
Le combat pacifique pour une #Algérie libre & démocratique continue !
LIBÉREZ LES DÉTENUS. pic.twitter.com/9fYkCaDSC9
La répression qui s'abat contre les opposants politiques et l'absence de liberté d'expression actuellement sont le résultat de l'absence de gouvernement révolutionnaire humanocrate.
Les élections impérialistes ont pourri le mouvement et ont permis à la bourgeoisie d'imposer ses représentants.
10 MILLIONS D'ALGERIENS DOIVENT DESIGNER 16 000 DELEGUES D'AROUCH 1 POUR 625 ET 25 DELEGUES NATIONAUX POUR UN GOUVERNEMENT REVOCABLE QUI VOTE
Votre spécialité est intégrée à une des cinq missions, sécurité, pédagogie, justice, santé, économie-écologie (on voit sur le tableau ci-dessus cinq couleurs rouge pour santé, bleu pour pédagogie, jaune pour sécurité, vert pour économie-écologie, violet pour justice)
Vous commencerez par devenir DIB Délégué Intermédiaire de Base, le tout premier niveau. Vous représenterez alors 5 personnes.
Celles-ci devront vous donnez accréditation. Ils seront vos délégateurs et donc vos quatre correspondants. Vous devrez choisir 4 délégateurs de 4 missions différentes entre elles et différentes de la votre.
1 délégué économie écologie
1 délégué santé
1 délégué sécurité
1 délégué justice ou un délégué pédagogie
Ces 4 fonctionnantes seront soutenus par 20 citoyens. Un conseil statutaire de 25 sera formé.
Tebboune n'a été élu que par 4 947 523 algériens presque la moitié des électeurs 2014 de Bouteflika qui avait obtenu 8 531 311 de suffrages
Il suffirait donc que 5 millions d'algériens s'organisent en Arouch pour dégager Tebboune.
8000 délégués d'Arouch 1 pour 625 suffiront à le dégager
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