vendredi 15 mars 2019

Les jeunes Algériens crient aussi "Macron DEGAGE" en plus de #BouteflikaDEGAGE #NonAu4èmeMandat Il ne manque que 15 000 délégués d'arouch en Algérie et 40 000 délégués d'arouch en France #1pour25 pour que #SystèmeDEGAGE

Par Julie Amadis
avec Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
15/03/2019

Le peuple algérien doit reconquérir son pouvoir et ne pas le laisser à l'impérialisme. Il ne peut le faire qu'en désignant ses délégués d'Arouch et en exportant ce modèle d'humanocratie au Maroc, en Tunisie, au Niger, au Mali, en Mauritanie, en Libye, au Burkina Faso - où ce système est le frère jumeau des CDR Sankara







Les jeunes Algériens crient aussi "Macron DEGAGE" en plus de Il ne manque que 15 000 délégués d'arouch en Algérie et 40 000 délégués d'arouch en France pour que

Les Algériens veulent dégager à la fois Bouteflika et l'impérialisme français.
On voit maintenant des panneaux "Macron dégage" en plus des panneaux "Bouteflika dégage" "Système dégage" et "Non au 4ème mandat".

Macron craint que la chute de Bouteflika n'entraîne à la fois la fin des salaires esclavagistes payés par les patrons français en Algérie, la fin du pillage des hydrocarbures gaz et pétrole et surtout la fin de l'alliance DRS-DGSE pour protéger le jihadiste Iyad Ag Ghali dans la guerre contre révolutionnaire que mène la France contre l'Afrique subsaharienne en missionnant les terroristes.

LIRE :

Le Drian soutient Bouteflika hypocritement : deux complices protecteurs des jihadistes du Mali

COLÈRE DES ALGÉRIENS FACE A LA DÉCLARATION DE MACRON SOUTENANT BOUTEFLIKA

La déclaration de Macron mardi 12 mars soutenant les décisions de Bouteflika ont mis en colère les Algériens, qui voit une fois de plus que la France n'a pas changé d'attitude à l'égard de l'Algérie depuis le colonialisme.

Macron avait déclaré :
« Maintenant, a poursuivi Emmanuel Macron, il appartient évidemment à l’Algérie que les prochaines semaines et les prochains mois permettent d’assurer dans un délai raisonnable la tenue de cette conférence et son débouché sur des propositions constitutionnelles qui donneront lieu, si j’ai bien compris, à un référendum et donc garantissent à la fois transparence, cadre démocratique et une transition d’une durée raisonnable ».Le Parisien
La colère a été tellement grande suite à cette déclaration de Macron que les élus et représentants associatifs français d'origine algérienne ont écrit une lettre ouverte de protestation envers le président Macron.
« Monsieur le Président de la République, l’Algérie connait depuis plusieurs semaines, une vague historique de contestation du régime en place. Des millions d’Algériennes et d’Algériens sont sortis dans la rue et défilent pacifiquement depuis le 22 février, dans chaque ville et village, pour exprimer leur volonté de prendre en main leur destin et construire les bases d’une Algérie nouvelle.
Nous, élus de la République et représentants de la société civile, souhaitons fortement attirer votre attention sur la situation actuelle, porteuse de tant d’espoirs et susceptible d’engendrer de grandes désillusions. Le message du peuple algérien est très clair : il ne veut plus que son avenir lui soit confisqué. La merveilleuse et diverse jeunesse algérienne qui s’est déployée depuis plusieurs semaines dans les rues d’Alger, Oran, Annaba, Bejaïa ou Batna et le peuple algérien dans son ensemble, ne laisseront personne leur voler une première victoire conquise pacifiquement, mais avec une détermination exemplaire.
La mobilisation des Algériennes et des Algériens, corporation par corporation, étudiants, lycéens, magistrats, avocats, médecins, travailleurs, y compris du secteur pétrolier, démontre, s’il en était besoin, une maturité politique incroyable. Les Algériens ont pris acte du recul de M. Bouteflika, mais ne se laisseront pas bernés pas une énième ruse du pouvoir.
La « décision » du Président Bouteflika d’interrompre le processus électoral et de prolonger son mandat est, sur le plan de la légalité, une violation flagrante de la constitution algérienne. Le choix de la France de  saluer cette « décision » – sans faire cas de l’environnement juridique algérien – est désormais considérépar la majorité des Algériens comme un soutien  de la France au coup de force du pouvoir en place, contre la constitution algérienne et, par conséquent, contre le peuple algérien. Nous, élus de la République et représentants de la société civile, attachés à l’amitié entre nos deux pays et nos deux peuples, liés au peuple algérien, par des liens familiaux étroits et indéfectibles, regrettons ce quitus, donné si précocement au président algérien, qui fait fi du rejet absolu de ce pouvoir par le peuple algérien.
Nous, élus de la République et représentants de la société civile, affirmons sans équivoque aucune, être aux côtés des Algériennes et des Algériens dans leur lutte pacifique pour l’avènement d’un État de droit.
Monsieur le Président de la République, nous avons l’honneur de solliciter de votre bienveillance, de bien vouloir nous accorder une audience, afin de vous faire part de nos inquiétudes légitimes quant au devenir des relations entre nos deux peuples et nos deux pays et de trouver avec vous les conditions d’un retour à la confiance entre le peuple algérien et la France. La date du 19 mars pour ce rendez-vous serait symboliquement forte. Vous en remerciant, nous vous prions de croire, Monsieur le Président de la République, en notre très respectueuse considération. » ObservAlgérie

