mercredi 21 octobre 2020

Le complot terroriste Franceàfric continue au Mali comme en Côte d'Ivoire par le recyclage des criminels "Réconciliation prévu à Bamako entre militaires et djihadistes d'Al-Qaïda c'est ce que préparent les officiers malien au pouvoir" Claude Angeli dans le Canard Enchaîné

  

Canard Enchaîné : Réconciliation prévue à Bamako entre militaires et djihadistes d'Al-Qaeda

par Yanick Toutain
 et Julie Amadis

REVACTU
#IpEaVàEaFàF
21 octobre 2020


Mission de Le Drian : évaluer à quel point les dirigeants algériens sont disposés à s'engager au Mali et à prêter main-forte à Iyad Ag Ghali, le chef du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), durant les négociations qu'il mène avec les militaires. (Claude Angeli Canard Enchaîné)

Ouverte le 14 décembre dernier, la phase nationale du Dialogue national inclusif (DNI) a pris fin dimanche. (...)  ainsi que la négociation avec Amadou Koufa et Iyad Ag Ghali (dirigeants de groupes armés liés à Al-Qaïda) pour "ramener la paix au Mali".
A noter que ces négociations avaient été fortement recommandées par les participants à la Conférence d’entente nationale (CEN, du 27 mars au 2 avril 2017). (source

Nous avions depuis longtemps annoncé que IBK ayant suscité la colère de la masse des Maliens pour ses trahisons avec les jihadistes avait été victime d'une #contrerévolutiondePalais par des militaires qui voulaient eux, accélérer le processus de recyclage des criminels. Le coup d'Etat a été la mise sur la touche des officiers supérieurs les plus à l'écoute de la population et qui craignaient une réaction populaire en cas de pardon fait à Iyad Ag Ghali

Hollande et Le Drian avait d'autant plus de raison d'applaudir ce pseudo musulman qu'il leur avait rendu un autre grand service. L'imam Dicko, avec le ministre de la justice Bathily (nommé en septembre 2013 par IBK) avaient lancé une opération de harcèlement contre le procureur Daniel Tessougué. Comme il refusait d'annuler le mandat d'arrêt contre les terroristes auxiliaires de la DGSE il fallait discréditer ce procureur pour chasser du pays.
L'opération eut le renfort du pseudo Ras Bath - en réalité le fils Bathily du ministre du même nom. Un pseudo rebelle des ambassades qui vola le sigle CDR de Thomas Sankara 


Le complot terroriste Franceàfric continue
 au Mali comme en Côte d'Ivoire 
par le recyclage des criminels 
"Réconciliation prévu à Bamako entre militaires et djihadistes d'Al-Qaïda c'est ce que préparent les officiers malien au pouvoir"
Claude Angeli dans le Canard Enchaîné


Le 1° des chefs jihadistes recrutés fut Ahmada Ag Bibi : le colonel Gadoullet missionné par Sarkozy le rejoignit le 16 décembre 2010. Cet aveu figure dans le livre de ce barbouze chargé d'aller verser des millions d'euros à AQMI Al Qaeda sous prétexte d'otages.
Cette date fut le commencement du complot terroriste de l'Elysée et de la DGSE au Mali. Le même jour que l'attaque terroriste de la télévision ivoirienne par Guillaume Soro.... qui 5 ans plus tard organisa l'attaque jihadiste contre Samorogouan. En récrutant par téléphone le groupe Ansardine dirigé par Iyad Ag Ghali, le chef d'Ahmada Ag Bibi.

Mais dans son article du Canard enchaîné Claude Angeli "oublie" plusieurs choses importantes. Des éléments qui montrent que la ligne politique des militaires CNSP au Mali est dans la directe suite du complot terroriste de Hollande et de Sarkozy : le recyclage du chef Ansardine GSIM JNIM Al Qaeda Iyad Ag Ghali est prévu depuis plusieurs années officiellement ; l'opération avait pour nom DNI, Dialogue national inclusif.

