mercredi 3 mars 2021

Sénégal : Les réseaux sociaux viennent de mettre le tyran du Sénégal Macky Sall en tendance avec plus de 13 000 tweets avec publicité géante pour le collabo électoraliste Ousmane Sonko

 Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
03/03/2021

Si Ousmane Sonko n'est pas content de voir son avenir de réformiste être bouché par les magouilles de Macky Sall, il n'a qu'à choisir la route révolutionnaire. Nous l'avions décrite en 2018. Elle reste la même.
La 1° réaction après le meurtre de #MouhamadouFallouSène par un gendarme assassin milicien #Franceàfric ne doit pas être une guérilla VS les forces de #sécurité de #MackySall mais doit être le RECRUTEMENT pour la révolution de ses policiers, gendarmes, militaires par la FRATERNISATION REVOLUTIONNAIRE
Voici les étapes
1° former des mini-CDR de 5 délégateurs
60% (3 sur 5) avec 2 délégués pédagogie, 2 délégués santé, 1 délégué sécurité protection
40% (2 sur 5) avec 2 délégués pédagogie, 1 délégué santé, 1 délégué sécurité défense, 1 délégué justice
Chaque mini-CDR désigne un délégué intermédiaire de base (DIB)
Les forces de sécurité doivent obtenir l'accréditation de tels mini-CDR
Le processus révolutionnaire consiste précisément à ce que CHAQUE RESPONSABLE SECURITE soit accrédité par un nombre de CDR
EXEMPLE = un COMMANDANT doit devenir délégué intermédiaire député ayant l'accréditation de 3125 délégateurs réunis en 125 CDR et donc en 625 mini-CDR de 5 délégateurs
2° former des CDR de 25
les 20 délégateurs s'ajoutant aux 5 DIB on aura donc un groupe de 25 désignant 1 délégué de base (DB)
Chaque CDR est donc un conseil d'accréditation faisant la palabre et donc formé de 1 délégué de base, ses 4 adjoints DIB (qu'on appelera "adjoints statutaires) et ses 20 délégateurs.
Ceux-ci seront des correspondants.
3° Chaque policier ou militaire du rang doit devenir un DIB ayant donc 4 délégateurs
Chaque policier ou militaire sergent doit être désigné comme délégué de base et donc présenter sa liste de 24+1 délégateurs
Chaque lieutenant doit avoir 124+1 délégateurs

Sénégal : Les réseaux sociaux viennent de mettre le tyran du Sénégal Macky Sall en tendance avec plus de 13 000 tweets avec publicité géante pour le collabo électoraliste Ousmane Sonko

Macky Sall a réussi un exploit : réprimer un opposant en lui faisant une publicité internationale qu'il n'aurait jamais obtenue aussi rapidement
Il a fallu pour cela une double opération qui ressemble beaucoup à une double provocation comme ce que Julian Assange a subi
1° étape une plainte douteuse, 2° étape Sur cette base trouver une autre raison de perpétuer l'incarcération.



Les révolutionnaires sankaristes ne soutiennent évidemment pas le politicien électoraliste qui ne veut qu'une seule chose : être calife à la place du calife - prendre le poste de président du Sénégal

Le viol ayant été criminalisé en 2020 au Sénégal, une condamnation d'Ousmane Sonko le priverait de ses droits civils et politiques et le rendrait donc inéligible à toute fonction élective, notamment à l’élection présidentielle de 2024, pour laquelle, il compte parmi les favoris, surtout si le président Macky Sall ne brigue pas de troisième mandat.
Si Ousmane Sonko n'est pas content de voir son avenir de réformiste être bouché par les magouilles de Macky Sall, il n'a qu'à choisir la route révolutionnaire. Nous l'avions décrite en 2018. Elle reste la même.

Sénégal Franceàfric: L'étudiant Mouhamadou Fallou Sene assassiné par Macky Sall ! Formez des CDR renversez la dictature criminelle ! Fraternisation révolutionnaire ! Macky Sall DEGAGE ! Franceàfric DEGAGE !

extrait de 2018
Mais aucun changement, aucune révolution n'est arrivée dans l'histoire par des jets de pierre.
La révolution russe de 1917, la révolution portugaise de 1974 etc ont pu avoir lieu parce que les forces de l'ordre ont été neutralisées par les manifestants.
Grace au travail de fraternisation révolutionnaire des révolutionnaires, certains policiers, gendarmes changeaient de camp et rejoignaient les manifestants.
  Le plus grand nombre parmi les forces de l'ordre choisissaient de ne plus tirer contre les manifestants (sans pour autant rejoindre le combat révolutionnaire).

