jeudi 18 juillet 2019

Génocide au Rwanda : la Franceàfric menace la juge Brigitte Raynaud "ma sécurité n'était plus assurée" (Canard Enchaîné)


Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
18/07/2019

Une des juges chargées d'enquêter sur le Rwanda est sous menaces. Tel est la révélation du Canard Enchaîné d'hier 17 juillet 2019
La juge d'instruction qui a ouvert l'information judiciaire en 2005, Brigitte Raynaud, est venue témoigner des « obstructions » à l'enquête. Elle a préféré mettre fin à son détachement avec dix mois d'avance, en 2006 :« Les pressions se rapprochaient, j'avais une famille, des enfants, j'ai préféré partir dès lors que ma sécurité n'était plus assurée.»

POURQUOI la chaîne de commandement politico-militaire à Paris n'a-t-elle pas donné l'ordre aux premiers soldats de l'opération ‘, Turquoise » déployés dans l'ouest du Rwanda de stopper les massacres en cours dans les collines de Bisesero, où s'étaient réfugiés des milliers de Tutsis ?
(Canard Enchaîné 17/7/19)
Il ne peut y avoir de véritable justice sur le Rwanda dans un Etat gangrené par la Franceàfric esclavagiste.

Après la révolution, tous ceux qui sont impliqués dans le génocide au Rwanda,
Hubert Védrine, Secrétaire général de l’Elysée,
 
Nicolas Sarkozy, ministre du budget, 
Pierre Méhaignerie, garde des Sceaux,
Alain Juppé, ministre des affaires étrangères, 
Jacques Lanxade, chef d'Etat major
(actuellement ambassadeur de France en Tunisie),
 François Lecointre l'actuel chef d'Etat major de Macron
qui  a participé à l'opération Turquoise
et qui a défendu du génocidaire Alfred Mussema
 et tous leurs complices
seront jugés au Nuremberg de l'Afrique
par des juges délégués révocables
.
 (conclusion de cet article)


Génocide au Rwanda : la Franceàfric menace la juge Brigitte Raynaud "ma sécurité n'était plus assurée" (Canard Enchaîné)

Une des juges chargées d'enquêter sur le Rwanda est sous menaces. Tel est la révélation du Canard Enchaîné d'hier 17 juillet 2019
La juge d'instruction qui a ouvert l'information judiciaire en 2005, Brigitte Raynaud, est venue témoigner des « obstructions » à l'enquête. Elle a préféré mettre fin à son détachement avec dix mois d'avance, en 2006 :« Les pressions se rapprochaient, j'avais une famille, des enfants, j'ai préféré partir dès lors que ma sécurité n'était plus assurée.»

On comprend que 25 ans après le génocide au Rwanda organisé par la Franceàfric de Mitterrand et du gouvernement Balladur, les enquêtes judiciaires sont au point mort....
Pour arriver à leurs fins, les services secrets français usent de pressions et de menaces ....au sujet du Rwanda comme au sujet de la Côte d'Ivoire et du Mali...... ce que nous avons vécu de la part des complices français des terroristes ivoiriens depuis novembre 2011 et la nomination du procureur voyou François Molins.


Dans un article hier, mercredi 17 juillet, "la justice se hâte lentement sur le Rwanda", le Canard Enchaîné pose une question faussement naïve, à savoir pourquoi aucun ordre n'a été donné aux militaires français de l'opération Turquoise de stopper les massacres des génocidaires Hutus au Rwanda.
La justice se hâte lentement sur le Rwanda
POURQUOI la chaîne de commandement politico-militaire à Paris n'a-t-elle pas donné l'ordre aux premiers soldats de l'opération ‘, Turquoise » déployés dans l'ouest du Rwanda de stopper les massacres en cours dans les collines de Bisesero, où s'étaient réfugiés des milliers de Tutsis ?
 
Le 27 juin 1994, un détachement des forces spéciales croise des survivants hagards qui les supplient d'intervenir. Les militaires promettent de revenir au plus vite, mais ce n'est que trois jours plus tard que le sauvetage commence. Entre-temps, des centaines de Tutsis ont été exécutés...
Une question faussement naïve car l'auteur de l'article David Fontaine connait la réponse.Nous la connaissons tous depuis les révélations du gendarme français Thierry Prungnaud en 2010 dans la revue XXI et de l'officier d'armée de terre Guillaume Ancel en 2014 et en 2017 avouant que l'Elysée (Hubert Védrine) leur avait donné l'ordre de "livrer des armes aux génocidaires".
Le génocide n'est pas comme tente de le montrer le Canard Enchaîné un génocide que la France aurait laissé faire, c'est un génocide qui a été organisé par la Franceàfric, cette même Franceàfric qui 20 ans plus tard missionnait les terroristes au Mali et les finançait.