Réconciliation prévue à Bamako entre militaires et djihadistes d'Al-Qaida 

C'est ce que préparent les officiers maliens au pouvoir. L'Algérie les soutient, Macron est hors jeu. 

JEAN-YVES LE DRIAN, le ministre des Affaires étrangères, s'est rendu à Alger les 15 et 16 octobre. Il a été « dépêché [là-bas] en pompier », souligne brutalement un membre de l'état-major des armées, façon de laisser entendre que le Président est un peu dans le brouillard... Mission de Le Drian : évaluer à quel point les dirigeants algériens sont disposés à s'engager au Mali et à prêter main-forte à Iyad Ag Ghali, le chef du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), durant les négociations qu'il mène avec les militaires. 

Il faut préciser ici ce que Claude Angeli ne dit pas : Iyad Ag Ghali n'est pas seulement connu comme auxiliaire du DRS, les services secrets algériens qui avaient fabriqué le FIS et le GIA pour empêcher la révolution qui menaçait le système , mais aussi comme informateur du BND, les services secrets allemands (qui l'appelaient "notre homme à Bamako" Unser Mann, mais encore de la CIA. Il avait ses entrées à l'ambassade US. En ligne on trouve même une rencontre de l'ambassadeur lui-même et du futur jihadiste - juste avant de partir pour son stage de formation pseudo islamique en Arabie Saoudite.
Il était un des membres du MNLA avant la création officielle de ce groupe terroriste. Son propre groupe Ansardine est en réalité une scission du groupe terroriste que Sarkozy recruta à l'été 2011, comme le révéla Hama Ag Mahmoud en janvier 2014.
Cela fait donc presque dix ans ans qu'Iyad Ag Ghali et son adjoint Ahmada Ag Bibi (recyclé comme député socialiste RPM) sont des auxiliaires de la DGSE et de son complot terroriste.

lundi 6 mars 2017

Ce sont Sarkozy, Fillon, Juppé, Baroin et le général Puga qui ont envoyé les jihadistes attaquer le Mali avec la complicité du président ATT

Le Capitaine Sékou Traoré Résistant aux jihadistes
Découvre l'alliance entre son Président ATT et les terroristes
Par Julie Amadis
#IPEAVAEAFAF
Le 06/03/2017



"La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne,... en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France.(interview de Hama Ag Mahmoud un des principaux chefs terroristes MNLA)

Claude Angeli continue

Rallié depuis plusieurs années à Al-Qaida, Iyad Ag Ghali gagne à être connu, ne serait-ce que pour le plaisir qu'il a pris à revendiquer la plupart des attentats dont ont été victimes des centaines de soldats et de civils maliens, ainsi, que plusieurs dizaines de Français. Grâce à la Direction du renseignement militaire, Le Drian n'ignore rien du parcours de ce Touareg, ancien combattant en Irak, qui, en 2017, avait traité la France d'« ennemie historique des musulmans ». 

Claude Angeli a encore la mémoire courte. Et ne démasque pas l'hypocrite petit milicien de la DGSE.

LE TERRORISTE IYAD AG GHALI RECOMPENSE 20M€
PAR HOLLANDE LE DRIAN ET MACRON EN OCTOBRE 2013

Le jihadiste Iyad Ag Ghali faisait partie de la liste des 28 chefs terroristes établie par le procureur général du Mali , Daniel Tessougué.
Cette vidéo de la télévision malienne ORTM du 8 février 2013 le place en tête de liste



