vendredi 26 mars 2021

En 2011 Jean Castex participait au complot terroriste de Sarkozy et au recrutement des criminels jihadistes MNLA Ansardine recherchés par INTERPOL en 2013 : Bilal Ag Achérif et Ahmada Ag Bibi l'adjoint de Iyad Ag Ghali ainsi que Abdelhakim Belhadj

 Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
26 mars 2021

Complot terroriste : Jean Castex connaît bien Ahmada Ag Bibi, le n°3 des jihadistes de la liste du procureur Tessougué mentionné dans la vidéo supra.
"La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne,... en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France.(interview de Hama Ag Mahmoud un des principaux chefs terroristes MNLA)

Complot terroriste : Jean Castex connaît bien Ahmada Ag Bibi, le n°3 des jihadistes de la liste du procureur Tessougué 
Quand Castex arrive à l'Elysée, Ag Bibi est déjà - depuis au moins décembre 2010 - officiellement l'employé de la DGSE et d'AREVA. Ce n'est pas une révélation, c'est son employeur local qui le mentionne dans sa biographie. L'ex colonel DGSE Gadoullet mentionne son nom à plusieurs reprises dans le récit de ses "exploits" : le financement des jihadistes d'AQMI en prévision de l'attaque du Mali en 2012.
Un terroriste Ahmada Ag Bibi qui avait tellement de protections en France qu'il portait plainte avec son patron Gadoullet contre ses employeurs AREVA et Vinci

Les médias sont occupés à démentir ceux qui dénoncent de faux complots pour mettre du grain à moudre dans leur moulin de propagande - prétendant ainsi que tous ceux qui dénoncent des complots sont des complotistes - plutôt que d'écrire la vérité et donc de confirmer les vrais complots.
En avouant la vérité sur le complot terroriste sans attendre 27 ans comme pour le Rwanda.


LIRE AUSSI :

Jean Castex bourreau de l'Afrique, membre du complot terroriste depuis les attaques contre Côte d'Ivoire, Libye et Mali

Castex chez "l'exécuteur" Idriss Déby : 30 ans de soutien criminel de la Franceàfric au dictateur du Tchad


En 2011 Jean Castex participait au complot terroriste de Sarkozy et au recrutement des criminels jihadistes MNLA Ansardine recherchés par INTERPOL en 2013 : Bilal Ag Achérif et Ahmada Ag Bibi l'adjoint de Iyad Ag Ghali ainsi que Abdelhakim Belhadj


On voit surgir sur les réseaux sociaux tous les chasseurs de complotistes relayés par le journal 20 minutes. Mais évidemment ces fact-checkers du dimanche ne cherchent pas la vérité. mais ce qui arrange la propagande gouvernementale !

Tous en défense de Castex !

Voici ce que l’on peut lire sur ce post, relayé sur Facebook et Twitter : « Jean Castex était conseiller de Nicolas Sarkozy en 2009 ! Le scandale H1N1, la vaccination de masse au Tamiflu pour 1,5 milliard au profit de Big Pharma, c’est déjà lui ! » L’URL de la page Wikipedia de Jean Castex figure également sur l’image, probablement pour ajouter un vernis d’authenticité à ces affirmations.
FAKE OFF
Jean Castex a bien été conseiller de Nicolas Sarkozy, mais il n’a été nommé qu’en novembre 2010. Sa nomination était alors parue au Journal officiel. Jean Castex était en charge des questions sociales pour celui qui était alors président de la République. Il a occupé ce poste jusqu’en février 2011, date à laquelle il a été nommé secrétaire général adjoint de l’Elysée.
En 2009, Jean Castex se concentrait sur ses mandats locaux : il avait été l’élu l’année précédente maire de Prades, dans les Pyrénées-Orientales, et président de la communauté de communes du Confluent. Il s’est également consacré à la campagne pour les élections régionales de 2010, comme le relate son blog de l’époque.
La photo qui accompagne le message trompeur qui circule sur les réseaux sociaux est d'ailleurs issue de ce blog, selon un média local, qui l’avait republiée en 2010. Certaines pages de ce blog, désormais hors ligne, sont toujours accessibles, mais la photo n’y figure pas.
La vaccination contre H1N1 pilotée par Roselyne Bachelot
En arrivant à Matignon en pleine crise sanitaire, Jean Castex connaissait déjà le milieu de la santé. Entre 2004 et 2006, il a été directeur général de l’hospitalisation et des soins au ministère de la Santé. Il avait alors piloté l'application d'une réforme de la tarification hospitalière, qui lui avait valu des critiques de médecins lors de son arrivée à Matignon en 2020. En 2006, il avait ensuite rejoint le cabinet de Xavier Bertrand, alors ministre de la Santé et des Solidarités.
Quant à la campagne de vaccination contre le H1N1, elle avait été organisée sous l’égide du ministère de la Santé, qui était alors dirigé par Roselyne Bachelot. Le gouvernement avait commandé 90 millions de doses, et 5,35 millions de Français ont été vaccinés.
20 Minutes

