jeudi 29 août 2019

Robin Desquiens victime de Blanquer devant une "commission disciplinaire" n'ayant pas plus de preuves que le "conseil de discipline" de Hollande Belkacem qui m'a exclue en 2014 puis révoquée en 2016



Par Julie Amadis
avec Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
29/08/2019















Robin Desquiens victime de Blanquer devant une "commission disciplinaire" n'ayant pas plus de preuves que le "conseil de discipline" de Hollande Belkacem qui m'a exclue en 2014 puis révoquée en 2016



L'administration de l'Education Nationale marche sur la tête !

Après m'avoir révoquée en 2016 pour atteinte à la République Française en m'accusant de défendre sur mon blog les enfants tapés dans les écoles du Havre par des collègues et d'avoir dénoncer les crimes de l'armée française en Afrique - soutien des terroristes de Côte d'Ivoire et du Mali

Hollande révoque une prof pour déclarations anti-violence à enfants et anti-franceàfric

..... voilà maintenant que l'Education Nationale s'en prend à un élève "dans les normes", un élève qui suit à la lettre les recommandations de ses professeurs.

Robin Desquiens, élève en STMG au lycée Cordouan à Royan est passé en commission disciplinaire hier parce que l'administration a inventé une faute ! Pour cette administration délirant ce élève aurait triché au Bac.

Comme l'administration du Havre et de Rouen ont inventé que des témoins m'auraient vu distribuer un tract de parents d'élèves - extraordinaires témoins dont l'existence n'a de réalité que dans les propos - mensongers - du principal agresseur d'enfant du Havre.... connu pour cela depuis 30 ans.... faux témoin tenu en laisse par les inspecteurs d'Académie Philippe Carrière et Serge Tillmann.

Pour le malheureux Robin Desquiens.... qui lui, ne milite pas pour la révolution africaine, et ne devrait même pas se trouver dans le viseur des esclavagistes, il n'y a eu AUCUN TEMOIN contre lui.
Ni témoin imaginé par l'agresseur d'enfant Léon Launay, ni témoin réel surgi du chapeau fasciste de Blanquer !
Aucun témoin, mais passage en commission disciplinaire quand même.L'argumentaire utilisé par l'Académie de Poitiers est que la copie de philosophie de Robin Desquiens est accusée de contenir des passages identiques à l' article internet d'un professeur de philosophie nommé Eric Delassus.

Rien de surprenant pour qui connaît Robin Desquiens, "l'élève modèle" : Il avait appris tous ses cours par cœur, il a donc récité le cours de sa professeur....

Aucun témoin de l'accusation mais accusation quand même !!!!

 Robin Desquiens n'aurait même pas pu tricher : il était au 2° rang lors de l'épreuve du bac, son portable étant dans son sac posé dans le fond de la salle....

Mais l'administration des laquais du putsch Macron a continué à accuser cet élève exemplaire, bosseur, qui alors que l'épreuve philosophie n'est qu'un tout petit coefficient (2) avait appris par cœur tous les cours de sa professeur.

Sa mère, Sonia Desquiens, ne décolère pas : « Il n’a pas de montre connectée et son portable, lors de l’épreuve, était au fond de son sac qui, lui-même, était posé dans un coin de la salle. Sans compter que Robin était placé au deuxième rang dans la salle, face au surveillant. »
Robin se justifie lui aussi auprès du rectorat. Il a appris par cœur le cours de l’enseignante qui s’inspirait du texte d’Eric Delassus. La direction et des enseignants du lycée interviennent aussi auprès du rectorat, assurant du sérieux de l’élève. « Mon fils avait trente points d’avance. Il a eu la moyenne en philo toute l’année, une matière au coefficient 2. Pourquoi aurait-il triché ? », argue Sonia Desquiens
Sud Ouest

Robin Desquiens, "élève exemplaire" de cette école du "par cœur", est jugé comme un délinquant en commission disciplinaire par des incapables, irresponsables.

Les membres de la commission disciplinaire ont écouté Robin et sa mère Sonia Desquiens pendant 50 minutes, se montrant, apprécie la maman, "bienveillants". L’affaire devrait se solder sans sanction. Robin Desquiens devrait recevoir officiellement la décision de la commission cette fin de semaine. Lui sera communiqué en même temps son relevé de notes du baccalauréat.
Le lycéen ignore encore, pour l’heure, s’il est bachelier. Son cursus en est toutefois déjà contrarié. Du fait de cette procédure à son encontre, il n’a pu confirmer en juillet son admission à l’institut de formation aux soins infirmiers de Talence, où il avait décroché une place pour la rentrée.
Sud Ouest
Le Rectorat avait refusé de recevoir la mère de Robin.
"Le lycéen ne sait pas encore s'il a "obtenu son bac" et son avenir est menacé. Son admission en première année à l'école d'infirmier n'a pas pu être validée à cause de cette accusation mensongère de l'académie de Poitiers.
Rien n’y fait. Six semaines après les résultats officiels, le lycéen ne sait toujours pas s’il a obtenu son bac. Il est convoqué devant une commission disciplinaire le 28 août. Pire, il a dû décliner la place qui lui était promise à l’institut de formation en soins infirmiers (Ifsi) de Talence, ne pouvant justifier sur Parcoursup qu’il avait obtenu son bac.« Dès le début, on a demandé à être reçu par le rectorat. Aucun retour », explique sa mère qui ne comprend pas toujours pas. Cette dernière espère désormais que son fils connaîtra son résultat le plus tôt possible, « qu’il soit blanchi et que le ministère rattrape cette bévue pour qu’il puisse se former aux soins infirmiers ». L’Académie de Poitiers, contactée par plusieurs médias ces derniers jours, n’a pas répondu aux sollicitations."
Ouest France
Cet élève a pourtant suivi et intégré tout ce que la société capitaliste conformiste lui a transmis.

Il apprend par cœur tous ses cours et veut intégrer l'armée !

En attendant, le lycéen a perdu sa place à l'Institut de formation en soins infirmiers de Talence (Gironde) où il était admis, et son rêve d'intégrer l'école des sous-officiers de l'armée de Terre.

Le Parisien indique que  "dans plusieurs courriers adressés au rectorat de Poitiers, ses professeurs ont pris fait et cause pour le lycéen". "Une des caractéristiques de Robin est le besoin de perfection, de choses carrées […]. Son sérieux l'a souvent conduit à mémoriser des données reçues en classe pour étoffer et enrichir ses productions", a notamment écrit sa professeure principale. Le Dauphiné

Si un élève soutenu par ses professeurs, connu de tous comme "exemplaire" "sérieux" voit ses choix d'avenir professionnel compromis par une bande d'incapables imbus d'eux même que sont les membres de l'administration Blanquer c'est bien parce que ces fonctionnaires ne sont pas révocables par la population.


On voit que la dictature Macron a des tactiques ayant des similitudes avec la stratégie des nazis pendant la guerre, à la fois cibler les résistants les plus dangereux et s'en prendre à des gens totalement innocents.
Dans la série "Un village français", on voit même un nazi - plus franc que la clique Macron -expliquer sa méthode : prendre en otage des innocents et les exécuter terrorise davantage la population que de s'en prendre aux résistants.
Me réprimer, m'empêcher de faire cette nouvelle rentrée - sur la base du "témoignage" d'un menteur ou réprimer le jeune Robin Desquiens, est une seule et même attaque putschiste du réseau Macron Edouard Philippe Blanquer : on voit d'ailleurs sur cette photo l'ex maire du Havre venu soutenir les enseignants de l'école Valmy : profs menteurs soutenant depuis 30 ans leur collègue agresseur d'enfants.

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