ORTM Mali | 8 février 2013 | Des mandats d'arrêt ont été délivrés contre les dirigeants politiques et militaires de la milice touareg armée du MNLA (mercenaires de Khadafi chassés de Libye associés au un groupe d'usurpateurs) et les membres dirigeants des factions islamistes et terroristes Ansar Dine, MUJAO et AQMI, a annoncé vendredi soir le parquet de Bamako. « Les faits qui leur sont reprochés sont, entre autres : terrorisme, sédition, crimes portant atteinte à la sécurité intérieure de l'État, à l'intégrité du territoire national par la guerre, l'emploi illégal de la force armée, la dévastation et le pillage publics, crimes et délits à caractère racial, régionaliste et religieux, trafic international de drogue », a indiqué le procureur général près la cour d'appel de Bamako, Daniel Tessogué, dans un communiqué lu à la télévision publique ORTM. D'après l'ORTM, il y a au total « pour un début, 26 personnes recherchées ». Le procureur précise que « la Cour pénale internationale » (CPI) a « déjà été saisie de crimes contre l'humanité, des crimes de guerre », sans plus de détails. Le procureur de la CPI avait annoncé le 16 janvier avoir ouvert une enquête sur des crimes de guerre présumés commis par divers « groupes armés » depuis janvier 2012 au Mali. Les personnes faisant l'objet de ces mandats d'arrêt internationaux sont:

Ansar Eddine:

# Iyad Ghaly

# Alghabass Ag Intalla

# Hamada Ag Bibi

# Check Ag Haoussa

# Sultan Ould Badi

# Hamada Ag Hama

# Oumar Ould Hamaha

# Sidi Mohamed ould oumama


MUJAO

# Cherif ould Attaher

# Abdourhamane ould Al'am

# Aliou Mahamane Touré


MNLA

# Bilal Ag Acherif

# Mohamed Ag Najim (Najem ou Nagem)

# Hama Ag Moussa

# Mohamed Djiré

# Bedy Ag Sidimo

#I brahim Ag Mohamed Assaleh

# Eglass Ag Ofen

# Baye Ag Iknane

# Moussa Ag Assarid

# Abdallah Ag Albakaye

# Mady Ag Ohad


NARCOTRAFIQUANTS

# Mohamed ould Ahmed daya

# Dina Ould Daya

# Mohamed ould Sidati

# Baba Ould Cheick

# Mohamed ould Wainak

#....Ag Aballah Maire de Aguelhok


On peut noter au passage que dans la liste figure un invité de Gérard Larcher : Bilal Ag Achérif - recherché par INTERPOL depuis deux mois - venait recevoir ses consignes au Sénat en avril 2013, avec évidemment la bénédiction du procureur Molins et de tous les hiérarques du parti socialiste, Hollande et Le Drian en tête. Le cas d'Iyad Ag Ghali n'est pas le seul.

La semaine dernière, Ag Ghali s'est permis de monter une opération de propagande sur le sol malien. Tout d'abord, il a fait savoir à la presse qu'il venait d'obtenir la libération de 206 de ses frères de combat. Ensuite, et sans être le moins du monde inquiété, il a organisé et présidé à Tessalit un méchoui pendant lequel on a pu le photographier, en compagnie d'une centaine de djihadistes, en train de festoyer. Un véritable bras d'honneur adressé à Paris. Des terroristes très fréquentables ? Que recherchent les militaires maliens ? « La réconciliation nationale au sein du Mali », disent-ils. Un objectif qui convient à leur grand voisin algérien, lequel n'apprécie guère la présence de troupes françaises à ses frontières, et souhaite que son protégé Ag Ghali puisse bientôt jouer un rôle politique à Bamako.

