lundi 24 février 2020

Hirak, harak, haraka en Algérie ! Un an de sabotage de la 5° révolution algérienne par les étudiants, la proto formoisie et la formoisie algérienne qui refusent les 16000 arouch #1pour625 en laissant régner le Tsar Tebboune

Par Julie Amadis
 et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
24/02/2020

Les Algériens au bout d'un an de manifestations hebdomadaires n'ont réussi qu'à remplacer le Tsar Bouteflika par le Tsar Tebboune.
(...)
La révolution d'octobre (le 7 novembre 1917 nouveau calendrier) eut lieu au moment où les Bolcheviks et les SR de gauche eurent acquis la majorité au sein des soviets.

La révolution d'octobre abolit la deuxième casemate capitaliste.
Sans soviet, la révolution russe serait resté une révolution de palais, avec le frère du Tsar, Michel Alexandrovitch, pour le remplacer, comme le souhaitait une partie du gouvernement provisoire....
Mais les soviets ont empêché cela.... Michel Alexandrovitch, n'a régné qu'une journée.... quand le Tsar Tebboune est toujours en place.


Les avocats que l'on a beaucoup vu dans les manifestations du Hirak aux côtés des étudiants, les médecins, les professeurs veulent juste une amélioration du système actuel et devenir une nouvelle mafia remplaçant la mafia des généraux..... mais ils ne veulent pas la fin du capitalisme et le partage total des richesses entre tous les Algériens par un salaire égal pour tous.
Si les pauvres, majoritaires en Algérie, avaient leur délégués révocables, la voix majoritaire du mouvement ne serait plus celle des diplômés mais celle des pauvres qui réclameraient forcément le partage et donc l'égalité des salaires.
Alors ces diplômés empêchent les arouch. Certains rêvent d'une Algérie inégalitaire aux mains des diplômés comme l'était l'URSS, d'autres rêvent d'une Algérie capitaliste avec plus de libertés, sans les généraux.

Mais aucun n'est prêt au grand partage avec les pauvres, à renoncer à ses privilèges de diplômés, privilèges de prestige, reconnaissance par les impérialistes, privilèges de salaires plus élevés.
Alors le Tsar Tebboune a remplacé le Tsar Bouteflikka et les pauvres d'Algérie continuent de crever à petits feux sous des salaires de misère..

URGENCE CONTRE LE COVID19 EN ALGERIE

Si les 16 000 arouch avaient été formées, les Algériens seraient déjà organisés avec 
1,6 millions de correspondants santé, 
320 000 délégués DIB santé,
64 000 délégués de base santé
12 800 délégués DIC santé
2560 délégués conseillers santé
(tous délégués d'aarch)
512 délégués DID santé


104 délégués députés santé (membre du nouveau CNRA Comité national de la révolution algérienne)
et 5 délégués DIN santé membres du comité exécutif.
La menace d'une pandémie meurtrière doit avoir comme réponse principale la révolution humanocrate.



Hirak, harak, haraka en Algérie ! Un an de sabotage de la 5° révolution algérienne par les étudiants, la proto formoisie et la formoisie algérienne qui refusent les 16000 arouch #1pour625 en laissant régner le Tsar Tebboune 


Si 16 000 arouch avaient été formés en Algérie, ce sont déjà
Il n'a fallu que 4 jours aux Russes pour renverser le Tsar et la monarchie. Il leur a fallu 8 mois de plus pour renverser le capitalisme.
Du 8 mars 1917 au 12 mars 1917, il n'a fallu que 4 jours aux Russes pour désigner leurs délégués révocables et installer le 2° soviet de Petrograd.
Du 12 mars au 7 novembre 1917 il n'a fallu que 8 mois de plus au Russes pour que les délégués du 2° congrès pan-russe des Soviets prenne le pouvoir et renverse le capitalisme - débordé sur sa gauche par les ouvriers et les paysans abolissant eux-même la propriété des actionnaires et des féodaux.
Les Algériens au bout d'un an de manifestations hebdomadaires n'ont réussi qu'à remplacer le Tsar Bouteflika par le Tsar Tebboune.
La différence entre les deux se trouve dans la désignation de délégués révocables en Russie dès le 12 mars avec le quota de 1 pour 1000. Un délégué pour 1000 délégateurs.

