mardi 26 décembre 2017

Franceàfric USAfric promotionnent George Weah Président du Libéria pour faire libérer leur pantin Charles Taylor installé au pouvoir par l'armée de Compaoré

George Weah et Jewel Taylor
Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
Le 26/12/2017

C’est Charles Ghankay Taylor, votre ex-président, qui vous parle de La Haye. Si vous m’aimez toujours, votez pour mon ex-femme Jewel Howard-Taylor parce que si elle est réélue, elle s’assurera de ma libération. France Inter
Voir le niveau de violence dont ont souffert les populations civiles, c’est une chose très triste. Mais je ne vois toujours pas comment [Charles Taylor] pourrait être tenu responsable de ces exactions, commises par différents groupes armés.
France Inter


« Avez-vous rencontré Charles Taylor ? », demande en 1999 Jeune Afrique à un Bolloré détendu : « Pas moi, non. Je ne fais plus rien moi-même [sourire], il y a des dirigeants du groupe qui font ce qu’il faut à ma place (17).  »

"Le NPFL (National Patriotic Front of Liberia) avait lancé l’offensive en attaquant depuis la frontière ivoirienne à près de 300 km de Monrovia. Une centaine de combattants qui avaient été entraînés dans des camps en Libye et au Burkina Faso formaient le noyau dur de la troupe.

POST SCRIPTUM : L'allié politique de Charles Taylor déjà annoncé vainqueur par les médias impérialistes et ses partisans
Le dépouillement des bulletins de vote - le pays compte quelque 2,1 millions d’électeurs - devrait se poursuivre plusieurs jours.
S’appuyant sur les premiers résultats envoyés par les bureaux de vote, des médias locaux donnaient en tête l’ancien attaquant du PSG et du Milan AC, vainqueur du premier tour du 10 octobre avec 38 % des voix.

Le 2nd tour des élections au Libéria !!!
On l'entend partout depuis ce matin ...
Pourquoi ?
Parce que le pantin de la Franceàfric et de l'USAFric, le sanguinaire responsable de 400 000 morts, va sans doute remettre clandestinement la main sur le pouvoir par l'intermédiaire de sa femme Jewel Taylor. Elle est la colistière du favori à l'élection George Weah, membre de l'égériesoisie, la star du football.
Charles Taylor, de sa prison, a délivré un message parfaitement clair :
C’est Charles Ghankay Taylor, votre ex-président, qui vous parle de La Haye. Si vous m’aimez toujours, votez pour mon ex-femme Jewel Howard-Taylor parce que si elle est réélue, elle s’assurera de ma libération. France Inter
Charles Taylor, le violeur, tueur, qui a embrigadé des enfants pour en faire des « enfants soldats » ...  dévoile le complot mis actuellement en place que les médias nous cachent en nous contant une belle légende pour nous endormir : Cette star du football ayant passé son enfance dans un bidonville qui rêve d'aider son pays le Liberia...En effet son ex-femme Jewel Howard Taylor est la colistière de celui que les USA et la France ont choisi pour devenir le prochain Président du Liberia.
S'il est élu, elle sera la Vice-présidente du Liberia.


Encore une fois les médias nous cachent des crimes terroristes commis par l'impérialisme. Cette femme était  la première dame pendant six années de 1997 et 2003 pendant que son mari organisait une guerre civile qui a fait 400 000 morts

Et elle soutient toujours son ex-mari.

En tout état de cause, bien après son divorce de Charles Taylor, à l’heure du verdict le
Charles Taylor et Jewel Taylor
concernant au Tribunal pénal international, Jewel continuait de le blanchir :
Voir le niveau de violence dont ont souffert les populations civiles, c’est une chose très triste. Mais je ne vois toujours pas comment [Charles Taylor] pourrait être tenu responsable de ces exactions, commises par différents groupes armés. France Inter

LE LIBERIA : UN PAYS RICHE (DIAMANTS ET OR)
AVEC DES HABITANTS PARMI LES PLUS PAUVRES
DU MONDE

Les habitants du Liberia vivent dans une misère énorme.
Monrovia : des bidonvilles partout
Le salaire moyen est de 31 dollars par mois selon le JDN.
C'est le 7° pays le plus pauvre au monde. (source)
80% de la population vit sous le seuil de pauvreté.
La plupart des habitants n'ont pas accès à l’électricité et à l'eau potable, y compris dans la capitale.
Monrovia est l’une des seules au monde, sinon la seule, capitale d’un État n’ayant pas d’électricité et d’eau courante. (source)
Pourtant ce pays est riche, très riche.
Il possède des diamants et de l'or !

