samedi 30 mars 2019

#RéformeBlanquer #répressionBlanquer Les syndicats du Havre ont peur de subir la répression qu'ils ont votée depuis 2013 VS Julie Amadis

Par Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
Revactu
L'HavraisVérité
30/03/2019

Considérant que Mme Julie AMADIS a continué son action de remise en cause des personnels de l'éducation nationale sur leur manière de servir avec des déclarations telles que « pour beaucoup de profs égoïstes, lâches, qui protègent leur fric et les agresseurs d'enfants dans les écoles... je suis l'ennemie ! », « Mon collègue de l'école Valmy - Léon Launay tape ses élèves depuis 1993. » ou « mes collègues de l'école Valmy dans laquelle j'ai été suspendue en mars 2014 puis exclue en juillet 2014, collègues qui, eux, ont montré le pire de ce qu'ils avaient en eux dans cette affaire » ; - Considérant que les propos de Mme Julie AMADIS tels que : « L'État après m'avoir exclue 2 ans de l'Éducation Nationale sur la base d'un faux en écriture publique de l'Inspecteur d'Académie Philippe Carrière » ou « Le Conseil de discipline a voté mon exclusion à l'unanimité le 3 juillet 2014. Avec des mensonges, des faux en écritures et des syndicats qui protègent les profs qui tapent les enfants » montrent des manquements manifestes au respect de la hiérarchie et portent un grave préjudice à l'institution ; - Considérant que les multiples déclarations publiques de Mme Julie AMADIS telles que : « Les juges de la Cour d'Appel de Bordeaux ont multiplié les mensonges et faux en écriture ». « Les militaires tuent,  des femmes, des hommes, des enfants [...] Défendre l'État français actuellement, c'est défendre cette ignominie. », ou « L'État français est tellement raciste qu'il ne fait pas confiance à l'extrait d'acte de naissance d'un jeune homme africain.» sont un manquement grave de l'obligation de réserve et une atteinte à la République Française ;



#RéformeBlanquer #répressionBlanquer
 Les syndicats du Havre ont peur de subir la répression qu'ils ont votée depuis 2013 VS Julie Amadis




Au Havre 150 Gilets Jaunes ont été rejoints par les profs du lobby syndical des profs agresseurs d'enfants, le lobby syndical PCF NPA PS SNUIPP CGT UNSA qui défend depuis des années les profs qui frappent les élèves Véronique Combret maternelle Varlin, Léon Launay école Valmy.
Des profs pro VEO accompagné de quelques parents d'élèves naïfs.
Les organisateurs de la répression contre Julie Amadis - Stéphanie Rio (candidate NPA), Vincent Alès (qui se vantait de brutaliser ses élèves en 2014) et leurs acolytes PS PCF NPA ont réussi à mobiliser quelques centaines de profs complices et de parents d'élèves naïfs pour défiler contre une réforme Blanquer qu'ils pratiquent au Havre depuis 2013 : la prétendue "obligation de réserve" au Havre est en réalité Omerta sur les profs agresseurs d'enfants



On a même vu le syndicaliste NPA Vincent Alès qui avait révélé l'existence d'une réunion secrète du SNUIPP préparant le conseil de discipline pour harmoniser leurs votes.
Il s'était vanté de s'être opposé à Stéphanie Rio en étant le seul (de cette ahurissante réunion totalement illégale) à refuser de voter l'exclusion de Julie Amadis.
On le voit sur cette photo s'être déplacé de 10 mètres vers sa droite pour tenter de masquer les panneaux de Julie Amadis du regard des manifestants




Exclue en 2014 avec un faux  inventant que Julie Amadis aurait distribué le tract des parents d'élèves, faux en écritures publiques basé sur le témoignage mensonger du faux témoin de l'Inspection Académique - Léon Launay, professeur de l'école Valmy qui frappe ses élèves depuis plus de 20 ans en toute impunité,- cette enseignante dévouée et révolutionnaire pour la cause africaine -a été exclue en 2014 pour 2 ans puis révoquée de son poste de Professeur des Ecoles pour "atteinte à la République française" en 2016.

Les raisons invoquées par les rédacteurs de la révocation sont en 2016 son combat contre les violences à enfants dans les écoles et son combat contre les crimes Franceàfric.