Wikipédia Le 27 janvier 1917 ( dans le calendrier grégorien)1, les dirigeants du Groupe central des travailleurs sont arrêtés et emmenés sur les ordres du ministre de l'Intérieur, Alexandre Protopopov. Le 25 février 1917 ( dans le calendrier grégorien), lors d'une réunion interne, des mencheviks discutent pour la première fois de la restauration du Soviet de Petrograd2.
Nicolas Tcheidze, président du Comité exécutif du Soviet de Petrograd.
Les ouvriers arrêtés par Protopov sont libérés par une foule de soldats mécontents dans la matinée du 27 février 1917 ( dans le calendrier grégorien), au tout début3 de la révolution de Février. Le même jour, une réunion est convoquée à l'initiative de deux mencheviks, K. A. Gvozdev et B. O. Bogdanov, pour organiser un soviet. La réunion est convoquée au nom d'un « Comité exécutif provisoire du Soviet des députés ouvriers » au palais de Tauride, qui avait abrité jusqu'alors les réunions de la Douma d'État de l'Empire russe. Malgré le délai très court, l'assemblée constituante a lieu, dans le plus complet désordre4. Selon certaines sources, 250 sont présentes, selon d'autres la plupart sont de simples curieux, quarante-cinq personnes seulement sont habilitées à voter. Un comité exécutif provisoire (Ispolkom) de huit ou neuf personnes est élu (aucune trace écrite de la réunion n'a été conservée)2.
Nicolas Tcheidze5 (Nicolas Tchkhéidzé) prend la tête de ce Comité exécutif provisoire. Il est secondé par Alexandre Kerenski et M. I. Skobelev (vice-présidents)2Irakli Tsereteli6 participe au comité jusqu'à ce qu'il rejoigne le Gouvernement provisoire). Le journal Izvestia est choisi comme organe officiel du groupe. Comité décident d'accepter les soldats au soviet.
Le 28 février 1917 ( dans le calendrier grégorien), des usines et certaines unités militaires élisent des délégués. Les élus sont plutôt des socialistes modérés : bolcheviks et socialistes-révolutionnaires obtiennent moins de 10 % des voix. La procédure d'élection est cependant chaotique. Quinze jours plus tard, le soviet de Petrograd compte 3000 députés, dont 2000 soldats, bien que la ville compte beaucoup plus d'ouvriers que de soldats7. Les assemblées plénières sont mal organisées, il n'y a aucun ordre du jour, chacun est libre de prendre la parole7.

Toute la future mafia de remplacement, les étudiants, la formoisie et la proto Formoisie algériennes ont refusé de reprendre le système ancestral des arouch et de désigner des délégués révocables #1pour625 comme nous le préconisions depuis le début du Hirak. Ce refus de donner au peuple des représentants est un sabotage de la révolution algérienne.
Sans délégués révocables avec quota, les impérialistes ont la main pour y imposer leurs nouveaux pantins avec leur "démocratie esclavagiste".