Une nouvelle fois, Claude Angeli semble avoir perdu la mémoire. Le recyclage des terroristes est prévu depuis le début. 
Et s'est accéléré en 2017 pour aboutir au DNI fin 2019 et donc plus de 6 mois avant le putsch des militaires CNSP 

Ouverte le 14 décembre dernier, la phase nationale du Dialogue national inclusif (DNI) a pris fin dimanche. Ainsi, les participants ont surtout retenu quatre résolutions fortes dont l’application pourra permettre au Mali de faire un pas décisif vers la paix et la stabilité.
Ils ont ainsi recommandé l’organisation des élections législatives (avant le 02 Mai 2020) ; l’organisation d'un référendum pour la révision de la constitution du 25 février 1992 ; le redéploiement immédiat des forces armées et de sécurité reconstituées sur l'ensemble du territoire ; la relecture de certaines dispositions de l'accord pour la paix et la réconciliation nationale selon son article 65 ; ainsi que la négociation avec Amadou Koufa et Iyad Ag Ghali (dirigeants de groupes armés liés à Al-Qaïda) pour "ramener la paix au Mali".
A noter que ces négociations avaient été fortement recommandées par les participants à la Conférence d’entente nationale (CEN, du 27 mars au 2 avril 2017). (source)

LE RECYCLAGE D'IYAD AG GHALI EST PREVU
 PAR L'ELYSEE DEPUIS LE DEBUT

L'opération actuelle est l'application du DNI 
Un DNI qui soulève la colère de la majorité des Maliens et qui fut une des causes de la chute d'IBK
Article du 17 février 2020

Polémique autour du dialogue avec IYAD AG GHALI et AMADOU KOUFFA : IBK tranche en faveur de Dioncounda et jette l’opprobre sur Tiébilé Dramé

Article du 20 février 2020

Dialogue avec des chefs terroristes : Un combat perdu d’avance par IBK



C’était devenu un secret de polichinelle depuis que, fin janvier 2020, l’ancien président de la Transition, Dioncounda Traoré, par ailleurs haut représentant du chef de l’État pour le Centre, avait annoncé avoir envoyé des émissaires vers Iyad Ag Ghaly et Amadou Koufa, respectivement leader du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM) et du Front de libération du Macina (FLN).

Interviewé par RFI et France 24 en marge du 33e sommet de l’Union  africaine, le président Ibrahim Boubacar Keïta a confirmé ces contacts, qui sont, a-t-il rappelé, la mise en œuvre des recommandations du Dialogue national inclusif (DNI) qui s’est tenu en fin décembre 2019.

Ce virage à 180 degrés divise, comme on le sait, la classe politique et l’opinion malienne d’une manière générale. La grande question étant de savoir quelles sont les clauses contractuelles de ce marché que le locataire du palais de Koulouba veut conclure avec ces deux chefs terroristes.

Nombreux sont en effet ceux qui sont réservés sur cette initiative, même l’ONU dont le secrétaire général adjoint pour les opérations de maintien de la paix, le Français Jean-Pierre Lacroix, se demandait : «négocier, mais négocier quoi ?». Imposer par exemple la charia comme le voudraient ces disciples d’un islam rigoriste ou encore rompre les relations avec l’Occident, à commercer par l’impie coq gaulois et le Grand Satan américain ?

En réalité, on n’en est pas encore là. La  première des difficultés est d’établir de réels et durables contacts avec des gens qui sont par nature méfiants et qui ont naturellement peur de tomber dans un piège puisqu’ils savent que leur tête est mise à prix.

Et quand bien même ils seraient assurés de la sincérité de l’approche, il faudra encore convaincre ces gens sans foi ni loi de renoncer à leur folie meurtrière, alors même qu’ils vivent de l’économie criminelle (trafic de drogue, de cigarettes, de carburant, d’êtres humains…) qui alimente leur trésor de guerre.

En tout cas, cette main tendue d’IBK à ceux qui ont les mains couvertes du sang d’innocents, sonne comme un aveu d’impuissance et d’échec. Faute de vaincre l’ennemi militairement sur le terrain, on se résout à parlementer avec lui. Comme pour confirmer l’adage populaire selon lequel : «Quand on ne peut rien contre le voleur, il faut même l’aider à emporter les biens qu’il vient de vous dérober».

