mercredi 11 avril 2018

Togo : Répression des marches du 11 avril Pour Gnassingbé dégage il faut 50 000 délégués révocables 1 pour 25 dont 10 000 délégués sécurité pour stopper la répression par la fraternisation révolutionnaire

Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
Le 11/04/2018

















2 mois et demi que les traitres de la la coalition des 14, empêchent les Togolais de crier "Gnassingbé Dégage" dans les rues.
Alors que les manifestations se faisaient chaque fois plus massives et que les mots d'ordres étaient chaque fois plus radicaux, les représentants de la Formoisie compradore ont stoppé cette montée en puissance contestataire pour empêcher le départ de Faure Gnassingbé.
Depuis le 3 février les manifestations n'ont pas eu lieu, les membres de l'opposition obéissant aux ordres de Gnassingbé réclamant la fin des manifestations pour un "pseudo dialogue" auquel seuls les naïfs et les contre-révolutionnaires croyaient.
Des négociations avec des émissaires de l"impérialisme ne pouvaient être qu'un moyen de retarder la date du jour où Gnassingbé dégagera.

Togo marche du 3 février 2018 Pas de négociation avec les émissaires impérialistes Il faut 50 000 délégués révocables du peuple

Togo : Les négociations bidons à partir du 15/2 ne serviront qu'à retarder le départ de Gnassingbé. #GnassingbéDégage. Il faut des 50000 CDR délégués révocables 1 pour 25

 

La pression populaire trop importante, l'opposition a été obligée d'appeler à nouveau à des manifestations.
Mais celle-ci n'appelle toujours pas à la construction de CDR, délégués révocables.
Ils empêchent de fait que le peuple ne soit une véritable force pour virer Gnassingbé et laissent le champ libre aux impérialistes pour choisir leur futur marionnette.
Le peuple togolais, après 2 mois et demi, était toujours au rendez-vous, toujours nombreux.
Mais ils n'ont pas pu manifester partout. Les forces de l'ordre ont quadrillé les rues comme à Lomé.
Gnassingbé réutilise à nouveau ses vieilles techniques de répression des manifestations.
Les négociations loin de le calmer comme l'espéraient les membres de l'opposition lui ont apparemment donner des ailes. Ils se sent protégés par les impérialistes et tout puissant.
Et donc, ils attaquent les manifestants en toute impunité.

RÉPRESSION DANS TOUTES LES VILLES AU TOGO POUR EMPÊCHER LES TOGOLAIS DE CRIER GNASSINGBE DÉGAGE

Coups de matraque, quadrillage des rues par des forces de l'ordre empêchant les marcheurs de manifester, arrestations .... depuis ce matin, la répression s'abat contre les Togolais.


 


A TCHAMBA : GROSSE MANIFESTATION


A Tchamba la manifestation a eu lieu. Et d'après Togo tribune elle était massive.
"La manifestation bat son plein à Tchamba 11 avril 2018"
Les manifestants réclamaient le départ de Gnassingbé (voir la photo avec la banderole ci-dessous).


"
Les populations de Tchamba ont pris d’assaut les rues de la localité pour dénoncer la mauvaise foi de Faure Gnassingbé. Habillées de rouge et banderoles en mains, ces populations arpentent les rues et scandent des slogans hostiles au pouvoir en place.
Notons que ces populations sont descendues dans la rue à l’appel de la coalition des 14 partis politiques de l’opposition pour dénoncer les manœuvres de Faure Gnassingbé qui rêve de s’éterniser au pouvoir. Un rêve que les Togolais ne sont pas prêts de laisser se réaliser." Togo Tribune



A AGOE DES MANIFESTANTS ARRÊTÉS



KPALIME : AFFRONTEMENT ENTRE FORCES DE L'ORDRE ET MANIFESTANTS


"Il nous revient que des affrontements sont survenus à Kpalimé entre populations et les forces de l’ordre. Ces dernières (forces de l’ordre, Ndlr), selon les mêmes sources auraient fait usage de grenades lacrymogènes. " Togo Tribune




A KPARATORO : DES MARCHEURS BLESSES





 A LOMÉ LES FORCES DE L'ORDRE ONT EMPÊCHÉ LA MANIFESTATION D'AVOIR LIEU

Toutes les rues de Lomé ont été quadrillées par les forces de l'ordre depuis ce matin.
Quand les responsables de l'opposition sont arrivés sur les lieux de la manifestation prévue, ce sont des gaz lacrymogènes qui les attendaient.
Face à la répression, les manifestants ont improvisés une défense, faute de ne pas avoir de délégués sécurité.

"Des patrouilles sillonnent boulevards et avenues de la capitale.
Les responsables de la coalition sont arrivés au lieu de rassemblement en bordure de mer, ils ont été accueillis par les gaz lacrymogènes. Dans le quartier populaire de Bè, les jeunes ont commencé par brûler les pneus. A Kpalimé, dans le sud-est du pays, selon plusieurs sources, des échauffourées ont éclaté entre forces de l'ordre et manifestants pendant qu’ils tentaient de se regrouper." RFI Afrique




LES FORCES DE L'ORDRE ONT LANCE DES GAZ LACRYMOGÈNES DANS DES MAISONS







A Mango, Sokodé et Bafilo un état de siège a été aussi mis en place par Gnassingbé.

DÉLÉGUÉS SÉCURITÉ POUR PROTÉGER LES OPPOSANTS A  GNASSINGBE ET ORGANISER LA FRATERNISATION RÉVOLUTIONNAIRE


Il n' y a pas encore de délégués, pas de représentants du mouvement et encore moins de force légitime sécuritaire du coté des manifestants.
Il faut la construire. Il faut des délégués sécurité.

Actuellement les Togolais se défendent seuls comme ils peuvent  face aux forces de Gnassingbé. Mais ce n'est pas la solution, il faut que la sécurité soit organisée.
Laisser les choses telles quelles sans représentants sécurité, c'est laisser la place à toutes les bavures possibles







Il faut la fraternisation révolutionnaires avec les forces de l'ordre. Il faut éviter les bagarres avec les gendarmes et policiers et inciter ceux-ci à devenir des délégués révocables.



Face à la répression barbare de Gnassingbé, il faut des délégués sécurité.
Pas d'improvisation.
Des délégués sécurité entrainés et choisis par un quota de délégateurs !

Des délégués sécurité révocables à tout moment donc pas de bavure possible !

Les forces de l'ordre de Gnassingbé pourront rester des gendarmes ou policiers à condition d'être des délégués révocables choisis par un quota de délégateurs.

Extrait de Panstitution :

"
Toute structure dont les membres exercent leur activité avec des armes (armes directes ou par destination) est dissoute et remplacée instantanément en fonction des critères de l'article sur les délégués sécurité qui suit.
article 8 Les délégués sécurité
8.a Tout policier, gendarme ou militaire (ou plus généralement corps armé ou d'enquête public ou privé) ne pouvant présenter la liste de ses 25 délégateurs est immédiatement suspendu et doit quitter les locaux à vocation sécurité (public ou privé) et s'interdire d'exercer ailleurs.
Cela inclut donc chirurgiens, médecins, infirmières, et toutes sortes d'auxiliaires médicaux.
Une exception concernera les adjoints qui seront des DIB. Délégués Intermédiaires de base adjoints santé qui n'auront que 4 délégateurs de contrôle.
8.b Les délégués sécurité sont répartis en trois secteurs : protection, enquête et défense.
8.c Sur le 20% de délégués sécurité, ce seront 12% pour la protection (tâches de l'ex-police), 2% pour les enquêteurs, et 8% pour la défense (tâches des ex-militaires)
8.d Les ex-policiers, ex-gendarmes, ex-militaires doivent respecter les règles qui suivent et acquérir le statut correspondant à son niveau d'intervention
i Actuels généraux et au-dessus (ou grades équivalents dans les forces de police ou de gendarmerie) doivent être des délégués députés présentant la liste des 15625 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actes
ii Actuels colonels (ou grades équivalents dans les forces de police ou de gendarmerie) doivent être des DID délégués Intermédiaires députés présentant la liste des 3125 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actes
iii Actuels lieutenants-colonels et commandants (ou grades équivalents dans les forces de police ou de gendarmerie) doivent être des délégués conseillers présentant la liste des 625 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actes
iv Actuels capitaines et lieutenants (ou grades équivalents dans les forces de police ou de gendarmerie) doivent être des DIC délégués Intermédiaires conseillers présentant la liste des 125 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actes
v Actuels sous-officiers (ou grades équivalents dans les forces de police ou de gendarmerie) doivent être des délégués de base présentant la liste des 25 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actes
vi Actuels militaires du rang (ou grades équivalents dans les forces de police ou de gendarmerie) doivent être des DIB délégués intermédiaires de base présentant la liste des 5 délégateurs coresponsables pénalement de leurs actes

URGENCE : CONSTRUCTION D'UN GOUVERNEMENT PROVISOIRE DE DELEGUES REVOCABLES AVANT QUE LES IMPÉRIALISTES N'AIENT LE TEMPS D'INSTALLER UN NOUVEAU PANTIN COMME PRÉSIDENT




Il suffit de désigner 50 000 DELEGUES DE BASE pour CONSTRUIRE un GOUVERNEMENT PROVISOIRE DE 80 DELEGUES DEPUTES AVEC UN BUREAU EXECUTIF DE 16 DIN (DELEGUES INTERIMAIRES NATIONAUX)
pour que GNASSINGBE DEGAGE il suffit de 50 000 DELEGUES DE BASE DESIGNES PAR 1,25 MILLIONS DE TOGOLAIS....
50 000 DELEGUES PAR 1,25 MILLIONS SONT PLUS LEGITIMES QUE GNASSINGBE avec ses 1 221 756 BULLETINS !




Les jeunes aussi doivent être représentés, délégués pionniers et délégués juniors.



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