vendredi 18 janvier 2019

La Formoisie compradore découvre la séquestration de Gbagbo et Blé Goudé

Par Julie Amadis et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
18/01/2018


"Selon le compte-rendu de leur discussion rédigé par la partie française, Ban Ki-moon, consulté par Ouattara « sur le traitement à réserver à Gbagbo », et Juppé « ont convenu que le transfert à La Haye offrait les meilleures garanties de sécurité ». Un mois plus tard, fin juin, Ocampo fait finalement une demande « aux fins d’ouvrir une enquête de sa propre initiative en Côte d’Ivoire ».
En octobre 2011, les juges de la CPI font droit à la requête du procureur. Avant même cette décision, le bureau du procureur, les autorités ivoiriennes et les Français, ainsi que l’ONU, ont commencé à préparer le transfèrement de Gbagbo vers La Haye. Plusieurs réunions ont lieu à Abidjan, Paris et La Haye.
En novembre, Ouattara se pose visiblement des questions sur la suite : un membre du bureau du procureur informe ses collègues qu’il a reçu un appel de sa part.



LIRE :

8 ans après l'attaque terroriste Sarkozy Clinton Soro Ouattara, à Abidjan, la CPI libère ses victimes Gbagbo et Blé Goudé

 

mardi 18 décembre 2018


Les juges terroristes de la CPI hésitent à libérer Laurent Gbagbo après 7 ans de séquestration

samedi 16 juin 2018


CPI un QG terroriste qui séquestre le président Laurent Gbagbo en Europe pour protéger les terroristes Soro Ouattara

 

Le #Procèsdelahonte de Gbagbo : la CPI est le tribunal de la bourgeoisie esclavagiste



A lire de nombreux tweets d'"intellectuels" africains, on pourrait croire que le scandale de la CPI aurait commencé à l'instant de l'acquittement de Gbagbo et Blé Goudé par le juge voyou Tarfusser, mardi. 



Alors que la séquestration du pays tout entier à commencer par le 16 décembre 2010 quand Ocampo (avec son adjoint Juan Branco camouflé en Insoumis maintenant),
Ban Ki-moon, Sarkozy, le chef de la police de l'ONU Jean Marie Bourry (appelant les naifs à rejoindre les terroristes Forces Nouvelles sur l'ONUCI FM) ont missionné les criminels de Guillaume Soro pour attaquer la télévision ivoirienne.
La séquestration de la Côte d'Ivoire a continué de décembre à avril par ses milices armées soutenues et encadrées par Licorne et ONUCI.
La séquestration de Gbagbo prévue depuis décembre 2010 a commencé le 11 avril 2011 et certainement pas en janvier 2019 le lendemain du "jugement" de Tarfusser !!!



Depuis le début de la séquestration de Gbagbo, nombreux sont ses partisans qui considèrent la CPI comme un tribunal ayant une légitimité et les juges comme de vrais juges.

Alors que la CPI a agi de concert avec les terroristes de Côte d'Ivoire et la Franceàfric dès le début du complot contre Gbagbo.
Fanny Pigeaud avait montré dans un article de Médiapart en octobre 2017 grâce à des documents preuves comment  la CPI est intégrée dès le début dans le complot contre Gbagbo.



"fin 2010, la Côte d’Ivoire n’a pas ratifié le Statut de Rome. En avril 2003, le gouvernement a certes accepté la compétence de la Cour, mais sa déclaration de « reconnaissance » pose potentiellement un problème d’interprétation concernant sa portée dans le temps. Pendant toute la durée de la crise ivoirienne, devenue guerre en mars 2011, le bureau du procureur et les Français, qui ont poussé Ocampo à s’investir sur ce dossier, chercheront donc un moyen de résoudre cette difficulté. Sans résultat, cependant : quand arrive le mois d’avril 2011, personne, à La Haye comme à Paris, n’a trouvé le moyen de faire intervenir légalement la CPI en Côte d’Ivoire.
En ce jour fatidique du 11 avril 2011, le procureur n’a donc aucune base légale pour demander à Ouattara de ne pas relâcher Gbagbo. Celui-ci sera malgré tout gardé prisonnier et envoyé, deux jours plus tard, à Korhogo, dans le nord de la Côte d’Ivoire. Dans la nuit précédente, le procureur a reçu un message de la diplomate française Le Fraper : « As-tu parlé avec Ouattara ? »
dés décembre 2010, par les menaces de Ocampo, la CPI jouait un grand rôle d'auxiliaires des terroristes dans ce coup d'état Franceàfric. (article de Médiapart repris sur mon blog intégralement )"
 Des échanges réguliers ont lieu entre les représentants de la France (Sarkozy, Juppé), la CPI (Ocampo), Ouattara et l'ONU (Ben Ki moon) sur  le "traitement à réserver à Gbagbo ». Lors d'un échange entre Juppé et Ban Ki moon, tous deux conviennent "que le transfert à La Haye offrait les meilleures garanties de sécurité".

