vendredi 22 novembre 2019

Lettre à la comptable publique de Rouen. Tout cela sera jugé "en relation avec une entreprise terroriste" en Côte d"Ivoire et au Mali

Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
14/11/2019

Vous me saisissez pour un trop perçu professionnel que je n’ai jamais touché. Vous refusez de me verser mes congés payés de 2013-2014. Ainsi que le montant de deux années d'exclusion 2014-2016. Les responsables de l'inspection académique de Rouen se retranchant derrière des arguties illégales sous protection de l'Etat voyou.

Il vous aurait suffi d’appliquer la loi pour annuler cette prétendue créance. 
Il vous aurait suffi de chercher à quelle date j’aurais perçu ces sommes pour renoncer à percevoir la plus grosse partie.
Il vous aurait suffi de chercher pour quel motif je les aurais perçues, pour quel motif je n’aurais pas dû les percevoir. 
Et aussitôt la baudruche illégale du complot terroriste Puga-Le Drian se serait dégonflée.
Il vous aurait suffi de respecter l’exigence de la loi de 1979 que « tout décision administrative défavorable doit être motivée en droit et en fait » pour casser la chaîne des magouilles de vos prédécesseurs et collègues.


Tous ceux qui n’auront pas respecté cette exigence seront condamnés un jour pour « harcèlement professionnel en relation avec une entreprise terroriste » « harcèlement financier en relation avec une entreprise terroriste ». Que l’imminence de la révolution et de l’irruption de juges honnêtes vous apparaisse comme faribole ou comme probabilité imminente, sachez que je rendrai publique cette missive et ces avertissements à vous donnés. L’opinion publique des gens honnêtes (et des victimes du terrorisme d’État organisé depuis l’Elysée) jugera de votre attitude avant même que des juges honnêtes comme Bernard Borrel ne viennent prendre les sanctions légales qui s’imposent contre les dirigeants et les participants à ce complot terroriste.

Depuis le début de la répression politique que je subis, je publie sur mon blog toute les lettres envoyées à l'administration, aux finances publiques ou aux tribunaux. Cette lettre est donc publique.

Julie Amadis
Professeur anti violences à enfants anti Franceàfric révoquée en juillet 2016 pour atteinte à la République française pour avoir dénoncé le soutien de l'Elysée aux terroristes Forces Nouvelles de Côte d'Ivoire et MNLA Ansardine du Mali






Lettre à la comptable publique de Rouen.
Tout cela sera jugé "en relation avec une entreprise terroriste" en Côte d"Ivoire et au Mali


Madame la comptable public Mme Fabienne DUFAY,

Une nouvelle fois vous recommencez ce harcèlement professionnel (et financier) en me réclamant des sommes sommes dont l’essentiel serait un trop perçu de septembre 2014…. alors que le dernier versement de vos services date du … 29 juillet 2014.
Alors même que vos services ne m’ont toujours pas versé le montant de mes congés payés de 2014 suite à l’exclusion illégale dont je suis victime. (Ni, pendant deux années le montant pendant mon exclusion de 2014 à 2016)
Je vous informe que cette affaire – incluant vos agissements - sera, après la révolution et donc avec des juges honnêtes - l’objet d’enquête et de condamnations en relation avec une entreprise terroriste. En effet, mon licenciement de 2016 qui vous sert de prétexte, fait suite à l’exclusion 2 ans de juillet 2014 faisant suite à la suspension illégale dont j’ai été victime en avril 2014, elle-même faisant suite à la sanction dont j’ai été victime pour avoir écrit « directement » à la rectrice de Rouen en 2013.
La rectrice de Rouen ayant été informée que le harcèlement de 2008 par l’inspecteur Deplanque recommençait en septembre 2013..... cela lui servi de prétexte pour commencer la répression. (Oui, c'est la même rectrice de Rouen Claudine Schmidt-Lainé qui volait dans la caisse comme vos services le savent parfaitement et qui a été condamnée pour cela..... après que Hollande et Belkacem l'aient promotionnée comme rectrice de Grenoble. Cette rectrice délinquante avait certainement l'assurance de l'impunité par l'Elysée tant qu'elle participait à la répression des gens honnêtes!!!)

