mercredi 12 septembre 2018

La ministre de la justice Nicole Belloubet incite Alexandre Bénalla à commettre un délit puni de 2 ans de prison, privation des droits civiques et 7500 euros d'amende


Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
Revactu
12/09/2018

III.-La personne qui ne comparaît pas ou refuse de déposer ou de prêter serment devant une commission d'enquête est passible de deux ans d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende. (...) Dans les cas visés aux deux précédents alinéas, le tribunal peut en outre prononcer l'interdiction, en tout ou partie, de l'exercice des droits civiques mentionnés à l'article 131-26 du code pénal, pour une durée maximale de deux ans à compter du jour où la personne condamnée a subi sa peine. Ordonnance n° 58-1100 du 17 novembre 1958 relative au fonctionnement des assemblées parlementaire


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Après le scandale Benalla, le scandale Kohler, le scandale Nyssen, voici le scandale Belloubet.
Nicole Belloubet, la ministre de la justice, a incité Bénalla l'ex chargé de mission de Macron poursuivi pour  "immixtion dans l'exercice d'une fonction publique", " port public et sans droit d'insignes réglementés", " recel de détournements d'images issues de la vidéo protection" et " recel de violation du secret professionnel" à ne pas se présenter à la commission d'enquête du Sénat alors qu'il y était convoqué.


Une ministre de la justice qui incite un délinquant à commettre un délit !


 Nicole Belloubet incite donc Bénalla à commettre un délit passible de 2 ans de prison et 7500 euros d'amende !

III.-La personne qui ne comparaît pas ou refuse de déposer ou de prêter serment devant une commission d'enquête est passible de deux ans d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende. (...) Dans les cas visés aux deux précédents alinéas, le tribunal peut en outre prononcer l'interdiction, en tout ou partie, de l'exercice des droits civiques mentionnés à l'article 131-26 du code pénal, pour une durée maximale de deux ans à compter du jour où la personne condamnée a subi sa peine.
Ordonnance n° 58-1100 du 17 novembre 1958 relative au fonctionnement des assemblées parlementaires




Bénalla soutenu par le Président Macron et la ministre de la justice Nicole Belloubet se sent tout puissant. A un point tel qu'il insulte carrément M Philippe Bas qui préside la commission d'enquête sénatoriale "ce petit marquis" ainsi que tous les personnes participant à la commission "ce sont des petites personnes"!

"M. Philippe Bas, je mesure très bien mes propos, ce petit marquis, m'impose aujourd'hui de venir devant lui, sinon il m'envoie la police ou la gendarmerie. (...) Ce sont des petites personnes qui n'ont aucun droit, et aucun respect pour la République française et la démocratie. (...) Et aujourd'hui, ces personnes bafouent le principe de notre démocratie qui est fondé sur la séparation des pouvoirs. Il y a des gens qui se sentent au-dessus des lois, et qui les font pourtant. Et ça c'est incompréhensible pour moi. (...) Moi, j'ai des comptes à rendre à la justice française. Le Sénat français, qui bafoue les règles constitutionnelles de notre pays, très sincèrement, je vous le dis franchement, je n'ai aucun respect pour eux." France Info




 Dans l'Etat macroniste, il n'y a même plus d'apparence du respect des institutions, de leurs institutions et des règles juridiques qui les accompagnent.
La ministre de la justice peut en toute tranquillité se vanter dans les médias de conseiller à un délinquant de commettre un délit passible de 2 ans de prison et 7500 euros d'amende !
Leurs institutions bourgeoises conçues pour leurs intérêts ne leur suffisent plus.
Leur mafia est devenue trop importante, il leur faut donc de nouvelles règles. Des règles de mafieux.



Avec une telle déliquescence du pouvoir, l'étonnant est que Macron n'ait pas encore été renversé !

Si les Français se décidaient à se choisir leurs propres délégués révocables 1 pour 25, Macron serait destitué en quelques jours et remplacé par des délégués du peuple !

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