article de Philippe Martinat truffé de mensonges |
Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
Le 30/04/2018
édité par Yanick Toutain
édité par Yanick Toutain
L'ex chef terroriste MNLA Hama Ag Mahmoud a dévoilé la vérité :
La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne,… en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France.(interview de Hama Ag Mahmoud un des principaux chefs terroristes MNLA)
Cette information fondamentale Philippe Martinat la camoufle aux Français.
Il ment par omission au service de Sarkozy, Puga, Juppé, Raincourt; Hollande, Le Drian, Macron, Fabius, Edouard Philippe qui devraient tous être en prison pour ces activités criminelles depuis 2011
Cette opération militaire avait été appelée "opération Serval".
Mais en même temps que l'armée faisait semblant de "stopper l'offensive jihadiste", l'Etat français finançait les jihadistes.
En octobre 2013, Hollande a versé 20 à 30 millions € à Iyad Ag Ghali.
Il ment par omission au service de Sarkozy, Puga, Juppé, Raincourt; Hollande, Le Drian, Macron, Fabius, Edouard Philippe qui devraient tous être en prison pour ces activités criminelles depuis 2011
Cette opération militaire avait été appelée "opération Serval".
Mais en même temps que l'armée faisait semblant de "stopper l'offensive jihadiste", l'Etat français finançait les jihadistes.
En octobre 2013, Hollande a versé 20 à 30 millions € à Iyad Ag Ghali.
Lire aussi : Le terroriste Iyad Ag Ghali leader d'Ansardine #JNIM protégé par l'Algérie et la France qui s'accusent mutuellement
Philippe Martinat ment par omission au service du complot terroriste de l'Elysée Sarkozy-Puga-Hollande-LeDrian-Macron.
Le chef-adjoint du service politique Le Parisien Aujourd'hui en France CAMOUFLE le SOUTIEN au terrorisme #depuisLElysée
Pour une fois le Parisien, journal Franceàfric, parle de l'Afrique, du Mali...Mais s'il parle du Mali, c'est pour mentir...
Il fait croire aux Français que l'armée française combat courageusement les terroristes au Mali alors qu'elle les aide depuis le début.
L'article de Philippe Martinat est intitulé "Mali, une guerre sans fin".
Un tissu de mensonges et d'omissions au service de la Franceàfric esclavagiste !
En ajoutant uniquement des informations factuelles à cet article - apologétique de l'armée française - on voit apparaitre une toute autre vérité.
Il suffit de regarder la chronologie qui est accolée au texte.
Cette chronologie omet de nombreuses dates.
Philippe Martinat a effacé toutes les dates qui permettraient de comprendre que le véritable objectif de l'armée française au Mali était d'y installer les terroristes - pour empêcher une Révolution anti esclavagiste dans tout le pré-carré français.
Il faut bien que les médiafric au service de Bolloré protègent leurs intérêt.
1,5 € par jour ! Bolloré a le pouvoir de payer les Africains de 20 à 66 fois moins que le salaire minimum en France dans le pré-carré français. Et Bolloré avec ses complices terroristes compte bien garder ce pouvoir esclavagiste... même s'il a été mis en examen récemment !
2012 : PHILIPPE MARTINAT "OUBLIE" QUE
SARKOZY A ENVOYÉ LES TERRORISTES ENVAHIR
LE MALI LE 17 JANVIER 2012
PHILIPPE MARTINAT "OUBLIE" QUE
LA RÉVOLUTION MALIENNE ANTI JIHADISTE DE MARS 2012 A RENVERSE ATT,
LE PRESIDENT FRANCEàFRIC DU MALI
EN l'ACCUSANT DE COMPLICITE AVEC MNLA ANSARDINE AQMI
Ce que dit Philippe Martinat pour l'année 2012 :
Ce qu'il omet de dire c'est le MNLA et les groupes liés à Aqmi ont pris le contrôle des villes de Kidal, Gao et Tombouctou sur recrutement en 2011 et sur commande de Sarkozy, du Général Puga et de Raincourt !
L'accord était qu'ils envahissaient le Mali en échange de la moitié nord du pays que ces terroristes appellent l'Azawad.