Sauf que ....
Ce n'est pas le complot sanitaire que Jean Castex organisait en 2011 mais le complot terroriste contre la Côte d'Ivoire et le Mali 

Du 28 février 2011 au 15 mai 2012, il est secrétaire général adjoint de la présidence de la République aux côtés de Nicolas Sarkozy.


Jean Castex travaillait alors en tandem avec Xavier Muscat secrétaire général de Sarkozy du 27 février 2011 au 15 mai 2012.

Le secrétaire général du président et son adjoint savent tout du président, les vérités officielles et surtout les officieuses qu'il faut cacher !

Dans l'ouvrage Les conseillers du président (publié en 1980), Samy Cohen écrivait ainsi que le secrétaire général joue «simultanément les rôles de collaborateur privilégié du Président, de courroie de transmission avec le gouvernement et d'animateur de l'équipe des conseillers techniques et des chargés de mission qui travaillent auprès de lui». Dans son livre, Xavier Magnon confirme:

Ils sont au cœur de la structure de conseil politique. Selon la formule célèbre du Général De Gaulle, le secrétaire général de l'Elysée est «au centre et au courant de tout». C'est précisément ce qui en ferait, selon une mythologie de la Vème République déjà évoquée, un Premier ministre-bis. Libération

Le secrétaire général du président et son adjoint sont ses plus proches collaborateurs !

Regardons d'abord en quoi consiste le poste de secrétaire général. «Mi-technocrate, mi-conseiller politique, le "SG" est le plus proche collaborateur du "PR"», écrit L'Obs en 2012. «Certains n'hésitent pas à dire que c'est l'autre patron de l'Elysée», selon France Info.  «Véritable sentinelle du président», note France Culture.Libération

 Jean Castex a donc participé étroitement au complot terroriste contre la Côte d'Ivoire, le Mali et la Lybie. La protection et l'assistance militaire pour les chefs des terroristes Dozos de Côte d'Ivoire. Ceux là même sur lesquels la CPI a promis une enquête.... qui n'aura jamais lieu parce leurs chefs Ouattara et Soro travaillaient pour Sarkozy, Puga et .... Castex. Une assistance militaire pour les installer au pouvoir en avril 2011.
 Jean Castex a donc participé étroitement au complot terroriste contre la Libye de mars à octobre 2011 en collaborant avec les jihadistes dont leur chef ex adjoint de Ben Laden- Abdelhakrim Belhadj,  Jean Castex a donc participé étroitement à l'assassinat de Kadhafi  le 20 octobre 2011.parce qu'il risquait de trop parler concernant la corruption de Nicolas Sarkozy.

Avant même la Lybie détruite, Sarkozy avait déjà recruté les miliciens maliens de Kadhafi pour les envoyer envahir le Mali.

extrait de notre article du 6 juillet 2020 :

Jean Castex bourreau de l'Afrique, membre du complot terroriste depuis les attaques contre Côte d'Ivoire, Libye et Mali


JEAN CASTEX , SARKOZY, HOLLANDE, FILLON, AYRAULT, VALLS, PUGA, LE DRIAN, JUPPE, FABIUS, RAINCOURT, MERCIER, TAUBIRA
LES BOURREAUX DE L'AFRIQUE SONT ENCORE EN LIBERTE

Jean Castex connaît bien les terroristes qui détruisent depuis 2011 la moitié nord de l'Afrique - depuis la Libye jusqu'à la Côte d'Ivoire. Il les connaît bien, il était numéro trois de l'Elysée en 2011-2012 quand ces gangsters ont été missionnés par le président de l'époque Nicolas Sarkozy et épaulés par la DGSE et l'armée française pour prendre le contrôle de la Côte d'Ivoire en avril 2011, de la Libye en août 2011 et du Mali en janvier 2012.
Jean Castex sait parfaitement qui sont les criminels Hamed Bakayoko, Guillaume Soro et Alassane Ouattara qui détruisent la Côte d'Ivoire depuis 2011 - suite du plan 2004 Hôtel Ivoire de Chirac.
Jean Castex sait parfaitement qui est le criminel Abdelhakim Belhadj qui détruit la Libye depuis 2011.
Jean Castex sait parfaitement qui sont les criminels Ahmada Ag Bibi, Bilal Ag Achérif, Hama Ag Mahmoud et Iyad Ag Ghali qui détruisent le Mali depuis 2012

