lundi 30 novembre 2020

"Les pétitionnaires du 16 mai 1988" Le traitre Roch Marc Christian Kaboré avait rejoint en connaissance de cause Blaise Compaoré l'assassin de Thomas Sankara. Roch Kaboré a trahi son parti UCL(R) et les jeunes qui voulaient manifester le 20 mai 1988 pour la Journée anti-impérialiste de la Jeunesse qui seront torturés par sa faute

par Yanick Toutain 
et Julie Amadis
1° décembre 2020
REVACTU
#IpEaVàEaFàF,

Comme on pouvait s'y attendre, les manifestations eurent lieu le 19 Mai 1988 et nombreux furent nos camarades étudiants et élèves arrêtés et torturés.

Dans la soirée du 21 Mai 1988, en rentrant chez moi, je fus arrêté par les agents de la Direction de la Sécurité Publique commandée par le Commissaire Alain Ouilma. Le 23 Mai, Alain Coéfé se serait présenté au bureau du Capitaine Yé Bognessan Arsène, coordonnateur national des Structures Populaires, muni de leur pétition pour se justifier et avec lui ses camarades co-signataires.

Maintenant, Blaise Compaoré exige de ses commissionnaires la dissolution de l'U.L.C.(R) au sein de l'O.D.P./M.T. Et Basile Guissou ainsi que Rock Kaboré qui se sont d'eux-mêmes exclus de l'Organisation par leur pétition du 16 Mai 1988, ont entrepris d'engager les pourparlers avec l'O.D.P./M.T., au nom de la direction de l'U.L.C.(R) en vue de cette auto-dissolution de l'Organisation. Et pour arriver à leurs fins, c'est la question du bilan critique de notre participation au C.N.R. qu'ils mettent en avant. Paradoxalement, ils n'ont pas attendu de procéder à un tel bilan pour décider de participer au gouvernement du Front «Populaire» de Blaise Compaoré: Rock Kaboré est l'actuel ministre de l'Equipement et des Transports du gouvernement du Front «Populaire».

Extraits de l'Espoir Assassiné de Valère Somé


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dimanche 29 novembre 2020

80 000 CDR #1pour25 pour que RMC Kaboré DEGAGE ! L'assassin de Sankara et des CDR veut diriger le Burkina Faso sans CDR et avec un quart des adultes contre les trois quarts plus les jeunes

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
29/11/2020

Thomas Sankara :
"Nous avons invité le peuple dans la nuit du 4 août, à se constituer partout en Comités de défense de la révolution  parce que nous ne nous faisions pas d'illusion : la révolution allait être attaquée. Elle l'a été, elle l'est et elle le sera.
Donc, les Comités de défense de la révolution l'ont été, le sont et le seront.
[Applaudissement] Rien de ce qui a été fait de positif sous la révolution n'a pu être réalisé sans les CDR..
Se détourner des CDR, c'est se faire à soi-même du tort ; à moins que l'on ne soit en mesure de quitter le Burkina Faso.
Nous avons besoin des CDR et nous aurons toujours besoin des CDR quelle que soit la forme qu'un jour ils pourraient prendre."

LIRE L'ARTICLE PRECEDENT

samedi 21 novembre 2020

"Les pétitionnaires du 16 mai 1988"
Le traitre Roch Marc Christian Kaboré avait rejoint en connaissance de cause Blaise Compaoré l'assassin de Thomas Sankara.
Roch Kaboré a trahi son parti UCL(R) et les jeunes qui voulaient manifester le 20 mai 1988 pour la Journée anti-impérialiste de la Jeunesse qui seront torturés par sa faute


Quand un contre-révolution est fragile, elle doit embaucher à grande vitesse des traitres pour stabiliser son pouvoir.
RMC Kaboré fut rapidement approché par le groupe des assassins de Sankara pour poignarder dans le dos Valère Somé et tous les révolutionnaires sincères qui restaient sankaristes malgré le déluge de mensonges proférés par les agents de l'ambassade de France.
On verra donc Kaboré rédiger un courrier à la direction de l'ULC(R) pour indiquer à Blaise Compaoré qu'il pouvait torturer les jeunes sans aucun risque.

Comme on pouvait s'y attendre, les manifestations eurent lieu le 19 Mai 1988 et nombreux furent nos camarades étudiants et élèves arrêtés et torturés.

Dans la soirée du 21 Mai 1988, en rentrant chez moi, je fus arrêté par les agents de la Direction de la Sécurité Publique commandée par le Commissaire Alain Ouilma. Le 23 Mai, Alain Coéfé se serait présenté au bureau du Capitaine Yé Bognessan Arsène, coordonnateur national des Structures Populaires, muni de leur pétition pour se justifier et avec lui ses camarades co-signataires.

Maintenant, Blaise Compaoré exige de ses commissionnaires la dissolution de l'U.L.C.(R) au sein de l'O.D.P./M.T. Et Basile Guissou ainsi que Rock Kaboré qui se sont d'eux-mêmes exclus de l'Organisation par leur pétition du 16 Mai 1988, ont entrepris d'engager les pourparlers avec l'O.D.P./M.T., au nom de la direction de l'U.L.C.(R) en vue de cette auto-dissolution de l'Organisation. Et pour arriver à leurs fins, c'est la question du bilan critique de notre participation au C.N.R. qu'ils mettent en avant. Paradoxalement, ils n'ont pas attendu de procéder à un tel bilan pour décider de participer au gouvernement du Front «Populaire» de Blaise Compaoré: Rock Kaboré est l'actuel ministre de l'Equipement et des Transports du gouvernement du Front «Populaire».