L'ex chef MNLA Hama Ag Mahmoud a dévoilé la vérité en janvier 2014 comme on le verra infra :
La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne,… en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France.(interview de Hama Ag Mahmoud un des principaux chefs terroristes MNLA)Cette information fondamentale Philippe Martinat la camoufle aux Français. Il ment par omission au service de Sarkozy, Puga, Juppé, Raincourt; Hollande, Le Drian, Macron, Fabius, Edouard Philippe qui devraient tous être en prison pour ces activités criminelles depuis 2011
Comme l'a avoué en janvier 2014 Hama Ag Mahmoud, pour réussir à envahir le Mali, il fallait suffisamment d'hommes pour constituer une armée. C'est donc en récupérant les soldats de l'armée libyenne que Sarkozy a pu constituer son armée.
Mon article intitulé "Ce sont Sarkozy, Fillon, Juppé, Baroin et le général Puga qui ont envoyé les jihadistes attaquer le Mali avec la complicité du président ATT" fut repris par Marocleaks et plus de dix sites africains :
"L’arsenal militaire de Kadhafi va alors être à la disposition de ces mêmes djihadistes contre le Mali. Les militaires au service de Kadhafi l’ont trahi pour la France comme Mohamed Ag Najem, ex colonel de Kadhafi.
C'est le 17 janvier 2012 que le MNLA, Ansardine, AQMI commencent à envahir le Mali.Mohamed Ag Najem, né à la fin des années 1950 dans l’Adrar des Ifoghas, au Mali1, est le chef militaire du Mouvement national de libération de l’Azawad. (…) Rejoint par plusieurs officiers maliens déserteurs, il prit la tête du MNLA et lança des attaques surMénaka, Aguel’hoc et Tessalit les 17 et 18 janvier 20122.Il est considéré comme un des leaders de la nouvelle rébellion touarègue et l’ennemi public numéro un au Mali1.Les 17 et 21 mai 2014, il commande les forces du MNLA lors des deuxième et troisième bataille de Kidal qui voient la victoire des forces rebelles contre l’armée malienne3.Du 26 au 28 octobre, les secrétaires-généraux et officiers du MNLA, du HCUAet du MAA se réunissent à Anéfis et le 29 ils annoncent la mise en place d’une coordination militaire regroupant les forces militaires des trois mouvements. Elle se compose de dix officiers et Mohamed Ag Najem en prend le commandement4,5.Baba Ahmed et Christophe Boisbouvier détaillent dans Jeune Afrique les moyens que détenaient les djihadistes face à l’armée malienne :
« Le MNLA, lui, a pris ses quartiers dans les collines autour de Zakake, au nord de Kidal, et revendique un millier d’éléments. Il y a là d’anciens soldats de l’armée libyenne revenus au pays et emmenés par Mohamed Ag Najem, ex-colonel de Kadhafi ; ils seraient un peu moins de 400. Dans le nord du Mali, ils ont retrouvé les hommes d’Ag Bahanga. Leurs armes sont des fusils d’assaut, des missiles (sol-sol et sol-air), des lance-roquettes multiples BM-21 (« orgues de Saline ») et des mortiers, tout droit venus des arsenaux libyens. « Les rebelles, fait-on remarquer à Bamako, sont presque mieux équipés que nos soldats. Pas étonnant qu’il y ait des désertions. » » (Jeune Afrique)"
Cette date Philippe Martinat l'oublie...
ATT AMADOU TOUMANI TRAORE
PRESIDENT DU MALI COORDONNAIT
L'ATTAQUE TERRORISTE DE SON PAYS LE 20 JANVIER 2012
Le 20 janvier 2012, nous avons la preuve que le Président Franceàfric du Mali ATT Amadou Toumani Touré était l'allié des jihadistes.Le capitaine Sékou Touré avait décroché le téléphone satellitaire des djihadistes qu'il leur avait confisqué l'avant-veille. Le téléphone des terroristes s'était mis à sonner le 20 janvier dans le casernement du régiment méhariste d'Aguel Hoc.
A sa grande surprise le capitaine était tombé sur le Président !
Le résistant Sékou Touré a été tué rapidement après cette découverte qui révélait le vrai complot Franceàfric.
