lundi 18 mars 2019

Le secrétaire général du syndicat Unsa Police Philippe Capon refuse d'avouer que Castaner Macron ont interdit aux policiers de stopper les casseurs Champs Elysées tout en donnant les preuves qui poussent Macron à remplacer le préfet de police de Paris Michel Delpuech par Didier Lallement


Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
18/03/2019






Le remplacement cynique du préfet de police de Paris Michel Delpuech par Didier Lallement est en réalité l'aveu que toute la casse de samedi a été pilotée depuis l'Elysée, mais que trop de preuves se sont accumulées pour le prouver.
Il faut donc un fusible pour protéger Castaner, Macron et Edouard Philippe.



En effet, qui croira une seule seconde que ce préfet Delpuech - serviteur servile de la Macronie - aurait pu désobéir à ses maîtres et s'écarter d'un millimètre de sa feuille de route.

Samedi 16 mars Macron a appliqué avec les Gilets Jaunes à la lettre la stratégie cynique dénoncée dans la série le Baron Noir qui consiste à tout faire pour qu'une manifestation devienne violente afin de discréditer un mouvement social.
Dans le téléfilm écrit par Eric Benzekri et Jean-Baptiste Delafon, le Président Laugier joué par Niels Arestrup choisit délibérément de rendre une manifestation de jeunes lycéens violente en choisissant de restreindre le nombre de CRS ainsi que de les empêcher d'intervenir pour laisser les casseurs casser.
Le témoignage du secrétaire général Unsa Police nous montre que Macron a décidé de laisser les casseurs casser en ne donnant pas d'ordre aux policiers d'intervenir.




Philippe Capon le secrétaire général du syndicat Unsa Police explique très précisément qu'alors que les policiers étaient à proximité des casseurs, ils les ont laissé casser parce qu'ils n'ont pas reçu d'ordre !
franceinfo : L'État est-il en faute après les violences de samedi sur les Champs-Élysées ?
Philippe Capon : 
On savait que la manifestation de samedi allait être dure, difficile. Je reprécise que les policiers et les forces de l'ordre perdent toute initiative, c'est-à-dire qu'elles n'agissent que sur ordre, elles n'interviennent que sur ordre. Donc quand on est en manifestation, quand devant nous à 50-100 mètres, des casseurs sont en train de tout casser, les policiers se disent "Pourquoi on n'intervient pas ?" Parce qu'ils n'ont pas les ordres d'intervenir, ça il faut que la population le sache. C'est un choix, on a laissé casser un certain nombre de choses, je pense qu'il y a des responsabilités. Il y a beaucoup de collègues qui m'ont appelé, qui m'ont dit ce n'est pas normal ce qui s'est passé. On était en mesure d'intervenir, on ne nous a pas autorisés à le faire. Je mets en cause ceux qui ont décidé que ça se passe comme ça et qui n'ont pas donné les instructions pour que ça se passe autrement.
France Info

MACRON A LAISSE DELIBEREMENT LES CASSEURS CASSER SAMEDI POUR DISCRÉDITER LE MOUVEMENT DES GILETS JAUNES

Philippe Caron dénonce aussi le fait que Macron ait décidé d'installer les CRS à des endroits inappropriés.

Dans l'organisation du dispositif, on a mis douze compagnies de CRS à sanctuariser l'Elysée, faut le faire, mais est-ce que ce sont aux CRS de sanctuariser l'Elysée alors que ce sont des spécialistes du maintien de l'ordre, de l'intervention ? Le ministre de l'Intérieur l'a encore redit lors d'une cérémonie CRS à Vélizy la semaine dernière, et les CRS, on ne les a pas utilisées comme on aurait dû les utiliser ce samedi. Interview de Philippe Capon par France Info
L'objectif était évidemment de supprimer des compagnies de CRS là où ils auraient été vraiment utiles. Le téléfilm "Le Baron Noir" montrait exactement la même stratégie. Le Secrétaire général de l'Elysée joué par Martin Borde avait trouvé la "bonne idée" d'occuper des compagnies de CRS pour un "fight" entre supporters de foot pour réduire le nombre de CRS disponibles dans la manifestation de jeunes et permettre ainsi aux casseurs de casser tranquillement !