Considérant que Mme Julie AMADIS a continué son action de remise en cause des personnels de l'éducation nationale sur leur manière de servir avec des déclarations telles que « pour beaucoup de profs égoïstes, lâches, qui protègent leur fric et les agresseurs d'enfants dans les écoles... je suis l'ennemie ! », « Mon collègue de l'école Valmy - Léon Launay tape ses élèves depuis 1993. » ou « mes collègues de l'école Valmy dans laquelle j'ai été suspendue en mars 2014 puis exclue en juillet 2014, collègues qui, eux, ont montré le pire de ce qu'ils avaient en eux dans cette affaire » ; - Considérant que les propos de Mme Julie AMADIS tels que : « L'État après m'avoir exclue 2 ans de l'Éducation Nationale sur la base d'un faux en écriture publique de l'Inspecteur d'Académie Philippe Carrière » ou « Le Conseil de discipline a voté mon exclusion à l'unanimité le 3 juillet 2014. Avec des mensonges, des faux en écritures et des syndicats qui protègent les profs qui tapent les enfants » montrent des manquements manifestes au respect de la hiérarchie et portent un grave préjudice à l'institution ; - Considérant que les multiples déclarations publiques de Mme Julie AMADIS telles que : « Les juges de la Cour d'Appel de Bordeaux ont multiplié les mensonges et faux en écriture ». « Les militaires tuent, des femmes, des hommes, des enfants [...] Défendre l'État français actuellement, c'est défendre cette ignominie. », ou « L'État français est tellement raciste qu'il ne fait pas confiance à l'extrait d'acte de naissance d'un jeune homme africain.» sont un manquement grave de l'obligation de réserve et une atteinte à la République Française ; - Considérant que Madame Julie AMADIS a déjà été sanctionnée pour des faits similaires à une exclusion temporaire de fonctions pour une durée de deux ans ; - Considérant que ces agissements portent sérieusement atteinte à l'honneur des personnels de l'éducation nationale et à l'image de cette administration.
ARRETE  ARTICLE 1  : La sanction disciplinaire de la révocation est prononcée à l'encontre de Madame Julie AMADIS, professeure des écoles, née le 1er août 1980. La sanction prendra effet à compter de la date de la notification du présent arrêté. ARTICLE 2 : Le Secrétaire Général de la direction des services départementaux de l'éducation nationale de la Seine-Maritime est chargé de l'exécution du présent arrêté. ARTICLE 3 : Si l'intéressée estime devoir contester cette décision, elle peut former : - soit un recours gracieux qu'il lui appartiendra de m'adresser, - soit un recours hiérarchique devant le ministre de l'éducation nationale, - soit un recours contentieux devant le tribunal administratif territorialement compétent. Le recours gracieux ou hiérarchique peut être fait sans condition de délai. En revanche, le recours contentieux doit intervenir dans un délai de 2 mois à compter de la notification de la présente décision. Toutefois, s'il souhaite en cas de rejet du recours gracieux ou hiérarchique former un recours contentieux, le recours devra avoir été introduit dans le délai sus-indiqué du recours contentieux. Il conservera ainsi la possibilité de former un recours contentieux dans un délai de 2 mois à compter de la décision intervenue sur ledit recours. Cette décision peut être explicite ou implicite (absence de réponse de l'administration pendant 2 mois). Dans les cas très exceptionnels où une décision explicite intervient dans un délai de 2 mois après la décision implicite — c'est à dire dans un délai de 4 mois à compter de la date du présent avis — il dispose à nouveau d'un délai de 2 mois à compter de la notification de cette décision explicite pour former un recours contentieux. Rouen, le 11 juillet 2016 Pour le Recteur et par délégation L'Inspectrice d'Académie Directrice académique des services de l'Educa Jale 
Destinataires : Intéressée — Dossier DSDEN 


[copier coller de l'ARRETE DE REVOCATION]
Lire :

Hollande révoque une prof pour déclarations anti-violence à enfants et anti-franceàfric

 Les syndicats présents au conseil de discipline SNUIPP-FSU CGT UNSA ont voté à l'unanimité sa révocation (c'est inscrit sur l'acte de révocation) comme ils avaient voté 2 ans auparavant son exclusion 2 ans.







UN ACTE XX HUMANOCRATE
FRATERNISATION REVOLUTIONNAIRE AVEC LA POLICE



Les historiens devront investiguer le passé - les années 1917, 1936, 1871, 1983 - pour y trouver les traces de blagues humanocrates Un policier du Havre en ce 30 mars 2019 vient de faire une des premières blagues humanocrates du 21° siècle faite par un membre des forces de l'ordre : un policier - non encore rallié au système des délégués révocables, mais en ayant compris les modalités - se met, ce samedi à interpeller son chef en lui annonçant qu'il sera dégradé par la population.


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