vendredi 16 mars 2018

Guinée : les femmes dans les rues pour dénoncer le régime sanguinaire d'Alpha Condé."Il faut 20% de déléguées CDR Sécurité ! Une déléguée CDR sur 5 !

Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
Le 16/03/2018











Le Togo, le Niger, le Tchad, la RDC sont en révolution contre les dictateurs de la Franceàfric.

Et maintenant la Guinée s'y met aussi.
Et ce sont les femmes qui démarrent...
3 jeunes qui ont été assassinés lors d'une manifestation de l'opposition mercredi dernier et le parquet qui défend les forces de sécurité !
Cela a été pour elles la goutte d'eau qui a fait déborder le vase et les a poussées à manifester.

Cette manifestation des femmes de l’opposition aidée par des jeunes de la route le prince a spontanément commencé aux environs de 10h30.
Ces femmes, à leur tête, Halimatou Dalein Diallo, l’épouse du chef de file de l’opposition protestent contre la tuerie des manifestants lors des manifestations politiques.
« Nous sommes là pour encore exprimer notre ras-le-bol. Nous allons marcher d’ici à l’infini. Un corps renvoyé d’une morgue, ça ne peut se passer qu’en Guinée », dénonce-t-elle. MosaiqueGuinée


Les femmes crient "liberté zéro".


Sur les pancartes on peut lire "à bas le régime sanguinaire", "93 morts où est la justice"

Les 93 morts sont des opposants politiques à Alpha Condé qui ont manifesté contre lui.

Alpha Condé, c'est le dictateur Franceàfric préféré de Bolloré.

Il est aussi depuis 2017 Président de l'Union africaine. C'est lui, l'assassin d'opposants politiques qui  négocie au Togo entre la coalition des 14 et Gnassingbé, l'autre assassin de manifestants.


Bolloré est à l'initiative de sa victoire électorale.
Complétement d'enquête dans un reportage  montrait Bolloré en train d'aider Alpha Condé dans sa campagne électorale.

LIRE


Esclavage : pas d'abolition pour Bolloré




"D'après le journal Le Monde, en enquêtant initialement sur la société Pefaco, spécialisée dans les jeux en Afrique, les juges Serge Tournaire et Aude Buresi auraient incidemment découvert certains éléments leur permettant d'élargir leur instruction des faits de "corruption d'agents publics étrangers".
Les enquêteurs s'interrogent notamment sur la manière dont le groupe Bolloré a obtenu, en mars 2011, la concession du port de Conakry. Ils se demandent si cette attribution n'est pas liée à l'organisation, trois mois plus tôt, de la campagne présidentielle d'Alpha Condé par une société appartenant à Vincent Bolloré, l'agence Havas, alors détenue à 33 % par l'homme d'affaires breton.
Le 8 mars 2011, Alpha Condé, président guinéen fraîchement élu, décidait par décret présidentiel d'expulser l'opérateur du terminal à conteneurs de Conakry. La société française Necotrans, qui avait remporté l'appel d'offres face à Bolloré en 2008, était alors délogée par l'armée (voir vidéo) : "Il y avait des autorités militaires, des gendarmes postés devant nos bureaux, se souvient Abdou Diouf, à l'époque directeur du port de Conakry pour Necotrans. On était sorti d'un pays presque manu militari. C'était très compliqué et c'était surtout inexplicable." 
Une fois la société Necotrans expulsée, Alpha Condé confiait ce marché titanesque (500 millions d'euros d'investissements) à Bolloré, sans nouvel appel d'offres, dans un contrat de gré à gré. Y aurait-t-il une connexion entre cette attribution de marché et la campagne réalisée par Havas quelques mois plus tôt ?"

Vous avez donc le pire patron esclavagiste Franceàfric qui choisit son Président en Guinée.
Un Président qui obéit donc à Bolloré en assassinant les opposants politiques.
93 personnes depuis 2011

En attendant, ce sont 93 jeunes Guinéens qui ont perdu la vie dans des manifestations politiques depuis avril 2011. RFI

 MANIFESTATIONS DE FEMMES LE 15 MARS POUR DÉGAGER LE RÉGIME SANGUINAIRE D'ALPHA CONDÉ















LES FEMMES QUI PROTESTENT CONTRE LES ASSASSINATS  POLITIQUES DOIVENT DESIGNER DES DÉLÉGUÉES SÉCURITÉ

Il ne faut rien quémander aux dirigeants d'un régime sanguinaire qui obéit aux patrons esclavagistes qui paient 30 euros par mois en Guinée.


Il faut que la population s'organise elle-même, qu'elle mette en place sa police et sa justice.
Les délégués sécurité seront tous soutenus par un quota de délégateurs qui les auront choisis et pourront les révoquer à tout moment en quittant leur liste.

Ces délégués de base représentant 25 personnes, délégués conseillers représentant 625 personnes,
délégués députés représentant 15 625 personnes et délégués nationaux représentant 390 625 personnes seront pour 20% d'entre eux des délégués sécurité qui auront pour tache de protéger la population des crimes et délits.
Parmi ces délégués sécurité, 12% seront des délégués sécurité protection (tâches de l'ex-police), 2 % délégués enquêteurs et
8% pour la défense (tâches des ex-militaires
Sur le 20% de délégués sécurité, ce seront 12% pour la protection (tâches de l'ex-police), 2% pour les enquêteurs, et 8% pour la défense (tâches des ex-militaires)
"8.b Les délégués sécurité sont répartis en trois secteurs : protection, enquête et défense.
8.c Sur le 20% de délégués sécurité, ce seront 12% pour la protection (tâches de l'ex-police), 2% pour les enquêteurs, et 8% pour la défense (tâches des ex-militaires)" Panstitution
Pour dégager Alpha Condé, il suffit que 2 285 828 guinéens participent au système humanocrate (nombre de personnes ayant voté Condé aux élections).

2 500 000 délégateurs doivent désigner 100 000 délégués de base 1 pour 25, 40 000 délégués conseillers représentant 15 625 personnes , 160 délégués députés représentant 390 625 personnes.



Les jeunes doivent aussi avoir leurs représentants. Il peuvent désigner 164 000 délégués de base révocables.



LIRE :



Projet de panstitution mondiale (version 1.6.3) (liste de règles rendant illégales toutes constitutions antérieures et ultérieures)

 

 Manuel pratique et théorique de la révolution togolaise

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