jeudi 27 mai 2021

Mali : Assimi Goïta Dégage. Pas plus de 2 généraux parmi les 25 membres du comité exécutif CNR-CE provisoire du Mali, pas plus de 2 colonels parmi les 25 membres de chaque comité exécutif de région, pas plus de 2 commandants parmi les 25 membres de chaque comité exécutif de cercle, pas plus de 2 capitaines parmi les 25 membres de chaque comité exécutif d'arrondissement 8% de militaires Ni plus Ni moins !

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
27 Mai 2021

Chaque coordinateur national provisoire parlerait donc au nom de 80 000 Maliens !
C'est SANKARA qui donne la solution pour le Mali : un CNR appuyé sur 80 000 CDR de 25


Les militaires seront des représentants du peuple. Ils seront 8% des délégués du peuple ! Ni plus ni moins ! Le peuple ne renvoie pas les militaires dans leurs casernes. Le peuple les invite dans ses maisons, le peuple les invite dans ses comités, ses commissions, ses organes de gestion ! 8% de militaires dans chaque comité !!!!

Mais les militaires ne seront que 8% parmi l'ensemble des 80 000 délégués révocables
Ils ne seront que 8% dans tous les comités exécutifs
2 généraux parmi les 25 membres du comité exécutif CNR-CE provisoire du Mali
2 colonels parmi les 25 membres de chaque comité exécutif de région habitée par 2,1 M
2 commandants parmi les 25 membres de chaque comité exécutif de cercle habité par 410 000 en moyenne
2 capitaines parmi les 25 membres de chaque comité exécutif d'arrondissement peuplé de 84000 citoyens
2 lieutenant parmi les 25 membres de chaque comité exécutif cantonal de 17 000 habitants
2 sergents parmi les 25 membres de chaque comité exécutif de commune révolutionnaire de 3400 personnes
A la base ce seront 100 citoyens qui recruteront 2 militaires 3 policiers 5 étudiants 3 enseignants 5 soignants 5 fonctionnaires territoriaux et 2 juges conciliateurs pour former un grand CDR de base. 100+20+5

N'importe que (naïf) démocrate sincère pourrait s'étonner de voir les "diplomates" impérialistes exiger que ce soit des civils qui soient placés à la tête d'un putsch..... sans aucun vote des Maliens.
Mais les (naïfs) démocrates sincères sont devenus sankaristes et donc anti-démocrates.....
Il suffit de lire ce que les Russes et les Chinois ont signé comme communiqué du Conseil de Sécurité en compagnie des Européens et des Américains pour comprendre que les impérialistes sont coalisés pour imposer une dictature aux Maliens. Les naïfs ont "oublié" que la Franceàfric a envahi le Mali dans les avions Antonov An-124 de la ..... Russie



LIRE AUSSI :

Mali: #NonAuPutsch #CSNPDEGAGE #ViveLaRévolution 2 militaires pour 125 citoyens formant un grand CDR de base (100 délégateurs, 5 étudiants et 18 autres fonctionnaires délégués révocables) Toujours 8% de militaires avec le peuple ni plus ni moins


Mali : Assimi Goïta Dégage. Pas plus de 2 généraux parmi les 25 membres du comité exécutif CNR-CE provisoire du Mali, pas plus de 2 colonels parmi les 25 membres de chaque comité exécutif de région, pas plus de 2 commandants parmi les 25 membres de chaque comité exécutif de cercle, pas plus de 2 capitaines parmi les 25 membres de chaque comité exécutif d'arrondissement 
8% de militaires Ni plus Ni moins !
 

Assimi Goïta dégage !
Les Maliens ne veulent pas de militaires qui font des putsch à répétition pour imposer un régime impérialiste Franceàfric USAfric Russieàfric !

Les militaires ont relâché le Premier ministre Moctar Ouane et le président de transition Bah Ndaw qu'ils avaient arrêtés dimanche soir.
On voit comment les gredins Franceàfric de l'AFP commenter ce 2° putsch du Mali avec une sévérité critique bien différente des commentaires de l'AFP sur le putsch Déby du Tchad. Les militaires obéissants sont traités avec bienveillance, les militaires désobéissants sont traités sévèrement par les pseudo-journalistes de l'impérialisme.