DES LE 12 MARS LES OUVRIER RUSSES CHOISISSENT LEURS DÉLÉGUÉS RÉVOCABLES 1 POUR 1000 ET FORMENT LE SOVIET DE PETROGRAD

Dès le quatrième jour de mobilisation le 12 mars 1917 (27 février calendrier russe), les Russes se choisissaient leurs délégués révocables
Les leaders de la mobilisation demandaient au peuple russe de se choisir leurs délégués révocables formant des soviets en reprenant l'organisation de la révolution de 1905.
"Les militants révolutionnaires tentent alors d'organiser et de canaliser le mouvement. Comme au cours de la révolution de 1905, la création d'un soviet pour fédérer ouvriers et soldats s'impose. Dans l'après-midi du 27 février, une cinquantaine de militants de tendances révolutionnaires différentes — bolcheviks, mencheviks, socialistes-révolutionnaires — organisent un Comité exécutif provisoire des députés ouvriers. Ce comité décide de la création d'un journal, les Izvestia, et appelle les ouvriers et les soldats de la garnison à élire leurs représentants. C'est l'acte de naissance du Soviet de Petrograd, assemblée de six cents personnes environ. " wikipédia
Le quota de 1905 était de 1 délégué révocable pour 500 délégateurs. Il fut modifié en 1917
Il devient  #1pour1000 1 délégué révocable pour 1000 travailleurs.
Le 12 mars dans l'après-midi, un appel est fait à tous les citoyens pour se choisir leurs représentants au sein des soviets.
"Citoyens ! Les représentants des ouvriers,
des soldats et de la population, réunis à la Douma,
déclarent que la première séance de vos délégués
aura lieu aujourd'hui à 7 heures du soir à la Douma d'Empire.
Que tous les soldats qui sont passés du côté du peuple choisissent sans retard leurs députés,
 à raison d'un par compagnie.
Que les usines choisissent leurs députés
dans la proportion d'un pour 1000 ouvriers.
 Les usines de moins de 1000 ouvriers enverront également un député."
déclaration du 12 mars 1917 du Comité Exécutif provisoire (CEP) Revactu

