dimanche 9 mai 2021

Le variant indien prouve que la vaccination est une escroquerie ! Nous répétons depuis janvier 2020 que seul le dépistage massif #Tester100proches peut stopper une pandémie.

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
09 Mai 2021

L'explication de la catastrophe indienne c'est le sabotage de Narendra Modi laissant le taux de positivité passer de 1,61% le 12 février à 22,3% le 7 mai faute d'avoir augmenté le nombre de tests en proportion du nombre de nouveaux malades

Le variant B.1.617 présente des mutations qui augmentent les transmissions, et qui peuvent aussi potentiellement le rendre résistant aux anticorps qui se sont développés grâce à la vaccination ou à une contamination naturelle

Pour les moins de 10 ans
 la situation 2° épidémie
 est encore actuellement
 PIRE qu'au pic de la 2° vague
1396 enfants de moins de 10 ans sont contaminés chaque jour cette semaine.
à comparer avec 1280 enfants contaminés par jour
le 5 novembre au sommet de la 2°vague

Du 4 octobre 2020 au 2 avril 2021 le taux de positivité France (mesure de l'incompétence ou du sabotage sanitaire) est PLUS ELEVE que celui de l'Inde

Vous ##MahmoudZureik devez rejoindre notre combat depuis mars 2020#ZeroCovid EN LIMITANT le #tauxdepositivité SOUS le plafond 1%
Et donc #tester100proches #test100relatives
La stratégie #NouvelleZélande SANS #vaccination rejointe par #UK et #Israël


Le variant indien prouve que la vaccination est une escroquerie ! Nous répétons depuis janvier 2020 que seul le dépistage massif #Tester100proches peut stopper une pandémie.


La vaccination est inefficace face au variant indien.
Et même les journaux qui font propagande pour la vaccination à longueur de temps le disent.

Covid-19. Le variant indien est plus contagieux et semble résister aux vaccins, selon l’OMS

Le variant B.1.617 « présente des mutations qui augmentent les transmissions, et qui peuvent aussi potentiellement le rendre résistant aux anticorps qui se sont développés grâce à la vaccination ou à une contamination naturelle », a averti ce samedi la scientifique en chef de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) Soumya Swaminathan. Ouest France

Pour la première fois samedi, l’Inde a enregistré la mort de plus de 4 000 personnes due au Covid-19 en 24 heures et plus de 400 000 nouvelles contaminations, mais les experts estiment que les chiffres officiels sont largement sous-évalués.

Dans un entretien avec l’AFP, Soumya Swaminathanan, une pédiatre indienne et chercheuse, a déclaré que le variant B.1.617, qui a été détecté pour la première fois en Inde en octobre, était indiscutablement un facteur d’accélération de l’épidémie devenue hors contrôle dans le pays.

Le titre de Ouest France pourrait être complété par ".... et donc à la vaccination" 

Résistant aux anticorps

Ce variant pourrait être classé par l’OMS dans la liste des variants considérés comme plus dangereux que la version originelle du virus en raison de leur plus grande contagiosité, leur capacité à surmonter les défenses que procure la vaccination et le taux de mortalité des patients atteints, a estimé la scientifique.

Le variant B.1.617 présente des mutations qui augmentent les transmissions, et qui peuvent aussi potentiellement le rendre résistant aux anticorps qui se sont développés grâce à la vaccination ou à une contamination naturelle, a-t-elle expliqué.

Mais le variant seul ne peut pas être incriminé pour la hausse spectaculaire de cas en Inde, qui semble avoir baissé la garde trop tôt, avec de grands rassemblements de masse, a-t-elle relevé.

Dans un vaste pays comme l’Inde, les contaminations peuvent se poursuivre sans faire de bruit pendant des mois. Ces premiers signes ont été manqués jusqu’à ce (les transmissions) aient atteint un point où le décollage a été vertical.