Les militaires maliens ont libéré le président et le Premier ministre de transition maliens, tout en semblant s'éloigner de l'exigence internationale d'un retour rapide à un processus conduit par les civils après ce qui s'apparente à un second putsch en neuf mois.

En libérant discrètement dans la nuit de mercredi à jeudi le président Bah Ndaw et le Premier ministre Moctar Ouane qu'ils avaient fait arrêter lundi avec d'autres hautes personnalités, l'homme fort du pouvoir, le colonel Assimi Goïta, et les autres putschistes de 2020 satisfont à une demande faite par le Conseil de sécurité de l'ONU mercredi et partagée par les principaux partenaires du Mali. AFP

Après avoir imposé la "démission" de Moctar Ouane et Bah Ndaw, Assimi Goita s'est donc auto-proclamé "Président de la Transition de la République du Mali".

L'ONU agence des impérialistes réclame la continuation de leur "transition civile" antidémocratique, avec des pantins impérialistes civils !

Mais ils semblaient bien loin de la "reprise immédiate" d'une transition civile dirigée par des civils, également réclamée par le Conseil de sécurité et d'autres.

Au contraire, le colonel Goïta a dit à la mission internationale dépêchée mardi à Bamako qu'il comptait prendre la tête de la transition et nommer un Premier ministre, ont rapporté des diplomates s'exprimant sous couvert d'anonymat compte tenu du caractère hautement sensible de ce retour en arrière de neuf mois. AFP

N'importe que (naïf) démocrate sincère pourrait s'étonner de voir les "diplomates" impérialistes exiger que ce soit des civils qui soient placés à la tête d'un putsch..... sans aucun vote des Maliens.
Mais les (naïfs) démocrates sincères sont devenus sankaristes et donc anti-démocrates.....
Il suffit de lire ce que les Russes et les Chinois ont signé comme communiqué du Conseil de Sécurité en compagnie des Européens et des Américains pour comprendre que les impérialistes sont coalisés pour imposer une dictature aux Maliens. Les naïfs ont "oublié" que la Franceàfric a envahi le Mali dans les avions Antonov An-124 de la ..... Russie

Le Conseil de sécurité de l’ONU s’est réuni mercredi à huis clos pour discuter de l’apparent coup de force par des militaires contre le gouvernement de transition au Mali.

A l’issue de cette réunion, les membres du Conseil ont publié une déclaration à la presse dans laquelle ils condamnent fermement l'arrestation du Président de la transition, du Premier ministre et d'autres responsables par des éléments des forces de défense et de sécurité le 24 mai.

Le Président de la transition, Bah N’Daw, son Premier ministre, Moctar Ouane, et certains de leurs collaborateurs, ont été amenés au camp militaire de Kati, à une quinzaine de kilomètres de la capitale Bamako.

Selon les informations parues dans la presse, le colonel Assimi Goïta, Vice-président par intérim, qui était à la tête du renversement de l'ancien Président malien Ibrahim Boubacar Keïta l'année dernière, aurait fait procéder à ces arrestations parce qu'ils ne l'avaient pas consulté sur un remaniement du gouvernement.

Les membres du Conseil de sécurité de l’ONU ont appelé « à la libération sûre, immédiate et inconditionnelle de tous les responsables détenus et ont exhorté les éléments des forces de défense et de sécurité à regagner leurs casernes sans délai ».

On notera que ceux qui sont invités à "regagner leurs casernes" sont ceux qui sont le socle de cette dictature transition ! 

Source: le site de l'ONU 

Le chef de l'ONU préoccupé

La nouvelle des arrestations a été accueillie avec inquiétude par le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, qui a déclaré que son Représentant spécial dans la région travaillait en étroite collaboration avec la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l'Union africaine et d'autres partenaires qui soutiennent la transition.

La Mission de l’ONU au Mali, la MINUSMA, s’est jointe à des partenaires internationaux pour condamner la « tentative de coup d’État » de lundi. Ils ont exigé la libération immédiate et inconditionnelle du Président Bah N’Daw et du Premier ministre Moctar Ouane et ont souligné que les « éléments militaires » responsables de leur détention seront tenus « personnellement responsables » de leur sécurité.

