mercredi 2 mai 2018

Contre Macron et les Black Blocs 210 000 manifestants auraient dû désigner 33 600 correspondants sécurité, 8400 DIB sécurité, 1680 délégués de base sécurité, 336 DIC Sécurité, 67 délégués conseillers sécurité, 13 DID sécurité et 2 délégués députés sécurité

Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
Le 02/05/2018

Ces délégués (syndicaux ou non) pourraient même - sur injonction de délégués députés et de délégués nationaux révocables - intervenir contre des terroristes nazis ou ribanazis - contre les milices du doyen Petel  par exemple - en désobéissant aux "consignes sabotage" de préfets terroristes voulant laisser leurs casseurs agir

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Ce sont Sarkozy, Fillon, Juppé, Baroin et le général Puga qui ont envoyé les jihadistes attaquer le Mali avec la complicité du président ATT


Une manif du 1er mai qui dégénère.
Une manif du premier mai avec 1200 casseurs.
Des black blocs cagoulés avec des sacs contenant du matériel pour « casser ».
Les encagoulés ne sont pas arrêtés dès le départ, ni par la police de Macron-Collomb-Philippe, ni par un service d'ordre humanocrate composé de 2200 DIB "délégués sécurité" "délégués révocables" désignés par les manifestants... aidés par 8800 correspondants sécurité (1 pour 5 parmi les 55  000 manifestants défilant à Paris)
Du coup, au bout d'une heure de manifestation, ça dégénère.
Les casseurs se mettent en action, cassent un Mc Do, brûlent des voitures...
Les manifestants sont obligés de rebrousser chemin et leurs revendications deviennent inaudibles.... les médias ne parlant que "des casseurs".
Le bilan matériel n'est pas énorme.
"31 commerces ont été dégradés dont deux incendiés, 6 véhicules ont été incendiés et 10 autres dégradés", a également détaillé la Préfecture mardi soir. Quatre personnes ont été blessées légèrement, dont un CRS qui a reçu un pavé dans le dos."
Mais le bilan pour le mouvement contre la politique d'application du plan JP Morgan de Macron est important...
Le camp adverse gagne une bataille en faisant passer les manifestants pour des délinquants.

Il est de notre devoir d'empêcher que Macron ne puisse appliquer son plan de pourrissement des manifestations avec l'aide des "Black Blocs" en désignant des délégués révocables sécurité.

1 MANIFESTANT SUR 5 DOIT ÊTRE
CORRESPONDANT OU DELEGUE DIB SÉCURITÉ

A PARIS 8800 CORRESPONDANTS SÉCURITÉ AURAIENT FAIT UNE CHAINE DE SÉCURITÉ POUR EMPÊCHER
LES CASSEURS DE CASSER



Selon la CGT à Paris hier, ils étaient 55000 manifestants pour la marche du 1er mai.
11 000 mini CDR (mini conseils) auraient pu désigner 2200 DIB (délégués intermédiaires de base) sécurité et 8800 correspondants sécurité.



En France les manifestants hier étaient 210 000 selon la CGT.
Cela fait 42000 mini conseils, 8400 DIB sécurité et 33600 correspondants sécurité.




Les délégués sécurité représentent 20% des délégués révocables.

Les fonctions sont réparties comme suit

i 40% de délégués pédagogie (10 délégués sur 25)

ii 32% de délégués santé (8 délégués sur 25)

iii 20% de délégués sécurité (5 délégués sur 25)

iv 8% de délégués justice (2 délégués sur 25)

8.b Les délégués sécurité sont répartis en trois secteurs : protection, enquête et défense.