L'ami de Sekou Traoré, Adama Sissoko témoigne (rapporté par Aliou Badara Diarra )
Cette preuve de l'alliance entre le Président Franceàfric et les djihadistes, Philippe Martinat n'en parle pas non plus !" Leur téléphone satellitaire communément appelé Thuraya est resté dans le bureau du capitaine. C’est dans la journée du 20 janvier au matin que le téléphone satellitaire extorqué aux chefs rebelles a sonné, au bout du fil c’était le Président ATT qui appelait, mais tombe sur le capitaine Traoré. C’est ce coup de fil gênant qui est à la base du massacre d’Aguel-Hoc du 24 janvier.
Ce coup de fil dont mon ami, le capitaine, m’a fait écouter dans la cour PC ou toutes communications sont enregistrées sur une unité centrale. Dans cette conversation on entendait le président ATT se présenter et dire : « Allô ! Il y a quoi chez-vous ? Il y a quoi chez-vous ?». Subitement le capitaine, pris de panique ou habité par la colère ou l’effet de surprise, se présente en ces termes : «vous vous trompez mon général. C’est le capitaine Sekou Traoré, commandant de l’unité méhariste d’Aguel-Hoc ». Bien entendu ATT a racroché brusquement et brutalement. C’est cette connivence du chef suprême des armées avec l’ennemi que le capitaine n’a pas du tout compris."(Maliweb par Aliou Badara Diarra, information reprise par Revactu) IpEaVaEaFaF
La rumeur de ce scandale parvint à la population et trois mois plus tard, le 22 mars 2012, le Président qui avait montré qu'il était l'allié des djihadistes a été renversé par la population: la révolution malienne de mars 2012. Une révolution qui vainquit le 22 mars mais qui - comme le 8 mars 1917 - fut commencée par des femmes :Les veuves, les soeurs, les filles, des soldats antifascistes morts le 24 janvier à Aguel Hoc, massacrés par les milices jihadistes ribanazies de Sarkozy.
Le 31 janvier 2012, les femmes de Kati avaient manifesté contre les jihadistes et avaient dénoncé la complicité du nouveau Président avec les jihadistes.
Voici un extrait de mon article sur les femmes de Kati qui ont commencé la révolution malienne.
Les femmes de Kati ont commencé la révolution malienne le 31 janvier 2012
Elles marchent dans les rues de Kati, ville située au Mali à 15 km de la capitale, accompagnées de leurs enfants. Durant huit heures, il sera impossible d'entrer dans la ville. Leur mouvement a entraîné d'autres habitants de Kati qui les ont rejoint.
Dès 9h du matin, ces femmes se sont rassemblées à la place des Martyrs. Elles ont marché avec leurs pancartes où l'on pouvait lire "A bas ATT assassins de nos soldats".
L'une d'entre elles exprime le sentiment général des manifestantes.
"Les larmes aux yeux, la gorge nouée, une frêle jeune fille, à peine sortie de l’enfance, criait comme pour se faire entendre de tout le pays : « Nous ne supportons plus d’assister les bras croisés à l’assassinat de nos pères et de nos frères, mal armés, au nord du Mali »."(maliweb)Le nombre de manifestants étaient de 500.
Les manifestantes ont marché devant le siège de la radiotélévision du Mali
(ORTM) et finissaient leur manifestation à Koulouba, là où se trouvait le Président de la République du Mali.
Le chef d’État major des armées, le général Gabriel Poudrougou et le ministre de la Défense et des anciens combattants, M Natié Pléa ont cherché à apaiser les tensions, en vain.
Les femmes ont exigé de rencontrer le Président. Devant leur insistance, le Président a accepté de recevoir une délégation de 4 femmes et un homme. Sekou Keita, porte parole des manifestants a résumé leur entretien :
"Le Président a nié toutes les allégations. Il nous a dit qu'il n'est pas de mèche avec les rebelles et qu'il n'a pas donné l'ordre à qui que ce soit de ne pas tirer sur les bandits armés". IpEaVaEaFaF
La révolution que craignaient Sarkozy, Puga, Blaise Compaoré et Bolloré pour le 15 octobre 2012 à Ouagadougou, au Burkina Faso, se produisit au Mali sept mois plus tôt : Envoyer des jihadistes au Mali puis au Burkina Faso avait été un plan stupide puisque la révolution (qui se produisit finalement le 30 octobre 2014 à Ouaga) se déclencha sept mois avant le 25° anniversaire de l'assassinat de Thomas Sankara.