Il manque le principal constat : le fait d'avoir imité Macron. En effet, la catastrophe en Inde c'est le fait d'imiter Macron et de rejoindre le taux d'incidence que subissent les Français depuis septembre 2020

Sur le plan de la gestion de la pandémie la comparaison entre l'Inde et la France est loin d'être à l'avantage de Macron.
Ce que l'article ne mentionne pas c'est l'évolution du taux de dépistage.
Et la comparaison France Inde est édifiante !!!
En effet si Macron avait mis en place le taux de dépistage de l'Inde en France, il n'y aurait pas eu de 2° vague à l'automne ni de 2° épidémie variant anglais

Le taux de positivité de la France (mesure du niveau de sabotage sanitaire)  aurait multiplié par 10 la catastrophe sanitaire en Inde si Macron avait dirigé ce pays
Du 4 octobre 2020 au 2 avril 2021 le taux de positivité France (mesure de l'incompétence ou du sabotage sanitaire)est PLUS ELEVE que celui de l'Inde


L'explication de la catastrophe indienne c'est le sabotage de Narendra Modi laissant le taux de positivité passer de 1,61% le 12 février à 22,3% le 7 mai faute d'avoir augmenté le nombre de tests en proportion du nombre de nouveaux malades


La vaccination seule ne suffira pas

Pour le moment, il est très difficile de lutter contre le virus car l’épidémie concerne des milliers de personnes et il se multiplie à une vitesse qu’il est très difficile d’enrayer, a encore dit Soumya Swaminathan, avertissant que la vaccination seule ne serait pas suffisante pour reprendre le contrôle de la situation.

L’Inde, qui est le plus grand producteur mondial de vaccins, n’a jusqu’à présent administré deux doses qu’à 2 % de sa population de 1,3 milliard d’habitants.

Cela va prendre des mois, si ce n’est des années, pour atteindre un taux de 70 à 80 % de la population immunisée, selon la chercheuse.

 

PLUS DE 3,2 MILLIONS DE FRANCAIS CONTAMINÉS
DEPUIS NOEL PAR LA 2° ÉPIDÉMIE 

Avec cette nouvelle information, Macron devrait être contraint de stopper son sabotage sanitaire et se mettre à rendre aux Français le taux de dépistage du mois de décembre.

Avec un taux de dépistage scandaleux, la dictature sanitaire de Macron veut perpétuer la pandémie
Malgré plus de 3,2 millions de Français contaminés depuis le 24 décembre, les criminels sanitaires Macron Castex Véran ont encore diminué le taux de dépistage depuis avril 

On voit ici comment, contraints et forcés, ils ont fini par concéder une (petite) augmentation du taux de dépistage. 

594 234 lundi 22 mars
648 064 vendredi 26 mars
702 144 lundi 29 mars
684 390 vendredi 2 avril
646 417 mardi 6 avril
521 912 vendredi 9 avril
493 131 lundi 12 avril
428 451 vendredi 16 avril
Mais après le pic de test du 29 mars, les criminels sanitaires se sont empressés de le réduite

394 178 jeudi 29 avril
479 417 vendredi 30 avril
481 907 lundi 3 mai
411 089 mardi 4 mai
358 602 mercredi 5 mai
444 318 jeudi 6 mai 

toujours moins que le
22 décembre 739 281 tests dans la journée
23 décembre 730 827

LA PROPORTION D'ENFANTS CONTAMINES AUGMENTE SANS CESSE
MALGRE LA BAISSE DU TAUX D'INCIDENCE
BLANQUER CONSERVE UNE RESERVE VIRALE DANS LES ECOLES POUR SON PROJET #HERD_IMMUNITY


7,6% Il n'y a jamais eu une telle proportion d'enfants de moins de 10 ans parmi les positifs (le maximum était 7,1% le 15 juillet mais avec 35 fois moins d'enfants malades)



Pour les moins de 10 ans la situation 2° épidémie est encore actuellement PIRE qu'au pic de la 2° vague.
Ce sont 1396 enfants de moins de 10 ans qui sont contaminés chaque jour cette semaine !!!
A comparer avec 1280 enfants contaminés par jour le 5 novembre au sommet de la 2°vague



Macron le saboteur qui prenait prétexte de la vaccination pour diminuer de façon criminelle le taux de dépistage ne va plus pouvoir utiliser le prétexte.
La vaccination massive comme moyen d'imposer le passeport vaccinal pour fliquer l'ensemble de la population, repérer les "rebelles" qui le refusent et leur faire "la guerre" en leur refusant des droits élémentaires, en créant des conflits artificiels entre les pro systèmes "vaccinés" qui seraient les "bons Français" et les non vaccinés qualifiés intrinsèquement de "mauvais français" .