Mais cette immense richesse est volée à la population.
Ce pays est pillé par les puissances impérialistes et leurs pantins présidents du Liberia.
Charles Taylor est un gangster qui a fait, par du trafic de diamants et d'armes, énormément d'argent dont il a fait profité de nombreux intermédiaires.
" De fait, entre 1996 et 2001, Taylor s’est fait remettre, pour prix de son soutien aux rebelles sierra-léonais du Front révolutionnaire uni (RUF), une importante quantité de pierres brutes dont la valeur varie selon les experts. Le produit de leur vente a été placé dans plusieurs pays. Suite à une demande d’entraide judiciaire présentée par le TSSL, 1,3 million d’euros déposés sur des comptes en Suisse ont été bloqués par les autorités helvétiques le 23 juin 2003."
(...)
Selon Global Witness, « les sommes détournées par le président Charles Taylor sont dissimulées dans des banques suisses ou burkinabè ». À en croire l’ONG britannique de lutte contre la corruption, « les fonds sont gardés dans deux banques à Ouagadougou. Les deux comptes ont été ouverts au nom de Jean-Paul Some. […] Moussa Cissé [l’ancien chef du protocole présidentiel libérien, NDLR], du groupe des sociétés d’exploitation forestière Mohammed (MGC), retirait l’argent en espèces pour Taylor et émettait des chèques sur l’un des comptes en son nom. Les fonds de la vente des diamants et du bois transitaient par lui. D’autres pièces versées au dossier du TSSL font état d’un compte « ouvert à Zurich en 1993 par Grace Minor », ex-présidente du Sénat et égérie de Taylor au début des années 1980. En 2002, 25 % des fonds en provenance d’Afrique et déposés dans les banques suisses étaient libériens. Entre placements du gouvernement et argent détourné, les dépôts de Monrovia se sont élevés à plus de 3,8 milliards de dollars, selon les chiffres fournis par la Banque nationale suisse, soit plus que les sommes placées par l’Afrique du Sud (2,4 milliards de dollars) ou le Nigeria (900 millions de dollars). Jeune Afrique

LE CRIMINEL CHARLES TAYLOR
INSTALLE AU POUVOIR
PAR L’ARMÉE DE BLAISE COMPAORÉ


Fin octobre 2014, à la chute de la dictature du tyran Blaise Compaoré, les jeunes révolutionnaires pillant la villa du frère firent surgir des fantômes du passé : les morts du Liberia et de Sierra Léone.
Ils trouvèrent une lettre d'un militaire burkinabè s'exprimant au nom de ses camarades et réclamant une part du butin terroriste.
A titre de preuve du rôle qu'ils avaient joué dans l'installation de Charles Taylor et de ses milices au pouvoir en Sierra Léone et au Liberia, il donnait la chronologie de la façon dont l'armée des assassins de Sankara était entrée pour soutenir Taylor.


Les camps d'entraînements pour organiser le coup d'état au Liberia et y installer Charles Taylor étaient implantés au Burkina Faso chez Compaoré, l'assassin de Sankara.
L'attaque est partie de la Côte d'Ivoire, où régnait un autre dictateur Franceàfric pant
"Le NPFL (National Patriotic Front of Liberia) avait lancé l’offensive en attaquant depuis la frontière ivoirienne à près de 300 km de Monrovia. Une centaine de combattants qui avaient été entraînés dans des camps en Libye et au Burkina Faso formaient le noyau dur de la troupe. Il ne comprenait pas seulement des Libériens mais aussi des aventuriers et des révolutionnaires d’autres pays ouest-africains que le NPFL avait recrutés dans des camps d’entraînement à l’étranger. Par la suite le gouvernement du Burkina Faso, l’un des trois pays soutenant le NPFL, mit à sa disposition des soldats de l’armée régulière."
(...)Quand un autre jeune ambitieux, Charles Taylor, se lia d’amitié avec le président Compaoré, et quand ces deux-là ont utilisé la Côte d’Ivoire pour lancer une attaque contre le Libéria, Houphouët-Boigny ne prit même pas la peine de rencontrer Taylor.
extraits d’un livre de Stephen Ellis, intitulé The Mask of Anarchy, sous-titré The destruction of Liberia and tje Religious Dimension of an African Civil War, publié par Hurst $ Company à Londres 2001 en 1999, réédité en 2001 puis augmenté et réédité en 2007

