lundi 22 avril 2019

Acte 23, Castaner a cessé de fabriquer l'émeute après 5 mois de techniques policières aidant les casseurs à s'infiltrer parmi les Gilets Jaunes

Par Yanick Toutain
avec Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
22/04/2019

" une stratégie renouvelée
d’aller au contact des manifestants violents
 pour casser l’effet de foule"
Éric Pelletier et Jérémie Pham-Lê (Le Parisien 20/4)


 Si Castaner, à l'acte 23 se résout à "casser l'effet de foule"
 c'est que c'était précisément sa tactique contre-révolutionnaire depuis novembre
FABRIQUER DES EFFETS DE FOULE ?
Toute la ruse stupide de Castaner et des gredins à son service
 a consisté depuis novembre à tout faire
 pour faire cesser la FRATERNISATION REVOLUTIONNAIRE :
ces cortèges entiers de Gilets Jaunes
applaudissant policiers, gendarmes mobiles , CRS !
 Il fallait casser cela !


"Nous avions pris en photos
 les preuves de ces saloperies policières au Havre

Le plan de ces gredins fut déjoué par les Gilets Jaunes
 qui bifurquèrent à droite vers la place de la Bourse...
. Le saccage d'une sous-préfecture
qui aurait valu médailles et avancement
 à ces gredins de la part de Castaner n'eut pas lieu. "

Acte 23, Castaner a cessé de fabriquer l'émeute
après 5 mois de techniques policières
 aidant les casseurs à s'infiltrer parmi les Gilets Jaunes


Les journalistes du Parisien - Éric Pelletier et Jérémie Pham-Lê - ont parfaitement remarqué et signalé la modification fondamentale de tactique utilisée dans les manifestations de Gilets Jaunes par les forces de l'ordre... qui, pour la première fois depuis 5 mois ont cessé d'être des forces du désordre.
C'est ce qu'ils résument dans ce paragraphe

" une stratégie renouvelée d’aller au contact des manifestants violents pour casser l’effet de foule"

 Si Castaner, à l'acte 23 se résout à "casser l'effet de foule" c'est que c'était précisément sa tactique contre-révolutionnaire depuis novembre

CASTANER : COMMENT FABRIQUER DES EFFETS DE FOULE ?

 Toute la ruse stupide de Castaner et des gredins à son service a consisté depuis novembre à tout faire pour faire cesser la FRATERNISATION REVOLUTIONNAIRE : ces cortèges entiers de Gilets Jaunes applaudissant policiers, gendarmes mobiles , CRS ! Il fallait casser cela !

 Pour fabriquer des effets de foule, j'ai vu la police du Havre repousser des Gilets Jaunes installés tranquillement au carrefour de la place de l'hôtel de ville, en les repoussant violemment en direction..... de la sous-préfecture.... laissée à l'abandon....
J'ai vu parmi les cadres policiers le même cadre qui m'avait apostrophé à la 2° (et dernière) réunion de Nuit Debout Le Havre.
"Vous êtes qui monsieur ?"
 m"avait-il demandé lorsque j'engueulais les militants du parti Communiste qui avaient organisé - en lieu et place de la 2° réunion Nuit Debout Le Havre - un concert salafiste du crypto-terroriste Médine Zaouiche..... pour crier "crucifions les laicards" sous les fenêtres et sous la protection du maire..... Edouard Philippe.
Le même "chef des renseignements généraux" était à la manœuvre avec ses collègues pour FABRIQUER un "effet de foule" .... visant à inciter les Gilets Jaunes du Havre à attaquer la sous-préfecture...
Nous avions pris en photos les preuves de ces saloperies policières au Havre
Le plan de ces gredins fut déjoué par les Gilets Jaunes qui bifurquèrent à droite vers la place de la Bourse.... Le saccage d'une sous-préfecture qui aurait valu médailles et avancement à ces gredins de la part de Castaner n'eut pas lieu. !




Acte V ! Au Havre, j'ai vu la police de Castaner-Macron pousser les Gilets Jaunes vers la .... sous-préfecture de la ville ! Provocation évidente !


La technique était simple : envoyer ou laisser agir un groupe d'abrutis casseurs (blacks blocs ou activistes d'extrême-droite ) leur laisser le temps de recruter des idiots utiles.... puis gazer tous les manifestants pacifiques.
Cette tactique scandaleuse dénoncée par le syndicat de police VIGI et quelques autres a permis le pourrissement des manifestations

Accuser les Gilets Jaunes en filmant pendant 4 heures un casseur agent provocateur ! Technique de la police de Castaner Edouard Philippe qui sabotent en même temps la désignation de délégués sécurité avec des délégués révocables


A l'ACTE 22 AU HAVRE, J'AI VU UN LIEUTENANT DE GENDARMERIE MOBILE ACCEPTER LE DIALOGUE CONSTRUCTIF (.... PUIS AGIR POUR NE PAS CREER D'EFFETS DE FOULES...


