L’information remonte donc la chaîne hiérarchique, de la chef du service des douanes de l’aéroport jusqu’au directeur général en passant par le chef divisionnaire et le directeur interrégional. Puis, le cabinet d’Olivier Dussopt, ministre chargé des comptes publics, est avisé. Pour faire bonne mesure, le Quai d’Orsay – qui n’a pas répondu à nos sollicitations – est également averti. « Tout le monde a cherché à se couvrir et sortir d’un mauvais pas, assure une source de l’aéroport de Roissy. Le tout, au détriment des douaniers sur place qui ont fait un excellent travail et on dû manger leur chapeau sur ordre de leur hiérarchie, comme c’est souvent le cas avec les ressortissants de pays du Golfe. »
500 000 € des Saoud - financiers du terrorisme DAECH Al Qaeda - introduits illégalement à Roissy ! Mais les ministres Dussopt et Le Drian surgissent pour aider les criminels à "régulariser" leur délit ! Ils pourront tranquillement financer les terroristes sur le territoire français.
Quand la famille Saoud - les plus grands financiers du terrorisme de l'histoire - en concurrence avec la famille Al Thani du Qatar - se fait livrer clandestinement 500 00 euros par un pseudo diplomate... 500 000 euros en coupures de 50 livres sterling, 50 et 100 euros, soigneusement empaquetés dans des pochettes translucides maintenues par des élastiques, et disposés à l’intérieur d’une banale valise.
L’information remonte donc la chaîne hiérarchique, de la chef du service des douanes de l’aéroport jusqu’au directeur général en passant par le chef divisionnaire et le directeur interrégional. Puis, le cabinet d’Olivier Dussopt, ministre chargé des comptes publics, est avisé. Pour faire bonne mesure, le Quai d’Orsay – qui n’a pas répondu à nos sollicitations – est également averti. « Tout le monde a cherché à se couvrir et sortir d’un mauvais pas, assure une source de l’aéroport de Roissy. Le tout, au détriment des douaniers sur place qui ont fait un excellent travail et on dû manger leur chapeau sur ordre de leur hiérarchie, comme c’est souvent le cas avec les ressortissants de pays du Golfe. »Ces Saoud qui devraient être en prison depuis le 11 septembre 2001 se pavanent en France et se font livrer leurs valises clandestines d'argent..... évidemment sale..... évidemment susceptible de financer les qaradawistes et les wahhabites crypto terroristes en France
LES FAMILLES SAOUD ET AL THANI FINANCIERS RIBANAZIS
DU TERRORISME ISLAMOFASCISTE
Vous vous demandez peut être comment le terrorisme peut être financé en France ?Vous vous demandez peut être comment les terroristes qui ont tué 90 personnes au Bataclan le 13 novembre 2015 ont-ils pu se procurer leurs armes ...
Vous vous demandez peut être comment les frère Kouachi ont pu entrer dans le local du journal Charlie Hebdo et y assassiner en plein jour dessinateurs et journalistes le 7 janvier 2015...
Vous vous demandez peut être comment Mohamed Lahouaiej-Bouhlel a t-il pu tuer 86 personnes lors du feu d'artifice du 14 juillet 2016 à Nice....
Vous vous demanderez peut être bientôt comment a t-il été possible qu'un nouvel attentat se produise en France ...
Ce petit article du Canard Enchaîné d'aujourd'hui, "Plus c'est gros, plus ça passe" donne une partie de la réponse aux questions que tout le monde se posent quand un attentat arrive en France.
Deux Saoudiens sont entrés en France illégalement avec 500 000 euros en liquide le mercredi 16 juin par l'aéroport de Roissy... Les douaniers ont fait remonter l'information. Le Quai d'Orsay et le ministre du budget ont alors désavoué les honnêtes douaniers français pour laisser les deux Saoudiens pouvoir se promener avec leur demi million d'euros jusqu'à Cannes.
Plus c'est gros, plus ça passe
ILS DOIVENT encore bien rigoler, les deux Saoudiens qui se sont fait pincer à Roissy avec
500 000 euros en cash, gentiment rangés dans des petites pochettes en plastique dissimulées dans leurs valises (« Le Monde », 25/6). Ils doivent même se taper sur les cuisses. Les douanes auraient préféré que l'affaire ne s'ébruite pas, on les comprend. Le 16 juin à l'aéroport, donc, les passagers d'un vol en provenance de Djeddah viennent d'atterrir. Deux d'entre eux sont contrôlés et déclarent fermement n'avoir rien à déclarer, ce que la suite infirme. Il s'agit d'un cas de « manquement aux obligations déclaratives », qui, évidemment, remonte toute la chaîne hiérarchique. Et voilà que tout le monde, du cabinet d'Olivier Dussopt, le ministre chargé des Comptes publics, au Quai d'Orsay, s'active, non pour sanctionner les contrevenants, mais pour les sortir de cette mauvaise passe ! Les douanes devront manger leur chapeau et désavouer leurs hommes en leur ordonnant de rédiger un « Dalia » à leur bénéfice, c'est-à-dire un document de régularisation a posteriori. Le cabinet de Dussopt jure ses grands dieux que les procédures ont été respectées et qu'il n'est pas intervenu, « comme c'est toujours le cas pour les dossiers personnels »... Un douanier, furax, parle de « passe-droit officiel » et de « blanchiment douanier ». Tout de suite les grands mots. Et nos porteurs d'artiche ? Ils ont continué leur voyage, peinards, vers Nice, car il ne fallait pas faire poireauter davantage un membre de la famille royale saoudienne qui attendait son argent de poche du côté de Cannes.A.-S• M. Le Canard Enchaîné le 30 juin 2021
Quand il est de notoriété publique que les Saoudiens financent le terrorisme, Macron utilise les grands moyens pour protéger deux Saoudiens qui se déplacent avec un demi million d'euros en cash !
