mardi 18 décembre 2018

Les juges terroristes de la CPI hésitent à libérer Laurent Gbagbo après 7 ans de séquestration


Par Julie Amadis
(avec Yanick Toutain)
#IpEaVaEaFaF
Le 18/12/2018


Les juges ne savent plus quoi faire pour sauver leur crédibilité de juges.
D'un côté, ils sont tentés de libérer Gbagbo pour faire cesser les critiques contre la CPI et pour sauver la crédibilité du tribunal.
De l'autre, ils craignent que cette libération ne suffise à prouver que tout n'était que mascarade depuis le départ et que Laurent Gbagbo était bel et bien la victime de la Franceàfric et de l'USAfric


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Gbagbo est emprisonné à la Haye depuis le 30 novembre 2011, soit 7 années.
Il est emprisonné parce qu'il a refusé de s'écraser face aux diktats de la Franceàfric qui voulait imposer à la Côte d'Ivoire un impérialisme sans limite.
La Franceàfric a mis les terroristes Ouattara et Soro au pouvoir.
On voit les terroristes accompagnés des forces de l'ONU ONUCI attaquer sur cette vidéo (Youtube visible hors de France)
Bolloré a acquis après ce coup d'Etat la totalité du port d'Abidjan.

7 années c'est le sort réservé aux présidents qui résistent à la Franceàfric.
Ils ont fait de Gbagbo une menace pour tous les présidents africains. Si vous nous obéissez pas, si vous refusez de mettre en esclavage votre peuple avec des salaires à 50€ par mois, voilà le sort qui vous sera réservé !

Les mensonges relayés par leurs médiasfric depuis 7 ans ont leurs limites.
Les impérialistes n'arrivent plus à faire mentir autant qu'avant aux Occidentaux en faisant passer Gbgabo pour un affreux dictateur et Sarkozy pour le gentil sauveur de la Côte d'Ivoire.

Les juges impérialistes de la CPI cherchent à pouvoir sortir de cette gigantesque comédie qu'ils mettent en scène depuis que le début du procès contre Gbagbo, le 28 janvier 2016.

Les juges ne savent plus quoi faire pour sauver leur crédibilité de juges.

D'un côté, ils sont tentés de libérer Gbagbo pour faire cesser les critiques contre la CPI et pour sauver la crédibilité du tribunal.
De l'autre, ils craignent que cette libération ne suffise à prouver que tout n'était que mascarade depuis le départ et que Laurent Gbagbo était bel et bien la victime de la Franceàfric et de l'USAfric.

Leur comportement - concernant la demande de libération provisoire des avocats de Gbagbo et Blé Goudé - est révélateur de ce dilemme.
Alors que les juges devaient se prononcer vendredi, il n'en a rien été !
À l’origine, les juges de la Chambre préliminaire avaient convoqué une audience publique, vendredi à 10h30, pour rendre leur décision. Mais au fil des heures, vendredi, la situation devient floue : l’audience est discrètement annulée. Pendant que les juges se réunissent à l’abri des regards, les deux prévenus continuent de recevoir des visites de leurs proches, à la prison de Scheveningen. Puis dans la soirée, le bureau du procureur et les avocats de la défense sont informés qu’une « décision écrite » leur sera communiquée « au plus vite, d’ici la fin de l’année », indique une source proche du dossier. Faut-il voir, dans cette attente, des dissensions entre les juges sur le principe d’une remise en liberté provisoire ? RFI
Les militants pro Gbagbo s'attendaient à ce que les juges décident de sa libération vendredi.
RFI met en évidence les différentes questions posées quant à la non réponse de la CPI sur la libération de Gbagbo et Blé Goudé.
Faut-il voir, dans cette attente, des dissensions entre les juges sur le principe d’une remise en liberté provisoire ? Comment cette décision peut-elle être rendue, alors qu’une bonne partie du personnel de la CPI est en vacances judiciaires depuis vendredi, et ce, jusqu’au 7 janvier ? Les observateurs de ce procès s’interrogent autour des raisons de ce délai. Parmi eux, certains émettent l’hypothèse de questions administratives et logistiques, notamment liées aux conditions d’une éventuelle libération provisoire. « Il faut encore discuter des garanties sécuritaires au sein du pays hôte », souligne l'un d'eux. Autre interrogation, relève une autre source : la prise en charge financière de la sécurité des prévenus, qui à ce jour, sont déclarés « indigents ». RFI

Bien entendu RFI qui a participé à la campagne de propagande pro Ouattara de la Franceàfric n'évoque pas le complot contre Gbagbo et le malaise des juges face à la visibilité de plus en plus grande du complot Franceàfric USAfric.

1 commentaire:

  1. C'est un désastre, où va l'humanité ? Pour juger les innocents et laisser en liberté les coupables ? Si c'est ça la justice des hommes, je ne voit aucune crédibilité et son existence doit être remise en cause. Pour la justice et la liberté,nous pensions qu'elles s'arrachent même au prix de la vie. La vérité est la fille du temps

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