Thierry Prungnaud  militaire français expliquait que ce 27 juin 1994, il a commencé à prendre conscience en découvrant un charnier de Tutsis que sa hiérarchie lui mentait depuis le début en lui faisant croire que les Tutsis étaient les massacreurs .

Dans ce témoignage, le gendarme ne lance jamais d'accusation, s'en tient aux événements qu'il a vécus. A son arrivée, dans le cadre de Turquoise, Thierry Prungnaud est mis à la disposition du Commandement des opérations spéciales qui dresse, selon lui, un ahurissant tableau de la situation. "Les Tutsi exterminent les Hutu. Nous sommes venus pour les protéger, mettre fin aux massacres. Mais nos forces sont encore insuffisantes pour jouer un rôle d'interposition", rapporte le gendarme.
A ce moment là, le génocide est presque achevé et Thierry Prungnaud progresse avec d'autres militaires dans l'ouest du Rwanda.
Les jours suivants, il affirme être empêché par sa hiérarchie de se rendre à Bisesero, où se cacheraient de nombreux rescapés tutsi. C'est alors qu'il désobéit.
Arrivé le 30 juin à Bisesero, il voit "des morts partout dans les hautes herbes, certains encore tièdes". Alerté, le commandement dépêche hommes et hôpital de campagne.
Selon le rapport d'un officier consulté par la revue, une patrouille était déjà passée à Bisesero trois jours avant et avait estimé à "environ 2.000" les rescapés tutsi. Le 30 juin, l'armée française ne dénombre plus que 800 survivants, rapporte Thierry Prungnaud. Ultime espoir du gendarme: témoigner de ce qu'il a vu. Convoqué en octobre 1994 au ministère de la Défense, il affirme qu'un général, dont il ne cite pas le nom, lui a dit: "Vous oubliez tout. Vous mettez tout à la poubelle."
  
Le 27 juin, il découvre un charnier dans un village, d'où tous les habitants tutsi semblent avoir disparu, sauf un homme muré dans le silence. C'est le révélateur pour le gendarme: "C'est un Tutsi. Ils ont tous été massacrés. On n'a rien compris!". IpEaVaEaFaF


Rwanda : un génocide Mitterrand DGSE armée française ! La vérité toujours censurée depuis 1994






L'article du Canard dénonce ensuite la justice française qui n'avance pas depuis 14 ans concernant les dossiers sur le Rwanda.
Cela n'a rien d'étonnant ....
Ceux qui sont impliqués dans le génocide ont tous fait de brillantes carrières....



 Cela fait quatorze ans que la justice patauge. Le 16 février 2005, six survivants rwandais déposent une plainte devant le tribunal aux armées de Paris, avec le soutien de l'association Survie et de la Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH). Cinq juges se sont succédé depuis cette date. Cinq officiers supérieurs ont été interrogés avec le statut de témoin assisté. Le dernier juge en date, Michel Raffray, a clos l'instruction, sans avoir organisé de confrontation ni consenti à entendre deux survivants qui sont venus à Paris en juin pour les commémorations. « Ma petite sœur Joséphine a été tuée le 28 juin et ma fiancée, Catherine, le 29. Si les militaires français étaient restés le 27, ces deux êtres chers seraient encore en vie », a témoigné des des deux survivants en question, Eric Nzabihimana, à la tribune d'un colloque commémoratif.
La juge Brigitte Raynaud a témoigné lors d'un colloque commémoratif sur le génocide des pressions qui l'ont poussées à demander à quitter le tribunal aux armées de Paris, "sa sécurité n'étant plus assurée".
 La juge d'instruction qui a ouvert l'information judiciaire en 2005, Brigitte Raynaud, est venue témoigner des « obstructions » à l'enquête. Elle a préféré mettre fin à son détachement avec dix mois d'avance, en 2006 :« Les pressions se rapprochaient, j'avais une famille, des enfants, j'ai préféré partir dès lors que ma sécurité n'était plus assurée.»
Brigitte Raynaud enquêtait sur l'implication de 2500 soldats français de l'opération Turquoise en 1994 dans le génocide des Tutsis qui a fait 800 000 morts.
Avant les menaces sur la sécurité de la juge, toutes les plaintes des Rwandais victimes n'ont pas été reçues par le procureur....
L’information judiciaire ouverte vendredi ne concerne que deux des six plaintes déposées. Le procureur estimant, au vu des témoignages recueillis par la magistrate, que quatre des plaintes ne sont pas recevables. Ces personnes « ne peuvent se prévaloir de faits, à les supposer avérés, susceptibles de constituer le crime de complicité de génocide », indique une source judiciaire contactée par l’AFP.
Les témoignages jugés recevables sont ceux d’Auréa Mukakalisa, âgé de 14 ans au moment des faits, et d’Innocent Gisanura, qui avait 27 ans en 1994. La première a assuré à la juge d’instruction au mois de novembre que « des miliciens hutus entraient dans le camp [de Murambi] et désignaient des tutsis que les militaires français obligeaient à sortir du camp ». Elle poursuit : « J’ai vu les miliciens tuer les tutsis qui étaient sortis du camp. Je dis et c’est la vérité, avoir vu des militaires français tuer eux-mêmes des tutsis en utilisant des couteaux brillants d’une grande dimension. » Pour sa part, Innocent Gisanura témoigne notamment de la situation à Bisesero : « Nous avons été assaillis et pourchassés par les miliciens et j'affirme que les militaires français assistaient dans leurs véhicules à la scène sans rien faire. (...) Il s'agissait de Français de toute façon, ils parlaient français, ils étaient blancs, avec le drapeau français sur la manche ». RFI
Rien que pour recueillir les témoignages des victimes à Kigali, la juge a subi des pressions.
Même si, à la fin du mois d'octobre, le ministère de la défense a tout fait pour la dissuader de se rendre à Kigali, où elle est finalement allée recueillir les plaintes de six Rwandais Le Monde