Depuis le témoignage d'un de Zacarias Moussaoui , un des terroristes de l'attentat du 11 septembre 2011 sur le rôle majeur des Saoudiens pour financer Al Qaeda, en 2015, les amis des Saoudiens américains et européens ne peuvent plus nous faire croire que l'Arabie Saoudite est un pays des droits de l'homme....
Zacarias Moussaoui, actuellement en prison dans le Colorado pour avoir participé au 11 Septembre met en cause des officiels saoudiens dans le financement de l'organisation terroriste.
Un témoignage d'une centaine de pages, qui vient d'arriver sur le bureau d'un juge fédéral à New York, pourrait être une pièce de plus au dossier accusant l'Arabie saoudite d'avoir financé al-Qaida. Selon une information révélée par le New York Times , Zacarias Moussaoui, terroriste qui purge une peine de prison à vie pour avoir participé au 11 Septembre, a, depuis sa prison de haute sécurité du Colorado, livré un récit accusateur qui met en cause directement des hauts dignitaires de la pétromonarchie dans le financement du terrorisme international.
Dans ce témoignage datant d'octobre dernier et rendu public cette semaine, il a déclaré sous serment qu'al-Qaida recevait des dons de la part de membres de la famille royale saoudienne, et ce même après qu'Oussama Ben Laden ait déclaré la guerre aux États-Unis en 1998. «Sans l'argent des Saoudiens, on n'aurait rien», déclare-t-il dans ce témoignage recueilli par ses avocats.
Celui qui se présente comme le messager particulier du chef terroriste dans les années 1990 affirme avoir remis des lettres de Ben Laden en personne à de hauts dignitaires, dont le prince Salman, devenu roi d'Arabie saoudite il y a quinze jours. Le Figaro
Il est devenu impossible pour l'UE et les Etats-Unis de faire croire à leurs populations que l'Arabie Saoudite n'est pas un pays terroriste....
Pour désamorcer la bombe, ils ont même rédigé une note donnant des informations sur la provenance des fonds qui financent le terrorisme en Arabie Saoudite.
"Jusqu'à présent", regrette la même note, rédigée par l'ambassade des Etats-Unis à Riyad, "les donateurs [privés] en Arabie saoudite demeurent la principale source mondiale de financement de groupes terroristes sunnites".
Selon des sources saoudiennes", poursuit la note, "ces groupes, y compris le Hamas [palestinien] collectent probablement des millions de dollars annuellement, le plus souvent à l'occasion du pèlerinage [annuel de La Mecque] et de ramadan".
Au début de l'année 2010, des représentants du Trésor américains dédiés à la lutte contre ces réseaux de financement insistent auprès de leurs interlocuteurs sur son importance. Les Saoudiens admettent que le pèlerinage procure une "opportunité" pour les collecteurs de fonds.
Mais les Américains attirent leur attention sur un autre point : "les hauts responsables talibans, lorsqu'ils se rendent en Arabie saoudite pour participer à des discussions sur le thème de la réconciliation, se livrent également à la collecte d'argent". Le Monde
Mais le scandale d'aider les Saoudiens passe après l'espoir pour Macron qu'un attentat terroriste puisse le sauver de son impopularité gravissime. 1 Français sur 46 a voté pour son parti aux élections régionales de dimanche !
COMPLEMENT L'ARTICLE DU MONDE..... qui serait tombé dans l'oubli sans la réaction du Canard Enchaîné
Contrôlé à l’aéroport le 16 juin, cet homme a bénéficié d’une procédure de régularisation expresse, au grand dam des douaniers.
Ni communiqué triomphant ni photographie de liasses de billets de banque exhibées sur les réseaux sociaux. Cette fois, les douanes font profil bas. Pourtant, le contrôle opéré mercredi 16 juin à l’aéroport de Roissy - Charles-de-Gaulle avait de quoi figurer en bonne place au tableau des saisies d’argent liquide : 500 000 euros en coupures de 50 livres sterling, 50 et 100 euros, soigneusement empaquetés dans des pochettes translucides maintenues par des élastiques, et disposés à l’intérieur d’une banale valise. Les douaniers avaient de quoi pavoiser.