HAMED BAKAYOKO

Jean Castex connait bien le chef terroriste Forces Nouvelles Hamed Bakayoko, Jean Castex était n°3 de l'Elysée depuis un mois et demi quand Sarkozy a envoyé l'armée française installer au pouvoir les terroristes de Guillaume Soro et Alassane Ouattara

Bakayoko est membre du RDR. Lors de la constitution du gouvernement de « réconciliation nationale » faisant suite aux accords de Linas-MarcoussisGuillaume Soro insiste pour que Bakayoko obtienne le poste de ministre des Nouvelles technologies de l'Information et de la Communication (NTIC)1. Il reste à son poste de mars 2003 jusqu'en .
En , il est ministre de l'Intérieur de Côte d'Ivoire et ministre d'État. (...). Il est reconduit comme ministre de l’Intérieur dans les gouvernements de Jeannot Kouadio-Ahoussou, de Daniel Kablan Duncan et d'Amadou Gon Coulibaly2.
En , Bakakoyo est nommé ministre de la Défense et reste ministre d'État.

Bayoko en plus d'être chef terroriste régional avec ses complices Guillaume Soro et Alassane Ouattara serait aussi le chef régional du trafic de cocaïne
« Le ministre de la Défense, le plus grand trafiquant de cocaïne ? 

« Téléphonez à votre voisin, le ministre de la Défense, il sait tout. Vous savez qu'il a une discothèque dans son sous-sol ?
Mais soyez très, très prudents. »
Ces recommandations ne viennent pas de n’importe qui, mais d’une personne haut placée de l’impénétrable ambassade américaine à Abidjan, d'où les États-Unis surveillent d’ailleurs toute la région ouest-africaine. Notre planque dans le Beverly Hills local se trouve dans le quartier où résident de grands noms de l'industrie et de la politique. Par hasard, le diplomate américain - on ne peut pas révéler son identité - est assis à notre table de petit déjeuner lors de la fête de la Tabaski (c'est un ami de notre hôte) ; c’est comme ça qu’on appelle l’Aïd en Afrique de l’Ouest. C'est un jour férié en Côte d'Ivoire, donc on espère que les services secrets sont aussi en congé.
(...) Il n'y a aucune preuve que l'escort dit la vérité. Mais presque tous les éléments de son histoire sont confirmés par d'autres sources. Pour en revenir au diplomate américain de haut rang à côté de qui on était assis, lui aussi nous a confirmé l'implication de notre voisin dans le trafic de cocaïne.(VICE)

Ce terroriste Hamed Bakayoko est tellement sur d'être démasqué qu'il s'est bien gardé de porter plainte en Europe..... Son dépôt de plainte familiale à Abidjan fait rire tous les résistants de Côte d'Ivoire..... qui le voit comme un aveu de culpabilité.
Mais un magistrat ivoirien, lui ne rigole pas : il accuse Bakayoko de bafouer la loi ivoirienne

«Monsieur le Ministre d’Etat Hamed Bakayoko, la publication ou le partage d’un article de presse, même diffamatoire, n’est pas une infraction au sens de la loi ivoirienne, à plus forte raison lorsqu’il n’est pas établi que l’article le soit. La volonté de s’en prendre aux « relais » qui est une notion ignorée de la loi sur la presse et de celle sur la cybercriminalité qui ne saurait d’ailleurs concerner la publication ou le partage d’articles de presse sur les réseaux sociaux », a interpellé le magistrat Ange Olivier Grah.
«C’est une tentative d’intimidation de citoyens qui ne font que profiter de leurs droits à l’information et à l’expression. Cette attitude est annonciatrice d’abus de pouvoir. Elle laisse entrevoir le véritable objectif du communiqué : parce qu’on a peur de tenter le diable en poursuivant là où doivent être poursuivis les auteurs des articles, faute de savoir les éléments de preuve qu’ils détiennent, on essaie de limiter sa diffusion par des menaces sur les lecteurs. C’est une attitude peu honorable. Si on ne la décrie pas dès maintenant, des innocents risquent de se retrouver derrière les barreaux pour effrayer les personnes qui seront tentées de publier l’article », a-t-il ajouté.(Afrique sur 7)

Mais tant qu'aucun juge français ne vient enquêter sur le soutien de l'Elysée aux terroristes, Jean Castex comme Sarkozy et toute la bande est tranquille. Il peut se pavaner à la télévision comme honnête homme.