La fraternisation révolutionnaire, c'est cela que doivent faire les étudiants sénégalais
Concrètement comment cela peut il se faire ?
En parlant aux policiers, en les engageant à se choisir des délégateurs sécurité pour devenir des délégués sécurité qui n’obéiront plus à Macky Sall et donc aux impérialistes mais qui obéiront au peuple Sénégalais.

Les révolutionnaires doivent amener les policiers et gendarmes des forces impérialistes à participer au processus humanocrate en se faisant choisir par des délégateurs pour devenir des délégués révocables sécurité.

Extraits de panstitution concernant les délégués sécurités


Parmi 25 délégués de base on trouvera donc 2 délégués Justice, 10 délégués Pédagogie, 8 délégués Santé et 5 délégués Sécurité.
Aucun fonctionnaire éthique ne pourra exercer sans avoir obtenu son quota de fonction.

8.b Les délégués sécurité sont répartis en trois secteurs : protection, enquête et défense.8.c Sur le 20% de délégués sécurité, ce seront 12% pour la protection (tâches de l'ex-police), 2% pour les enquêteurs, et 8% pour la défense (tâches des ex-militaires)

LIRE : Panstitution
La 1° réaction après le meurtre de #MouhamadouFallouSène par un gendarme assassin milicien #Franceàfric ne doit pas être une guérilla VS les forces de #sécurité de #MackySall mais doit être le RECRUTEMENT pour la révolution de ses policiers, gendarmes, militaires par la FRATERNISATION REVOLUTIONNAIRE
Voici les étapes
1° former des mini-CDR de 5 délégateurs
60% (3 sur 5) avec 2 délégués pédagogie, 2 délégués santé, 1 délégué sécurité protection
40% (2 sur 5) avec 2 délégués pédagogie, 1 délégué santé, 1 délégué sécurité défense, 1 délégué justice
Chaque mini-CDR désigne un délégué intermédiaire de base (DIB)
Les forces de sécurité doivent obtenir l'accréditation de tels mini-CDR
Le processus révolutionnaire consiste précisément à ce que CHAQUE RESPONSABLE SECURITE soit accrédité par un nombre de CDR
EXEMPLE = un COMMANDANT doit devenir délégué intermédiaire député ayant l'accréditation de 3125 délégateurs réunis en 125 CDR et donc en 625 mini-CDR de 5 délégateurs
2° former des CDR de 25
les 20 délégateurs s'ajoutant aux 5 DIB on aura donc un groupe de 25 désignant 1 délégué de base (DB)
Chaque CDR est donc un conseil d'accréditation faisant la palabre et donc formé de 1 délégué de base, ses 4 adjoints DIB (qu'on appelera "adjoints statutaires) et ses 20 délégateurs.
Ceux-ci seront des correspondants.
3° Chaque policier ou militaire du rang doit devenir un DIB ayant donc 4 délégateurs
Chaque policier ou militaire sergent doit être désigné comme délégué de base et donc présenter sa liste de 24+1 délégateurs
Chaque lieutenant doit avoir 124+1 délégateurs
Chaque capitaine doit être accrédité par 624+1=625 délégateurs et donc 25 CDR de base
Tout commandant n'ayant pas été désigné par 125 CDR de base et donc par 3125 délégateurs perdra son statut.
Chaque colonel ne peut exercer sa fonction sécurité qu'en étant accrédité par 625 CDR de base et donc par 15625 délégateurs
4° #AlexandreSambou doit se faire désigner délégué par 5 puis 25 puis 125 puis 625 puis 3125 étudiants comme tous les membres des #coordinations
(lui inclus dans le nombre de délégateurs)
LIRE :

Panstitution


Et lire : MANUEL INSTITUTIONNEL PRATIQUE ET THÉORIQUE DE LA RÉVOLUTION HUMANOCRATE DU TOGO VERS LA RÉVOLUTION AFRICAINE ET MONDIALE




UNE MANIPULATION POUR CONFISQUER L'ELECTION - TRADITION FRANCEàFRIC 

Ousmane Sonko accuse le président Macky Sall d'avoir monté une affaire de mœurs pour ruiner ses projets pour la présidentielle de 2024. "Si Macky Sall veut me liquider, il devra, pour une fois, accepter de se salir les mains", a-t-il déclaré le 25 février 2021 lors d'une conférence de presse à Dakar, en précisant  qu'il ne répondrait pas aux convocations du juge malgré la levée de son immunité parlementaire.

D’autres acteurs politiques, notamment de l’oposition, ont déjà été impliqués dans des Diémres politico-judiciaires, ajoute , qui cite Karim Wade, le fil de l’ancien président Abdoulaye Wade, ou l’ancien maire de Dakar, Khalifa Sall, ainsi qu'Idrissa Seck.