Pour entraver le marchandage dont l'Organisation est l'objet, la direction de l'U.L.C.(R) a rendu publique une déclaration par laquelle elle suspend toutes les activités publiques de l'U.L.C.(R) en dénoncant à l'avance tout «trafic» qui sera effectué en son nom. Et c'est pour s'être opposés à cette machination que les membres de la direction de l'U.L.C.(R) restés sur place ont été arrêtés et sauvagement torturés dans le cadre de la prétendue «tentative de déstabilisation» du régime de Blaise Compaoré, par le Capitaine Boukary Kaboré, le 20 Décembre 1989 

REVOLUTION CDR 1984 CONTRE REVOLUTION ANTI CDR 1988

Les évènements du mois de mai 1984 annoncèrent ceux du moi de mai 1988. Mais avec une inversion de la réalité

16 Mai: Le Conseil des Ministres déclare la journée du 20 Mai: «Journée Anti-Impérialiste de la Jeunesse.»
21 Mai: Eviction du gouvernement de Ibrahima Koné, Ministre de la Jeunesse et des Sports (membre du P.A.I.), suite aux manifestations commémoratives de la «Journée Anti-Impérialiste de la Jeunesse».
28 Mai: - Découverte d'un complot contre le C.N.R. dirigé par le Colonel Didier Tiendrébéogo, et nombre d'officiers dégagés de l'Armée après le 4 Août 1983. C'est le complot des Mossis du Centre. - Publication du statut des C.D.R 

La Journée Anti-Impérialiste de la Jeunesse initiée en 1984 sera 4 ans après le point de ralliement de la jeunesse sankariste pour dénoncer les assassins.

Ces jeunes furent torturés par les nouveaux amis de Kaboré.
Le traitre Ibrahima Koné était en 1984 un agent saboteur de la formoisie compradore, comme tous les stalinofasciste, leur objectif était de permettre à la formoisie française et européenne de continuer à profiter des miettes des impérialistes. PAI, LIPAD et autres groupes crypto (pseudo) communistes étaient en réalité des organisations contre-révolutionnaires infiltrées.
Ils étaient les auxiliaires des complots de l'impérialisme pour détruire les CDR.
Ce même 28 mai 1984 vit la publication du statut général des CDR 

MARDI 20 OCTOBRE 2015

CDR Statut général des Comités de Défense de la Révolution 17 mai 1984 + 30 propositions d'amendements 2015


par Yanick Toutain
20/10/2015

"Laissez les tenants de la démocratie dite pure
 à leurs pleurnicheries et à leurs atermoiements. 
Laissez s'indigner et se scandaliser les juristes
 et autres érudits, tous obnubilés par des procédures
 et des protocoles dont ils n'ont pas encore saisi 
les intentions mystificatrices pour le peuple, 
et faisant du magistrat drapé dans sa toge
 et affublé de son épitoge, parfois en perruque,
 un guignol qui suscite chez nous révolutionnaires,
 de la compassion" 
Thomas Sankara

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SAMEDI 20 JUIN 2015

DETRUIRE LE STATUT GENERAL DES CDR, ASSASSINER LES REVOLUTIONNAIRES
RMC KABORE RALLIA LE GROUPE DES ASSASSINS DE SANKARA


#ValèreSomé avait donné toutes les preuves de la trahison de RMC #Kaboré qui avait rejoint l'assassin #BlaireCompaoré...

Publiée par Yanick Toutain sur Lundi 30 novembre 2020

#ValèreSomé avait donné toutes les preuves de la trahison de RMC #Kaboré qui avait rejoint l'assassin #BlaireCompaoré dès le crime 
#RMCKaboré faisait partie du groupe des traitres qui se sont empressés de cirer les chaussures de #Compaoré !
++++ 
CITATION EXTRAITE DE THOMAS SANKARA "L'ESPOIR ASSASSINE"
1°) L'Union de Lutte Communiste-Reconstruite (U.L.C.(R))
C'est contre cette Organisation et ses membres que tout le poids de la répression du régime du Front «Populaire» s'est abattu.
Lors du ratissage organisé contre les partisans sankaristes, nombre de membres dirigeants de cette Organisation furent arrêtés et torturés: Firmin Diallo, Charles Somé, Basile Guissou ainsi d'ailleurs que l'auteur de cet ouvrage, Valère D. Somé('). Kambiré Gilbert lui a réussi à échapper aux mailles du filet.
Durant cette période de répression, il apparut une tendance au sein de l'organisation, animée par Rock Kaboré et Alain Coéfé, qui chercha à intégrer l'U.L.C.(R) au sein du Front «Populaire». Ces deux camarades usèrent de l'argument de la «préservation de la vie des membres de l'Organisation détenus», pour essayer de faire entériner leurs dispositions personnelles à la collaboration.
De ma cellule de détention, je réussis à influencer les débats au sein de l'Organisation en exhortant les camarades sincères à se tenir fermement dans la voie du refus. Cette attitude fut soutenue par la majorité des membres de 1'U.L.C.(R).
===

LA LETTRE DU 16 MAI 1988 signée par le TRAITRE RMC KABORE et ses 3 COMPLICES "Pour le Bilan Critique, En Avant!...

Publiée par Yanick Toutain sur Lundi 30 novembre 2020


LA LETTRE DU 16 MAI 1988 signée par le TRAITRE RMC KABORE et ses 3 COMPLICES 

"Pour le Bilan Critique, En Avant! Salutations communistes.

Ouagadougou le 16 Mai 1988» (Ont signé: Alain Coéfé, Basile Guissou, Blaise Kyélem et Rock Kaboré)"

#ValèreSomé avait donné toutes les preuves de la trahison de RMC #Kaboré qui avait rejoint l'assassin #BlaireCompaoré dès le crime

#RMCKaboré faisait partie du groupe des traitres qui se sont empressés de cirer les chaussures de #Compaoré !

++++

CITATION EXTRAITE DE THOMAS SANKARA "L'ESPOIR ASSASSINE"

Quelques semaines auparavant, l'U.L.C.(R) avait encouru les menaces d'une répression sans précédent au cas où les manifestations d'élèves et étudiants auraient lieu. Ces derniers voulaient profiter de la commémoration de la journée Anti-Impérialiste de la Jeunesse (fixée au 20 Mai 1987) pour organiser leurs propres manifestations.

Les menaces eurent pour résultat de semer une peur panique dans nos rangs. Il y eut des défections. Aux éléments longtemps disposés à collaborer avec le Front «Populaire», s'est joint Basile Guissou. Détention et tortures ont-elles réussi à briser en lui toute velléité de lutte? Cette capitulation, il allait la justifier après coup par une prétendue «divergence» survenue entre lui et moi quant aux voies et moyens qu'il nous faudrait désormais utiliser pour le triomphe de nos idées.