ABDELHAKIM BELHADJ

Jean Castex connaît bien le jihadiste milliardaire Abdelhakim Belhadj. Le nouveau Premier Ministre de la France était n°3 de l'Elysée quand Sarkozy a recruté ce haut dirigeant d'Al Qaeda

(...) de nouveaux acteurs entrent en scène. Notamment la Brigade du 17 février et son commandant, Abdelhakim Belhadj. Formée depuis trois mois dans le désert du Qatar, armée par la France et les Émirats, cette unité d’élite de l’insurrection a été déployée quelques jours plus tôt grâce à un pont aérien au Djebel Nefoussa (Nord-Ouest). Premier objectif : faire sauter le « verrou Khamis » – le prénom du fils cadet de Kadhafi est également celui des troupes d’élite qu’il dirige et de la caserne qui les abrite, à l’ouest de Tripoli. C’est le début de l’opération Sirène.
Belhadj, 41 ans, s’illustre lors du siège. Ex-émir du Groupe islamique combattant en Libye (GICL), vétéran d’Irak, arrêté en 2004 et livré ensuite par la CIA aux services libyens, qui l’ont incarcéré au bagne de Bouslim, il a été libéré par… Seif el-Islam, en mars 2010. Bien qu’en première ligne, il prend soin d’alimenter les médias en informations. Ses hommes font preuve de davantage de professionnalisme que leurs camarades du front est : discipline tactique, maîtrise de la communication et parfaite coordination avec les éléments de l’Otan au sol. (Jeune Afrique 30 août 2011)

Même si certains gredins des services secrets font le ménage sur Internet pour effacer et/ou faire déréférencer par Google ce qui dérange ces réseaux criminels ( Secret Défense (blog Défense) "Quand Hubert débarquait a Tripoli"), il en reste suffisamment de traces pour lancer des poursuites contre Sarkozy, Castex et..... Molins leur complice

En 2011, la Brigade des martyrs du 17 février est la première formée en Libye lors de la première guerre civile libyenne et devient la plus puissante dans l'est du pays3. La brigade est formée par le Qatar et armée par la France et les Émirats arabes unis4. Elle combat notamment à la seconde bataille de Tripoli4.
Elle intègre le Bataillon de la révolution, dirigé par Fawzi Boukatif1. La brigade des martyrs du 17 février est sous les ordres de Abdelhakim Belhadj4,5,6. En août et septembre 2011, la brigade compte 3 000 à 5 000 hommes et son chef des opérations est Ismaïl al-Salabi1,2. Le groupe est islamiste3,1. Parmi ses combattants figurent d'ancien membres du Groupe islamique combattant en Libye2.


C'est dans un autre article de Wikipédia sur la Seconde bataille de Tripoli qu'on voit la collusion criminelle entre l'armée française et les milices du Qatar

Le samedi , à Tripoli24, au moment des premiers bombardements de l'OTAN et de l'appel du soir diffusé par haut-parleurs des mosquées, un soulèvement est lancé en soirée dans les banlieues Est de Souq al-Jomaa et Tajoura et dans les quartiers de Fashloum, Fournaj, Sabah, Ghoud al-Shayal, Hanshir and Dahra25. Des commandos insurgés venus de Misrata débarquent sur une plage de Tripoli. Un premier groupe 200 hommes aidé par le Commando Hubert puis plusieurs autres groupes entre en action26. Cette opération du Service Action de la Direction générale de la Sécurité extérieure et du Special Air Service britannique a été menée avec des Qataris et probablement des Emiratis27 et des premiers coups de feu sont alors entendus dans la capitale28,29,30.
Dans la nuit, l'OTAN continue son bombardement de la ville31,32Au sol, les combats sont intenses. Les forces rebelles paraissent progresser rapidement.


