mardi 26 février 2019

Toute l'Algérie se soulève contre Bouteflika le pantin de Macron pour un 5° mandat ! Urgent désigner 360.000 délégués de base pour un gouvernement du peuple

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
26/02/2019


Il est possible de virer Bouteflika de manière totalement pacifique, il suffit que le nombre de personnes se choisissant leurs représentants, leurs délégués révocables soit supérieur au nombre de personnes ayant mis un bulletin Bouteklika dans l'urne aux dernières élections de 2014.
Si 9 M d'Algériens choisissent 360 000 délégués de base 1 pour 25 14 400 délégués conseillers 1 pour 625 et 23 délégués nationaux ministres révocables 1 pour 390 625 pour construire un gouvernement du peuple, ils vireront en même temps Bouteflika et toute sa mafia.
Il faut que les Algériens reprennent l'héritage des Arouch (Aarchs au singulier). Ce mode d'auto organisation kabyle a refait surface lors du mouvement de 2001.


LIRE :

"Bouteflika dégage! crient les manifestants d'Algérie Urgent qu'ils construisent leur gouvernement du peuple avec des délégués révocables de CDR #1pour25 et délégués d'arouch #1pour625


Toute l'Algérie se soulève contre Bouteflika
le pantin de Macron pour un 5° mandat !
Urgent désigner 360 000 délégués de base
pour un gouvernement du peuple



Depuis le 22 février, les Algériens manifestent dans de nombreuses villes.

Aujourd'hui encore,à Constantine, Tizi Ouzou, Alger, Annaba, Oran, Béjaia les Algériens manifestent pour "Bouteflika Dégage".


Les jeunes sont sortis massivement dans les rues. Les étudiants des universités manifestent en masse.

A ALGER







A ORAN



A BEJAIA



On voit sur ces images que les manifestants ont un service d'ordre (cordon sanitaire). Cependant, les étudiants du service d'ordre ont-ils pour autant la légitimité correspondante à leur mission ?
Sont-ils accrédités par un quota de manifestants ?


A ANNABA

A TIZI OUZOU

A CONSTANTINE



LE  POUVOIR CENSURE LA DIFFUSION DES MANIFESTATIONS




LA FRANCEAFRIC DE MACRON
SOUTIENT BOUTEFLIKA


Macron a soutenu la candidature du grabataire Bouteflika pour un cinquième mandat.
Ainsi, selon le journaliste Mohamed Sifaoui, auteur de « Où va l’Algérie ? »*, c’est Emmanuel Macron en personne qui aurait donné, il y a quelques semaines, l’aval de la France à la nouvelle candidature, pour un cinquième mandat, d’un président Abdelaziz Bouteflika à bout de souffle. Le Parisien
La révolution en marche en Algérie fait très peur à Macron.

Le Parisien raconte que le refus de l’Élysée de répondre aux journalistes concernant la situation en Algérie dévoile le malaise de Macron :
C’est un détail révélateur : interrogé sur la situation en Algérie, l’Elysée préfère, prudemment, renvoyer son interlocuteur au Quai d’Orsay. Pourtant, c’est bel et bien dans le bureau présidentiel que se prennent les décisions et orientations cruciales sur ce dossier brûlant entre tous, depuis des décennies. Le Parisien
Henri Vernet, auteur de l'article donne pour explication les intérêts économiques de la France en Algérie :
Une déstabilisation de l’Algérie, plus grand pays africain et, surtout, l’une des toutes premières puissances militaires du continent, aurait forcément de graves conséquences en France. Sur le plan économique, d’abord. Paris, outre d’importants liens économiques avec son ancienne colonie, est très dépendant du gaz fourni par l’Algérie. Le Parisien

Ce qui - traduit en science postmarxiste - indique la crainte des esclavagistes pour leurs possessions aux salaires divisés par 5.
L'auteur de l'article considère - absurdement - que Macron craint un frein dans la lutte contre le terrorisme à cause des manifestations.
Alarmantes, enfin, les conséquences sur le plan sécuritaire. « A côté d’une Libye déjà déstabilisée, d’un Sahel en proie aux groupes djihadistes, de Boko Haram jusqu’aux confins du Yémen, le basculement d’un pays de 42 millions d’habitants, dont la moitié âgée de moins de 20 ans, serait gravissime », reprend Sifaoui, directeur du magazine « Contre Terrorisme ». Les militaires et les services de renseignement algériens sont d’actifs partenaires des Français dans la lutte contre le terrorisme, un fléau qui touche particulièrement notre pays depuis, justement, la première grande crise en Algérie de la décennie 1 990. Un Etat déstabilisé, ou, pis, aux mains d’un régime hostile serait donc une grave menace pour l’Hexagone, et d’ailleurs toute la région.
Henri Vernet ne semble pas savoir que Macron comme Bouteflika n'ont jamais lutté contre le terrorisme !
Macron et Bouteklika aident les terroristes du Mali !

"C'est un secret de polichinelle en Afrique....
Iyad Ag Ghali est le protégé de l'Algérie et de la France...
Ce leader d'Ansar Dine groupe terroriste criminel  peut faire ce qu'il veut au Mali...
Il sait qu'on ne viendra pas porter atteinte à son action terroriste...