La question se pose néanmoins de savoir si cette démarche malienne fera tache d’huile dans les autres pays du G5 Sahel, particulièrement au Burkina et au Niger, soumis depuis d’interminables années aux attaques incessantes de groupes  terroristes qui font des centaines, voire des milliers, de morts et des déplacés dont le nombre grossi chaque jour un peu plus.

Une autre question se pose : puisque le GSIM et le FLN ne forment qu’une partie des nombreux regroupements criminels qui essaiment au «Sahelistan», que fait-on des autres, en particulier de l’État islamique au Grand Sahara d’Abou Walid al-Sahraoui, très actif dans la zone dite des Trois Frontières où Barkhane et le G5 Sahel veulent concentrer l’essentiel de leur force ?  Et ce n’est même pas sûr qu’Iyad Ag Ghaly et Amadou Koufa contrôlent toutes ces cellules locales qu’ils ont sécrétées dans les trois pays.

Si  donc dans le principe, on ne peut pas blâmer le président malien de chercher tous les voies et moyens de soulager la peine de ses compatriotes, force est de reconnaître qu’il s’est engagé dans une périlleuse aventure, pleine  d’interrogations, à l’issue incertaine, pour ne pas dire perdue d’avance, et qui va enrichir au passage bien d’intermédiaires et de petits relais plus ou moins véreux. 


Nous avions depuis longtemps annoncé que IBK ayant suscité la colère de la masse des Maliens pour ses trahisons avec les jihadistes risquait d'être renversé par une #vraieRévolution mais qu'il avait été victime d'une #contrerévolutiondePalais par des militaires qui voulaient eux, accélérer le processus de recyclage des criminels. Le coup d'Etat a été la mise sur la touche des officiers supérieurs les plus à l'écoute de la population et qui craignaient une réaction populaire en cas de pardon fait à Iyad Ag Ghali.


mardi 18 août 2020

#CoupdEtatAuMali : Ces militaires qui n'ont pas imité Sankara appelant le #4août1983 à former des CDR avouent donc avoir fait une CONTRE-REVOLUTION #IBKDEGAGE, une pseudo "révolution de palais" sous contrôle de l'impérialisme CIA DGSE

 Par Yanick Toutain
et Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
18/08/2020

"Pour notre part, nous avons invité le peuple dans la nuit du 4 août, à se constituer partout en #ComitésdeDéfensedelaRévolution #CDR
parce que nous ne nous faisions pas d'illusion :
la #révolution allait être attaquée.
Elle l'a été, elle l'est et elle le sera"


mercredi 19 août 2020

Le discours des putschistes CNSP est pro impérialisme MINUSMA revendiquant leur fraternité avec les terroristes MNLA Ansardine CMA (transcript du texte intégral)

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
19/08/2020

"Nous demandons aux organisations nationales et internationales de nous accompagner pour le bien être du Mali, la MINUSMA, la force Barkhane, le G5 Sahel, la force TAKUBA demain nos partenaires pour la stabilité et la restauration de la sécurité" (CNSP)

"Nous invitons par ailleurs nos frères de la coordination de l'Azawad CMA et de la plateforme à nous rejoindre pour la mise en œuvre efficiente de l'accord issu du processus d'Alger." (CNSP) 


AHMADA AG BIBI JIHADISTE PRO CHARIA FIN 2012
DEVENU DEPUTE SOCIALISTE FIN 2013

 Au Mali même, le projet de ces officiers-ministres ne manque pas d'appuis. Soumaïla Cissé, par exemple, ex-Premier ministre et ex-otage, se dit favorable aux négociations avec ceux qui l'ont enlevé puis détenu. Un autre notable, le député Ahmada Ag Bibi, est sur la même longueur d'onde, et cela n'a rien de surprenant. Cet ancien membre des groupes djihadistes, ami d'Ag Ghali, a négocié avec celui-ci l'échange de 206 combattants contre 4 otages. 