Lui, Basile Guissou, serait désormais partisan de «la voie constitutionnelle de lutte» tandis que je demeurais attaché à «la voie putschiste militaire» de prise de pouvoir.

Il n'est nul besoin pour moi d'affirmer qu'une telle «divergence» ne s'est jamais exprimée et qu'il s'agit d'une argumentation a posteriori pour justifier une conscience coupable.

Sous l'effet de la peur d'une éventuelle répression, les signataires déposèrent dans la nuit du 16 Mai 1988 la pétition suivante:

«LETTRE AU BUREAU POLITIQUE ET AU COMITÉ CENTRAL DE

L'UNION DE LUTTE COMMUNISTE RECONSTRUITE U.L.C.(R)

Il y a de cela dix ans, en 1978, nous avions rompu idéologiquement, politiquement et organisationnellement avec l'Organisation Communiste Voltaïque (OCV) pour créer l'Union de Lutte Communiste (ULC) devenue en Mars 1984 U.L.C.(R). Dix années au cours desquelles nous avons impulsé et soutenu un courant politique dont les principales thèses ont largement influencé la vie politique de notre pays ces dernières années.

Aujourd'hui, nous sommes de nouveau à la croisée des chemins car il nous faut franchir une étape supplémentaire dans la recherche des solutions les meilleures pour l'émancipation véritable de notre peuple à travers un effort de réflexion critique sur cette période riche d'expériences théoriques et pratiques.

Il y a encore quelques semaines, un consensus s'était dégagé en notre sein pour procéder à un bilan critique de notre Organisation et dégager des perspectives nouvelles. En d'autres termes, prendre acte de la faillite de la ligne politique que nous avions suivie jusqu'alors et, notamment depuis le C.S.P., tirer les enseignements de notre participation au C.N.R. et des événements du 15 Octobre au même titre que toutes les autres forces politiques afin de nous renforcer.

Ce bilan critique, nous le voulions pour une fois, réel et approfondi, suivi d'un engagement de chaque militant à travailler au renforcement de l'Organisation.

Cependant, force est de constater que ce consensus est remis en cause par des affirmations du genre: "Les conditions ne sont pas réunies pour le bilan" et le refus de convoquer depuis plus de trois mois le Comité Central et le Bureau politique de notre organisation, laissant nos militants dans le désarroi le plus total. Une telle démission a favorisé le développement au sein de notre Organisation des pratiques que nous pensions à jamais révolues; ragots de couloirs, dénigrements et tentatives d'isolement des camarades qui posent la nécessité du bilan. Bref, un effritement quotidien de notre unité idéologique, politique et organisationnelle.

En lieu et place du débat franc et direct qui élève le niveau théorique des militants et renforce l'unité de l'Organisation, on a préféré développer les commérages. Mieux, des initiatives sont prises sans consulter les membres du Comité Central et du Bureau Politique.

Cette volonté manifeste de ne pas faire le bilan, de continuer à contempler la situation et d'être à la remorque des événements vise à liquider à petit feu notre Organisation.

C'est pourquoi, pour parer au blocage qui plonge l'U.L.C.(R) dans une quasi-léthargie et désoriente nos militants au moment où des choix tactiques et stratégiques clairs s'imposent, Nous, membres du Comité Central et du Bureau Politique, Signataires de la Présente, en accord avec les militants qui partagent notre point de vue sur la situation actuelle de l'Organisation, avons décidé de:

- Nous désengager de l'U.L.C.(R) dont les prises de positions et décisions à compter de ce jour ne nous lient plus.

- Nous atteler, sans polémique stérile, à faire un bilan critique de nos dix années de lutte, seule base objective pour participer à la lutte pour l'émancipation véritable de notre peuple.

Pour le Bilan Critique, En Avant!

Salutations communistes.

Ouagadougou le 16 Mai 1988»

(Ont signé: Alain Coéfé, Basile Guissou, Blaise Kyélem et Rock Kaboré)

Des quatre signataires, seul Alain Coéfé était membre du Bureau Politique de l'Organisation.

Basile Guissou, malgré le fait qu'il s'auto-proclamait à l'extérieur du pays «premier dirigeant de l'Organisation» (lors de ses missions en tant que ministre des Relations Extérieures), avait longtemps été maintenu à la base comme simple militant - cette décision ayant été prise pour sanctionner son premier acte de trahison vis-à-vis de l'U.L.C. en Octobre 1979. Ce n'est qu'au mois de Mai 1987, sur proposition d'Alain Coéfé, qu'il fut relevé au rang de membre du Comité Central.

Quant à Kyélem Blaise, il était tellement déconsidéré pour ses pratiques de corruption, que l'Organisation aurait dû l'exclure depuis longtemps.

Telle est la physionomie des pétitionnaires du 16 Mai 1988.

La réaction de la Direction de l'U.L.C.(R) fut prompte. Il était plus que clair que ces quatre camarades couraient au devant des événements pour dénoncer leurs camarades et du même coup se blanchir aux yeux du régime.

Mesurant les menaces qui pesaient sur elle, la Direction entreprit de répondre à la «Lettre» des quatre pétitionnaires. Cette réponse date du 17 Mai 1988:

«Aux Camarades membres du C.C. de l'U.L.C.(R), Co-signataires de la lettre en date du 16 Mai 1988 adressée au Bureau Politique et au Comité Central de l'Organisation (Camarades Coéfé Alain, Basile Guissou, Roch Kaboré, Kyélem Blaise).

Nous accusons réception de votre lettre ci-dessus mentionnée. Afin de mieux instruire les points qu'elle soulève, au sein de l'Organisation, il est de notre devoir d'exiger de vous des éclaircissements supplémentaires:

1°) Nous constatons avec satisfaction, que votre initiative est motivée par votre sincère désir d'empêcher la liquidation entreprise à "petit feu" de notre Organisation. Cependant, force est de douter de votre bonne foi, du fait de certains actes et agissements posés par nombre d'entre vous ces derniers temps.