La vaccination n'a pas d'autres objectifs que le flicage de la population.
Car les chiffres prouvent que la vaccination n'a pas d'impact sur la baisse du taux d'incidence.

C'est le dépistage massif qui fait baisser le nombre des contaminations.


Vous n'insistez pas assez sur le #dépistagemassif qui a sauvé la #NouvelleZélande (+de 2000 #cascontactstestés)
vraie cause de la baisse du #tauxdincidence en #Israel #UnitedKingdom et pas la #vaccination
Cf #Chili et #Bhutan 43 fois plus de #positifs depuis qu'ils #vaccin-ent

— Yanick Toutain (@YanickToutain) May 8, 2021

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La vaccination massive mise en place par tous les gouvernements capitalistes s'intègre dans un plan calculé, profiter de la pandémie pour imposer un flicage généralisé des populations qu'il n'aurait jamais pu imposer sans "choc émotionnelle".

Naomie Klein dans son livre, "la stratégie du choc" a conceptualisé cette technique machiavélique des capitalistes à utiliser les catastrophes naturelles industrielles sanitaires pour imposer des mesures fascistes.

Après une préface où elle expose les différents points de son argumentation, le premier chapitre porte sur

la torture et plus particulièrement sur les expériences de lavage de cerveau effectuées par Donald Ewen Cameron et qui auraient été financées par la CIA. D'après Naomi Klein ces recherches étaient menées pour détruire la personnalité du sujet en lui administrant des chocs divers afin d'obtenir une « page blanche » sur laquelle on pourrait écrire une nouvelle personnalité1,2,3.
S'appuyant sur plusieurs recherches documentaires Naomi Klein soutient que, de la même manière, des désastres (catastrophes naturelles, changements de régimes, attentats), qui conduisent à des chocs psychologiques, permettent aux chantres du capitalisme d'appliquer la doctrine de l'école de Chicago dont Milton Friedman est l'un des représentants les plus connus. Ils imposeraient à l'occasion des désastres des réformes économiques que Naomi Klein qualifie d'ultra-libérales telles que la privatisation de l'énergie ou de la sécurité sociale2,1.Naomi Klein cite plusieurs exemples pour étayer sa thèse. En particulier elle évoque les dictatures de Pinochet au Chili et de Soeharto en Indonésie ainsi que le cas de la Bolivie où les réformes ont été conduites en déportant temporairement les responsables de gauche. L'auteur évoque de plus les libéralisations qui ont suivi la chute du bloc de l'Est en Pologne et en Russie au début des années 1990, le gouvernement de Margaret Thatcher au Royaume-Uni, la fin de l'apartheid en Afrique du Sud. Les politiques qui ont été pratiquées aux États-Unis depuis 1990, mais plus particulièrement sous l'administration Bush, sont particulièrement visées, notamment la privatisation progressive de la sécurité aux États-Unis. Cela l'a conduit à s'intéresser à la gestion de la guerre en Irak. D'après Naomi Klein, on assiste depuis 2001 à l'émergence d'une industrie de la sécurité intérieure, les attentats du 11 septembre ayant été utilisés comme un choc « utile ». Cet argument est le point de départ à l'origine du livre d'après l'auteur.L'auteur évoque notamment les réformes engagées et les mesures prises après la crise asiatique de 1997, l'ouragan Katrina ou encore le tsunami de 2004.Elle estime que dans différents endroits du monde, l'application des théories de Milton Friedman conduit à la division des villes en deux zones, comme à Bagdad, La Nouvelle-Orléans ou Beyrouth : une Zone verte, riche et protégée des dangers, et une ou plusieurs zones rouges, dangereuses et misérables4.Naomi Klein soutient également que les théories de l'école de Chicago telles qu'elles auraient été appliquées dans ces pays présentent deux contradictions. Tout d'abord selon ses promoteurs, le néo-libéralisme garantit une plus grande richesse d'une économie et un accroissement de la prospérité individuelle. Alors que selon elle ce n'est jamais le cas dans les exemples étudiés. Enfin toujours selon certains de ses promoteurs, démocratie et néo-libéralisme se soutiennent l'un l'autre5. Or, d'après Naomi Klein, l'imposition de politiques néo-libérales ne s'est jamais produite sans coup d'État, élimination de l'opposition ou imposition d'un état d'urgence ou de politique vaudou6,7
.Wikipédia