Cela déclencha la fureur de Sarkozy qui fit cette déclaration à l'époque :
La destitution du président malien est un scandale, a affirmé M. Sarkozy devant la presse. M. Touré est un démocrate qui avait choisi de ne pas se représenter aux élections, donc il n'y avait aucune raison valable d'interrompre le processus présidentiel, c'est un scandale, a-t-il insisté.
Nous condamnons le coup d'Etat, nous demandons aux mutins de revenir à un processus constitutionnel, c'est à dire de laisser partir +M. ATT+ et de laisser le processus présidentiel revenir à ce qu'il est normalement, a enchaîné le chef de l'Etat. Malijet
Comme le journaliste du Parisien est à moitié raciste, son article laisse croire que les Maliens seraient de pauvres abrutis quasiment tous terroristes, il écrit :
"Les 12 000 casques bleus déployés semblent impuissants. Harcelés par les djihadistes, ils ne quittent guère leurs casernements. Les forces armées maliennes (Famas) peinent toujours à s’imposer sur le terrain et une certaine porosité existe entre les groupes armés parties prenantes des accords de paix avec l’Etat malien et les mouvements terroristes affiliés à Al Qaïda ou à Daech qui ne comptent que quelques centaines de combattants permanents mais ont des relais incontestables dans la population."(Le Parisien)Alors que les anti ribanazis sont majoritaires parmi les Maliens et qu'une Révolution a démarré contre eux !
2013 : LE JOURNALISTE DU PARISIEN NE PARLE PAS DU VERSEMENT DE 20 A 30 M€ AU CHEF DES TERRORISTES IYAD AG GHALI PAR HOLLANDE
Pour l'année 2013, voici les dates retenues par le journaliste Franceàfric :
ENVAHIR LE MALI POUR SAUVER DIONCOUNDA TRAORE PRESIDENT FANTOCHE COMPLICE DES TERRORISTES MNLA ANSARDINE
#Hollande #Puga #LeDrian #Macron ont ENVAHI le #Mali janvier 2013 pour SAUVER le #Gouvernement #DioncoundaTraoré menacé d'une #REVOLUTION ANTI #TERRORISTES #MNLA #Ansardine que #Sarkozy avait recrutés et missionnés #24janvier2012 #ATT coordonnait #AguelHochttps://t.co/UxQcT5M0Bx pic.twitter.com/fGrchqf1fW— Yanick Toutain (@YanickToutain) 30 avril 2018
LE 14 JANVIER LE MONDE (JEAN-PHILIPPE REMY)
SAVAIT ENCORE LA VERITE:
EMPECHER UNE NOUVELLE REVOLUTION DES ANTIFASCISTES
L'armée française à cette époque a "combattu" des jihadistes qui avaient été mis en place par ses chefs.#Mali "Loin du nord du pays, il y a un homme que l'#arméefrançaise a contribué à sauver, (..) le président par intérim, #DioncoundaTraoré"#Serval=#ComplotTerroriste #DepuisLElysée— Yanick Toutain (@YanickToutain) 30 avril 2018
14/1/2013 #LeMonde #JeanPhilippeRémy ECRIVAIT LA #VÉRITÉ
VS #médiaFric https://t.co/gafE1KJKyS
Cette opération militaire avait été appelé "opération Serval".
RÉCOMPENSER LE CHEF DES JIHADISTES: IYAD AG GHALI
20 à 30 MILLIONS D'EUROS POUR PLUS DE 100 CRIMES
Mais en même temps que l'armée faisait semblant de "stopper l'offensive jihadiste", l'Etat français finançait les jihadistes.En octobre 2013, Hollande a versé 20 à 30 millions à Iyad Ag Ghali.