Lors d'un point de presse mercredi, le porte-parole de l'ONU, Stéphane Dujarric, a déclaré que la MINUSMA « continuait de travailler en étroite collaboration » avec la délégation de la CEDEAO, qui se trouve actuellement à Bamako. « Notre Représentant spécial et chef de la mission de maintien de la paix, El-Ghassim Wane, a participé aux réunions que la délégation de la CEDEAO a eues », a-t-il ajouté.

Il a déclaré que la MINUSMA continuait de soutenir les efforts de la CEDEAO et « appelait tous les acteurs concernés à coopérer pleinement en vue d'une reprise rapide du cours normal de la transition ».

M. Dujarric a déclaré qu'il était « crucial que cette crise soit résolue de toute urgence car elle constitue un défi supplémentaire qui affecterait négativement la mise en œuvre de l'Accord de paix ». M. Guterres, quant à lui, continue de suivre la situation au Mali « avec inquiétude et continue d'être impliqué ».

Le Conseil de sécurité demande la reprise immédiate de la transition

Dans sa déclaration à la presse, le Conseil de sécurité a réaffirmé son soutien à la transition menée par des civils et a appelé à sa reprise immédiate, conduisant à des élections et à l'ordre constitutionnel dans le délai de 18 mois établi, conformément à la charte de la transition.

Les membres du Conseil ont appelé toutes les parties prenantes maliennes « à donner la priorité au renforcement de la confiance, à l'engagement dans le dialogue et à être disposées à faire des compromis pour atteindre ces objectifs ». Selon eux, imposer un changement de leadership de la transition par la force, y compris par des démissions forcées, est « inacceptable ».

Les membres du Conseil ont noté avec préoccupation le risque d'impact négatif de ces développements sur les efforts en cours pour lutter contre le terrorisme, mettre en œuvre l'Accord sur la paix et la réconciliation au Mali et stabiliser le Centre du pays.

Ils ont réitéré leur ferme soutien aux efforts de médiation de l'Union africaine et de la CEDEAO et ont appelé toutes les parties prenantes maliennes à continuer de coopérer pleinement avec les efforts de tous les partenaires pour assurer la reprise de la transition menée par des civils.


Les humanocrates sankaristes appellent depuis des années la population malienne à se choisir ses représentants tout de suite, ses DELEGUES REVOCABLES.

 


Nos propositions du 16 mai sont aussi nos propositions du 27 mai

FORMER des Grands CDR de 100+20+5 citoyens

TOUT MILITANT #UNTM doit impérativement FORMER UN #GrandCDRdebase dans lequel 100 citoyens donneront #accréditation à 20 #fonctionnaires #UNTM plus 5 #étudiants
Le délégué #DIC (#déléguéIntermédiaireConseiller) qui parlera au nom des 20 fonctionnaires pro #UNTM parlera donc AUSSI au nom des 100 CITOYENS NON FONCTIONNAIRES
Naturellement , la population pourra aussi, par groupes de 100 désigner d'AUTRES groupes de 20 FONCTIONNAIRES et 5 étudiants opposés à la stratégie #UNTM
Ce système ne vise pas à NEGOCIER avec #AssimiGoita et ses bandits mais à les REMPLACER

Tout le #Mali doit s'organiser par groupes de 100+20+5


On ne comptera donc pas le parti SADI dans les rangs
 ni des naïfs démocrates ni des sincères sankaristes


 

LE FAD LUI AUSSI VEUT CONTINUER CETTE TRANSITION MILITARO-CIVILE
 SANS DELEGUES REVOCABLES




LUI NON PLUS, CHOGUEL MAIGA PARLANT POUR LE M5 RFP
 N'APPELLE PAS LE PEUPLE A DESIGNER SES 80 000 DELEGUES DE BASE



 

 LE PARENA RECLAMANT UNE "TRANSITION INCLUSIVE" VEUT LUI AUSSI SA PART DE GATEAU EN ETANT ADMIS DANS LE MARIGOT DES CROCODILES


 

 L'URP... QUEMANDE AUSSI SA PLACE DANS LE MARIGOT


 

