vendredi 26 février 2021

L'esclavagiste Bolloré magouillait avec son complice le procureur voyou Jean François Bohnert en plaidant "coupable" de corruption du dictateur assassin Gnassingbé mais la juge Isabelle Prévost Deprez lui impose un procès

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
26/02/2021

Une juge française résiste aux méthodes de corruption employés par Bolloré !
Comme le juge Sabine Khéris qui avait poursuivi Soro quand Fabius le cachait à la COP21 pour le protéger, la juge Isabelle Prévost Deprez refuse le diktat de protection des criminels de la Franceàfric.
Elle rompt avec le procureur Jean François Bohnert qui tentait de protéger Bolloré avec une manœuvre consistant à le faire "plaider coupable" pour empêcher un procès !

Le consensualisme magouillé par Vincent Bolloré et le procureur voyou  Jean-François Bohnert du PNF Parquet National Financier c'est la complicité des juges voyous avec les esclavagistes, les terroristes et les dictateurs africains.

On a une belle preuve du consensualisme avec le juge voyou Michael Janas qui devrait être en prison pour 15 ans comme receleur de faux en écritures aggravée de sa complicité avec les terroristes de Côte d'Ivoire et leur parrain Jean-Marie Bourry.
Le consensualisme c'est la promotion de ce gangster complice des crimes de Ouattara et Soro promotionné comme président du tribunal judiciaire de Lyon.


L'esclavagiste Bolloré magouillait avec son complice  le procureur voyou Jean François Bohnert en plaidant "coupable" de corruption du dictateur assassin Gnassingbé mais la juge Isabelle Prévost Deprez lui impose un procès 


Une juge française résiste aux méthodes de corruption employés par Bolloré !
Comme le juge Khéris qui avait poursuivi Soro quand Fabius le cachait à la COP21 pour le protéger, la juge Isabelle Prévost Deprez refuse le diktat de protection des criminels de la Franceàfric.
Elle rompt avec le procureur Jean François Bohnert qui tentait de protéger Bolloré avec une manœuvre consistant à le faire "plaider coupable" pour empêcher un procès !

Dans une affaire de corruption en Afrique, la justice française refuse le plaider-coupable de Vincent Bolloré

Il avait reconnu sa culpabilité pour des faits de corruption active au Togo, mais le tribunal judiciaire de Paris en a refusé l’homologation et demandé un procès. La société Bolloré SE devra, elle, payer 12 millions d’euros pour clore les poursuites à son encontre.

Vincent Bolloré est arrivé devant le tribunal judiciaire de Paris, vendredi 26 février, comme l’avait annoncé L’Obs plus tôt dans la matinée, au côté de son directeur général, Gilles Alix. Il a d’abord écouté attentivement les faits qui lui étaient reprochés, dans cette affaire de corruption en Afrique, lus par la présidente Isabelle Prévost-Deprez, puis à la question de savoir s’il reconnaissait sa culpabilité a répondu : « Oui, madame la présidente. »

Ce seront ses seuls mots. Peu avant, le procureur national financier, Jean-François Bohnert, était venu lui-même à l’audience se féliciter des discussions « parfaitement sereines » qui avaient précédé cette double audience devant homologuer trois comparutions avec reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), dont celle de Vincent Bolloré, et une convention judiciaire d’intérêt public (CJIP), rappelant que ces procédures reposent sur le « consensualisme ».

Le consensualisme magouillé par Vincent Bolloré et le procureur voyou  Jean-François Bohnert du PNF Parquet Nationale Financier c'est la complicité des juges voyous avec les esclavagistes, les terroristes et les dictateurs africains.

On a une belle preuve du consensualisme avec le juge voyou Michael Janas qui devrait être en prison pour 15 ans comme receleur de faux en écritures aggravée de sa complicité avec les terroristes de Côte d'Ivoire et leur parrain Jean-Marie Bourry.
Le consensualisme c'est la promotion de ce gangster complice des crimes de Ouattara et Soro promotionné comme président du tribunal judiciaire de Lyon.

Après une courte suspension, et à la grande surprise de l’assistance, les peines demandées par le Parquet national financier et acceptées par Vincent Bolloré, Gilles Alix et Jean-Philippe Dorent ont été refusées par le tribunal, qui a considéré que les faits reprochés avaient « gravement porté atteinte à l’ordre public économique » et « porté atteinte à la souveraineté du Togo ». Le tribunal demande la tenue d’un procès.

Vincent Bolloré avait reconnu sa culpabilité pour les faits de corruption active d’agent public étranger et complicité d’abus de confiance au Togo, et avait accepté de payer une amende de 375 000 euros, sans toutefois que cette condamnation ne soit inscrite à son casier judiciaire. Il en avait été de même pour Gilles Alix et Jean-Philippe Dorent, dont les peines n’ont pas non plus été homologuées Le Monde

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Bolloré a versé 370 000 euros de cadeaux à Gnassingbé sous forme de "dépenses de communication",  pour gagner des contrats sur le port de Lomé.
370 000 euros c'est 7400 mois de salaire à 50 euros par mois, le salaire qu'il verse à ses salariés africains !
Payer la campagne de Gnassingbé comme celle d'Alpha Condé lui permettait à la fois de gagner les contrats des ports en plus de s'assurer de la continuité d'une dictature qui permet la perpétuation des salaires esclavagistes !

Esclavage : pas d'abolition pour Bolloré

Gnassingbé est un allié de taille pour la Franceàfric.
Il est l'allié qui agit en faveur des intérêts des esclavagistes partout en Afrique.

Gnassingbé mouillé jusqu'au cou dans le putsch Soro Diendiéré Bassolé Ouattara téléguidé par l'Elysée

En 2018, en pleine révolution togolaise, après le documentaire sur France 2 de Tristan Waleckx, la justice s'était un peu réveillée.
Elle avait mis en examen Bolloré. 
Nous avons crié Victoire !
Puis plus rien...
Entre deux, Bolloré a construit sa toile médiatique avec l'argent de l'esclavage des salaires à 50 euros par mois en Africains.

mardi 24 avril 2018

En attendant un futur procès au Tribunal Correctionnel, Bolloré devra payer une amende d'intérêt public de 12 M d'euros et mettre en place pour 2 ans un programme de mise en conformité aux règles de l'agence française anticorruption.

Dans le cadre de la CJIP, qui a pour sa part été homologuée, la société Bolloré SE en tant que personne morale devra pour sa part payer une amende d’intérêt public calculé sur le montant putatif des bénéfices que le groupe retirera de la concession portuaire de Lomé sur les trente-cinq années où il la détient – soit 12 millions d’euros. Le groupe devra aussi mettre en place un programme de mise en conformité aux règles de l’agence française anticorruption sur une durée de deux ans.
Ces 12 millions ne seront pas versés aux Africains victimes de Bolloré !
Ce programme anti corruption ne force pas Bolloré à respecter les lois sociales françaises en Afrique donc à payer ses salariés au SMIC français soit environ 20 fois plus que le montant qu'il leur verse !

Il faut donc une révolution anti-Bolloré, une révolution anti-esclavagiste. Une révolution sera nécessaire pour extrader en Afrique ce criminel et le faire juger par des JDR, juges de CDR, Juges Délégués Révocables !
Ce sera le Nuremberg de l'Afrique !
Ce sera la fin du crime sanitaire !

100 Millions d'enfants morts en 25 ans à cause de la misère Franceàfric dans les territoires sous occupation militaire français !



LA TERRE EST NOTRE PATRIE NOUS VAINCRONS !

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