Jean Castex ne peut pas ignorer la collusion totale entre Sarkozy, le Qatar et les milices jihadistes

«J'ai rencontré à Doha plusieurs responsables de l'Otan, explique Abdel Hakim Belhaj, dont un général français de haut rang. La discussion a été très cordiale. Je l'ai remercié pour l'aide apportée par la France. Le président Sarkozy a pris une décision courageuse en soutenant le peuple libyen et en défendant les populations civiles. (Le Figaro)

Mais travailler pour Sarkozy, Jean Castex et le Qatar cela enrichit les jihadistes :

Le Libyen Abdelhakim Belhaj: jihadiste, «terroriste» et milliardaire

 Selon une liste qui recense une centaine de nouveaux riches de Libye, la fortune d'Abdelhakim Belhaj s'élève à deux milliards de dollars. Né en 1966 dans la capitale libyenne, l'homme est connu pour avoir fait des longs séjours à l'étranger par le passé. Il s'est rendu au Pakistan, au Soudan, en Turquie et en Afghanistan en 1988 avant de regagner la Libye en 1994, et d'intégrer le groupe islamiste combattant Al-Moqatila qui voulait renverser le régime.
En 2013, il fonde sa société de transport aérien, Al Ajniha. Il aurait emprunté 750 millions de dollars au Qatar pour acheter des avions qui sont restés bloqués à Malte faute d’autorisation d’atterrir à Tripoli.(RFI)


Un enrichissement qui lui permet maintenant de jouer les transporteurs aériens de .... jihadistes syriens..... vers la Libye

Des sources anonymes à l'aéroport de Mitiga, à Tripoli, témoignent d'une circulation importante de combattants venus de Turquie, à bord de vols non enregistrés.
Selon différentes sources jointes par RFI, c'est la compagnie aérienne libyenne Afriqiyah Airways et la compagnie al-Ajniha, propriété de Abdelhakim Belhaj, un jihadiste résidant en Turquie, qui ont transporté ces combattants de la Turquie à Tripoli. Leur objectif : prêter main-forte aux milices islamistes, fidèles au Gouvernement d'union nationale. Entre vendredi et dimanche dernier, quatre appareils ont atterri à l'aéroport de Matiga, débarquant des combattants syriens des brigades fidèles à Ankara.
« Nous sommes venus défendre l'islam en Libye, nous sommes l'armée libre », martèle un combattant à l'accent syrien dans une des premières vidéos qui témoigne de cette présence.(RFI)

 Mais tant qu'aucun juge français ne vient enquêter sur le soutien de l'Elysée aux terroristes, Jean Castex comme Sarkozy et toute la bande est tranquille. Il peut se pavaner à la télévision comme honnête homme.

AHMADA AG BIBI

Jean Castex connaît bien Ahmada Ag Bibi, le n°3 des jihadistes de la liste du procureur Tessougué mentionné dans la vidéo supra.

Quand Castex arrive à l'Elysée, Ag Bibi est déjà - depuis au moins décembre 2010 - officiellement l'employé de la DGSE et d'AREVA. Ce n'est pas une révélation, c'est son employeur local qui le mentionne dans sa biographie. L'ex colonel DGSE Gadoullet mentionne son nom à plusieurs reprises dans le récit de ses "exploits" : le financement des jihadistes d'AQMI en prévision de l'attaque du Mali en 2012.
Un terroriste Ahmada Ag Bibi qui avait tellement de protections en France qu'il portait plainte avec son patron Gadoullet contre ses employeurs AREVA et Vinci

Trois millions d'euros, pas un centime de moins. Deux ans et demi après leur libération, l'affaire des otages d'Arlit (Niger) est encore loin de connaître son épilogue. L'ancien agent secret Jean-Marc Gadoullet, un des négociateurs de l'affaire, réclame deux millions d'euros à Areva et Sogea Satom (filiale de Vinci), soit un million par société, pour avoir mené à bien la libération des sept otages d'Arlit. Son associé touareg malien, Ahmada Ag-Bibi, demande, lui, 500.000 euros à chacun des deux groupes.(Challenges)

... en faisant un démenti dans une longue interview accordée à ses complices de RFI 
Mais c'est lorsque Jean Castex était n°3 que les jihadistes Iyad Ag Ghali, Bilal Ag Achérif et Hama Ag Mahmoud ont été recrutés.

L'article que nous avions publié en 2017 contient toutes les preuves - à commencer par les aveux d'un des principaux chefs terroristes MNLA.

Ce sont Sarkozy, Fillon, Juppé, Baroin et le général Puga qui ont envoyé les jihadistes attaquer le Mali avec la complicité du président ATT





Le Capitaine Sékou Traoré Résistant aux jihadistes
Découvre l'alliance entre son Président ATT et les terroristes
Par Julie Amadis
#IPEAVAEAFAF
Le 06/03/2017




"La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne,... en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France.(interview de Hama Ag Mahmoud un des principaux chefs terroristes MNLA)




LIRE :


Les femmes de Kati ont commencé la révolution malienne le 31 janvier 2012


Les terroristes MNLA et leurs homologues 
jihadistes Ansardine Aqmi ont commencé à envahir le Mali le 17 janvier 2012. Pour comprendre comment des terroristes ont pu envahir un Mali qui fait en superficie deux fois la France, il faut accéder aux coulisses de la pièce de théâtre. Il est indispensable de connaître quelles sont les forces derrières ces terroristes, autrement dit qui les a financé, qui leur a apporté une aide logistique et qui leur a donné des ordres.
Cet article s'accompagne d'un second article sur les débuts de la révolution malienne portés par les femmes de Kati lors des manifestations qui se sont déroulées du 31 janvier au 3 février.
Nous allons donc retracer l'historique des événements qui précédent la manifestation des femmes de Kati.