 SEULS QUELQUES RARES PAROLES MEDIATISEES OSENT APPELER UN CHAT UN CHAT ET DENONCER ASSIMI GOITA MAIS Me ALASSANE ALDIOR DIOP A OUBLIE QUE LE PRINCIPAL MESSAGE DE THOMAS SANKARA ETAIT INSTITUTIONNEL

 "Au lieu de proposer aux Maliens, une autre vision objective et crédible d’accès aux fonctions publiques, nous assistons à une militarisation à outrance de toutes les parois de l’administration publique. (..)  Le CNSP pourtant dissous par décret présidentiel n’a jamais été autant fort et présent que ce 25 mai 2021.(...) 
Le népotisme a toujours guidé vos choix. Bah N’DAW comme Président de la transition est votre trouvaille à vous seul. Le Premier ministre Moctar OUANE et l’ensemble de son gouvernement n’étaient que des personnes recommandées sur fond de calculs politico-religieux sans aucun égard pour l’intérêt du pays. Leur échec est votre échec.


 LORSQUE Me ALASSANE ALDIOR DIOP  INVOQUE LE NOM DE SANKARA.... IL OUBLIE DE RAPPELER SON COMBAT POUR LES CDR

On a tous rêvé des Sankara pour changer irrévocablement le Malien d’aujourd’hui contre son plein gré. Mais il faut l’admettre, le temps des Sankara est définitivement révolu, l’or brut se fait rare. Trouvez-nous les ressources pour nous sortir rapidement de ce trou dans lequel vous nous aviez mis.

On va donc lui rafraichir la mémoire pour que son cri de colère se transforme en action constructive : aider à former 80 000 CDR de base 16 000 grands CDR de base au Mali

JEUDI 4 DÉCEMBRE 2014

"Il n'y a pas deux Burkina Faso. Il n'y a qu'un seul Burkina Faso : le Burkina Faso des CDR. Il commence avec les CDR et finit avec les CDR" Thomas Sankara 1986

Présentation 2014
par Yanick Toutain
RevActu
 4/12/14


"Tout ce que nous avons réalisé au Burkina Faso, sous la révolution, nous l'avons réalisé grâce aux CDR en premier lieu."
Thomas Sankara 4 avril 1986

"... beaucoup étaient venus pour fêter la disparition de ces fameux CDR.
Pourquoi les CDR ? Historiquement, vous savez que rien n'est plus faux que de dire que les CDR ont été créés au lendemain du 4 août 1983.
Les CDR ont été créés avec les premiers coups de feu qui ont été tirés ici.
Les CDR ont été créés le 4 août 1983, précisément.
[Applaudissements] Les CDR sont nés dialectiquement en même temps que la révolution au Burkina Faso.
[Applaudissement] Parce que, à l'instant même où nous avons prononcé le mot révolution dans ce pays, la nécessité de la défendre s'est fait sentir et celui qui parle de révolution sans prendre les dispositions pour protéger cette révolution commet une grave erreur et méconnaît les capacités de lutte, les capacités de destruction de la réaction.
Pour notre part, nous avons invité le peuple dans la nuit du 4 août, à se constituer partout en Comités de défense de la révolution parce que nous ne nous faisions pas d'illusion : la révolution allait être attaquée.
Elle l'a été, elle l'est et elle le sera.
Donc, les Comités de défense de la révolution l'ont été, le sont et le seront.
[Applaudissement] Rien de ce qui a été fait de positif sous la révolution n'a pu être réalisé sans les CDR.
Nous savons que nous CDR, nous ne sommes pas parfaits.
Nous le savons, mais nous continuons de rechercher dans ce monde les exemples de perfection.
Nous CDR, avons eu à exercer le pouvoir populaire.
Sur le plan politique, sur le plan économique, sur le plan militaire, sur tous les plans de la vie nationale, à tous les niveaux de la vie des Burkinabè, nous, CDR, sommes impliqués directement.
Il est donc important que nous comprenions que la marche correcte des CDR a une conséquence bénéfique et heureuse pour chacun de nous.
Se détourner des CDR, c'est se faire à soi-même du tort ; à moins que l'on ne soit en mesure de quitter le Burkina Faso.
Nous avons besoin des CDR et nous aurons toujours besoin des CDR quelle que soit la forme qu'un jour ils pourraient prendre.

"Nous ne pouvons pas accepter de mettre les CDR de côté.
Il n'y a pas deux Burkina Faso.
Il n'y a qu'un seul Burkina Faso : le Burkina Faso des CDR.
Il commence avec les CDR et finit avec les CDR.
[Applaudissements] C'est pourquoi, il faut que là où il n'y a pas encore des CDR qu'ils soient rapidement constitués.
Partout où se trouvent des Burkinabè, le premier réflexe doit être pour eux de constituer un Comité de défense de la révolution parce qu'ils sont et existent grâce à la révolution.
Et s'ils ne le font pas, ils vont à l'encontre de la révolution et il n'y a pas de raison qu'ils bénéficient des bienfaits de la révolution."


8% DE MILITAIRES DANS LES DELEGUES DE CDR NI PLUS NI MOINS

Les militaires seront des représentants du peuple. Ils seront 8% des délégués du peuple ! Ni plus ni moins ! Le peuple ne renvoie pas les militaires dans leurs casernes. Le peuple les invite dans ses maisons, le peuple les invite dans ses comités, ses commissions, ses organes de gestion ! 8% de militaires dans chaque comité !!!!

Mais les militaires ne seront que 8% parmi l'ensemble des 80 000 délégués révocables
Ils ne seront que 8% dans tous les comités exécutifs
2 généraux parmi les 25 membres du comité exécutif CNR-CE provisoire du Mali
2 colonels parmi les 25 membres de chaque comité exécutif de région habitée par 2,1 M
2 commandants parmi les 25 membres de chaque comité exécutif de cercle habité par 410 000 en moyenne
2 capitaines parmi les 25 membres de chaque comité exécutif d'arrondissement peuplé de 84000 citoyens
2 lieutenant parmi les 25 membres de chaque comité exécutif cantonal de 17 000 habitants
2 sergents parmi les 25 membres de chaque comité exécutif de commune révolutionnaire de 3400 personnes
A la base ce seront 100 citoyens qui recruteront 2 militaires 3 policiers 5 étudiants 3 enseignants 5 soignants 5 fonctionnaires territoriaux et 2 juges conciliateurs pour former un grand CDR de base. 100+20+5



Dès le 4 aout 1983 Thomas Sankara appelait la population à former des CDR !
C'est la différence entre une révolution et un coup d'Etat impérialiste !

Assimi Goïta n'est que l'agent des impérialistes russes, américains et français !

Nous avons invité le peuple dans la nuit du 4 août, à se constituer partout en Comités de défense de la révolution  parce que nous ne nous faisions pas d'illusion : la révolution allait être attaquée. Elle l'a été, elle l'est et elle le sera.
Donc, les Comités de défense de la révolution l'ont été, le sont et le seront.
[Applaudissement] Rien de ce qui a été fait de positif sous la révolution n'a pu être réalisé sans les CDR.
Nous savons que nous CDR, nous ne sommes pas parfaits.
Nous le savons, mais nous continuons de rechercher dans ce monde les exemples de perfection.
Nous CDR, avons eu à exercer le pouvoir populaire.
Sur le plan politique, sur le plan économique, sur le plan militaire, sur tous les plans de la vie nationale, à tous les niveaux de la vie des Burkinabè, nous, CDR, sommes impliqués directement.
Il est donc important que nous comprenions que la marche correcte des CDR a une conséquence bénéfique et heureuse pour chacun de nous.
Se détourner des CDR, c'est se faire à soi-même du tort ; à moins que l'on ne soit en mesure de quitter le Burkina Faso.
Nous avons besoin des CDR et nous aurons toujours besoin des CDR quelle que soit la forme qu'un jour ils pourraient prendre."

2 millions de Maliens sur les 10 millions d'adultes doivent  former 80 000 CDR de base pour désigner les 80 000 délégués de base. Ces délégués par groupes de 80 000 auraient désigné un des "'ministres" du gouvernement révocable qui vote, un des 25 coordinateurs nationaux.
Chaque coordinateur national provisoire parlerait donc au nom de 80 000 Maliens !
C'est SANKARA qui donne la solution pour le Mali : un CNR appuyé sur 80 000 CDR de 25



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