Le 26 janvier 2020, nous dénoncions ce plan machiavélique d'Emmanuel Macron qui a laissé le coronavirus entrer en France par Roissy sans contrôler les voyageurs venant de Wuhan.

La "stratégie du choc" mise en place par Macron et Buzyn instrumentalisant le coronavirus #nCoV2019 #WuhanCoronavirus


Mais le complot sanitaire commence à voir surgir des opposants au sein même de la haute formoisie médicale


La tribune : "Avec 26.000 nouveaux cas par jour en moyenne et près de 6.000 patients hospitalisés en soins critiques, le troisième déconfinement annoncé par le président de la République semble davantage guidé par des desseins politiques que par un objectif sanitaire. La ligne de l'exécutif, 'assumée' par Emmanuel Macron, est de 'vivre avec' le Covid-19, tout en reconnaissant qu'il est 'impossible' d'affirmer 'qu'on ne sera plus jamais débordé par ce virus'.

Cette annonce survient au lendemain de la publication du modèle de l'Institut Pasteur concluant qu'une 'remontée importante des hospitalisations pourrait être observée en cas de levée trop rapide des mesures de freinage […] même sous des hypothèses optimistes concernant le rythme de vaccination'.


D'après l'Institut Pasteur, seul un scénario optimiste permettrait d'éviter un rebond épidémique durant l'été. Ce scénario allie un rythme de vaccination de 350.000 à 500.000 injections par jour, une surcontagiosité du variant anglais limitée, de l'ordre de 40%, et un taux de reproduction (R) maximal de 1,3. Il est optimiste dans la mesure où les études internationales évaluent habituellement la surcontagiosité du variant britannique entre 50 et 70%, avec un taux de reproduction de 1,4 à 1,7. Par ailleurs, il ne prend en compte ni la réouverture des écoles, ni la disparition de la limite des 10 kilomètres, ni l'émergence des variants sud-africain, brésilien ou indien.

Le conseil scientifique, de son côté, affirmait le 21 avril que 'la situation sanitaire reste malheureusement préoccupante, notamment en raison de l'apparition de variants' et que 'la troisième vague de l'épidémie se situe depuis plusieurs mois à un niveau élevé'. On ne peut que s'interroger sur son absence lors de l'annonce présidentielle et sur la liberté dont dispose ce conseil dans l'exercice de sa mission.

Nous assistons à l'officialisation du passage d'une gestion active à une gestion passive de l'épidémie

Plutôt que de formuler un objectif à atteindre, comme le seuil des 5.000 nouveaux cas par jour - seuil en deçà duquel il est jugé possible de contrôler l'épidémie grâce au triptyque tester-tracer-isoler -, les annonces présidentielles officialisent un 'frein d'urgence' ou 'de reconfinement' fixé à 400 nouveaux cas pour 100.000 habitants, contre 250 auparavant, et associé à des critères aussi flous que l''augmentation brutale du taux d'incidence' ou la 'menace de saturation des services'.

Ce paragraphe absurde - attendre que le taux d'incidence baisse AVANT de limiter à 1% le taux de positivité est la même logique stupide que celle des dirigeants indiens
Comme nous l'avons écrit ci-dessus
L'explication de la catastrophe indienne c'est le sabotage de Narendra Modi laissant le taux de positivité passer de 1,61% le 12 février à 22,3% le 7 mai faute d'avoir augmenté le nombre de tests en proportion du nombre de nouveaux malades

Nous assistons à l'officialisation du passage d'une gestion active à une gestion passive de l'épidémie. Il s'agit là d'un pari audacieux, avec un seuil particulièrement élevé et ne répondant pas à des objectifs de contrôle. On rappelle que l'Allemagne place la barre du déconfinement à 100 cas, le Portugal à 120.