La tactique utilisée à Paris à l'acte 23, je l'ai vue être utilisée au Havre la semaine précédente par les gendarmes mobiles venus de Valenciennes : alors même que des agents provocateurs non Havrais étaient venus chercher la provocation - avec un des abrutis criant "gaze-nous" ... les gendarmes mobiles firent tout leur possible pour saboter le plan du Deep State US et de ses pantins français..... Aucun effet de foule ne fut fabriqué... même quand 90% de la manifestation se disloquèrent et qu"un conglomérat d'idiots utiles et d'agents provocateurs gantés continuèrent à faire simulacre de révolution..... pour donner une raison de vivre au général de Villiers

UNE TACTIQUE NOUVELLE POUR NE PLUS LAISSER LES CASSEURS MANIPULER LES GILETS JAUNES........ UN MIRACLE GRÂCE à NOTRE-DAME
 A l'évidence, pour la première fois depuis novembre, Macron a donné consigne à Castaner de ne plus pousser les Gilets Jaunes dans les "'bras" des casseurs.... On voit le résultat !
L'article du Parisien "Contrôles préventifs, stratégie de maintien de l’ordre plus offensive : l’acte 23 des Gilets jaunes, pourtant annoncé chaotique, s’est déroulé, ce samedi, sans incidents majeurs"est édifiant
Contrôles préventifs, stratégie de maintien de l’ordre plus offensive : l’acte 23 des Gilets jaunes, pourtant annoncé chaotique, s’est déroulé, ce samedi, sans incidents majeurs.
Intervenir vite et fort : la tactique policière, résolument offensive, a permis de limiter la casse. L’acte 23 des Gilets jaunes, surnommé « l’ultimatum 2 » sur les réseaux sociaux, était annoncé comme un samedi noir. Il intervenait en effet après les annonces présidentielles, finalement perturbées, marquant la fin du grand débat. L’événement à haut risque avait donc été anticipé comme tel par les autorités. À la fois numériquement, avec un nombre de forces conséquentes -plus de 60 000 policiers et gendarmes mobilisés- et une stratégie renouvelée d’aller au contact des manifestants violents pour casser l’effet de foule.
« La journée a été maîtrisée grâce à un rapport de force favorable et une tactique offensive payante, relève un haut responsable des forces de l’ordre. À Paris, des dizaines de casseurs ont quand même essayé d’agir mais étant donné que le contexte ne leur était pas favorable et qu’ils agissent par opportunisme, ils n’ont pas insisté. »

« Le niveau de violence est resté important, mais bien en dessous de ce que l’on pouvait craindre compte tenu des menaces circulant en amont sur les réseaux sociaux », appuie David Michaux, secrétaire national pour les CRS à l’Unsa police, soulignant toutefois « la fatigue inégalée » des forces de l’ordre.
L’apport des brigades motorisées
Avec le nouveau schéma tactique, les compagnies ne sont plus intervenues seules, mais en binômes, avec des unités spécialisées dans l’interpellation. Parmi lesquelles, des brigades motorisées très mobiles.
À Paris, ce samedi, seuls quelques heurts rapidement circonscrits ont été constatés : d’abord vers 14 heures lorsque le défilé, parti de Bercy, a tenté d’emprunter un axe non prévu pour rejoindre la place de la République. En face du Mc Donald’s rue du Faubourg du Temple, des manifestants, virulents ou agacés d’être encagés par les forces de l’ordre, ont commencé à brûler des poubelles, des scooters et des véhicules. Quelques casseurs en ont profité pour relever leur capuche, se masquer le visage et tenter de former un black bloc. Si bien que la préfecture de police a demandé, sur Twitter, aux manifestants de se « désolidariser des groupes violents ».
Des groupes violents se sont constitués dans le cortège à proximité de la place de la République, désolidarisez vous de ces groupes, laissez les forces de l'ordre et de secours intervenir. pic.twitter.com/zl9mcgukHi
Mais les forces de l’ordre n’ont jamais semblé subir les assauts, répondant par des tirs de gaz lacrymogènes ou des charges en colonnes d’assaut afin d’empêcher toute formation hostile. « Elles ont été plus mobiles et plus réactives, avec un niveau d’engagement élevé. Les hommes se sont moins sentis bridés grâce à une marge de manœuvre plus grande accordée aux chefs opérationnels sur le terrain, estime un spécialiste du maintien de l’ordre. Avant, il y avait une ultracentralisation de l’autorité à Paris et les consignes étaient tardives. » Les tirs de LBD, les fameux lanceurs de balles de défense, qui ont occasionné de nombreuses blessures, ont été relativement limités.
Des forces mobiles plus... mobiles
Vers 15h30, le cortège a finalement pu rejoindre le point de ralliement, occasionnant quelques nouveaux affrontements de faible intensité. Un magasin de sport installé sur la place de la République a bien subi une tentative de pillage mais une longue colonne de gendarmes mobiles a aussitôt délogé les voleurs. Une image qui tranche avec celles du 16 mars, lorsque des casseurs ont pu, durant de longues minutes, mettre à sac des établissements de luxe sur les Champs-Élysées.

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Place de la République, des gendarmes mobiles ont empêché le pillage d’un magasin de sport. LP/Olivier Arandel
Tout au long de la journée la préfecture de police a multiplié les « contrôles préventifs », notamment aux abords des périmètres interdits installés autour des Champs-Élysées et de la cathédrale de Notre-Dame : 20 518 en fin de journée, dont 227 interpellations et 178 gardes à vue ! « Parmi les gardés à vue, il y a des provinciaux mais aussi des habitants de la région parisienne, ainsi que six mineurs proches de la majorité », indique une source judiciaire.
À l’évidence, ceux que les services de renseignement désignent sous la formule d’« ultras » étaient moins nombreux que lors des premières estimations (de 1 500 à 2000). « Nous savions qu’ils seraient finalement moins nombreux depuis jeudi, notamment au vu des faibles réservations d’hôtel », confie une source policière. Une guerre psychologique qui a porté ses fruits. « Les black blocs n’aiment pas être contrôlés car il y a aussi parmi eux des étudiants ou des jeunes travailleurs lambda qui veulent de l’adrénaline, appuie une autre source spécialisée. Donc ils ne sont pas venus. »

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