Et cela fait presque 6 ans que dure cette farce criminelle....


Pourtant Macron joue une pièce de théâtre dans laquelle il serait un chef d'Etat luttant contre le terrorisme. Lui qui a été le ministre de Hollande qui a réinstallé les terroristes au Mali et qui a gardé Jean -Yves Le Drian en le faisant passer de ministre de la Défense sous Hollande à ministre des Affaires Etrangères, a le culot d'accuser l'Algérie de protéger Iyad Ag Ghali.

"Durant sa visite à Alger, le 6 décembre, Emmanuel Macron a abordé le cas d'Iyad Ag Ghali avec les dirigeants algériens, en particulier lors de son entretien avec Ahmed Gaid Salah, le vice-ministre de la Défense nationale, et ses collaborateurs. Ces echanges portant sur le chef du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), qui chapeaute les principaux groupes jihadistes au Mali, ont été tendus. Les renseignements français ont en effet acquis la certitude qu'Ag Ghali et ses proches bénéficient du soutien, voire de la protection, des services de sécurité algériens. Ce qu'Alger dément catégoriquement. " Jeune Afrique N° 2971-72-73.
Nouvelle qui est un secret de Polichinelle.
On sait même par un courriel reçu par Hillary Clinton que les services secrets algériens ont passé accord avec AQMI en leur demandant d'attaquer Maroc et Mali (source DNA)
En réponse aux propos hypocrites de Macron, un responsable algérien possédant un sens de l'humour a répondu :

"Si les Français le voulaient vraiment, ils le mettraient hors d'état de nuire : ils en ont tous les moyens", souligne un responsable algérien. Jeune Afrique N° 2971-72-73.
Soulignant par là que Macron n'a pas besoin du feu vert des Algériens et donc du DRS pour en finir avec leur protégé !
Eh oui...

Bonnet blanc Blanc Bonnet...

La France comme l'Algérie protègent Iyad Ag Ghali.
Ils s'arrangent même entre eux pour lui trouver la meilleure protection. La France a pour allié Iyad Ag Ghali contre les révolutionnaires maliens...
Elle le protège mais ne veut pas que ça se sache de trop....
Alors quand ses hommes se retrouvent prêts à le "cueillir", l’Élysée est bien embêté... Hollande ne veut pas passer pour "ami des terroristes" aux yeux de tous... Alors la France prévient l'Algérie - ami d'Iyad Ag Ghali - pour  protéger le terroriste sans que ça ne se voit de trop...

"C’est un geste de courtoisie diplomatique et militaire dont on se souviendra longtemps au ministère français de la défense. En 2014, alors qu’elle avait Iyad Ag-Ghali, chef du mouvement djihadiste malien Ansar Eddine à portée de fusil, la France a choisi de prendre l’avis d’Alger avant d’agir, plutôt que de le « neutraliser » ou de le capturer vivant.
Pas si peu fiers de cette marque de considération, les Algériens envoient à Paris un message aussi clair que l’eau de roche : « Ne vous occupez pas d’Iyad. Nous en faisons notre affaire. » On connaît bien la suite de cette consultation franco-algérienne : Iyad Ag-Ghali en a tiré profit pour disparaître des écrans radar. Mieux, le chef djihadiste a reconstitué Ansar Eddine, sorti, comme tous les autres mouvements djihadistes, du Sahel, zone déstabilisée par l’opération militaire française « Serval » de janvier 2013." Le Monde
Lire l'article complet :
L'Algérie en a fait un allié depuis longtemps, depuis 1991 où Iyad Ag Ghali était l'"homme du DRS" au Mali.
"Lorsque la diplomatie algérienne impose sa médiation dans le conflit malien et organise des négociations à Tamanrasset en 1991, les hommes du DRS choisissent de miser sur le jeune et ambitieux leader. Interlocuteur du gouvernement malien lors de ces pourparlers, Iyad accepte de signer l’accord de paix de Tamanrasset alors qu’aucun des objectifs de la rébellion n’est atteint. Un acte qui lui vaudra d’être considéré par beaucoup de maliens comme l’homme qui a ramené la paix au nord Mali, et par beaucoup de rebelles comme un traître passé sous la coupe de l’Etat. Le camps touareg se divise. Iyad, qui d’une pierre deux coups a acquis le soutien d’Alger et la confiance des autorités maliennes, fonde le Mouvement national de l’Azawad (MNA), un mouvement composé majoritairement de touaregs modérés." Mondafrique"

LIRE L'ARTICLE ENTIER : Le terroriste Iyad Ag Ghali leader d'Ansardine #JNIM protégé par l'Algérie et la France qui s'accusent mutuellement

 Macron peut donc être inquiet que son allié algérien ne soit dégagé par son peuple ...
Cela va être plus difficile d
' aider les terroristes contre la révolution en Afrique subsaharienne sans Bouteklika et le DRS.