Pourquoi ces djihadistes ont plus de moyens
qu'un État de  1 241 238 kilomètres carrés ? 



La stratégie de la Franceàfric a été de supprimer Kadhafi et d'utiliser l'arsenal militaire de l'ancien régime pour organiser la contre révolution jihadiste dans les pays sous occupation militaire française.

Les USA et la France se sont appuyés sur les salafistes pour supprimer Kadhafi.
Ces combattants vont servir à Sarkozy pour mener sa guerre impérialiste contre le Mali. L'arsenal militaire de Kadhafi va alors être à la disposition de ces mêmes djihadistes contre le Mali. Les militaires au service de Kadhafi l'ont trahi pour la France comme Mohamed Ag Najem, ex colonel de Kadhafi.

Mohamed Ag Najemné à la fin des années 1950 dans l'Adrar des Ifoghas, au Mali1, est le chef militaire du Mouvement national de libération de l'Azawad. (...) Rejoint par plusieurs officiers maliens déserteurs, il prit la tête du MNLA et lança des attaques sur MénakaAguel'hoc et Tessalit les 17 et 18 janvier 20122.
Il est considéré comme un des leaders de la nouvelle rébellion touarègue et l'ennemi public numéro un au Mali1.
Les 17 et 21 mai 2014, il commande les forces du MNLA lors des deuxième et troisième bataille de Kidal qui voient la victoire des forces rebelles contre l'armée malienne3.
Du 26 au 28 octobre, les secrétaires-généraux et officiers du MNLA, du HCUA et du MAA se réunissent à Anéfis et le 29 ils annoncent la mise en place d'une coordination militaire regroupant les forces militaires des trois mouvements. Elle se compose de dix officiers et Mohamed Ag Najem en prend le commandement4,5.



Baba Ahmed et Christophe Boisbouvier détaillent dans Jeune Afrique les moyens que détiennent les djihadistes qui font face à l'armée malienne :

"Le MNLA, lui, a pris ses quartiers dans les collines autour de Zakake, au nord de Kidal, et revendique un millier d’éléments. Il y a là d’anciens soldats de l’armée libyenne revenus au pays et emmenés par Mohamed Ag Najem, ex-colonel de Kadhafi ; ils seraient un peu moins de 400. Dans le nord du Mali, ils ont retrouvé les hommes d’Ag Bahanga. Leurs armes sont des fusils d’assaut, des missiles (sol-sol et sol-air), des lance-roquettes multiples BM-21 (« orgues de Saline ») et des mortiers, tout droit venus des arsenaux libyens. « Les rebelles, fait-on remarquer à Bamako, sont presque mieux équipés que nos soldats. Pas étonnant qu’il y ait des désertions. »" (Jeune Afrique)

En plus de cela, il y a l'argent des otages que la France a remis à AQMI et à Ansardine, des rançons qui cachent un financement déguisé du djihadisme dénoncé par le New York Times.

"C'est l'Europe qui finance une bonne partie des opérations d'Al-Qaïda, selon une enquête publiée mardi 30 juillet par le New York Times. Le quotidien américain évalue à 105 millions de dollars (93 millions d'euros) le montant total des rançons remises aux diverses factions du groupe en échange de la libération de ressortissants enlevés. En tête, la France avec, selon l'enquête, 58 millions de dollars (43 millions d'euros) de versements depuis 2008." Challenges

Cela s'ajoute à l'aide financière et même logistique du Qatar.


 Le Canard Enchaîné, dans un article nommé "Notre ami du Qatar finance les islamistes du Mali" avait dénoncé les financements des groupes islamofascistes, AQMI, MNLA, Ansardine qui ont envahi le Mali, par le Qatar qui dispose de richesses gigantissimes.