 TOUT LE POUVOIR AUX SOVIETS

Après la révolution de février 1917 (mars 1917 calendrier russe), il y a deux pouvoirs les soviets d'un côté et le gouvernement provisoire de l'autre.
Lénine réclame le pouvoir aux soviets. Il explique qu'une véritable révolution en faveur des ouvriers et des paysans ne peut passer que par ce mot d'ordre.
Sans cela, c'est la bourgeoisie qui garde le pouvoir et ses privilèges au détriment de la paysannerie et du prolétariat.
«Ou la dissolution des Soviets et leur mort sans gloire, ou tout le pouvoir aux Soviets», ai-je dit au congrès des Soviets de Russie au début de juin 1917 [1] et l'histoire des mois de juillet et d'août a pleinement confirmé ces paroles. Seul le pouvoir des Soviets peut être stable et s'appuyer ouvertement sur la majorité du peuple, en dépit des mensonges des valets de la bourgeoisie : Potressov, Plékhanov et autres, qui qualifient d'élargissement de la base du pouvoir la remise en fait de ce pouvoir à une minorité infime de la population, à la bourgeoisie, aux exploiteurs.
Seul le pouvoir des Soviets pourrait être stable ; seul il ne pourrait être renversé, même aux heures les plus agitées de la plus orageuse des révolutions ; seul ce pouvoir pourrait assurer le développement large et continu de la révolution, la lutte pacifique des partis au sein des Soviets. Tant que ce pouvoir n'aura pas été constitué, ce ne seront qu'irrésolution, instabilité, hésitations, «crises du pouvoir», comédies de chassé-croisé ministériel sans issue, explosions à droite et gauche.
Mais le mot d'ordre : «Le pouvoir aux Soviets» est très fréquemment, sinon dans la plupart des cas, compris de façon absolument fausse, dans le sens de «ministère formé par les partis qui ont la majorité dans les Soviets» ; et c'est sur cette opinion profondément erronée que nous voudrions nous arrêter plus en détail.
Un «ministère formé par les partis qui ont la majorité dans les Soviets», cela veut dire des changements de personnes dans la composition du cabinet, tout l'ancien appareil gouvernemental demeurant intangible, appareil foncièrement bureaucratique, foncièrement; antidémocratique, incapable de réaliser aucune réforme sérieuse, même celles qui figurent au programme des socialistes-révolutionnaires et des mencheviks.
«Le pouvoir aux Soviets», cela signifie une refonte radicale de tout l'ancien appareil d'Etat, appareil bureaucratique qui entrave toute initiative démocratique ; la suppression de cet appareil et son remplacement par un appareil nouveau, populaire, authentiquement démocratique, celui des Soviets, c'est-à-dire de la majorité organisée et armée du peuple, des ouvriers, des soldats et des paysans ; la faculté donnée à la majorité du peuple de faire preuve d'initiative et d'indépendance non seulement pour l'élection des députés, mais encore dans l'administration de l'Etat, dans l'application de réformes et de transformations sociales.
Rappelons, pour rendre cette différence encore plus évidente et plus sensible, l'aveu précieux qu'a fait récemment le Diélo Naroda, organe d'un parti gouvernemental, le parti socialiste-révolutionnaire. Même dans les ministères qui ont été confiés à des ministres socialistes - écrivait ce journal lors de la fameuse coalition avec les cadets, quand les mencheviks et les socialistes-révolutionnaires détenaient des portefeuilles - même dans ces ministères, tout l'ancien appareil de direction est resté en place et entrave tout le travail.
Et c'est bien compréhensible. Toute l'histoire des pays de parlementarisme bourgeois et aussi, dans une large mesure, des pays bourgeois constitutionnels, montre que les changements de ministres ont fort peu d'importance, tout le travail réel d'administration étant confié à une immense armée de fonctionnaires. Or, cette armée est profondément imbue d'un esprit antidémocratique, rattachée par des milliers et des millions de liens aux grands propriétaires fonciers et à la bourgeoisie dont elle dépend de toutes les manières. Cette armée baigne dans une atmosphère de rapports bourgeois, qui est la seule qu'elle respire ; momifiée, encroûtée, figée, elle n'a pas la force de s'arracher à cette ambiance ; elle ne peut changer sa façon de penser, de sentir et d'agir. Elle est enchaînée par un système de hiérarchie, par certains privilèges attachés au «service de l'Etat» ; quant à ses cadres supérieurs, ils sont complètement asservis, par l'intermédiaire des actions et des banques, au capital financier dont ils sont eux-mêmes, dans une certaine mesure, les agents, dont ils défendent les intérêts et propagent l'influence. ("Une des questions fondamentales de la révolution, paru dans
Le «Rabotchi Pout» n° 10, 27 (14 septembre) 1917" écrit par Lénine, visible sur Marxist.org)
Lénine protestait même sur l'absence d'un QUOTA UNIQUE

La révolution d'octobre (le 7 novembre 1917 nouveau calendrier) eut lieu au moment où les Bolcheviks et les SR de gauche eurent acquis la majorité au sein des soviets.

La révolution d'octobre abolit la deuxième casemate capitaliste.
Sans soviet, la révolution russe serait restée une révolution de palais, avec le frère du Tsar, Michel Alexandrovitch, pour le remplacer, comme le souhaitait une partie du gouvernement provisoire....
Mais les soviets ont empêché cela.... Michel Alexandrovitch, n'a régné qu'une journée.... quand Tebboune est toujours en place.

Michel Alexandrovitch de Russie devint tsar de Russie le jour où l'abdication de son frère Nicolas II fut légalement proclamée5. Michel Alexandrovitch fut proclamé « empereur Michel II de Russie » par les troupes russes et une minorité de villes.
L'accession au trône de Michel Alexandrovitch de Russie fut souhaitée par une partie du nouveau gouvernement provisoire, notamment Pavel Milioukov, d'autres, tel que Alexandre Kerensky, considéraient cela impossible du fait des évènements. Le soviet de Petrograd qui venait d'être formé, s'opposait lui fortement à cette accession, souhaitant l'établissement d'une république6.
Arguant que le soviet n'accepterait pas le maintien de la monarchie, Alexandre Kerensky persuada le grand-duc Michel de renoncer à régner. Accompagné de deux avocats (dont Vladimir Dmitrievitch Nabokov, père du futur écrivain Vladimir Nabokov), ils rédigèrent une déclaration de renonciation au trône à signer par le grand-duc. Le lendemain, le 3 mars 1917 ( dans le calendrier grégorien), Michel Alexandrovitch de Russie signa le document, ce dernier ayant eu peur pour sa vie7. Wikipédia