Alors que depuis samedi les médias tentent de faire croire à la population que ce sont les Gilets Jaunes qui ont saccagé Paris, le secrétaire général du syndicat UNSA dit le contraire, selon lui, les casseurs n'ont rien à voir avec le mouvement des Gilets Jaunes.

On est quand même dans une escalade qu'on n'avait pas forcément connue de personnes qui veulent s'en prendre physiquement aux forces de l'ordre et qui n'ont pour moi rien à voir avec le mouvement des "gilets jaunes". France Info 
 
Alors qu'il a donné toutes les preuves de la stratégie de Macron Castagner de laisser les casseurs casser, le secrétaire général de l'UNSA refuse d'en tirer les conséquences.
Certains disent que le gouvernement a laissé faire les violences pour décrédibiliser le mouvement des "gilets jaunes". Qu'en pensez-vous ?

Je ne pense pas que le cynisme puisse être poussé jusqu'à cette situation, ce n'est pas possible qu'on puisse laisser faire ce qui s'est passé samedi. Après, je pense qu'il y a un problème d'organisation, du maintien de l'ordre sur Paris depuis maintenant plusieurs semaines. Interview de Philippe Capon par France Info


Ce n'est pas la première fois que Macron agit ainsi en laissant les casseurs casser.
Le 9 février, la police avait filmé un casseur pendant 4 heures sans intervenir à aucun moment, et la vidéo avait servi à faire le buzz le soir au 20H pour discréditer les Gilets Jaunes.

Accuser les Gilets Jaunes en filmant pendant 4 heures un casseur agent provocateur ! Technique de la police de Castaner Edouard Philippe qui sabotent en même temps la désignation de délégués sécurité avec des délégués révocables

Macron utilise deux méthodes dans les manifestations de Gilets Jaunes, laisser les casseurs agir et saccager et en même temps il demande aux forces de l'ordre d'attaquer les manifestants pacifiques qui reçoivent gaz lacrymogènes, LBD et grenades de désencerclement.
Avant l'acte 18, 144 manifestants avaient été blessés très grièvement dont 14 ont perdu un œil !
Le 6 mars 2019, la  Haut-commissaire aux droits de l'homme des Nations unies, Michelle Bachelet avait dénoncé les violences des forces de l'ordre en France contre les Gilets Jaunes.


" Dans un discours à Genève, la Haut-commissaire aux droits de l'homme des Nations unies, Michelle Bachelet, a mis en cause les conditions du maintien de l'ordre lors des manifestations des «gilets jaunes». Des critiques déjà formulées en février au sein de l'ONU, mais aussi de l'UE et de la CEDH."Le Figaro

Répression des Gilets Jaunes : la France fasciste à l'extérieur maintenant fasciste à l'intérieur, critiquée par l'ONU

 Les violences des Blacks Blocs et autres casseurs servent à cautionner la loi fasciste de Macron pour interdire à chacun de manifester, la loi anti casseurs, qui vise en réalité les révolutionnaires pacifistes

LES BLACK BLOCS SONT DES FASCISTES CAMOUFLES
EN RÉVOLUTIONNAIRES

Rien ne différencie les black blocs des milices SA nazie, à part le fait que pour les troupes de Roehm la dénonciation des banques était plus virulente que pour cette fausse extrême-gauche infiltrée par les services secrets.
Il suffit dans les pseudo groupes anarchistes dont les ex vrais groupes anarchistes dégénérés et manipulés de suivre la trace du mot « islamophobie » pour suivre la trace des agents provocateurs infiltrés tel John Mullen missionné depuis la Grande Bretagne pour propager la propagande de Tariq Ramadan pour le comprendre;
De la même façon que les faux musulmans refusent d’admettre l’interdit absolu des banques et du crédit, de la même façon, les prétendus héritiers de la CNT espagnole refusent d’admettre les « delegado de grupo » les délégués de base , délégués révocables 1 pour 25 de la révolution espagnole

ALLIANCE DES ÉLECTORALISTES NPA LFI FN DLF ET DES SYNDICALISTES POUR SABOTER LA DÉSIGNATION DE 20 % DE DÉLÉGUÉS SÉCURITÉ DANS LES MANIFS GILETS JAUNES