Mais ce qui risque encore davantage d'inquiéter Macron, c'est qu'il y ait synergie entre la révolution des Gilets Jaunes en marche en France et la révolution algérienne.
Comme il risque d'y avoir synergie entre la révolution algérienne et la révolution soudanaise.
Les révolutions se propagent comme des traînées de poudre. Si l'Algérie commence, toute l'Afrique subsaharienne risque elle aussi de se révolter !
Et la Franceàfric risque alors de perdre la poule aux œufs d'or, les salaires à 50€/mois et les matières premières !
C'est ça qui fait le plus peur à Macron mais le médiafric Le Parisien ne le dit pas !

MACRON DÉGAGE ! BOUTEFLIKA DÉGAGE !

EN FRANCE COMME EN ALGÉRIE,
LA POPULATION NE VEUT PLUS PARTICIPER AUX ÉLECTIONS

Le chantage habituel aux élections ne marche plus en Algérie comme en France.
Que ce soit les "Gilets Jaunes" qui protestent pour "Macron dégage" ou les Algériens qui crient "Bouteflika dégage", tous refusent de participer à des élections dont les résultats seront - quoi qu'il se passe - favorables aux plus riches.

Les Algériens ne veulent pas participer aux élections présidentielles prévues pour le 18 avril.
L'émission "Là bas si j'y suis" relaie la colère des manifestants qui "veulent en finir avec cette mascarade pour l’élection du 18 avril"
Si l’urgence pour les manifestants est d’abord d’en finir avec cette « mascarade » pour l’élection du 18 avril, nul ne sait où ce mouvement peut conduire.Là bas si j'y suis


Ce à quoi aspirent les manifestants, c'est à un autre système où le peuple aurait le pouvoir.
C'est ce système d'humanocratie que les médias camouflent pour protéger le capitalisme esclavagiste.

RÉVOQUER BOUTEFLIKA PAR 360 000 DÉLÉGUÉS RÉVOCABLES !

GOUVERNEMENT DU PEUPLE AVEC 23 DÉLÉGUÉS NATIONAUX MINISTRES RÉVOCABLES

144 400  DÉLÉGUÉS CONSEILLERS ET 360 000 DÉLÉGUÉS DE BASE



Il est possible de virer Bouteflika de manière totalement pacifique, il suffit que le nombre de personnes se choisissant leurs représentants, leurs délégués révocables soit supérieur au nombre de personnes ayant mis un bulletin Bouteklika dans l'urne aux dernières élections de 2014.
Si 9 M d'Algériens choisissent 360 000 délégués de base 1 pour 25 14 400 délégués conseillers 1 pour 625 et 23 délégués nationaux ministres révocables 1 pour 390 625 pour construire un gouvernement du peuple, ils vireront en même temps Bouteflika et toute sa mafia.
Il faut que les Algériens reprennent l'héritage des Arouch (Aarchs au singulier). Ce mode d'auto organisation kabyle a refait surface lors du mouvement de 2001.

"Le Mouvement citoyen des Aarchs, ou simplement Laarach, est une organisation kabyle, née suite aux évènements du Printemps noir de Kabylie de 2001, ayant pour but de représenter les revendications des « manifestants » au gouvernement algérien.
Leur nom, « Arouch », est le pluriel de la « Âarch », qui désigne une forme traditionnelle d'assemblée démocratique en Kabylie. En 2003, les Arouch, divisé en deux tendances, font leur réapparition dans la scène politique Kabyle, se réclamant comme un mouvement représentant « tous les Algériens ».

"Le mouvement citoyen des Aarchs de Kabylie est une organisation horizontale, sans chef[réf. nécessaire]. Le mouvement prend ses décisions en « Conclaves », assemblées générales où sont présents les délégués des coordinations locales (communes, daïras, wilayas)."

Les délégués révocables sont inspirés de cet héritage !
En 2011 lors du printemps arabe les prémices d'organisations proches de CDR, délégués révocables avaient été mises en place en Algérie, à Ain Benian Staouélil.

C’est ainsi que le Comité citoyen intercommunal de Aïn Benian-Staouélil vient d’être créé pour accompagner ce souffle. Sous le titre «Pour une alternative citoyenne et populaire», un premier communiqué de ce comité vient d’être rendu public sur facebook. «La rage de notre jeunesse exprime le ras-le-bol de tout un peuple à qui le pouvoir n’a laissé que la harga, la zatla et le suicide»,Revactu

Lors du printemps arabe, il n'y a pas eu de délégués révocables - sauf en Syrie sous la direction d'Omar Aziz, le révolutionnaire marxiste pro-Rosa Luxemburg.
Il a donc été relativement facile pour les USA d'imposer leurs "leaders" islamofascistes par le biais des "élections", l'outil préféré des impérialistes !
Les erreurs du passé ne doivent pas être renouvelées.
Dès maintenant les Algériens doivent se choisir leurs délégués révocables pour un véritable gouvernement du peuple mettant fin à l'impérialisme et aux salaires esclavagistes à 309 euros par mois !


L'Empire Franceàfric USAfric qui avait commencé à s'écrouler en 2011 s'écroulera pour de bon avec des délégués révocables !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire