mercredi 20 février 2019

Benalla au Tchad : Le Sénat camoufle les activités barbouzardes d'Alexandre Benalla avec les dictatures Franceàfric au service de Macron et Le Drian

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpeaVaEaFaF
20/02/2019


"Au Cameroun, nous avons rencontré le directeur de cabinet du président et le chef d'Etat-Major des armées pour des discussions sur une fourniture d'uniformes militaires notamment. Puis nous sommes allés au Congo et au Tchad. A N'Djamena, nous avons rencontré le président Idriss Déby et son frère, qui gère les approvisionnements en équipements militaires. L'objet des discussions, c'était le textile, les uniformes, l'électricité. Nous avons d'ailleurs décroché aussi un rendez-vous avec le ministre de l'Energie. A Brazzaville, avec le président Sassou, ce fut rapide, car les possibilités y sont réduites. La délégation turque a tout payé." (propos de Hababou Solomon à L'express)

Mais deux fois seulement le mot Tchad est inscrit sur 160 pages.
Aucune question n'est soulevée par les sénateurs sur ce "voyage diplomatique".
Le nom d'Idriss Déby est totalement absent des 160 pages !
Le nom Le Drian apparait UNE seule fois
alors qu'il est ministre des affaires étrangères
mouillé dans toutes les magouilles Franceàfric depuis Hollande.
Il a installé les terroristes au pouvoir au Nord-Mali
en tant que ministre de la Défense
(défense des intérêts esclavagistes Franceàfric)


L'affaire Benalla est une affaire d'Etat révélant un fonctionnement mafieux au service de la Franceàfric esclavagiste.
Mais une petite affaire d'Etat camouflant d'autres "affaires d'Etat" bien plus graves : la participation d'Alexandre Benalla au soutien depuis l'Elysée à des dictateurs terroristes en Afrique. A commencer par Idriss Déby du Tchad protecteur d'Ahmada Ag Bibi le numéro trois des jihadistes du Mali recyclé député socialiste et des criminels MNLA que le tyran du Tchad a installé au pouvoir au nord-Mali avec la complicité de l'ONU, de Macron, Le Drian, Hollande etc....

Alexandre Benalla est en prison depuis hier pour ne pas avoir respecté son contrôle judiciaire.
" Alexandre Benalla a passé une première nuit en prison: un juge a décidé mardi de placer en détention provisoire l'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron pour ne pas avoir respecté son contrôle judiciaire, dans l'enquête sur les violences du 1er mai 2018 à Paris qui lui vaut d'être mis en examen." Public Sénat 
Et aujourd'hui, le rapport de la commission du Sénat rendu public en ligne révèle que les plus proches collaborateurs d'Emmanuel Macron à l’Élysée ont tous mentis !
"Dans une lettre adressée par le président de la commission d'enquête à Gérard Larcher, le président du Sénat, la commission met également en cause le témoignage de trois hauts responsables à l'Élysée soupçonnés d'"omissions, incohérences" et "contradictions". Il s'agit de Patrick Strzoda, directeur de cabinet d'Emmanuel Macron, du général Lionel Lavergne et surtout d'Alexis Kohler, secrétaire général de l'Élysée.  " source
S'ils ont pris le risque de mentir, c'est que la vérité est un scandale énorme !

Pour qui ne s'est jamais intéressé à la Franceàfric, les sénateurs peuvent apparaître comme des personnes honnêtes cherchant à faire triompher la vérité. Mais il suffit de suivre la piste des passeports de Benalla et les pays traversés pour trouver une vérité bien plus explosive.
On entend Philippe Bas, le président de la commission d’enquête répéter que la sénateur n'ont qu'un but "faire œuvre de vérité" et de "transparence".


Sauf qu'ils font l'omerta sur les activités Franceàfric de Benalla, notamment sa visite au Tchad.

RAPPORT DU SENAT : 160 PAGES DU SENAT POUR CAMOUFLER LES ACTIVITES FRANCEAFRIC DE BENALLA AU SERVICE DE MACRON
( 2 FOIS LE MOT TCHAD SANS AUCUNE REPONSE NI QUESTION

Pourquoi Benalla est-il allé rencontrer Idriss Déby le dictateur du Tchad, Denis Sassou-Nguesso dictateur du Congo Brazzaville, le directeur de cabinet du président et le chef d'Etat-Major des armées du Cameroun avec ses passeports diplomatiques ?

Celui aux côtés de qui Alexandre Benalla a rencontré ces criminels dictateurs Franceàfric,- Hababou Solomon - est un mafieux ami de mafieux Franceàfric comme Bernard Tapie.
Hababou Solomon est une caricature d’intermédiaire, sympathique en diable. Il aime le foot, passion ouvrant bien des portes. Il croisera donc tout naturellement la route de Bernard Tapie - «mais nous n’avons jamais fait d’affaires ensemble»,précise ce dernier à Libération. Il lui conserve toutefois son amitié. Joignant l’utile à l’agréable, notre homme s’activera ainsi pour faire en 2005 de Luis Fernandez l’entraîneur du Beitar, mythique club de Jérusalem, du temps où son actionnaire était le russe Arcadi Gaydamak, autre intermédiaire célèbre de la Françafrique.Libération
Hababou Solomon dans une interview à l'Express énumère le nom des dictateurs Franceàfric rencontrés. Les raisons invoquées de leur visite par Hababou Solomon (la fourniture d'uniformes militaires) ressemblent à un camouflage.
"Au Cameroun, nous avons rencontré le directeur de cabinet du président et le chef d'Etat-Major des armées pour des discussions sur une fourniture d'uniformes militaires notamment. Puis nous sommes allés au Congo et au Tchad. A N'Djamena, nous avons rencontré le président Idriss Déby et son frère, qui gère les approvisionnements en équipements militaires. L'objet des discussions, c'était le textile, les uniformes, l'électricité. Nous avons d'ailleurs décroché aussi un rendez-vous avec le ministre de l'Energie. A Brazzaville, avec le président Sassou, ce fut rapide, car les possibilités y sont réduites. La délégation turque a tout payé." (propos de Hababou Solomon à L'express)
 Le rapport du Sénat fait une toute petite mention de la visite de Benalla au Tchad auprès de Déby. Une significative visite peu avant la visite de Macron et avec un passeport diplomatique illégal.
"Ce manque initial de réactivité des services puis leur problème de coordination a ainsi permis à Alexandre Benalla de continuer à utiliser ces titres de voyage à une vingtaine de reprises, entre le 1er août et le 31 décembre pour se rendre notamment au Tchad et en Israël ainsi que, possiblement, au Maroc et aux Bahamas (selon les informations recoupées après interrogation des postes diplomatiques à l’initiative du Quai d’Orsay)."Rapport d'enquête de la commission des lois du Sénat
"24 décembre Le Monde, confirmant une information de La lettre du continent, révèle qu’Alexandre Benalla s’est rendu au Tchad début décembre pour rencontrer le Président tchadien et de hauts responsables du régime, quelques jours avant le voyage officiel du Président de la République"Rapport d'enquête de la commission des lois du Sénat

Mais deux fois seulement le mot Tchad est inscrit sur 160 pages. Aucune question n'est soulevée par les sénateurs sur ce "voyage diplomatique".
Le nom d'Idriss Déby est totalement absent des 160 pages !
Le nom Le Drian apparait UNE seule fois alors qu'il est ministre des affaires étrangères mouillé dans toutes les magouilles Franceàfric depuis Hollande. Il a installé les terroristes au pouvoir au Nord-Mali en tant que ministre de la Défense (défense des intérêts esclavagistes Franceàfric)
"Informée par Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des affaires étrangères, de l’absence de restitution de ces documents à la date du 2 août2, et du fait que le Quai d’Orsay s’employait toujours à les obtenir, votre commission avait tenu à s’en assurer en interrogeant Alexandre Benalla sur ce point lors de son audition. Répondant ainsi à une question précise de notre collègue Jacqueline Eustache-Brinio (« À ce jour, avez-vous restitué ces deux passeports ? »), Alexandre Benalla avait affirmé sous serment le 19 septembre 2018 que ces titres de voyage étaient restés dans le bureau qu’il occupait à l’Élysée."Rapport d'enquête de la commission des lois du Sénat