8.c Sur le 20% de délégués sécurité, ce seront 12% pour la protection (tâches de l'ex-police), 2% pour les enquêteurs, et 8% pour la défense (tâches des ex-militaires) Panstitution

Au sein de chaque mini-conseil de 5, il y a un DIB (un délégué intermédiaire de base) et 4 correspondants qui ont chacun une fonction, pédagogie, santé, sécurité et justice.
"MINI-CONSEIL DE 5 DÉLÉGATEURS
Ce sont donc 5 citoyens se réunissant qui désignent leur DIB.
Le DIB est donc le délégué d’un mini conseil de 5.
Ceux qui ont désigné le DIB ont un statut et une fonction dans ce mini-groupe.
Ils sont des correspondants et sont chargés d’informer les 4 autres des consignes décidées dans les comités.
Correspondant est une fonction.
Il y a 4 sortes de correspondants : pédagogie, santé, sécurité et justice.
PROCESSUS
Quand 5 personnes se réunissent, ils désignent
1° un DIB délégué Intermédiaire de Base
plus 4 correspondants de base :
1 correspondant pédagogie
1 correspondant santé
1 correspondant sécurité
1 correspondant justice" (source : Manuel i
nstitutionnel  pratique et théorique de la révolution humanocrate du Togo, livre de Yanick Toutain)
Dans un groupe de 25 manifestants (ou de 25 délégateurs plus généralement) on aura donc 1 délégué de base, 4 DIB et 20 délégateurs.
Si le délégué de base n'est pas délégué de base sécurité on aura donc un des quatre DIB qui sera DIB sécurité. Et 4 autres personnes parmi les 20 délégateurs seront des correspondants sécurité.

Les correspondants agissent en fonction des décisions prises par le DIB de leur spécialité. Les correspondants sécurité dans une manifestation obéiraient aux décisions du DIB qui lui même serait assistant fonctionnel d'un délégué sécurité de base.
"Ces correspondants sont contactés par un DIB de leur spécialité directement ou par leur DB qui relaie (par les DIB ou directement) les annonces des DB de la spécialité correspondante. Par exemple, un DB sécurité fait une annonce à ses 4 collègues
DB ayant désigné le même DC
Les 4 DB relayent à leurs 4 DIB qui relaient aux correspondants"
(source : Manuel institutionnel  pratique et théorique de la révolution humanocrate du Togo, livre de Yanick Toutain)
Les correspondants auraient pu donc par exemple faire une chaîne humaine empêchant les casseurs de casser.

FAIRE CONFIANCE AUX POLICIERS AUX ORDRES DE MACRON EST DU SUICIDE !

IL NOUS FAUT NOS DÉLÉGUÉS SÉCURITÉ

Contre Macron et les Black Blocs 210 000 manifestants auraient dû désigner 33 600 correspondants sécurité, 8400 DIB sécurité, 1680 délégués de base sécurité, 336 DIC Sécurité, 67 délégués conseillers sécurité, 13 DID sécurité et 2 délégués députés sécurité
(Les délégués députés sécurité ayant rang de colonels de gendarmerie)

 

EN HUMANOCRATIE 

7 FOIS PLUS DE DÉLÉGUÉS ET CORRESPONDANTS SÉCURITÉ
QUE LE NOMBRE DE POLICIERS HIER DANS LA MANIF


Les policiers étaient 1500 hier. Ce qui est bien peu mais convient au préfet :
Le préfet a également estimé que le dispositif prévu par les autorités, avec 1500 policiers, était «suffisant» et qu'il ne fallait pas comparer l'encadrement des manifestations «sous le cadre juridique de l'état d'urgence» et celui d'aujourd'hui.  Le Figaro

Les correspondants et les DIB sécurité seraient 7 fois plus nombreux que les policiers présents hier à la manifestations qui n'étaient que 1500.

MACRON A DERNIÈREMENT ORGANISE LE SACCAGE POUR POURRIR LE MOUVEMENT SOCIAL CONTRE LUI


L'objectif pour Macron était bien entendu de faire dégénérer la manifestation et donc il fallait peu de policiers pour favoriser la casse.
Les services de renseignement savaient depuis 3 jours que ces personnes avaient pour projet de détruire dans la manifestation du Premier Mai.
"D'après le quotidien, une note confidentielle de la DRPP, datant du 30 avril, prévoyait la venue de «400 à 800 membres de la mouvance contestataire radicale» dans le cortège ainsi qu'une possible présence de «1000 à 1500 personnes issues des communautés étrangères». Les renseignements envisageaient également la dégradation de magasins: «Les manifestants les plus déterminés (...) pourraient s'en prendre violemment aux forces de l'ordre, dégrader du mobilier urbain et des symboles du capitalisme», citant ensuite «les agences bancaires et immobilières, concessionnaires automobiles, véhicules de prestige»"  Le Figaro
Et pourtant, ils n’ont rien fait pour les en empêcher…
Ou plutôt ils ont tout fait pour que le cassage ait lieu.