DEPUIS LE DÉBUT DU HIRAK NOUS TENTONS DE MOBILISER LES ALGÉRIENS SUR L'URGENCE DE CONSTITUER 16 000 AROUCH EN ALGÉRIE





LA FORMOISIE ET PROTO FORMOISIE ALGERIENNE EMPÊCHENT LA CRÉATION DE 16 000 AROUCH ET DONC UNE VÉRITABLE RÉVOLUTION ANTI IMPÉRIALISTE ANTI CAPITALISTE

La Formoisie (concept découvert en 1993 par Yanick Toutain "bourgeOISIE de la FORMation"), la proto Formoisie et les étudiants qui se forment pour devenir à leur tour les spoliateurs des non formés, ne veulent pas que la révolution algérienne s'étende aux couches les plus pauvres de la population car ils ne veulent pas partager leur salaire de diplômés avec les paysans et ouvriers.
Le sabotage est insidieux et hypocrite... et prend le visage de cette éternelle et contrerévolutionnaire réclamation d'une "Constituante souveraine" bastion des capitalistes contre l'humanocratie des délégués révocables du peuple
"L’Algérie est menacée de régression tribale si l’on n’allait pas vers une transition démocratique dont le principal objectif de la Constituante souveraine qui sera élue, est de reconstruire la nation et refonder l’Etat et la République. Le retour à « l’Algérie des tribus, l’Algérie des 3rouch », n’est pas une vue de l’esprit. Hélas !" Transition ou tribalisation  Le blog de Brahim Younessi

Les avocats que l'on a beaucoup vu dans les manifestations du Hirak aux côtés des étudiants, les médecins, les professeurs veulent juste une amélioration du système actuel et devenir une nouvelle mafia remplaçant la mafia des généraux..... mais ils ne veulent pas la fin du capitalisme et le partage total des richesses entre tous les Algériens par un salaire égal pour tous.
Si les pauvres, majoritaires en Algérie, avaient leur délégués révocables, la voix majoritaire du mouvement ne serait plus celle des diplômés mais celle des pauvres qui réclameraient forcément le partage et donc l'égalité des salaires.
Alors ces diplômés empêchent les arouch. Certains rêvent d'une Algérie inégalitaire aux mains des diplômés comme l'était l'URSS, d'autres rêvent d'une Algérie capitaliste avec plus de libertés, sans les généraux.
Mais aucun n'est prêt au grand partage avec les pauvres, à renoncer à ses privilèges de diplômés, privilèges de prestige, reconnaissance par les impérialistes, privilèges de salaires plus élevés.
Alors le Tsar Tebboune a remplacé le Tsar Bouteflikka et les pauvres d'Algérie continuent de crever à petits feux sous des salaires de misère...

SAMEDI 15 NOVEMBRE 2014


La Révolution algérienne du 11 décembre 1960 fut l'acte déterminant de la chute de la slavoisie Franceàfric d'Algérie


par Yanick Toutain
#RevActu
15/11/14

"On sait tout sur la vie, les œuvres, (et même sur leurs querelles) des chefs du FLN et de l’ALN, mais quel historien étudiera la genèse mystérieuse et le déroulement de l’initiative flamboyante du peuple d’Alger"
Après la révolution FLN de 1954, après la révolution Ramdane Abane de 1957 et la formation du 1° CNRA, après la révolution du 11 décembre 1960, après la victoire révolutionnaire de 1962, la formoisie est vent debout pour saboter la 5° révolution et aider la mafia actuelle à protéger la démocratie au nom de leur éternelle et contre-révolutionnaire "Assemblée constituante"
Pour les révolutionnaires, les constitutions sont des chiffons de papier contre-révolutionnaires hostiles au peuple