Le terroriste a été payé 20 millions d'euros par François Hollande en octobre 2013 en remerciement. Le président français à contraint IBK le président du Mali à lui donner l'impunité pour ses crimes passés. Le leader de Ansar Eddine se promène depuis dans le Nord Mali et, avec l'argent de son protecteur François Hollande a pu recruter de nouveaux psychopathes pour ses attaques de décembre 2014 et janvier 2015 Revactu
"plusieurs sources évoquent le versement d’une somme de 20 millions d’euros." RFI
Fin octobre 2013, aux élections législatives le bras droit d'Iyad Ag Ghali, le chef terroriste Ahmada Ag Bibi est élu député socialiste en tant que candidat RPM section malienne de l'Internationale Socialiste; Hollande et Le Drian ont tordu les bras du procureur général du Mali: Daniel Tessougue
Quand un procureur CROIT VRAIMENT à la lutte #antiterrorisme et qu'il fait la #LISTETessougué de #terroristes #MNLA #jihadistes #Ansardine #MUJAO (#JNIM) #narcotrafiquants à INTERPELLER— Yanick Toutain (@YanickToutain) 20 décembre 2017
que se passe-t-il ?#TESSOUGUE SE FAIT VIRER de son poste par #IBK #Hollande #LeDrian #Fabius pic.twitter.com/AX6GrxyOnU
"Seule certitude, certains des mandats d'arrêt émis à la fin 2012 contre des leaders touaregs ont été levés. Parmi les bénéficiaires, on trouve Ahmada ag Bibi, membre éminent de la communauté de Kidal, la «capitale» des Touaregs maliens, mais aussi les frères Mohammed et Alghabass ag Intallah, fils et héritiers de vieil Aménokal, le puissant chef des Iforas de Kidal. Tous trois, députés, ne risquent plus d'être arrêtés. Faut-il voir là une concession offerte contre les captifs? «C'est un mouvement pour que nous allions vers la réconciliation», a juste assuré au Figaro Alghabass ag Intallah, ancien bras droit de Iyad ag Ghaly au sein d'Ansar Dine." Le Figaro
2014 : OMISSION DES AVEUX D'AHMADA AG MAHMOUD - CHEF MNLA - DÉVOILANT QUE C'EST SARKOZY QUI LES A ENVOYÉS ENVAHIR LE MALI
L'année 2014 se résume à ces quelques dates pour le journaliste.
Sauf que l'année 2014, c'est d'abord l'année des aveux de l'ex chef MNLA !
Les confidences en janvier 2014 de Ahmada Ag Mahmoud ont révèlé à tous que Sarkozy avait envoyé les jihadistes au Mali.
La France aurait donc poussé le MNLA à occuper les villes du Nord du Mali ?
– Oui tout à fait. La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne, pendant la guerre de Libye. Ensuite de bloquer le recrutement des libyens dans l’Azawad et dans l’Aïr au Niger.
« La France nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad »
Et en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France. Et immédiatement la guerre gagnée par le MNLA, la France a changé complètement de politique. Elle a mis tout son dispositif diplomatique contre le MNLA. Alors conclusion, l’objectif de la France était tout simplement d’affaiblir le gouvernement malien et je peux vous assurer que ce n’était pas pour donner raison au MNLA. Mali Actu
Les journaux maliens ont repris l'information mais pas la presse française, qui, 4 ans plus tard, continue de faire l'omerta !
2015 : LE JOURNALISTE OUBLIE QUE ANSARDINE A ÉTÉ ENVOYÉ PAR SORO ET BASSOLE ATTAQUER LA GENDARMERIE DE SAMOROGOUAN
La date retenue par le journaliste pour 2015 :Ce journaliste Franceàfric oublie soigneusement de dire que le 9 octobre Ansardine est envoyé par Soro et Bassolé attaquer la gendarmerie de Samorogouan avec le feu orange de l’Élysée Hollande Puga Macron.
Pour organiser un coup d'état contre la révolution burkinabè qui avait viré leur chef - Blaise Compaoré - les deux terroristes Franceàfric Soro et Bassolé organisent une attaque jihadiste pour faire diversion et réussir le coup d'Etat.
Manque de chance pour eux, ils sont écoutés par le Burkina et les écoutes sont rendues publiques.