La ministre de la défense Michèle Alliot-Marie déclarait ouvertement à l'époque son hostilité à l'égard de cette enquête judiciaire:
 L’analyse de l’avocat n’est pas celle de la ministre de la Défense. Michèle Alliot-Marie déclarait le 9 décembre dernier « qu’il est inadmissible que les militaires français puissent être accusés de cette façon et de choses qui la plupart du temps sont farfelues ». La ministre rappelait en outre que « la communauté internationale n’a pas voulu intervenir dans cette affaire [en 1994] » et que « la France a été la seule à avoir le courage d’envoyer des militaires pour essayer d’arrêter le génocide, d’en limiter au maximum les effets ».RFI



Macron a voulu jouer le président qui n'a rien à cacher en annonçant le 5 avril la création d'un comité de huit historiens qui auront accès à toutes les archives sur le Rwanda mais seuls les huit historiens désignés par le pouvoir en place ont le droit d'avoir accès aux archives  et donc pas les juges !
Depuis qu'Emmanuel Macron a chargé, en avril, une commission d'historiens de faire la lumière sur le rôle de la France au Rwanda, toutes les archives sont censées s'ouvrir enfin par magie. Mais uniquement pour les membres de cette commission, et pas pour les juges ! « C'est humiliant pour les juges d'instruction, qui, dans la procédure de Bisesero comme dans celles touchant des génocidaires vivant en France, se sont vu opposer le secret-défense sur des dizaines de documents ! » explique le président d'honneur de la Ligue des droits de l'homme, Michel Tubiana.
Les avocats ont donc déposé une lettre de qui sur le bureau du juge Raffray, qui a refusé, le 24 juin, de rouvrir l'enquête. Ironie de l'histoire : s'il traîne encore deux ans, délai fixé par Macron à la commission pour remettre son rapport, le juge pourra le lire et sans doute y découvrir des documents classés secret-défense utiles à son enquête ! David Fontaine
Macron n'est pas l'ami des Rwandais victimes du génocide, il a nommé le génocidaire François Lecointre comme chef d'Etat-major !

Génocide du Rwanda : Pendant que l'ex militaire Guillaume Ancel crie, seul, la vérité, Macron nomme le génocidaire Lecointre à la tête de l'armée française



Macron aime fait croire à qui veut l'entendre que la Franceàfric c'est fini.
Il accumule les simulacres pour que les Africains collabos puissent se le faire croire, une commission bidon pour la vérité sur le Rwanda qui sert de camouflage au verrouillage des archives, une réunion invitant la diaspora africaine au moment où il fait élire la ministre de la défense allemande marraine du terrorisme au Mali, Ursula Von der Leyen à la tête de la commission européenne.

Ursula Rommel Von der Leyen élue ! Victoire du complot terroriste VS le Mali et l'Afrique à la tête de la Commission Européenne



Il ne peut y avoir de véritable justice sur le Rwanda dans un Etat gangrené par la Franceàfric esclavagiste.
Après la révolution, tous ceux qui sont impliqués dans le génocide au Rwanda, Hubert Védrine, Secrétaire général de l’Elysée, Nicolas Sarkozy, ministre du budget,  Pierre Méhaignerie, garde des Sceaux, Alain Juppé, ministre des affaires étrangères, Jacques Lanxade, chef d'Etat major (actuellement ambassadeur de France en Tunisie), François Lecointre l'actuel chef d'Etat major de Macron qui  a participé à l'opération Turquoise et qui a défendu du génocidaire Alfred Mussema et tous leurs complices seront jugés au Nuremberg de l'Afrique par des juges délégués révocables.

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