LES ALGÉRIENS NE VEULENT PLUS DE L'IMPÉRIALISME

FRANCEAFRIC USAFRIC DEGAGENT





BFM - faisant étalage de son incompétence en histoire et en calcul - relate les différents slogans qu'il y avait dans les manifestations aujourd'hui dénonçant l'impérialisme français en Algérie :
Vendredi, les manifestants portaient plusieurs pancartes rappelant les 132 ans de domination coloniale française, entre 1832 et 1962, année de l'indépendance du pays, conquise au prix de huit ans de guerre sanglante.
"La France, 132 ans ça suffit, halte à l'ingérence", indique une pancarte. "L'Elysée, stop! On est en 2019, pas en 1830", date de la conquête de l'Algérie par la France, souligne une autre.
D'autres dénoncent une présumée collusion entre Paris et le pouvoir algérien. "Résistance à l'alternance désignée par la France", peut-on lire sur une grande banderole.
"Non à un système béni par la France!", dénonce une pancarte. "FLN = Réseau de lobbying de la France", indique une autre en anglais, en référence au Front de Libération nationale (FLN) au pouvoir depuis l'indépendance de l'Algérie. BFM

On rappelle donc à BFM que 1962 - 132 = 1830. Année du début de la désalphabétisation des Algériens et du pillage esclavagiste de leur pays.

POUR EMPÊCHER QUE LES IMPÉRIALISTES NE PLACENT UN COLLABO ESCLAVAGISTE AU POUVOIR IL FAUT 15 000 DÉLÉGUÉS D'AROUCH 1 POUR 625 ET 375 000 DÉLÉGUÉS DE BASE 1 POUR 25

Les Algériens ont bien compris que la stratégie des impérialistes US et Français consiste à mettre au pouvoir un successeur à Bouteflika qui leur serait bien obéissant et qui poursuivrait la politique des salaires esclavagistes à moins de 200 euros par mois.C'est pour cela qu'ils écrivent sur des panneaux qu'ils ne veulent pas que Trump et Macron décident à leur place.
Si les Algériens ne mettent pas en place des délégués révocables et un gouvernement du peuple, les impérialistes organiseront des élections et imposeront leurs pions.
C'est ce qui s'est passé leur du printemps arabe en Egypte et en Tunisie.
Il est donc urgent que les manifestants reprennent l'héritage des Arouch et désignent leurs délégués révocables.
Il faut reconstruire les 6 Wilayas de la révolution et que 6 millions de délégateurs dans chaque Wilaya désignent 15 000 conseils d'Arouch de base avec 2500 délégués d'Arouch 1 pour 625.

Le peuple algérien doit reconquérir son pouvoir et ne pas le laisser à l'impérialisme. Il ne peut le faire qu'en désignant ses délégués d'Arouch et en exportant ce modèle d'humanocratie au Maroc, en Tunisie, au Niger, au Mali, en Mauritanie, en Libye, au Burkina Faso - où ce système est le frère jumeau des CDR Sankara 

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