URGENCE CONTRE LE COVID19 EN ALGERIE


Si les 16 000 arouch avaient été formées, les Algériens seraient déjà organisés avec
1,6 millions de correspondants santé,
320 000 délégués DIB santé,
64 000 délégués de base santé
12 800 délégués DIC santé
2560 délégués conseillers santé
(tous délégués d'aarch)
512 délégués DID santé
104 délégués députés santé (membre du nouveau CNRA Comité national de la révolution algérienne)
et 5 délégués DIN santé membres du comité exécutif.
La menace d'une pandémie meurtrière doit avoir comme réponse principale la révolution humanocrate.





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COMPLEMENT

FORMOISIE : un concept néo-marxiste. Un concept qui devra être dépassé conceptuellement en intégrant le concept de SPOLIATION. Un proto-concept post-marxiste.

L'erreur économique historique de Marx concernant la formoisie, le travail complexe et les transferts de plus-value : la note 19 du chapitre VII. UNE ÉTUDE CRITIQUE SUR LE TEXTE EXACT DU CAPITAL DE KARL MARX
par Yanick Toutain 16 novembre 2008 21:11












FORMOISIE
Ce concept est un concept néo-marxiste.
Il est un néologisme fabriqué en 1993.
Un collage de FORMation et de bourgeOISIE.
Il vise à TRANCHER les débat (1938) entre Yvan Craipeau et Léon Trotsky.
Mais en prenant en compte les travaux postérieurs de Schultz, Denison, et Stroumiline (2 libéraux et un stalinien).
La capital humain existe.
Sa productivité est quantifiable et quantifiée.
(+ 30% pour un an de formation. +320 % pour 13 ans et demi)
Cette classe sociale en est une : elle possède un capital et se bat pour maximiser son appropriation du fructus de ce capital.
(je résume)
Marx, Engels, Lénine et Trotsky ont approximé l'existence de cette classe.
Sous diverses terminologies : aristocratie ouvrière, petite-bourgeoisie, intelligentsia etc....
Trotsky - avec son pseudo-concept de "bureaucratie" a embrouillé la débat.
J'ai développé un texte de novembre 2008
L'erreur économique historique de Marx concernant la formoisie, le travail complexe et les transferts de plus-value : la note 19 du chapitre VII. UNE ÉTUDE CRITIQUE SUR LE TEXTE EXACT DU CAPITAL DE KARL MARX l'analyse de l'ERREUR DE MARX
http://revolisation.blogspot.com/2010/11/lerreur-economique-historique-de-marx.html
... la façon dont Marx est passé à côté du concept.
Par une entourloupe de mauvaise foi.
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C'est dans la note 19 du chapitre VII de la troisième section du livre I du capital que Marx laissa la petite graine qui allait détruire la totalité de l'édifice qu'il construisait. Cette note bâclée montre à quel point la construction scientifique ne peut pas se permettre de laisser dans l'ombre le moindre fragment du jaune de l'œuf qui grossit : ce que Marx néglige en l'évacuant, de la plus parfaite mauvaise foi, c'est ce qui va permettre la dégradation de la deuxième internationale, le ralliement cocardier des partis socialistes à leurs bourgeoisies respectives en 14 18, le sabotage de la révolution de Février 17, de mars jusqu'à octobre, les grèves formoise de 1918, l'échec des processus révolutionnaires en Allemagne, de 1918 à 1923, le sabotage des spetz jusqu'en 1921, puis leur montée en puissance à partir de janvier 1922, la victoire de Staline en 1927, le sabotage de la montée révolutionnaire de 1927 en Chine, l'alliance bourgeoisie-formoisie aux USA sous l'égide de Roosevelt, l'incapacité de Trotsky, en 1938 de comprendre que l'URSS est dirigée par une classe sociale exploiteuse, la volonté de l'URSS de maintenir les États formois de l'Est sous dictature russe en empêchant la construction de la "démocratie prolétarienne", les sabotages des révolutions anticolonialistes des années 50 et 60 par les formoisies compradores, la coexistence pacifique à partir de Kroutchev, le sabotage de la montée révolutionnaire 1963-1979, la destruction de l'URSS et la contre-révolution capitaliste, la dégénérescence mondiale actuelle dans laquelle le capitalisme détruit la Terre tandis que la formoisie et la nouvelle classe innovoise refuse de prendre en charge leur destin historique. C'est cette mauvaise foi de Marx qui l'empêche de voir la racine de tous ces phénomènes historiques : le fait que les producteurs du travail complexe vont vouloir s'accaparer ce qu'ils vont prétendre être le fruit de leur travail, le fruit de leur accumulation de capital formation.