On a vu de l’intérieur au Havre comment a été sabotée l’organisation de la sécurité des manifestations par les électoralistes alliés de Castaner.
En effet, Poutou, Besancenot, Dupont Aignan, Le Pen et Mélenchon ont le même fond de commerce qui les nourrit : les élections.
Pour ces gredins de gauche et de droite infiltrés chez les Gilets Jaunes, la désignation structurée de délégués sécurité #1pour125 de DIB sécurité #1Pour25, de correspondants sécurité #1pour5 aurait été prendre le risque de voir cette mobilisation proto-humanocrate prendre la place de la démocratie esclavagiste : la désignation d’un ministe-révocable par 2 millions de délégateurs est ce qui terrorise la bourgeoisie et la raison pour laquelle elle corrompt Krivine et Lutte Ouvrière depuis 1969 : éviter la reconstruction de nouveaux soviets.

AVEC DES DÉLÉGUÉS SÉCURITÉ IL EST SIMPLISSIME DE PROTÉGER LES MANIFESTATIONS DES CASSEURS

Il suffit que, dans chaque groupe de 5 manifestants soient désignés un correspondant sécurité et un délégué intermédiaire de base. (DIB)
Un manifestant sur 5 est donc occupé à former des chaînes en tant que correspondant sécurité.
Et donc, pour 25 manifestants on aura 5 correspondants sécurité.
L’un d’entre eux sera désigné comme DIB sécurité (délégué intermédiaire de base sécurité)
Donc pour 25 manifestants : 1 délégué de base ses 4 adjoints 4 DIB,(dont 1 DIB Sécurité), 4 correspondants sécurité et 16 correspondants (4 santé, 4 économie, 4 justice et 4 pédagogie)
Dans un groupe de 125 manifestants on aura donc 5 fois la répartition précédente 80 correspondants en plus de 16 correspondants sécurité, 20 DIB (dont 5 DIB sécurité) plus 4 délégués de base désignant un des leurs en tant que délégué DIC (délégué intermédiaire conseiller)
Ce conseil s’intègre, en Algérie, avec la proposition de désigner 15 000 délégués d’arouch
"Le système des Arouch, permettant à la population de s'organiser à la base et d'avoir ses délégués révocables réellement représentatifs du peuple doit être généralisé et appliqué partout.
Ce système doit permettre aux Algériens de prendre le pouvoir, le pouvoir du peuple qui leur est confisqué par les élections au service de l’impérialisme.
Si 9 millions d'Algériens sont réellement décidés à en finir avec le néocolonialisme et à stopper définitivement les assassins de Ramdane Abane qui ont pris le pouvoir au service de l'impérialisme
Ils peuvent le faire très facilement en 3 jours en se groupant par 25
Ils formeraient alors 360 000 groupes de 25
360 000*25 = 9 millions
En désignant un délégué de base par groupe, on aurait donc 360 000 délégués de base
Et avec les femmes, on aurait donc la moitié de délégués qui seraient des déléguées
Les 360 000 délégués de base se groupant par 25 formeraient donc 360 000 = 25*14 400 (arrondissons à 15000 délégués)

Ils seraient donc le quota des délégués d'Arouch de 2001 qui représentaient environ 600 personnes.
On aurait 15 000 délégués d'Arouch pour représenter 9 millions d'Algériens héritier de la révolution du 11 décembre 1960."

Que ceux qui sont d'accord avec cette proposition de 15 000 délégués d'arouch commencent. Ils groupent 4 personnes et forment un mini conseil de 5 en devenant DIB délégué intermédiaire de base Ils recrutent 20 personnes de plus et forment un conseil de 25 désignant leur délégué de base.
Ce groupe de 25 deviendra le CABINET STATUTAIRE de l'
Il faut ensuite recruter 100 délégateurs de plus Le total devient 125= 1+4+20+100 Le délégué principal devient DIC délégué intermédiaire conseiller (ou délégué intermédiaire d'arouch)
On aura formé 1/5° (20%) de l'arouch à construire.
Enfin, chacun des 125 obtient accréditation de 4 personnes (pour un total de 125*4=500 personnes de plus)
Là l'AROUCH CONSEIL EST FORMÉE (sans critère GEOGRAPHIQUE)
On aura désigné un des 15 000 délégués d'arouch qui doivent DÉPOSER BOUTEFLIKA, ABOLIR LE SYSTÈME, RÉTABLIR LE CONGRES DE LA SOUMMAM, ET INSTALLER LES DÉLÉGUÉS RÉVOCABLES D'AROUCH


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