C’était sans compter les instructions de leur hiérarchie – et de deux ministères. Après plusieurs heures de négociations, le propriétaire de la valise bourrée de cash et son accompagnateur, en provenance de l’aéroport international saoudien Roi-Abdelaziz de Djeddah, ont été autorisés à s’envoler pour Nice. Avec leur bagage et, en prime, les excuses d’un responsable des douanes de l’aéroport.
Quelle belle prise, pourtant. Ce jour-là, alors qu’un vol régulier vient de se poser à Roissy, les contrôleurs de la brigade de surveillance extérieure procèdent à une opération de « sélection des passagers » entre le terminal F, qui accueille les vols en provenance de l’espace Schengen, et le E, qui reçoit les vols dits « tiers ». Deux voyageurs retiennent leur attention. S’ils n’opposent aucune résistance, les deux hommes insistent : rien à déclarer. A l’intérieur de la valise transportée par l’un d’eux, les douaniers découvrent pourtant un demi-million d’euros.
Déclaration sur Internet
Sur le papier, il s’agit d’un cas caractérisé de « manquement aux obligations déclaratives », un délit non puni d’emprisonnement mais qui entraîne notamment une lourde amende. En pareille hypothèse, les fonctionnaires à l’origine de la découverte sont tenus d’en informer leurs supérieurs directs et, en outre, les services spécialisés comme la direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières ou le service d’enquêtes judiciaires des finances. Ce que font aussitôt les douaniers de Roissy. Ils ne tardent pas à comprendre que la nationalité saoudienne des deux individus contrôlés et la qualité de diplomate prétextée par l’un deux posent un sérieux problème.
L’information remonte donc la chaîne hiérarchique, de la chef du service des douanes de l’aéroport jusqu’au directeur général en passant par le chef divisionnaire et le directeur interrégional. Puis, le cabinet d’Olivier Dussopt, ministre chargé des comptes publics, est avisé. Pour faire bonne mesure, le Quai d’Orsay – qui n’a pas répondu à nos sollicitations – est également averti. « Tout le monde a cherché à se couvrir et sortir d’un mauvais pas, assure une source de l’aéroport de Roissy. Le tout, au détriment des douaniers sur place qui ont fait un excellent travail et on dû manger leur chapeau sur ordre de leur hiérarchie, comme c’est souvent le cas avec les ressortissants de pays du Golfe. »
Plusieurs solutions sont alors envisagées. Faire jouer la qualité de diplomate dont se prévaut l’un des passagers contrôlés ? Impossible : contrairement à une fausse idée répandue, le personnel des ambassades ne peut se soustraire à un contrôle qu’à la condition de présenter un ordre de mission officiel en bonne et due forme. Or, ce n’est pas le cas. Faut-il autoriser les deux voyageurs à circuler, sans autre formalité ? L’affaire est trop sensible.
Après avoir phosphoré plusieurs heures, la haute hiérarchie douanière propose un véritable tour de passe-passe. Elle ordonne aux douaniers à l’origine du contrôle de rédiger un « Dalia » au bénéfice des deux Saoudiens. Cette déclaration d’argent liquide sur Internet doit théoriquement être effectuée par « toute personne physique qui transporte de l’argent liquide d’un montant égal ou supérieur à 10 000 euros ». Quant à la procédure, dématérialisée depuis le 3 juin, le site de l’administration des douanes précise qu’elle doit être effectuée au plus tôt trente jours avant la date d’un voyage et « au plus tard avant le franchissement de la frontière ».
« Un passe-droit officiel »
Après avoir évoqué une affaire « dont il est impossible de parler compte tenu des procédures en vigueur et, notamment, du secret fiscal », le cabinet de M. Dussopt a finalement indiqué que la situation des deux voyageurs avait été « régularisée suivant les procédures », en précisant que le ministre démentait fermement toute intervention, « comme c’est toujours le cas pour les dossiers personnels ».
Le transporteur de la valise n’ayant pas quitté la zone internationale au moment du contrôle, il n’avait donc pas encore franchi officiellement la frontière française au moment de sa déclaration en ligne. Il a donc, assure le cabinet ministériel, « régularisé spontanément sa situation après contrôle ».Interrogé sur la validité d’une telle procédure, le responsable d’un service des douanes s’étrangle : « Un contrôle sert précisément à détecter une situation anormale. C’est donc avant qu’il faut être en règle. Régulariser a posteriori, qui plus est en exigeant des douaniers de le faire à la place du transporteur, ça s’appelle un passe-droit officiel et une autorisation de blanchiment douanier. »
Mercredi 16 juin, les deux passagers ont finalement pu s’envoler pour Nice, où ils étaient impatiemment attendus, ont-ils expliqué, pour « livrer » les billets à un éminent membre de la famille royale saoudienne, en villégiature dans la région de Cannes.