===
L'URSS était un Etat formois.
Un Etat, un bras armé destiné à protéger la classe formoise.
En tant qu'Etat, il avait - comme tous les Etats -une bureaucratie.
Mais celle-ci était formée, en tant que telle, de membres de la classe formoise.
Une situation qui a des analogies avec l'Etat chinois millénaire, un Etat qui était féodalo-formois.
Ce qu'il fallait faire en URSS, c'était donc une REVOLUTION SOCIALE pour RENVERSER LA CLASSE FORMOISE et mettre en place le SALAIRE UNIQUE.
Pour les mêmes raisons, la "planification socialiste" était une bêtise, une concession absurde à l'idéologie formoise.
Il fallait mettre en place (sous les formes les plus adéquates en prenant en considération les contraintes) l'investissement démocratique.
En effet le droit à investir est un DROIT INDIVIDUEL du citoyen.
Le confier à une bureaucratie revenait à un suicide et à tendre son cou à la hache stalinienne.

Nous avons de quoi débattre.

Quant au caractère "néo-marxiste" de ce concept, la découverte postérieure du concept de "droits d'auteurs ancestraux" qui devraient être payés aux héritiers des innovants - nos ancêtres - réduit à une peau de chagrin la quantité, le volume de ce que marx appelait "plus-value" et donc - ipso facto, celle de la "plus-value formation" dont j'avais conceptualisé l'existence en 1993.
Si les machines, la formation, les innovations actuelles ont un rôle productif, la valeur de ce rôle, la quantité en est socialement faussée par le NON paiement des droits d'auteurs ancestraux.
Si les Beatles doivent payer Pythagore pour son invention de la tierce et de la quinte, ce que rapporte la chanson "Yesterday" (en terme de "huilage" du capital humain) ne change pas ..... mais la valeur de l'apport spécifique de Mac Cartney dans cet apport est ridiculement petit face à la valeur des gammes, la valeur des tierces utilisées, des quintes utilisées etc....

Le post-marxiste aura donc une définition différente du concept de formoisie.
Comme du reste de toutes les classes sociales exploiteuses.
Qui deviendront des classes sociales SPOLIATRICES.
Celles-ci étant considérées comme des groupes de pillards tricheurs se partageant un butin. Un butin formé par le refus, la négation, des droits d'auteurs ancestraux, le refus de payer aux héritiers de la STRATE des INNOVANTS ancestraux la valeur du travail de leurs ancêtres.
La SPOLIATION c'est donc la confiscation (le non-paiement) des DROITS D'AUTEUR ANCESTRAUX.
Tout cela est relié conceptuellement à la LUTTE DES STRATES.
Mais ce sera l'objet d'un autre bref mémo.

NOTES

On peut lire, en complément


dimanche 28 décembre 2008


L'existence d'un "prolétariat bourgeois" est selon Engels le principal frein à la révolution anticapitaliste.

par Julie Amadis
28 décembre 2008


mardi 21 avril 2009


Critique matérialiste dialectique du texte écrit par Trotsky «en Défense du marxisme» 1/3 "Craipeau oublie les principaux enseignements du marxisme"


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