2°) S'il est en accord avec les principes organisationnels que des membres d'une cellule, ou d'une instance quelconque se concertent et agissent en commun accord pour interpeller une autre instance de l'Organisation, cela devient purement des attitudes anti-organisationnelles, lorsque des militants appartenant à des instances différentes, supposées par conséquent s'ignorer, agissent d'un commun accord pour interpeller une autre instance de l'Organisation.

Vous-mêmes affirmez avoir agi "en accord avec des militants qui partagent (votre) point de vue".

3°) L'unique divergence à partir de laquelle vous avez élaboré votre lettre, se réduit à l'acceptation ou au refus de procéder à un bilan critique de notre Organisation. Vous accusez les autres membres du C.C. et du Bureau Politique de faire preuve de volonté manifeste de ne pas effectuer le bilan critique. Cela nous surprend. D'ailleurs, vous affirmez le non fondement d'une telle accusation lorsque vous écrivez: "Cependant, force est de constater que ce consensus est remis en cause par des affirmations du genre: les conditions ne sont pas réunies pour un bilan".

Quoique inexacte (car il s'est agi de conditions qui ne sont pas réunies pour réunir le C.C. ou le B.P.), vous affirmez cependant l'acceptation de la nécessité du bilan.

En outre des raisons ont été avancées pour justifier l'inopportunité de la convocation de ces deux instances. Il aurait fallu démontrer l'inconsistance des raisons avancées.

4°) Vous parlez d'initiatives qui "sont prises sans consulter les membres du Comité Central et du Bureau Politique". Vous nous aideriez en nous explicitant une telle accusation. Puisqu'à notre connaissance, aucune initiative n'a été prise au nom de l'Organisation.

5°) Il serait utile pour l'ensemble de l'Organisation que vous clarifiez le sens de vos décisions finales:

- que signifie "se désengager de l' U.L.C.(R) dont les prises de positions et décisions à compter de ce jour ne (vous) lient plus"?

Doit-on comprendre que par cette décision vous cessez d'appartenir à l'Organisation?

De quelles "prises de positions et décisions" de l'U.L.C.(R) s'agit-il?

Comment l'U.L.C.(R) peut-elle prendre des positions et des décisions, sans que le B.P. ou le C.C. ne se réunissent?

Votre décision de "(vous) atteler (...) à faire un bilan critique de nos dix années de lutte", dans quel cadre comptez-vous le faire si comme on peut le supposer vous n'avez pas rompu les liens avec l'Organisation?

C'est mus par le désir sincère de comprendre au mieux les termes de votre lettre, convaincus que nous sommes que l'Organisation doit se renforcer par l'engagement non formel mais pratique et conséquent de chaque militant, que nous vous invitons à préciser ces points.

Et le militant ne peut travailler conséquemment au renforcement de l'Organisation, que s'il met en pratique le respect des principes organisationnels.

C'est justement le respect des principes organisationnels qui met un frein aux ragots de couloir, dénigrements et autres attitudes fractionnistes et scissionnistes que vous dénoncez dans votre lettre.

Peut-on être moralisateur, si l'on veut combattre le mal en pratiquant le mal?

Avec toutes nos militantes considérations.

Pour le S.P. du B.P. de l'U.L.C.(R)

Valère D. Somé.»

Cette lettre est restée jusqu'à nos jours sans réponse car l'intention des signataires n'était pas d'engager une discussion positive. Leur pétition avait pour unique but de se doter d'un élément de preuve qui les justifierait le cas échéant aux yeux du Front «Populaire».



=xxx

La lettre du traitre RMC #Kaboré du 16 mai 1988 était un feu vert pour que Blaise Compaoré arrête et TORTURE les jeunes...

Publiée par Yanick Toutain sur Lundi 30 novembre 2020

La lettre du traitre RMC #Kaboré du 16 mai 1988 était un feu vert pour que Blaise Compaoré arrête et TORTURE les jeunes manifestants de la Journée anti-impérialiste de la Jeunesse le 19 mai 1988 et interpelle Valère Somé le 21 mai 1988


Comme on pouvait s'y attendre, les manifestations eurent lieu le 19 Mai 1988 et nombreux furent nos camarades étudiants et élèves arrêtés et torturés.

Dans la soirée du 21 Mai 1988, en rentrant chez moi, je fus arrêté par les agents de la Direction de la Sécurité Publique commandée par le Commissaire Alain Ouilma. Le 23 Mai, Alain Coéfé se serait présenté au bureau du Capitaine Yé Bognessan Arsène, coordonnateur national des Structures Populaires, muni de leur pétition pour se justifier et avec lui ses camarades co-signataires.

Libéré le 28 Mai 1988, et ayant été informé d'une machination du Capitaine de Gendarmerie Jean-Pierre Palm pour attenter à ma vie, je me suis résolu à prendre clandestinement le chemin de l'exil.

Ainsi avec Gilbert Kambiré, nous retrouvons-nous deux membres de la Direction à l'extérieur du pays, les autres étant affectés loin de la capitale.

Après que j'aie quitté le pays, Basile Guissou entreprendra de créer une section nationale du Parti Radical en réunissant autour de lui, Salif Diallo, le Directeur de Cabinet de Blaise Compaoré, Allassane Sawadogo, Moustapha Saar, etc.

Fort de cette couverture, il se fera volontiers l'ambassadeur itinérant du Front «Populaire» auprès des Organismes d'aide internationaux. Tel est le prix de la quiétude et des va-et-vient hors du pays dont lui et ses amis (dont Alain Coéfé) jouissent.

Maintenant, Blaise Compaoré exige de ses commissionnaires la dissolution de l'U.L.C.(R) au sein de l'O.D.P./M.T. Et Basile Guissou ainsi que Rock Kaboré qui se sont d'eux-mêmes exclus de l'Organisation par leur pétition du 16 Mai 1988, ont entrepris d'engager les pourparlers avec l'O.D.P./M.T., au nom de la direction de l'U.L.C.(R) en vue de cette auto-dissolution de l'Organisation. Et pour arriver à leurs fins, c'est la question du bilan critique de notre participation au C.N.R. qu'ils mettent en avant. Paradoxalement, ils n'ont pas attendu de procéder à un tel bilan pour décider de participer au gouvernement du Front «Populaire» de Blaise Compaoré: Rock Kaboré est l'actuel ministre de l'Equipement et des Transports du gouvernement du Front «Populaire».