Quand on connait le soutien du Sénat au terroristes Bilal Ag Achérif et aux 28 chefs terroristes du Mali missionnés par Hollande, Le Drian Juppé, Fabius et....rien d'étonnant que le rapport de commission du Sénat ne dise rien des mensonges ou omissions d'informations de Patrick Strzoda concernant les voyages en Afrique de Benalla dans leur rapport !
"Patrick Strzoda donne une information factuelle, Alexandre Benalla a utilisé une vingtaine de fois ses passeports diplomatiques !
Alexandre Benalla a utilisé « une vingtaine de fois » ses passeports diplomatiques depuis son licenciement le 1er août, a déclaré Patrick Strzoda, mercredi 16 janvier, devant la commission des lois du Sénat, constituée en commission d’enquête. Le directeur de cabinet d’Emmanuel Macron a précisé que la première utilisation de ces documents remontait au 7 août.Le Monde
Pourtant Patrick Strzoda dit n'avoir rien su des voyages d'Alexandre Benalla avant que la presse ne révèle l'information  !

Le Directeur de cabinet dit ne rien avoir su de l'utilisation des passeports diplomatiques par Benalla.
Cela parait complétement ahurissant que le chef du cabinet ne sache rien.
Soit Patrick Strzod ment, soit le Directeur de cabinet d'Emmanuel Macron ne sait effectivement rien car il existe une diplomatie secrète parallèle." IpEaVaEaFaF

Auditions Sénat Affaire Benalla Diplomatie parallèle ! Le dircab de Macron avoue 20 utilisations des passeports diplomatiques mais dit ignorer quels chefs d'Etat africains ont reçu Benalla

Le bureau du Sénat va saisir le procureur de la République pour réponses mensongères
«présentation qu'ils ont faite des missions exercées par M. Benalla contredite par les éléments de fait réunis (…) qui témoignent d'une implication réelle de l'intéressé dans la mise en œuvre de la sécurité du Président de la République».
Le bureau du Sénat n'évoque absolument pas les réponses apportées concernant les rencontres de Benalla auprès de dictateurs africains grâce à un passeport diplomatique illégal !
D'entrée, elle annonce qu'elle active l'article 6 de l'ordonnance de 1958 sur le fonctionnement des commissions parlementaires au Sénat. Il s'agit de la saisine du procureur de la République pour faux témoignages autant en ce qui concerne Alexandre Benalla, qui «a fait des réponses mensongères sur plusieurs points: les motifs de sa demande de permis de port d'arme à la préfecture de police, la restitution des passeports diplomatiques qui lui avaient été attribués et sa participation à un contrat de protection conclu entre la société Mars et les représentants d'un chef d'entreprise russe», que pour «les plus proches collaborateurs du chef de l'État et en particulier M. Strzoda, directeur de cabinet» pour la «présentation qu'ils ont faite des missions exercées par M. Benalla contredite par les éléments de fait réunis (…) qui témoignent d'une implication réelle de l'intéressé dans la mise en œuvre de la sécurité du Président de la République». Le Figaro

Pourquoi Benalla a t-il rencontré Alexandre Djouri, celui qui participe aux crimes Franceàfric depuis des années, et qui était très proche de Sarkozy (le pire criminel de l'Afrique) à Londres trois fois ?
Le rapport de la commission sénatoriale n'y répond pas non plus !
"Alexandre Djouhri est un homme d'affaires français, ayant flirté avec le banditisme dans sa jeunesse, qui fut lié à Nicolas Sarkozy. Il est recherché par la justice française qui le soupçonne d'être impliqué dans un possible financement libyen de la campagne présidentielle de ce dernier en 2007. C'est à ce titre qu'il a été interpellé en janvier dernier à l'aéroport londonien d'Heathrow. L'individu de 59 ans est toujours sur le sol britannique, mais placé sous contrôle judiciaire en attente de son extradition vers la France. 
Ce séjour britannique a pu faciliter ses rencontres avec Alexandre Benalla, qui vit à présent à Londres avec sa femme et son bébé. Alexandre Benalla a reconnu avoir vu Alexandre Djouhri à trois reprises."Obs