«les insurgés du MNLA (indépendantistes et laïcs), les mouvements Ansar Dine, Aqmi (Al-Qaïda au Maghreb islamique) et Mujao (djihad en Afrique de l’Ouest) ont reçu une aide en dollars du Qatar»
Le gouvernement Fillon 3 a lancé
les attaques terroristes contre
Côte d'Ivoire et Mali

Ce même journal mettait en évidence les intérêts partagés et les alliances entre le Qatar et une des plus grande entreprise française, Total.

« des négociations discrètes (qui) ont déjà débuté avec Total », le géant pétrolier français, pour une exploitation prochaine du pétrole de la région !"

LIRE AUSSI :
Mali-Nigeria: Le salaire de 10000 terroristes islamofascistes pour 3 ans : la somme payée par Hollande à Iyad Ag Ghali, le leader des assassins Ansar Eddine du 24 janvier 2012
Mali Attaque à Bamako: le groupe AQMI a été financé 58M$ par Sarkozy & Hollande. Les terroristes Al Qaeda qui ont fait plus de 20 morts à l'hôtel Radisson sont financés par France, Qatar, Oman, Suisse, Espagne, Autriche (Scoop 2014 New York Times Rukmini Callimachi)

LA PREUVE DE L'ALLIANCE D'ATT
AVEC LES DJIHADISTES

L'épisode d'Aguel Hoc et le meurtre de Sékou Traoré sont la preuve de l'alliance entre les djihadistes et le Président franceàfric malien Amadou Toumani Touré. En effet alors que l'armée malienne avait récupéré le téléphone satellitaire appartenant aux djihadistes le capitaine Sékou Traoré décroche ce téléphone et tombe sur le Président ATT. Il découvre donc que son Président est allié avec les terroristes !
L'ami de Sekou Traoré, Adama Sissoko témoigne (rapporté par Aliou Badara Diarra )



" Leur téléphone satellitaire communément appelé Thuraya  est resté dans le bureau du capitaine. C’est dans la journée du 20 janvier au matin que le téléphone satellitaire extorqué  aux chefs rebelles a sonné, au bout du fil c’était  le Président ATT qui appelait, mais tombe sur le capitaine Traoré. C’est ce coup de fil gênant qui est à la base du massacre d’Aguel-Hoc du 24 janvier.
Ce coup de fil dont mon ami, le capitaine, m’a fait écouter dans la cour PC ou toutes communications sont enregistrées sur une unité centrale. Dans cette conversation on entendait le président ATT se présenter et dire : « Allô !  Il y a quoi chez-vous ? Il y a quoi chez-vous ?». Subitement le capitaine, pris de  panique ou habité par la colère ou l’effet de surprise, se présente en ces termes : «vous vous trompez mon général. C’est le capitaine Sekou Traoré, commandant de l’unité méhariste d’Aguel-Hoc ». Bien entendu ATT a racroché brusquement et brutalement. C’est cette connivence du chef suprême des armées avec l’ennemi que le capitaine n’a pas du tout compris."(Maliweb par Aliou Badara Diarra, information reprise par Revactu)

Ces militaires résistants ont été tués. Le Capitaine avait la preuve de la supercherie du Président qui pactisait avec les terroristes. Il fallait donc l'éliminer. Yanick Toutain résume :

Massacre d'Aguel-Hoc
De nombreux indices convergents indiquent que c'est
ATT lui-même qui réclama de ses complices du Qatar que l’exécution du témoin gênant Sékou Traoré soit programmée par Ançar Eddine. Il fallait que l'attaque Ançar Eddine par le nord puisse se dérouler sans anicroches pour que l'attaque CEDEAO par le sud puisse être "vendue" aux naïves opinions publiques occidentales. (Revactu)

C'EST SARKOZY QUI ENVOIE LES DJIHADISTES ATTAQUER LE MALI

Le Qatar, ami de la France, finance, organise, arme, les groupes djihadistes MNLA, Ansardine, AQMI qui envahissent le Mali et y installent un régime fasciste criminel anti-vie.
Sarkozy s'allie à ces timbrés faux musulmans pour attaquer la Libye et dézinguer Kadhafi.


Un des principaux chefs MNLA Hama Ag Mahmoud a témoigné en 2014 :

- La France aurait donc poussé le MNLA à occuper les villes du Nord du Mali ?