Pour entraver le marchandage dont l'Organisation est l'objet, la direction de l'U.L.C.(R) a rendu publique une déclaration par laquelle elle suspend toutes les activités publiques de l'U.L.C.(R) en dénoncant à l'avance tout «trafic» qui sera effectué en son nom. Et c'est pour s'être opposés à cette machination que les membres de la direction de l'U.L.C.(R) restés sur place ont été arrêtés et sauvagement torturés dans le cadre de la prétendue «tentative de déstabilisation» du régime de Blaise Compaoré, par le Capitaine Boukary Kaboré, le 20 Décembre 1989.

L'U.L.C.(R), malgré les tentatives de certains de ces membres déserteurs, se situe par rapport au Front «Populaire» en situation d'opposition.

dimanche 29 novembre 2020

80 000 CDR #1pour25 pour que RMC Kaboré DEGAGE ! L'assassin de Sankara et des CDR veut diriger le Burkina Faso sans CDR et avec un quart des adultes contre les trois quarts plus les jeunes

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
29/11/2020

Thomas Sankara :
"Nous avons invité le peuple dans la nuit du 4 août, à se constituer partout en Comités de défense de la révolution  parce que nous ne nous faisions pas d'illusion : la révolution allait être attaquée. Elle l'a été, elle l'est et elle le sera.
Donc, les Comités de défense de la révolution l'ont été, le sont et le seront.
[Applaudissement] Rien de ce qui a été fait de positif sous la révolution n'a pu être réalisé sans les CDR.
Nous savons que nous CDR, nous ne sommes pas parfaits.
Nous le savons, mais nous continuons de rechercher dans ce monde les exemples de perfection.
Nous CDR, avons eu à exercer le pouvoir populaire.
Sur le plan politique, sur le plan économique, sur le plan militaire, sur tous les plans de la vie nationale, à tous les niveaux de la vie des Burkinabè, nous, CDR, sommes impliqués directement.
Il est donc important que nous comprenions que la marche correcte des CDR a une conséquence bénéfique et heureuse pour chacun de nous.
Se détourner des CDR, c'est se faire à soi-même du tort ; à moins que l'on ne soit en mesure de quitter le Burkina Faso.
Nous avons besoin des CDR et nous aurons toujours besoin des CDR quelle que soit la forme qu'un jour ils pourraient prendre."

RMC Kaboré, un dictateur qui a trahi Sankara en n'entrant pas en résistance le jour du crime, le 15 octobre 1987 !
RMC Kaboré, un dictateur qui a trahi son parti, l'ULC de Valère Somé pour courir cirer les chaussures du tueur Blaise Compaoré !
RMC Kaboré, un dictateur qui a trahi le Burkina Faso et ses habitants en rédigeant la constitution de 1991 avec le sang de Sankara !
RMC Kaboré, un dictateur qui a 43 années de complicité de crimes derrière lui. 




LIRE L'ARTICLE PRECEDENT

samedi 21 novembre 2020




80 000 CDR #1pour25
pour que Kaboré DEGAGE
L'assassin de Sankara et des CDR veut diriger le Burkina Faso
 sans CDR et avec un quart des adultes
 contre les trois quarts plus les jeunes



RMC Kaboré avec seulement un quart des Burkinabè inscrits sur les listes électorales veut gouverner le pays des hommes intègres ! C'est un dictateur.
Un dictateur Franceàfric qui recevait à Kossyam deux terroristes maliens préférés de la Franceàfric Ahmada Ag Bibi et Bilal Ag Acherif le 1er avril 2019.

Simulacre de résistance anti-terroriste par Roch Marc Christian Kaboré le complice de IBK qui vient d'inviter à Kossyam le jihadiste Ahmada Ag Bibi (Ansardine HCUA JNIM) et Bilal Ag Achérif (MNLA CMA) recherchés par INTERPOL


RMC Kaboré, un dictateur qui a trahi Sankara en n'entrant pas en résistance le jour du crime, le 15 octobre 1987 !
RMC Kaboré, un dictateur qui a trahi son parti, l'ULC de Valère Somé pour courir cirer les chaussures du tueur Blaise Compaoré !
RMC Kaboré, un dictateur qui a trahi le Burkina Faso et ses habitants en rédigeant la constitution de 1991 avec le sang de Sankara !
RMC Kaboré, un dictateur qui a 43 années de complicité de crimes derrière lui. 

Les hommes et femmes intègres n'ont pas voulu voter pour l'assassin de Sankara.
Fidèles au message de Sankara, les humains intègres ont boycotté dans leur majorité ces élections impérialistes.
Ils sont 55,9 % à les avoir boycotté !
Comme d'habitude les médias officiels mentent sur les chiffres en omettant de prendre en considération l'abstention et les votes blancs.
On peut lire sur RFI :
Trois jours après le double scrutin du 22 novembre, la Céni a annoncé les résultats provisoires pour la présidentielle. Le président sortant remporte une large victoire avec 57,87% des suffrages exprimés dès le premier tour de l’élection.RFI

Ce n'est absolument pas une victoire pour RMC Kaboré quand seulement un quart des personnes inscrites sur les listes ont voté pour lui !
Le dictateur Kaboré a pour lui 1,65 millions de voltaiques dégénérés alliés aux 442 742 soutiens fidèles du criminel Compaoré. Ils sont 2 millions de traitres et de complices officiels du crime face à 4,5 millions d'adultes anti MPP anti CDP

Voici les vrais résultats des élections :


Tous ces électoralistes qui se disent de gauche et qui font l'éloge de Sankara lui crachent à la figure en réalité car respecter Sankara c'est FAIRE DES CDR !
Sankara avait appeler dès le 4 aout 1983 à former des CDR qu'il considérait comme étant le seul rempart à l'impérialisme !

Thomas Sankara :
"Nous avons invité le peuple dans la nuit du 4 août, à se constituer partout en Comités de défense de la révolution  parce que nous ne nous faisions pas d'illusion : la révolution allait être attaquée. Elle l'a été, elle l'est et elle le sera.
Donc, les Comités de défense de la révolution l'ont été, le sont et le seront.
[Applaudissement] Rien de ce qui a été fait de positif sous la révolution n'a pu être réalisé sans les CDR.
Nous savons que nous CDR, nous ne sommes pas parfaits.
Nous le savons, mais nous continuons de rechercher dans ce monde les exemples de perfection.
Nous CDR, avons eu à exercer le pouvoir populaire.
Sur le plan politique, sur le plan économique, sur le plan militaire, sur tous les plans de la vie nationale, à tous les niveaux de la vie des Burkinabè, nous, CDR, sommes impliqués directement.
Il est donc important que nous comprenions que la marche correcte des CDR a une conséquence bénéfique et heureuse pour chacun de nous.
Se détourner des CDR, c'est se faire à soi-même du tort ; à moins que l'on ne soit en mesure de quitter le Burkina Faso.
Nous avons besoin des CDR et nous aurons toujours besoin des CDR quelle que soit la forme qu'un jour ils pourraient prendre."


POUR REVOQUER RMC Kaboré assassin de Sankara  et des CDR
il faut former 80 000 CDR de base en désignant
 80 000 délégués de base et leurs 4 adjoints DIB

Il faut que 2 millions de Burkinabè fidèles à Sankara et aux institutions légales du Burkina Faso révoquent le dictateur en formant 80 000 CDR de base.
Les 1,7 millions d'électeurs du criminel n'ont aucune légitimité pour gouverner le Burkina Faso.
Seuls des délégués de CDR sont légitimes !
2 millions de Burkinabè doivent former des groupes de 25
Chaque groupe désigne 1 délégué et 4 adjoints










Témoignages précieux sur le fonctionnement des CDR : les délégués CONNAISSAIENT leurs délégateurs "Le 23 novembre à...

Publiée par Yanick Toutain sur Mercredi 25 novembre 2020

samedi 28 novembre 2020

#Marchedeslibertés 28 novembre au Havre contre la loi Sécurité Globale et l'attaque terroriste du #BlackGoldStudio ! Michel Zecler a été victime de policiers terroristes racistes qui criaient "Sale nègre" C'est le même #ComplotTerroriste colonialiste Franceàfric

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
28/11/2020









#Marchedeslibertés 28 novembre au Havre contre la loi Sécurité Globale et l'attaque terroriste du #BlackGoldStudio ! Michel Zecler a été victime de policiers terroristes racistes qui criaient "Sale nègre" C'est le même #ComplotTerroriste colonialiste Franceàfric

500 000 personnes ont manifesté aujourd'hui en France pour dénoncer la dictature fasciste de Macron. Macron qui supprime la liberté d'expression en France avec une loi, la loi sécurité globale.
Au moins 133 000 personnes, selon les chiffres du ministère de l’intérieur, et 500 000 selon les organisateurs ont défilé un peu partout en France, samedi 28 novembre, contre la proposition de loi « sécurité globale », adoptée en première lecture à l’Assemblée nationale mardi 24 novembre, et contre sa mesure phare, qui prévoit de restreindre la possibilité de filmer les forces de l’ordre. Les manifestants ont également dénoncé les violences policières et le racisme. Le Monde
Au Havre nous étions bien plus nombreux que samedi dernier.
La mobilisation contre la loi Sécurité Globale prend de l’ampleur au Havre. Samedi 28 novembre, ils étaient plus d’un millier à marcher pour les libertés, répondant ainsi à l’appel de la Ligue des droits de l’Homme, mais aussi de nombreuses associations, syndicats et organisations. Ce n’est pas le retrait de l’article 24 qu’ils réclament, mais l’abandon de toute la loi. Paris Normandie
Une loi qui empêche quiconque de publier le nom, la photo ou une vidéo de policier..... Une loi pour permettre aux policiers fascistes, racistes de torturer et tuer en toute impunité.... Comme les policiers assassins d'Abdoulaye Camara au Havre, comme les trois policiers qui ont agressé Michel Zecler, comme le commissaire Jean Marie Bourry qui a organisé l'attaque de la radio télévision ivoirienne le 10 décembre 2010 et qui nous a condamnés à 35000 euros pour l'avoir dénoncé.... Cette loi prévoit non seulement de criminaliser les lanceurs d'alerte .... mais aussi de fliquer tous ceux qui pourraient avoir un rapport de prés ou de loin avec les dénonciateurs d'injustice.... pour faire comme ils l'ont fait dans le quartier de l'Eure autour de l'école Valmy quand ils m'ont suspendue puis exclue 2 ans avec un faux en écriture publique .... afin de pouvoir manipuler tout le monde et isoler le lanceur d'alerte. Et cette loi Macron l'a faite voter en plein confinement... au moment où les Français vivent une hécatombe avec 52 127 personnes mortes du Covid... Comme nous l'annoncions le 26 janvier dans un article Macron applique la stratégie dénoncée par Naomi Klein, la stratégie du choc pour imposer la dictature en France.

La "stratégie du choc" mise en place par Macron et Buzyn instrumentalisant le coronavirus #nCoV2019 #WuhanCoronavirus


Notre nouveau panneau : "
Attaque terroriste du Black Gold Studio Michel Zecler victime de policiers terroristes racistes qui criaient "Sale nègre" C'est le même #ComplotTerroriste colonialiste Franceàfric MNLA Buttes Chaumont Ansardine GSIM JNIM HCUA ForcesNouvelles Soro C'est #1seulRéseaudeTERRORISTES protégés #DepuisLElysée




 


1er speech de Yanick Toutain dans la manifestation :

"Dans la coulisse Macron et le FN RN sont main dans la main Les fascistes de l'Etat Français de droite du centre de gauche sont main dans la main. Dans la coulisse les juges voyous nous ont condamné en justice pour avoir dénoncé le terrorisme de Sarkozy le terrorisme de Hollande Taubira c’est la même politique Taubira soutient Guillaume Soro Il était planqué en France en train d’appeler à un 2° CoupdEtat en CôtedIvoire Guillaume Soro est le protégé de la gauche pourrie et de la droite pourrie et du centre pourri Guillaume Soro c’est l’EtatProfond français Guillaume Soro c’est l’EtatTerroriste (…) Les policiers racistes ne sont pas une bavure. Les policiers racistes sont les milices de Macron, les milices de Le Pen, les milices de Hollande. Les policiers racistes ont été recrutés par Sarkozy, Hollande, Macron Les policiers racistes sont en réalité des milices terroristes visant les gens épris de liberté, visant les gens ressemblant aux Africains. Les policiers racistes sont les milices du Capital. La révolution doit faire le ménage. La révolution ne doit pas faire Darmanin démission. C’est une farce. Il faut être réformiste délirant pour imaginer que la démission de Darmanin changerait quoi que ce soit. Il faut que MacronDEGAGE Il faut que 1 million de délégués soient désignés par 25 millions de Français. Il faut refaire les élections, non pas dans la rue, mais par l’auto-organisation. La population doit prendre le pouvoir elle-même. L’attaque terroriste du Black Gold Studio n’est pas une bavure policière. Ce ne sont pas des bavures policières qui ont visé les Gilets Jaunes éborgnés et mutilés, C’est l’État profond qui, depuis Sarkozy, a choisi la violence. Ce à quoi les Français assistent c’est un processus commencé en décembre 2010 à Abidjan. Un policier français, le commissaire Jean-Marie Bourry qui nous a fait condamner en justice pour atteinte à sa vie privée de barbouze. Le commissaire Bourry était le protégé de Sarkozy, il était le protégé de Taubira Il était le protégé de Le Drian, de Hollande. Nous avons été condamnés en justice pour atteinte à la vie privée d’un flic barbouze à Angoulême, à Bordeaux, au Havre, à Rouen, Et la gauche applaudissait applaudissait derrière les juges voyous La gauche est en réalité alliée à l’État profond. Ceux qui vous ont appelé à manifester sont en réalité des hypocrites Hollande n’a rien changé, Hollande est en réalité le pantin de l’État profond. Comme Sarkozy Le Drian et Macron."


2ème speech de Yanick Toutain dans la manifestation





Michel Zecler est comme les victimes de Charlie Hebdo, comme les victimes du Bataclan, est comme les Ivoiriens de décembre 2010, est comme les Maliens d'Aguel Hoc. Il est victime d'une attaque terroriste.
C'est une attaque terroriste qu'il faut dénoncer.

L'Etat profond a fabriqué des groupes terroristes à l'intérieur de la police, des groupes terroristes à l'intérieur de l'Education Nationale qui militent pour les fessées, des groupes terroristes pour terroriser la population, des groupes terroristes pour un ordre nouveau fasciste.

Michel, le producteur Michel Zecler, est victime d'une attaque terroriste, il est victime de trois terroristes de Darmanin, trois terroristes de Hollande, trois terroristes de Sarkozy.

C'est un seul et même complot.
Un complot avec des jihadistes recrutés par la DGSE.
Ahmada Ag Bibi recruté le 16 décembre 2010 pour accompagner le colonel Gadoullet.
Guillaume Soro, organisateur de l'attaque jihadiste Ansardine - il était président de l'Assemblée Nationale de Côte d'Ivoire à l'époque - Guillaume Soro était le protégé de Le Drian, il était à Paris récemment encore. Il ne l'avait pas encore chassé provisoirement. Guillaume Soro appelait à un coup d'Etat en Côte d'Ivoire, Guillaume Soro appelait ses milices terroristes dans l'armée ivoirienne (...) terroristes du studio (....) qui appartient à l'ensemble du complot terroriste commencé en 2010 par Sarkozy. Il n'y a aucune rupture. Le général Puga était avec Sarkozy et Hollande, Le Drian était avec Hollande et Macron.
C'est un seul et même processus terroriste contre révolutionnaire.
Ces gens là, depuis le 10 septembre 2010 et les 40 000 manifestants du Havre, ont peur de la révolution.
Ils ont peur d'une révolution anti capitaliste.
Le complot terroriste est en réalité un complot contre révolutionnaire.



 

 


 


 

jeudi 26 novembre 2020

Attaque terroriste au Black Gold Studio ! Le producteur Michel Zecler agressé par 3 policiers terroristes complices de Jean Marie Bourry le commissaire qui protégeait les terroristes Forces Nouvelles de Guillaume Soro en Côte d'ivoire, le recruteur des jihadistes Ansardine au Mali.

par Yanick Toutain
et Julie Amadis

Une attaque terroriste évidente mais aucun des médias de la bourgeoisie française ne l'a encore qualifiée comme tel. On nous fait croire à une bavure alors que les 3 terroristes étaient encore en liberté pendant plusieurs jours, avant que le scandale ne soit rendu public.
Il n'y a pourtant aucune différence entre les Dozos de Guillaume Soro (protégés par le commissaire de police français Jean-Marie Bourry), les jihadistes Ansardine téléguidés par Ahmada Ag Bibi sous la conduite du colonel Gadoullet et du général Puga et ces 3 policiers terroristes du Black Gold Studio 


LOI SECURITE GLOBALE C'EST POUR PROTEGER LES TERRORISTES PAS POUR LES METTRE HORS D'ETAT DE NUIRE

 Cette attaque terroriste du Black Gold Studio a le même but que les attaques contre Charlie Hebdo, le Bataclan, la RTI à Abidjan, Aguel Hoc ou Bamako : terroriser les populations.
Mais quand les images sont absentes ou censurées, les victimes n'ont plus de preuves. C'est cela le but de Macron et Darmanin : interdire de FILMER LES TERRORISTES. La loi Sécurité Globale est une loi pour protéger les trois terroristes qui ont agressé Michel Zecler. Une loi pour protéger Jean-Marie Bourry, Guillaume Soro, Ahmada Ag Bibi, Iyad Ag Ghali et tous les miliciens fascistes de la police française

LIRE AUSSI 

Le criminel impérialiste Joseph Biden a choisi Antony Blinken l'adjoint et complice d'Hillary Clinton dans l'organisation du terrorisme en Côte d'Ivoire, au Mali et au Proche-Orient, les créateurs de DAECH et les parrains d'Iyad Ag Ghali, du MNLA et de Guillaume Soro


Attaque terroriste au Black Gold Studio !
 Le producteur Michel Zecler agressé
par 3 policiers terroristes complices de Jean Marie Bourry le commissaire qui protégeait les terroristes Forces Nouvelles de Guillaume Soro en Côte d'ivoire, le recruteur des jihadistes Ansardine au Mali.