Mondafrique révèle que l'Elysée était derrière ce coup d'Etat. Les milices jihadistes qui devaient attaquer la gendarmerie de Samorogouan étaient celles qu'avaient financé Hollande peu de temps auparavant.
extrait d'un de mes articles :
Gnassingbé mouillé jusqu'au cou dans le putsch Soro Diendiéré Bassolé Ouattara téléguidé par l'Elysée
Feu orange de l'Elysée c'est le titre de Mondafrique.
Burkina, feu orange de la France en faveur du coup d’Etat
Un titre explicite.
Si les chefs français ont laissé faire le coup d'état de septembre 2015 alors qu'ils connaissaient tout de sa préparation, c'est qu'ils acquiesçaient.
Blaise Compararé était le Président franceàfric préféré de la France, il était de tous les crimes, de toutes les préparations de coup d'état de la France, toujours là pour collaborer et obéir aux dictats des patrons esclavagistes français ... alors ... bien entendu quand il a fallu lâcher leur valet Blaise Compaoré parce que la pression de la population était trop grande, les dirigeants français n'étaient pas contents.
Un coup d'état pour mettre fin à une Révolution qu'il avait pourtant réussi à contenir en s'arrangeant pour empêcher les CDR de Sankara. Avec des leaders de pacotilles de l'Innovoisie, le Balai Citoyen qui craignaient les pauvres, les ex missionnaires de Compaoré sont devenus les hommes du nouveau pouvoir.
Que les dirigeants français soient derrière le coup d'Etat au Burkina en septembre 2015 n'étonne personne, en tout cas pas ceux qui s’intéressent à la Franceàfric.
Les dictateurs Franceàfric ne sont que les valets des chefs français qui obéissent eux même aux patrons de la Bourgeoisie esclavagiste qui paient 50 euros par mois les Africains. IpEaVaEaFaF
2016 : NOMINATION DE LA CHEF TERRORISTE NINA WALLETT INTALOU MINISTRE DU TOURISME COMPLICE DU JIHADISTE AHMADA AG BIBI DEPUTE RPM ET MEMBRE DE L'INTERNATIONALE SOCIALISTE
La date du journaliste Franceàfric :La CMA dont parle le journaliste du Parisien est un groupe de terroristes ex jihadistes protégés par Bamako et l'Elysée.
Bien entendu, le journaliste ne donne pas cette précision !
Il omet aussi de dire que le 7 juillet 2016, la chef terroriste MNLA Nina Walett Intalou est nommée ministre du tourisme et de l'artisanat au Mali..... par IBK baron de l'Internationale Socialiste. Le même IBK qui a fait élire député le jihadiste de Kidal !
"Nina Wallet Intalou, figure du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) et de la lutte indépendantiste touarègue, a été nommée ministre de l’Artisanat et du Tourisme."Jeune Afrique
Cette criminelle, chef terroriste MNLA était invitée en France par Hollande Gattaz, Le Drian avec comme protecteur le Young Leader Matthias Fekl.......
Matthias Fekl parrain de la chef terroriste MNLA Nina Wallet Intalou criminelle de Aguel Hoc avec Hollande et Gattaz MEDEF Forum Agyp
... complice des terroristes MNLA ce Matthias Fekl fut donc nommé en 2017 ministre de l'intérieur !... Il avait montré qu'il avait les compétences criminelles pour ce poste !
2017 ET 2018 : LES SOIT DISANT AUTORITÉS INTERIMAIRES SONT TRUFFÉES DE TERRORISTES PROTÉGÉS PAR LA DGSE
Encore une fois, Philippe Martinat tente de nous faire croire que la France combattrait le terrorisme.
Sauf que les autorités intérimaires sont truffées de terroristes protégés par la DGSE.
Et que le chef de tous les terroristes Iyad Ag Ghali est ultra protégé par la France.
Pourtant le journaliste titre "Iyad Ag Ghali un terroriste très recherché".
Contredit par Jeune Afrique qui, il y a quelques mois, rapportait les propos ironiques d'un responsable algérien :
"Si les Français le voulaient vraiment, ils le mettraient hors d'état de nuire : ils en ont tous les moyens", souligne un responsable algérien. Jeune Afrique N° 2971-72-73.(repris dans mon article IpEaVaEaFaF)