Pape Ibrahima Kane, chercheur en charge des questions régionales à l'Osiwa (Open society initiative for West Africa), basé à Dakar, relève quelques indices accréditant la thèse d'une politisation de l’affaire Sonko.

"La gendarmerie, qui avait reçu la plainte, avait décidé de convoquer M. Sonko, malgré son statut de député de la République, qui exige que son immunité soit levée pour qu'il puisse répondre à la convocation de la gendarmerie. Finalement, la gendarmerie a renoncé à sa requête et une demande formelle du ministre de la Justice a été adressée au Parlement qui, finalement, vendredi dernier, a levé l'immunité parlementaire de M. Sonko", soutient le chercheur.

13 700 TWEETS DENONCANT MACKY SALL 

 



COMPLEMENT
Cet article publié par 
  • sur son blog Médiapart donne des précision troublantes sur cette affaire

    SENEGAL : AFFAIRE OUSMANE SONKO

    Les mains « Sall » de Macky Sall 

     

              “ Beaucoup entendent te traiter de façon indigne tout en exigeant de toi, sous peine de leur haine, assez de sens pour ne pas les en empêcher et assez d’aveuglement pour ignorer leur propre indignité » Giacomo, comte de Leopardi.

              Cette citation d’une figure incontournable de la littérature italienne, illustre, à bien des égards, la position de l’opposant sénégalais Ousmane Sonko, dans le feuilleton politico-judiciaire qui tient en haleine le Sénégal depuis bientôt un mois.

              Une lecture qui se veut objective de la situation ne peut se limiter, à l’appel à la résistance fait le jeudi 25 février 2021 par le président Ousmane Sonko, mais renvoie une nécessaire contextualisation. De prime abord, cela pourrait paraitre, pour l’observateur non imprégné du dossier et des pratiques du régime de Macky Sall, comme une défiance par rapport à la justice sénégalaise ; il n’en est rien, il s’agit plutôt ici du rejet d’une certaine justice sénégalaise, pas celle-ci dans son ensemble.

               Beaucoup d’énergie a été déployée ces dernières semaines pour faire de cette affaire, une simple affaire de mœurs entre 2 citoyens sénégalais. Ouvrons une parenthèse ! c’est dans ce sens qu’un certain Amadou Bal Ba, dans un souci manifeste de désinformation, a poussé l’indignité jusqu’à recycler ici sur ce club de Mediapart, des images « border lines », qui n’ont rien à voir avoir le salon de massage dans lequel travaille la plaignante et que la presse sénégalaise a fini de démontrer l’origine. Il s’est aussi embourbé dans une défense maladroite du concept de «Neddo Ko Bandoum», qu’il présente comme particulièrement noble et finir par présenter Macky Sall comme une victime de racisme de par son appartenance ethnique, doit-on en rire ou en pleurer. Parenthèse fermée !

    Un tour d’horizon de l’affaire

              Le 03 février, une jeune fille employée d’un salon de massage à Dakar, dépose une plainte datée de la veille, pour viol et menace avec armes contre mr Ousmane Sonko, leader de la formation politique en poupe, Pastef-Les-Patriotes.

              Si tôt la plainte déposée, les gendarmes de la section de recherche ont déployé les moyens à la hauteur de la gravité des faits supposés. Visite du salon, audition de la victime présumée, audition de la patronne du salon, commission d’un médecin indépendant pour examiner la victime présumée.

              Les premiers éléments issus des investigations des gendarmes leurs ont permis d’émettre un sérieux doute sur l’hypothèse du viol et ce doute est explicitement mentionné dans le rapport des procès-verbaux d’audition aujourd’hui disponibles sur les réseaux sociaux. Les éléments suivants justifient ce doute :

    • Contradictions relevées sur les déclarations de la plaignante
    • Rapport médical balayant l’hypothèse de viol, ni même quelques rapports intimes endéans les le 16 h précédents l’examination de la plaignante.
    • La configuration des lieux et la présence sur les lieux de témoins au moment des faits supposés
    • Le témoignage de la collègue de la plaignante présente sur les lieux au moment des faits
    • Le témoignage de la patronne du salon
    • ….