Ainsi que l’a avoué lui-même l’inspecteur d’Académie du Havre Serge Tillman en 2014, en convoquant mes parents d’élèves de l'école Valmy en mon absence, tout ce cirque illégal est la suite de mes condamnations à répétition dans des tribunaux au service de la DGSE et du complot terroriste organisé depuis l’Elysée. (-TGI Angoulême, Cour d'Appel de Bordeaux, Tribunal correctionnel puis TGI du Havre, Cour d'Appel de Rouen)/ Condamnations illégales basées sur des mensonges, des faux en écritures,  sous la protection des ministres Michel Mercier et Christiane Taubira.

J’ai été révoquée en juillet 2016 pour« atteinte à la république française » (c'est le motif officiel, celui qui donc vous sert de prétexte légal pour ce harcèlement professionnel et financier) ..... pour avoir dénoncé l’envoi de terroristes en Côte d’Ivoire et au Mali par Nicolas Sarkozy, le général Puga et leurs complices à commencer par Alain Juppé et Henri de Raincourt.

J’ai été harcelée par les socialistes François Hollande, Vincent Peillon, Benoît Hamon, Najat Vallaud Belkacem tous complices du même général Puga qui a organisé le financement du jihadiste Iyad Ag Ghali leader du groupe Ansardine en octobre 2013.

Le harcèlement auquel vous participez est la continuation de celui dont je suis victime par un des deux principaux organisateurs du terrorisme en Afrique –Jean-Yves Le Drian, devenu ministre des Affaires étrangères d’Emmanuel Macron, après avoir – sous François Hollande – organisé l’annulation des poursuites contre les pires des 28 chefs terroristes du Mali offrant même des statuts aux deux pires d’entre eux : Ahmada Ag Bibi devenu député RPM à Kidal où il imposait la charia et Bibal Ag Achérif invité au Sénat en avril 2013 lorsqu’il était recherché par INTERPOL pour le procureur général du Mali – Daniel Tessougué – lui aussi persécuté par Français Hollande mais éjecté du Mali par une promotion judiciaire en Afrique de l’Ouest.

Le harcèlement auquel vous participez est la continuation des condamnations illégales – que je ferai un jour casser par des juges honnêtes – que j’ai subies en septembre 2012 TGI d’Angoulême, février et juillet 2013 Courd’Appel de Bordeaux, mars 2014 TGI du Havre,  mars 2015 Cour d’Appel de Rouen. Des condamnations illégales pour un texte que je n’avais non seulement pas écrit ni même lu.

Vous me saisissez pour un trop perçu professionnel que je n’ai jamais touché. Vous refusez de me verser mes congés payés de 2013-2014. Ainsi que le montant de deux années d'exclusion 2014-2016. Les responsables de l'inspection académique de Rouen se retranchant derrière des arguties illégales sous protection de l'Etat voyou.

Cela fait suite à mes condamnations à répétition pour un texte que je n’avais pas écrit et dont l’auteur unique a été condamné - illégalement - avec des faux en écritures.
Ce harcèlement auquel vous participez a commencé il y a 8 ans, en novembre 2011 organisé par ce réseau auxiliaire du terrorisme en Afrique qui m’a fait condamner à payer 35 000 € à un policier complice des milices terroristes d’Abidjan attaquant la télévision ivoirienne.

Il vous aurait suffi d’appliquer la loi pour annuler cette prétendue créance. 
Il vous aurait suffi de chercher à quelle date j’aurais perçu ces sommes pour renoncer à percevoir la plus grosse partie.
Il vous aurait suffi de chercher pour quel motif je les aurais perçues, pour quel motif je n’aurais pas dû les percevoir. 
Et aussitôt la baudruche illégale du complot terroriste Puga-Le Drian se serait dégonflée.
Il vous aurait suffi de respecter l’exigence de la loi de 1979 que « tout décision administrative défavorable doit être motivée en droit et en fait » pour casser la chaîne des magouilles de vos prédécesseurs et collègues.

Tous ceux qui n’auront pas respecté cette exigence seront condamnés un jour pour « harcèlement professionnel en relation avec une entreprise terroriste » « harcèlement financier en relation avec une entreprise terroriste ». Que l’imminence de la révolution et de l’irruption de juges honnêtes vous apparaisse comme faribole ou comme probabilité imminente, sachez que je rendrai publique cette missive et ces avertissements à vous donnés. L’opinion publique des gens honnêtes (et des victimes du terrorisme d’État organisé depuis l’Elysée) jugera de votre attitude avant même que des juges honnêtes comme Bernard Borrel ne viennent prendre les sanctions légales qui s’imposent contre les dirigeants et les participants à ce complot terroriste.