- Oui tout à fait. La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne, pendant la guerre de Libye. Ensuite de bloquer le recrutement des libyens dans l’Azawad et dans l’Aïr au Niger.(Hama Ag Mahmoud terroriste chef MNLA)
"La France nous avait donné son feu vert pour l'indépendance de l'Azawad"

Et en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France. Et immédiatement la guerre gagnée par le MNLA, la France a changé complètement de politique. Elle a mis tout son dispositif diplomatique contre le MNLA. Alors conclusion, l’objectif de la France était tout simplement d’affaiblir le gouvernement malien et je peux vous assurer que ce n’était pas pour donner raison au MNLA. (Malijet)



Si la France envoie les djihadistes au Mali, c'est parce qu'elle y a des intérêts colonialistes.Pour que les plus gros patrons français puissent continuer à verser des salaires d'esclavagistes à 50€/mois, il faut un régime suffisamment répressif pour tuer toute contestation. La mise en place de dictateurs franceàfric ne suffit pas, l'Etat français envoie maintenant en plus des tortionnaires sanguinaires islamofascistes pour terroriser les populations.
Secondairement, comme nous le dit l'ancien chef MNLA, Hama Ag Mahmoud, la France recherche à exploiter la richesse des ressources minières que convoitent aussi de nombreux autres pays.

- A vous entendre, les enjeux de cette guerre sont cachés. Quels sont-ils, selon vous ?

- Tout le monde convoite notre territoire. Il y a une guerre pour les ressources minières. La France a pris les devants pour obliger le Mali à signer un accord de défense et ensuite s’octroyer des concessions minières et protéger celles qui existent déjà. C’est ça l’essence de cette guerre. Les autres puissances ne sont pas dupes. Et ça pourrait ouvrir la porte à une intervention étrangère avec une implication des américains, des russes et même des chinois. Je vois mal ces pays laisser la France faire une OPA sur les ressources de l’Azawad et de la région.(Malijet)


Pendant que les amis djihadistes de la France attaquent le Nord du Mali, la France fait croire à l'opinion publique qu'elle vient "libérer" le pays en attaquant par le Sud.

En fait il s'agit qu'une même invasion avec des mercenaires différents. Il s'agit d'une invasion impérialiste installant des djihadistes au pouvoir pour protéger les plus grosses entreprises françaises.

LE 17 JANVIER LES TERRORISTES DU MNLA ET ANSAR DINE COMMENCENT A ENVAHIR LE MALI

Le MNLA avec à sa tête Assalat Ag Habi et les salafistes du groupe d'Ansar Dine attaquent le 17 janvier 2012 l'armée malienne à Melaka.
Les djihadistes prennent d’assaut la caserne de la ville. L'armée malienne résiste.
Melaka sera complétement entre les mains des djihadistes fin janvier.


Le 18 janvier 2012 ces mêmes terroristes attaquent Aguel'hoc et Tessalit près de la frontière algérienne. Aguelhoc est situé en zone désertique au nord de la vallée du Tilemsi, dans l’Adrar des Ifoghas, sur la route transsaharienne, à 430 km au nord de Gao, 80 km au sud de Tessalit et à 150 km au sud de la frontière algérienne.


Le 20 janvier, des militaires maliens réussissent à s'accaparer le téléphone satellitaire des terroristes. Et le 20 janvier le Capitaine Sekou Traoré jeune leader étudiant décroche le téléphone s'attendant à recevoir des informations sur l'ennemi...
Mais ... il tombe sur son Président Amadou Toumani Touré (ATT).
Le Président Malien Franceàfric sait donc que le capitaine Sékou Traoré connait la vérité sur son alliance objective avec les terroristes. C'est à ce moment que commence la répression sanglante contre ceux qui avaient les preuves de la traîtrise du Président ATT auprès de la population malienne.


Puis le 24 janvier ce sont 153 militaires du camp d'Aguelhoc qui sont égorgés ou tués par balle dans la tête par le MNLA et Ansardine.



Le 25 janvier, la totalité de la ville est prise par Ansar Dine (Al Qaeda au Maghreb islamique) et le MNLA. La charia est mise en place. Les crimes qui s'abattent contre la population malienne sont nombreux comme par exemple ce couple mis à mort par lapidation parce qu'ils avaient conçus des enfants hors mariage !
La colère des femmes de Kati s'explique par l'alliance du Président ATT avec les djihadistes mis en lumière lors du massacre d'Aguel-Hoc et de l'assassinat du héros de la résistance malienne, Sékou Traoré.
La colère gronde dans la population malienne. Les femmes de Kati seront les premières à se révolter.

Les médias sont occupés à démentir ceux qui dénoncent de faux complots pour mettre du grain à moudre dans leur moulin de propagande - prétendant ainsi que tous ceux qui dénoncent des complots sont des complotistes - plutôt que d'écrire la vérité et donc de confirmer les vrais complots.
En avouant la vérité sur le complot terroriste sans attendre 27 ans comme pour le Rwanda.

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