              Fidèles à leur mission de recherche de la vérité et rien que la vérité, les gendarmes ont cherché à établir s’il n’y a pas de machination voire un complot dans cette affaire car entretemps des éléments troublants sont venus s’ajouter au dossier:

    • La plaignante admet qu’une voiture 4x4 vitres teintées noir est venu la chercher juste après le viol supposé
    • Le neveu d’un haut responsable de la coalition au pouvoir reconnait être venu chercher la victime plaignante en plein couvre-feu en compagnie d’un medecin et d’un avocat
    • La patronne du salon indique être victime de pression pour changer de version
    • Cette même patronne affirme avoir reçue une proposition de 15 millions de FCFA puis de 40 millions de FCFA pour changer de version
    • La plainte date du 02 février 2021 or il est établi que la plaignante a quitté son lieu de travail vers 23h le 02 février, mais a réussie la prouesse de rédiger une plainte, tapée à l’ordinateur dans un français digne d’un académicien et, cerise sur le gâteau, se référant à des articles précis de la loi, pour une plaignante d’un niveau d’éducation assez faible.
    • Le témoignage du mari de la patronne qui affirme que la victime supposée n‘a pas arrêté de lui demander de toute la journée quand est ce que Mr Sonko arriverait.
    • Le témoignage de la co-masseuse à qui la victime présumée a demandé de sortir quelques minutes de la cabine juste après le massage. Très curieux pour quelqu’un qui affirme avoir déjà été violé 3 fois par le passé par Mr Sonko.

    Le procureur de la république interrompt l’enquête des gendarmes

              Dès que les gendarmes ont voulu chercher à voir plus clair en direction des personnes qui ont aidé la plaignante et la nature de leurs conversations avant et juste après les faits, le procureur de la république, Mr Bassirou Guèye, un proche de Macky Sall, a sommé la section de recherche d’arrêter leur enquête et de lui transmettre leur rapport. Probablement très gêné des doutes exprimés par les enquêteurs sur les déclarations de la plaignante, le procureur de la république a requalifié les accusations en une plainte contre X et  saisi un juge d’instruction, qui, sans la moindre investigation et dans une célérité jamais vue dans les annales de la justice, a fait un retour au procureur, qui à son tour a fait une lettre au ministre de la justice, et ce dernier à fait une lettre au président de l’assemblée nationale pour une levée de l’immunité parlementaire de Mr Ousmane Sonko, le tout en l’espace de 24 heures.

    Le devoir de résister

              Plus personne ne reconnait le Sénégal, y compris les sénégalais eux-mêmes qui se demandent ce qu’est devenu leur pays autrefois vitrine de la démocratie et de l’état de droit en Afrique. Mais c’était sans compter sur Macky Sall et une poignée de juges mercenaires, totalement soumis aux desiderata du président, et prêt à fouler au pied les règles élémentaires du droit. Mais ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain, il existe bien des juges dignes de ce nom au Sénégal mais que le régime tient bien à l’écart des procès politiques. D’autres juges comme le juge Dème ont carrément démissionné en laissant cette phrase devenue célèbre : « je démissionne d’une justice qui a démissionné ».

              Une malheureuse jurisprudence, basée sur la façon dont Mr Karim Wade à été emprisonné et écarté du jeu politique en 2014, et celle basée sur la façon dont mr Khalifa Ababacar Sall a été emprisonné et écarté du jeu politique en 2017, ne laisse aucun doute sur le sort réservé au président Ousmane Sonko, virulent opposant au régime de Macky Sall. Il faut bien reconnaitre qu’on est là face à un « je m’en foutisme » d’état.

              La résistance non violente s’impose donc aux sénégalais comme seule alternative pour espérer sauver ce qui reste de l’état de droit. Les éléments exposés ci-dessus montrent à suffisance que tout est mis en place pour que les scénarii Karim Wade et Khalifa Sall soient exécutés quel que soit l’extravagance des accusations contre Mr Sonko. Ne pas résister consterait à légitimer les procédés de ce régime. Au moment même où ces lignes sont écrites, des arrestations de dizaines de membres du parti PASTEF sont perpétrées et des jeunes sénégalais arbitrairement jetés en prison. Des dizaines de membres d’organisations de la société civile sont aussi arrêtés pour des délits d’opinion.

              Mr Sonko n’entend pas offrir sa tête sur un plateau d’argent à Mr Macky Sall. Il faudra que ce dernier se salisse les mains en l’assumant devant l’opinion nationale et internationale afin d’en finir pour de bon avec l’image trompeuse de Macky Sall et de son régime que des mercenaires de la plume s’emploient à vendre à l’étranger.

              Adji Sarr, la plaignante, est une sénégalaise comme les autres et a droit à la justice. Le président Ousmane Sonko le reconnait volontiers, bien qu’il considère qu’elle est aussi victime et otage dans cette affaire. La lutte qu’il mène pour le respect des procédures et de la loi a pour seul but que le droit puisse être dit tout simplement et rien que le droit ; et pas les désirs d’un pouvoir habitué à liquider ses opposants politiques.


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