Thomas Dietrich spécialiste des rapports Franceàfric entre la France et le Tchad a une idée précise des raisons de la venue de Benalla au Tchad.

LIRE AUSSI MON ARTICLE :



Macron et Benalla chez l'"Exécuteur" Idriss Déby au Tchad démasqué par FX Verschave dans "Noir Silence"











BENALLA UN AGENT DU NOUVEAU SAC DE MACRON


Le parcours de Benalla ressemble à celui des principaux agents du SAC sous De Gaulle.
Création d'une police parallèle pour réprimer les manifestants.
Depuis le scandale du 1er mai place de la Contrescarpe, où Benalla est filmé en train de tabasser des manifestants avec l'uniforme de CRS, nous avons les éléments prouvant que Benalla était en train de construire une police parallèle au service de Macron.

#MacronMacoutes Scandale Benalla : Macron reconstruit un SAC en Marche, une police illégale parallèle à ses milices Franceàfric MNLA Ansardine JNIM Soro etc

Ensuite il est en lien avec tous les mafieux de la Franceàfric et autres réseaux, Russie aussi.
Djouri et Hababou Solomon sont des mafieux Franceàfric de la pire espèce !


Enfin, Benalla ment comme un arracheur de dent pour protéger ses vrais patrons.
Il a menti aux Sénateurs.

Comme tous les proches collaborateurs de Macron à l'Elysée Patrick Strzoda, directeur de cabinet d'Emmanuel Macron, du général Lionel Lavergne et surtout d'Alexis Kohler, secrétaire général de l'Élysée.

Enfin alors que les scandales se succèdent le chef de l'Etat continue à le soutenir.

Les enregistrements que se sont procurés les journalistes de Médiapart prouvent ce soutien.


Après son licenciement, Macron et Benalla continuaient à correspondre très régulièrement.
Une semaine après la nouvelle affaire des passeports diplomatiques, Alexandre Benalla a pris la parole dans la nuit de dimanche 30 décembre à lundi 31 décembre sur Mediapart. Ses propos viennent contredire la ligne de défense de l’Élysée, qui affirme que tout lien avec l’ancien chargé de mission de la présidence a été rompu après son licenciement l’été dernier.
« Ce que dit Alexandre Benalla, d’une manière à la fois ferme et sereine, c’est qu’il a très régulièrement échangé, essentiellement par le biais de l’application de messagerie cryptée Telegram, avec le président de la République, Emmanuel Macron, mais aussi avec d’autres personnes de l’Élysée qu’il fréquentait du temps où il collaborait avec la présidence de la République. Ces échanges ont eu lieu sur des thématiques diverses, de la crise sociale des ‘gilets jaunes‘ à son sentiment sur telle ou telle personnalité, ou des questions sécuritaires et de maintien de l’ordre, sur lesquelles Alexandre Benalla revendique des compétences particulières », explique lundi 31 décembre sur franceinfo Fabrice Arfi, qui a recueilli les confidences d’Alexandre Benalla pour Mediapart. Mondafrique


Les gangsters qui travaillaient pour le SAC étaient toujours protégés par De Gaulle.
Tous les crimes, tous les délits, tous les trafics comme celui des armes étaient maquillés. Quand on entend le barbouze parti voir Déby au Tchad avec Benalla dire qu'ils l'ont rencontré pour livrer des équipements militaires (est-ce des armes ?), rien n'est transparent ... et on devine très bien que derrière ces mensonges se cachent des activités criminelles au service de la Franceàfric.
Qui connait bien le fonctionnement du SAC (ceux qui ont tué Robert Boulin - qui révélait de tout dire sur leurs saloperies en Afrique, Pierre Goldman, Henri Curiel et encore Mehdi Ben Barka, ) l'Affaire Benalla est ni plus ni moins une réplique de ce fonctionnement mafieux au service d'une "République esclavagiste", de cette police parallèle que l'on appelait le SAC sous De Gaulle.