Par ce choix, notre pays reste sourd à l'alerte donnée par l'OMS, qui vient de mettre en garde l'Europe contre un assouplissement des restrictions, précisant que 'la situation en Inde peut se produire n'importe où'.

Ce choix nous isole sur la scène internationale. Certains de nos partenaires refusent désormais d'admettre nos ressortissants sur leur territoire. D'autres n'hésitent pas à supprimer leurs liaisons aériennes avec Paris.

Les mesures annoncées par le chef de l'Etat éloignent encore un peu plus la France de la stratégie de suppression du virus adoptée avec succès par un nombre croissant d'Etats dans le monde. Comme l'a rappelé récemment The Lancet, ces Etats sont ceux qui s'en sortent le mieux, à la fois sur le plan sanitaire et sur le plan économique.

La France expose son système de santé à une situation durablement tendue, au prix de nombreux décès directs et indirects

Les exemples du Royaume-Uni, du Portugal et d'Israël démontrent pourtant que la lutte contre le Covid-19 passe par une méthode 'hybride', qui allie la vaccination comme moyen de prévention à l'emploi de dispositifs de protection et de contrôle tels que l'aération, les purificateurs d'air, les détecteurs de CO2, les autotests et les tests itératifs.

Faute de l'avoir compris, la France expose son système de santé à une situation durablement tendue, au prix de nombreux décès directs et indirects, sans compter les personnes souffrant de 'Covid long', dont la prise en charge pourrait représenter un défi majeur de santé publique au cours des années à venir.

Comment allier impératifs sanitaires, économiques et scientifiques? Après un an de privations, la France aspire à reprendre une vie satisfaisante. Mais cela ne peut se faire que sur des bases scientifiques. Nous appelons donc à la mise en place d'un nouveau protocole national, qui fixe des seuils précis, déclenchant des mesures automatiques, décidées et débattues à l'avance, afin de pouvoir garantir le tester-tracer-isoler et un fonctionnement efficace du système de soins. Un isolement effectif des malades fait partie de cette stratégie, tout comme la quarantaine imposée aux frontières.

Pour lutter efficacement contre le virus, il ne faut plus être dans le déni ni dans la pensée magique, ni invisibiliser la maladie et ses conséquences

Ce nouveau protocole doit s'accompagner d'une communication ambitieuse, qui informe en profondeur la population sur le fait que les contaminations se produisent, pour l'essentiel, dans l'air que nous respirons.

Les entreprises et les établissements recevant du public comme les écoles, les théâtres, les musées, les cinémas ou les restaurants dépendent pour rouvrir durablement de cette 'approche globale' de la lutte contre le Covid-19.

Comme le recommande désormais le Haut Conseil de la santé publique (HCSP), en particulier au sujet des écoles, 'les fenêtres doivent rester ouvertes pendant les cours ou enseignements' et 'l'idéal est d'ouvrir deux fenêtres, si possible, pour favoriser la circulation de l'air'. Le HCSP préconise, ensuite, une 'mesure de la concentration en dioxyde de carbone dans l'air'. Il fixe un seuil de sécurité : 'une concentration en CO2 supérieure à un seuil de 800 ppm doit conduire […] à ne pas occuper la salle et à agir'. L'identification des 'zones à risque' est une priorité. Des filtres Hepa [haute efficacité pour les particules aériennes] et des autotests systématiques complètent ce dispositif, qui permet un bon contrôle du risque de contamination aérienne.

Pour lutter efficacement contre le virus, il ne faut plus être dans le déni ni dans la pensée magique, ni invisibiliser la maladie et ses conséquences. Seule une attitude proactive alliant vaccination et protocole gradué permettra de vaincre le Covid-19. C'est le défi de notre temps. Relevons-le, ensemble."

 










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