Ce Ahmada Ag Bibi avait été pardonné par Hollande dès 2013 : il l'avait fait élire près de Kidal comme député d'Abeibara : l'adjoint d'Iyad Ag Ghali qui imposait la charia à Kidal était élu RPM section malienne de l'internationale socialiste dans la ville où il imposait la charia un an avant.
Mais son chef, Iyad Ag Ghali avait lui aussi été récompensé

MARDI 13 JANVIER 2015

Angeli qui n'a plus beaucoup de mémoire "oublie" que le pseudo Imam Dicko, agent de l'Arabie Saoudite fut un des principaux propagandistes de Hollande pour faire admettre l'invasion du Mali par l'armée qui les avait recrutés

Le Haut conseil islamique malien sort de son silence. Cette institution clé de la société malienne ne s'était pas exprimée depuis le début de l'intervention française. Une intervention soutenue par le Haut Conseil.

Mahmoud Dicko, Président du Haut Conseil Islamique malien 

« Ce qui nous a beaucoup choqué, c'est que dans l'opinion internationale islamique, dans certains pays du Golf, certains responsables pensent que l'intervention française est une agression contre l'islam. Nous disons que nous ne sommes pas d'accord avec cette interprétation, nous pensons que c'est le contraire. C'est la France qui a volé au secours d'un peuple en détresse, qui a été abandonné par tous ces pays musulmans ».



Voici ce que Claude Angeli dit de cet ami de la France :

Quant au Grand imam de Bamako, Mahmoud Dicko — qui se targue d'être la « référence islamiste » de plusieurs auteurs du récent coup d'Etat —, il prie pour la réussite de ces palabres entre militaires et partisans d'Al-Qaida. 

Hollande et Le Drian avait d'autant plus de raison d'applaudir ce pseudo musulman qu'il leur avait rendu un autre grand service. L'imam Dicko, avec le ministre de la justice Bathily (nommé en septembre 2013 par IBK) avaient lancé une opération de harcèlement contre le procureur Daniel Tessougué. Comme il refusait d'annuler le mandat d'arrêt contre les terroristes auxiliaires de la DGSE il fallait discréditer ce procureur pour le chasser du pays.
L'opération eut le renfort du pseudo Ras Bath - en réalité le fils Bathily du ministre du même nom. Un pseudo rebelle des ambassades qui vola le sigle CDR de Thomas Sankara


DES TERRORISTES DANS L'ARMEE MALIENNE 
MËME OPERATION QU'EN COTE D'IVOIRE

Avant la fin d'octobre, Le Drian doit se rendre au Mali et y rencontrer les nouveaux dirigeants du pays. La « réconciliation nationale » en préparation ira-t-elle jusqu'à intégrer une partie des djihadistes du GSIM au sein de l'armée malienne ? Il ne faut douter de rien. Et, même si cela met Macron et ses généraux en fureur, Ag Ghali et ses hommes, devenus désormais fréquentables, devront, en cas d'accord et après plus de six ans de guerre, être épargnés par les militaires français. Lesquels seraient en droit de se demander ce qu'ils sont allés faire dans cette galère. Dès lors, les soldats de Barkhane n'auront plus à pourchasser au Sahel que d'autres terroristes, ceux de Daech (Etat islamique au Grand Sahara). Jusqu'au moment où quelques chefs d'Etat voudront soudain se réconcilier avec eux ? Claude Angeli « Le Canard enchaîné » — mercredi 21 octobre 2020 —3 

Alors que le terroriste aura tenu tête aux meilleures armées du monde.... bobard pour les naifs.... Angeli tente de nous faire gober la prétendue colère des militaires français.
S'ils veulent en finir avec le complot terroriste, les amis militaires officiers supérieurs de Claude Angeli ont pourtant une solution très simple : faire une conférence de presse et dénoncer tous les crimes de Le Drian le successeur du général Puga... les deux principaux chefs du complot terroriste.
Qu'ils commencent par faire circuler cet article !!!

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