Le délégué syndical UNSA police, Thomas Toussaint, expliquait hier dans  l’émission "Les Informés" sur France Info que dès le début de la manifestation, les policiers avaient repéré ces personnes cagoulés avec des sacs à dos.
Il précisait même qu’il existe une loi qui interdit de dissimuler son visage.
Alors pourquoi les policiers ne sont-ils pas intervenus alors que ces personnes étaient en infraction avec la loi ?
Les policiers ne sont pas intervenus, car ils n’avaient pas reçu l’ordre d’intervenir, l’ordre du préfet de Paris, Michel Delpuech, qui lui-même obéit à Macron.
C’est le délégué syndical UNSA Thomas Toussaint qui le dit :
« On n'intervient que sur ordre. Quand ils nous ont dit d’intervenir parce qu’il n’y avait plus le choix. On est intervenu, bien sûr »

Il y a eu 20 minutes entre le moment où les provocateurs cagoulés commencent à casser le Mc Do et le moment où la police arrive.

Pour ceux qui ne sont pas encore convaincus que c’est Macron qui a volontairement laissé les « Blacks blocs » détruire des commerces et donc détruire la manifestation, regardez le téléfilm « Baron Noir ».
On y voit le Président Laugier manœuvrer en coulisse pour que le choix de parcours de manifestation favorise la destruction de commerces.


La seule carte de Macron était de pourrir la manifestation du 1er Mai par des « casseurs » pour assimiler les manifestants à des délinquants.

Le commentaire du Premier Ministre Edouard Philippe révèle où était leur objectif en laissant faire les casseurs présentés comme des "anti capitalistes", pour dénigrer les manifestants qui sont dans leur grande majorité pacifistes.
Il ne condamne pas les actes de saccage mais « les discours radicaux ».
Tous les discours anti capitalistes peuvent être qualifiés de « radicaux » !


CONCLUSION


De plus en plus de policiers, face à ces magouilles de leurs hierarchie vont comprendre que pour l'Elysée "une police aux ordres de Macron n'est pas là pour protéger les manifestants mais pour les discréditer"...

Les dirigeants syndicaux doivent être invités à devenir des délégués révocables, ayant l'accréditation de la population.
Un délégué syndical ayant la confiance de 15625 délégateurs aurait rang de colonel de gendarmerie.
Dirigeant un régiment de 3125 délégués sécurité.
Ces délégués (syndicaux ou non) pourraient même - sur injonction de délégués députés et de délégués nationaux révocables - intervenir contre des terroristes nazis ou ribanazis - contre les milices du doyen Petel  par exemple - en désobéissant aux "consignes sabotage" de préfet terroristes voulant laisser leurs casseurs agir comme ils ont laissé leurs terroristes agir à l'été 2012 - en bloquant dans les ports de Conakry et d'Abidjan les armements destinés à combattre les jihadistes du Nord-Mali.
Il faut comprendre que le corps préfectoral est complice du terrorisme - comme la majorité des juges et de la haute administration.
Ils craignent tellement la Révolution qu'ils préfèrent la police de Macron avec des manifestations qui pourrissent par des casseurs que des délégués sécurité révocables choisis par les manifestants !
Si le système de l'humanocratie était mis en place, il n'y aurait pas de "casseurs" parce que nous serions organisés et que nous ne laisserions pas 1200 "blacks blocs" cagoulés venir pourrir nos  manifestations et encore moins prendre l'initiative de dégrader quoi que ce soit !
La même méthode que le service d'ordre de la Ligue Communiste des années 70.
On trouvera même des cartes bleu-blanc-rouge en fouillant ces provocateurs Black Bloc.
Comme en trouvaient les délégués sécurité révolutionnaires dans les vestes des chefs provocateurs des années post 68.



édités par Yanick Toutain



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