Les médias Franceàfric comme BFMTV s'inquiètent que l'agression terroriste dont a été victime le producteur Michel Zecler devant et dans son local du Black Gold Studio soit connue du monde entier.

#Michel #MichelZecler Michel Blackgold a été victime d'AGRESSION TERRORISTE par l'ETAT PROFOND #FranceàFRIC Michel...

Publiée par Yanick Toutain sur Jeudi 26 novembre 2020

Une attaque terroriste évidente mais aucun des médias de la bourgeoisie française ne l'a encore qualifiée comme tel. On nous fait croire à une bavure alors que les 3 terroristes étaient encore en liberté pendant plusieurs jours, avant que le scandale ne soit rendu public.
Il n'y a pourtant aucune différence entre les Dozos de Guillaume Soro (protégés par le commissaire de police français Jean-Marie Bourry), les jihadistes Ansardine téléguidés par Ahmada Ag Bibi sous la conduite du colonel Gadoullet et du général Puga et ces 3 policiers terroristes du Black Gold Studio 

ATTAQUE TERRORISTE DU 21 NOVEMBRE 2020 BLACK GOLD STUDIO
ATTAQUE TERRORISTE DU 16 DECEMBRE 2010 VS RTI ABIDJAN

Le commissaire de police Jean-Marie Bourry ne dirigeait pas les 3 policiers terroristes du 21 novembre. Il dirigeait les terroristes Forces Nouvelles de Guillaume Soro et leurs idiots utiles. Ces imbéciles croyant rejoindre une manifestation pacifique avaient été appelé à la radio : la radio ONUCIFM que le policier barbouze français Jean-Marie Bourry contrôlait.
Une radio terroriste de l'ONU dont les responsables - à commencer par Ban Ki Moon et Sarkozy (missionnés par Johnnie Carson et Antony Blinken) savait parfaitement qu'elle avait pour but de recruter des figurants pour cacher les lance-roquettes et les kalachnikov des milices de Guillaume Soro.

Cette attaque terroriste du 16 décembre 2010 elle est comme l'attaque terroriste du 21 novembre 2020 nié en tant que telle par les médias voyous franceàfric 
Cette vidéo est même interdite en France sur la base d'une déclaration mensongère (une de plus) du policier terroriste Bourry. Avec un VPN vous pourrez néanmoins la voir pour constater la présence de ces kalachnikov dont les porteurs sont les protégés de l'ONU

      

LE TERRORISME RACISTE
 EST UN PLAN DELIBERE DE L'ETAT PROFOND FRANCEàFRIC

LE BUT DU TERRORISME RACISTE EN FRANCE
COMME EN CÔTE D'IVOIRE, BURKINA FASO, MALI
 ET LES AUTRES PAYS DE LA ZONE ESCLAVAGISTE D'AFRIQUE
EST DE LIMITER LES SALAIRES DES PAYSANS A 50 EUROS PAR MOIS


 

 Des salaires esclavagistes

Salaire moyen en Côte d'Ivoire 160 €/mois :

Le revenu mensuel moyen par habitant en Cote d'Ivoire s'élève à 191 $ (160 euros) , soit 2290 $ par habitant et par an. JDN  

Salaire moyen au Burkina Faso 55 €/mois

Le revenu mensuel moyen par habitant au Burkina Faso s'élève à 66 $, soit 790 $ par habitant et par an. JDN 

Salaire moyen au Mali 61 €/mois :

Le revenu mensuel moyen par habitant au Mali s'élève à 73 $, soit 880 $ par habitant et par an. JDN

 

Esclavage : pas d'abolition pour Bolloré

Embauche systématique de mineurs par Bolloré ! Témoignage inédit d'un ouvrier de SOCAPALM ayant travaillé pour Bolloré pendant 10 ans au Cameroun


LE COMPLOT TERRORISTE DES JUGES VOYOUS
LAISSE EN LIBERTE DES POLICIERS APRES LEUR ATTAQUE RACISTE 



« La préfecture de police de Paris a connaissance des faits depuis lundi, mais jusqu'à aujourd'hui personne n'a estimé qu'il était peut-être dangereux d'avoir ces trois policiers à exercer sur la voie publique » de qui a révélé l'affaire #Michel.
Cela signifie que, avant que le scandale ne soit révélé par les médias, la hiérarchie de Macron, parfaitement au courant, espérait que les 3 terroristes soient maintenus en fonction

On retrouve là, la même méthode que le procureur Molins et Hollande ont utilisée pour le Mali.
Alors qu'on connait les noms des terroristes, on va les protéger et faire annuler les poursuites contre eux


 

LA LOI SECURITE GLOBALE
C'EST POUR PROTEGER LES TERRORISTES
PAS POUR LES METTRE HORS D'ETAT DE NUIRE

 Cette attaque terroriste du Black Gold Studio a le même but que les attaques contre Charlie Hebdo, le Bataclan, la RTI à Abidjan, Aguel Hoc ou Bamako : terroriser les populations.
Mais quand les images sont absentes ou censurées, les victimes n'ont plus de preuves. C'est cela le but de Macron et Darmanin : interdire de FILMER LES TERRORISTES. La loi Sécurité Globale est une loi pour protéger les trois terroristes qui ont agressé Michel Zecler. Une loi pour protéger Jean-Marie Bourry, Guillaume Soro, Ahmada Ag Bibi, Iyad Ag Ghali et tous les miliciens fascistes de la police française