"Selon le compte-rendu de leur discussion rédigé par la partie française, Ban Ki-moon, consulté par Ouattara « sur le traitement à réserver à Gbagbo », et Juppé « ont convenu que le transfert à La Haye offrait les meilleures garanties de sécurité ». Un mois plus tard, fin juin, Ocampo fait finalement une demande « aux fins d’ouvrir une enquête de sa propre initiative en Côte d’Ivoire ».
En octobre 2011, les juges de la CPI font droit à la requête du procureur. Avant même cette décision, le bureau du procureur, les autorités ivoiriennes et les Français, ainsi que l’ONU, ont commencé à préparer le transfèrement de Gbagbo vers La Haye. Plusieurs réunions ont lieu à Abidjan, Paris et La Haye.
En novembre, Ouattara se pose visiblement des questions sur la suite : un membre du bureau du procureur informe ses collègues qu’il a reçu un appel de sa part. Le président ivoirien veut rencontrer Ocampo pour une mise à jour et « savoir quels messages il peut délivrer aux diplomates qu’il va rencontrer à Bruxelles » à la fin du mois. « Il a besoin des conseils du procureur », insiste l’employé de la Cour.
Le 26 novembre, tout s’accélère. Ocampo rencontre Ouattara à Paris, puis le diplomate Stéphane Gompertz (qui n’a pas donné suite à nos sollicitations). Trois jours plus tard, Gbagbo est transféré vers les Pays-Bas. "
(article de Médiapart repris sur mon blog intégralement )
La CPI est le pseudo "tribunal" de la Bourgeoisie esclavagiste.
Cette Bourgeoisie qui verse des salaires esclavagistes aux Africains.
Elle sert à perpétuer l'esclavage Franceàfric et USAfric.

La CPI n'est rien d'autre qu'un QG terroriste qui séquestre le Président Gbagbo pour protéger Sarkozy, Ouattara, Juppé, Le Drian, Macron.


CPI un QG terroriste qui séquestre le président Laurent Gbagbo en Europe pour protéger les terroristes Soro Ouattara





On peut donc s'amuser de de lire :


Les juges n'ont jamais eu une quelconque indépendance. Ils sont les employés des impérialistes. Ils leur obéissent !
La décision de libérer Gbagbo était le résultat du changement de rapport de force et non le résultat d'un travail juridique.
Tous les juges de la CPI  connaissent la vérité. Tous savent très bien que c'est Sarkozy qui devrait être à la place de Gbagbo !En compagnie de Johnnie Carson, Ban Ki Moon, Obama et Hillary Clinton, les véritables chefs des terroristes Forces Nouvelles.
Mais leur travail de mensonges, de contre vérité pour faire croire l'inverse de la réalité au public n'a pas fonctionné.
Les juges cherchent à sauver l'institution CPI pour, à l'avenir, pouvoir continuer à la faire fonctionner contre les résistants africains. Libérer Gbagbo était une façon de garder un semblant de crédibilité...
Bensouda qui est celle qui a le plus œuvré contre Gbagbo craint d'abord pour elle avant de s'inquiéter de la crédibilité de la CPI, c'est pourquoi, elle a fait appel de la décision des juges de libérer Gbagbo, mercredi.

On peut lire aussi :

Comme si la CPI avait une mission de véritable justice !



Le plus symptomatique de cette Formoisie compradore est Toussaint Alain, ex conseiller de Gbagbo qui a pactisé avec le terroriste Guillaume Soro en avril 2017 (lire
Côte-d’Ivoire: Y-a-t-il vraiment lieu de fêter le rapprochement entre Soro et les proGbagbo, Toussaint, Abel Naki etc … ?)


 La CPI ne souffre d'aucune "schizophrénie judiciaire".
Parler de "Schizophrénie judiciaire" concernant la décision de libération puis du maintien en détention de Gbagbo et Blé Goudé jusqu'au 2 février, date à laquelle la cour délibérera concernant l'appel de Bensouda à garder en détention les deux victimes, c'est considérer la CPI comme un véritable tribunal qui fait appliquer une vraie justice !

Toussaint Alain parle d'"une Cour censée rétablir la vérité et la justice" alors que la CPI a toujours été au service des impérialistes !

Comprendre le rôle de la CPI suppose d'être un vrai anti impérialiste.
Ceux qui pactisent avec les impérialistes en échange du statut et de l'argent qui va avec, se mentent en permanence sur la Bourgeoisie esclavagiste.
Ils n'arrivent donc pas à voir clair sur la stratégie de la Bourgeoisie esclavagiste qui utilise la CPI contre Gbagbo et Blé Goudé.

Ils cherchent sans cesse à donner du crédit aux juges de la CPI comme des prisonniers peureux cherchant à amadouer leur geôlier.

La bourgeoisie esclavagiste dirige le monde et a ses institutions, donc ses tribunaux pour mettre en prison ceux qui lui résistent !

Remettre en cause la CPI suppose de remettre en cause le capitalisme et l'impérialisme.

Cela suppose donc de proposer une autre justice au service des pauvres et du peuple.

Il faudra évidemment un Nuremberg de l'Afrique pour juger les criminels sanitaires qui affament les Africains.
8213 enfants meurent chaque jour en Afrique dans les territoires occupés par la Franceàfric.
Sarkozy, Macron, Juppé, Le Drian, Johnnie Carson, Tarfusser, Ben Souda, Ocampo doivent être jugés par des juges JDR (Juges délégués révocables) choisis par la population en raison de leur éthique et de leur sens de la justice, la justice du peuple



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