LA COMMISSION DU SÉNAT FAIT LE STRICT
MINIMUM CONTRE LES MENTEURS DE L'ÉLYSÉE

Le rapport de la commission sénatoriale déclare que Benalla avait menti sous serment.


"Ayant minutieusement examiné les déclarations de M.Benalla, sans même qu
il soit nécessaire de sinterroger par ailleurs sur l’infraction quil a pu commettre aussi en refusant de répondre à des questions qui lui étaient posées, ils ont estimé que celui-ci avait fait sous serment des réponses mensongères sur plusieurs points : les motifs de sa demande de permis de port d’arme à la préfecture de police, la restitution des passeports diplomatiques qui lui avaient été attribués et sa participation à un contrat de protection conclu entre la société Marset les représentants d’un chef dentreprise russe, sans préjudice dautres mensonges susceptibles d’être mis en évidence par une enquête judiciaire. Ils ont donc décidé de demander au Bureau du Sénat de saisir le procureur de la République de Paris pour que des poursuites puissent être engagées à lencontre de M.Benalla, mais aussi de M.Crase, en raison des contradictions apparues
entre les dépositions sous serment et les informations crédibles publiées au
cours des dernières semaines des travaux de la commission par plusieurs médias." Rapport d'enquête de la commission des lois du Sénat

Ainsi que Patrick Strzoda, directeur de cabinet d'Emmanuel Macron, du général Lionel Lavergne et surtout d'Alexis Kohler, secrétaire général de l'Élysée.

Ce délit est passible de 5 ans d'emprisonnement et 75000 euros d'amende.
Article 434-4

Est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende le fait, en vue de faire obstacle à la manifestation de la vérité :
1° De modifier l'état des lieux d'un crime ou d'un délit soit par l'altération, la falsification ou l'effacement des traces ou indices, soit par l'apport, le déplacement ou la suppression d'objets quelconques ;
2° De détruire, soustraire, receler ou altérer un document public ou privé ou un objet de nature à faciliter la découverte d'un crime ou d'un délit, la recherche des preuves ou la condamnation des coupables.
Lorsque les faits prévus au présent article sont commis par une personne qui, par ses fonctions, est appelée à concourir à la manifestation de la vérité, la peine est portée à cinq ans d'emprisonnement et à 75 000 euros d'amende.Légifrance

Mais le président du Sénat ne saisit pas pour autant le parquet !
Pendant ce temps (pour le coffre fort disparu) le parquet a ouvert une enquête pour "entrave à la manifestation de la vérité", pas pour "faux témoignages".


14h31 : Ouverture d’une enquête pour « entrave à la manifestation de la vérité »
Le parquet de Paris a annoncé avoir ouvert la semaine dernière une enquête préliminaire pour déterminer s’il y a pu avoir des « dissimulations de preuves » dans le cadre des différentes enquêtes visant Alexandre Benalla et son entourage.20 minutes

N'espérons rien des institutions de la Franceàfric pour dévoiler au grand public la vérité sur la mafia Franceàfric et sur ses crimes.
Ils nous jouent les grands justiciers mais en fin de compte ils cachent toujours la vérité sur les crimes en Afrique.
Si Benalla est allé voir Idriss Deby, Sassou N'Guesso et le chef d'Etat major au Cameroun avec un passeport diplomatique ce n'est pas pour aller leur compter fleurette.
Ces chefs d'Etat sont maintenus artificiellement au pouvoir par la France depuis des années parce qu'ils pratiquent  une dictature permettant aux patrons français (ex Bolloré) de payer des salaires de misère (50 euros par mois) les Africains mais aussi de faire main basse sur les matières premières.

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