 Tout acte administratif défavorable doit être motivé en fait et en droit, selon lLoi n° 79-587 du 11 juillet 1979 relative à la motivation des actes administratifs et à l'amélioration des relations entre l'administration et le public.
Or, le « Traitement Brut issu de la paye de septembre 2014 » de 494,22 que vous me réclamez alors que je n’ai pas perçu de paye en septembre, (votre dernier versement datant du 29 juillet 2014) n’est pas motivé en fait et en droit !

Je vous l’avez d’ailleurs précisé dans une lettre accusé de
réception envoyée à votre prédécesseur le 18 décembre 2015 !
J'avais même publié un article dans lequel je parlais de votre harcèlement.
L’ÉDUCATION NATIONALE ET LA DIRECTION DES FINANCES PUBLIQUES RÉCLAMENT UN TROP PERÇU SANS JUSTIFICATIF DE 500,40 EUROS : L’ÉQUIVALENT D'UN MOIS DE RSA

Institutrice exclue, au RSA
Lettre de l’Éducation Nationale
lui demandant de rembourser 500,40 euros
L’Éducation Nationale m'a réclamé 500,40 euros de "trop perçu" par deux fois - en décembre 2014, puis en janvier 2015.Un soi-disant trop perçu pour l'année 2014-2015 !L’État me réclame un trop perçu sans apporter de justificatif détaillant quel serait ce "trop perçu" !L’Éducation Nationale n'est plus à un faux près. Après m'avoir exclue en inventant que j'aurai distribué les tracts des parents d'élèves, elle peut maintenant inventer un trop perçu !Et me réclamer l'équivalent d'un mois de mes maigres ressources !La direction générale des finances publiques participe au harcèlement et m'envoie une facture de 500, 40 euros le 28 janvier 2015 (voir l'imprimé ci-contre) !L’ÉDUCATION NATIONALE OSE ME RÉCLAMER 500 EUROS
ALORS QU'ELLE ME DOIT 10 MOIS DE REVENU DE REMPLACEMENT
L’Éducation nationale me doit actuellement 10 mois de revenu de remplacement comme le prévoit la loi. Mais elle me réclame 500, 40 euros sans justificatif !

(Répression politique: le fisc persiste à me réclamer le triple de mon RSA soit 1607 euros)


Malgré ma réclamation du 18 décembre 2015 vous persistez à me réclamer et maintenant me saisir une somme que je n'ai jamais perçue !

Comment pouvez-vous persister à faire circuler un document qui est manifestement un faux en écritures publiques affirmant que j'aurais perçu de l'argent en septembre 2014 ??? Et cela manifestement sans prendre en compte mes protestations depuis plus de quatre ans.
Votre saisie administrative à tiers détenteurs alors que je vous avais préalablement écrit en décembre 2015 en accusé de réception vous expliquant que je n’avais pas été payée en septembre 2014 et donc je ne pouvais vous devoir de l’argent « issu de la paie de septembre » et que je n’avais même pas perçu mes congés payés ni même le revenu de remplacement auquel j’avais droit, me retrouvant en septembre dans l’impossibilité totale de me nourrir allant au CCAS et au Resto du coeur pour survivre a un coût financier supplémentaire énorme pour moi. Vous n’êtes pas sans savoir que toutes les banques prennent 10 % de la somme indiquée dans la saisie soit 73 euros ! 
Vous avez enclenché cette action de saisie sans même m’avoir écrit de lettre de réclamation préalablement !
Depuis le début de la répression politique que je subis, je publie sur mon blog toute les lettres envoyées à l'administration, aux finances publiques ou aux tribunaux. Cette lettre est donc publique.

Julie Amadis
Professeur anti violences à enfants anti Franceàfric révoquée en juillet 2016 pour atteinte à la République française pour avoir dénoncé le soutien de l'Elysée aux terroristes Forces Nouvelles de Côte d'Ivoire et MNLA Ansardine du Mali



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