CHARLES TAYLOR, EX  PRÉSIDENT TRAFIQUANT DE DIAMANTS ET D'ARMES EST L'AMI DES PATRONS ESCLAVAGISTES FRANCEAFRIC USAFRIC

Charles Taylor a toujours été un gangster, a toujours détourné de l'argent et trafiquait...
Et cela plaisait manifestement aux États-Unis qui l'ont aidé à s'évader de prison pour pouvoir en faire un homme de pouvoir au Liberia, défendant leurs intérêts.
Les Etats-Unis appliquent dans le petit pays, dont le drapeau copie le leur, un colonialisme qui ne dit pas son nom. Il sauront s'en débarrasser au moment opportun, lorsque le Liberia sombrera corps et biens dans la guerre civile. Chargé des achats du gouvernement, Charles Taylor fait montre d'une adresse exceptionnelle pour retenir toute somme d'argent passant à sa portée. Il y gagne le surnom de "Superglu". Lorsque survient sa disgrâce, purement politique, en 1983, il file aux Etats-Unis où il est rattrapé par un mandat d'arrêt. On lui reproche d'avoir dérobé 900 000 dollars à Monrovia, une broutille. Taylor retrouve le Massachusetts de ses études, côté prison. Il s'en évade, peut-être avec l'aide des services américains cherchant des successeurs au président Doe, qui ruine consciencieusement le Liberia. Le Monde

Charles Taylor était proche des patrons esclavagistes Franceàfric avec qui il complotait mais aussi des politiques français.
"(...)Taylor, qui à présent parlait le Français, ouvrit un compte bancaire à Abidjan et s’était lié avec des hommes d’affaires français qui avaient des contacts avec l’ambassade de France, l’une des plus importantes en Afrique. A Ouagadougou, le président Compaoré l’introduisit à des responsables politiques et hauts fonctionnaires français. (108) extrait du livre de Stephen Ellis, intitulé The Mask of Anarchy, sous-titré The destruction of Liberia and tje Religious Dimension of an African Civil War, publié par Hurst $ Company à Londres 2001 en 1999, réédité en 2001 puis augmenté et réédité en 2007"
Il est le protégé des deux principaux présidents Franceàfric pivots de la politique esclavagiste de la France en Afrique : Blaise Compaoré du Burkina Faso et Houphouet-Boigny de Côte d'Ivoire.
"Pendant ce temps Taylor demeurait en position de force car il contrôlait la plus grande partie du Libéria et il pouvait se prévaloir du soutien des gouvernements du Libéria, du Burkina Faso, et surtout de la Côte d’Ivoire, le principal allié de la France en Afrique de l’Ouest." extrait du livre de Stephen Ellis
Parmi les patrons esclavagistes Franceàfric soutenant Taylor, on trouve l'incontournable Vincent Bolloré.
le #tribunal #NurembergdeLAfrique condamnera #CharlesTaylor pour ses crimes #Liberia+ses complices récents Georges #Weah #JewelTaylor qui ont prévu de le libérer mais aussi #BlaiseCompaoré #Bolloré #Fabri #SOCFINAL #SOCAPALM #MichelDupuch #Chirac #RobertdeSaintPai#Burkina #Faso pic.twitter.com/T2sPDLHEBr
Yanick Toutain (@YanickToutain) 26 décembre 2017

Vincent Bolloré a acquis une immense plantation d'hévéas au  moment où Taylor prend le pouvoir au Libéria.
Les liens entre le groupe et M. Charles Taylor, à la même période, ne sont pas moins obscurs. Comment se fait-il, s’interrogeait-on en 1998, que la société belge Socfinal, dont Bolloré est l’un des principaux actionnaires, ait obtenu la concession d’une immense plantation d’hévéas au moment même où M. Taylor prenait, dans le sang, le pouvoir au Liberia ? Le Monde Diplomatique

Bolloré le patron esclavagiste Franceàfric est très impliqué dans la guerre civile et le trafic d'armes de Taylor.
« Avez-vous rencontré Charles Taylor ? », demande en 1999 Jeune Afrique à un Bolloré détendu : « Pas moi, non. Je ne fais plus rien moi-même [sourire], il y a des dirigeants du groupe qui font ce qu’il faut à ma place (17).  » La proximité entre le conglomérat et le régime libérien sera à nouveau évoquée, en 2001, lorsque plusieurs associations accuseront le premier de participer au trafic du bois qu’organisait le second pour financer sa guerre de déstabilisation dans la Sierra Leone voisine. Mais l’histoire ne dit pas si M. Bolloré a toujours le « sourire » depuis que M. Taylor est poursuivi devant le Tribunal spécial pour la Sierra Leone, à Freetown, pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
S’il dément « catégoriquement » tout lien entre son groupe et le régime de M. Taylor, M. Lafont paraît moins assuré lorsqu’on évoque les accusations portées contre les filiales implantées à l’est de la République démocratique du Congo (RDC), que ravage une guerre transfrontalière. Ici, ce ne sont plus de simples associations qui accusent, mais un groupe d’experts ayant enquêté, à la demande du Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies (ONU), sur l’« exploitation illégale » des ressources naturelles dans cette région. L’ONU s’inquiète en effet de voir le commerce des matières premières dans cette région nourrir le trafic d’armes. Il s’agit en particulier du coltan (ou colombo-tantalite), utilisé dans la fabrication de téléphones portables et de consoles de jeux vidéo. Le cours mondial de ce minerai a explosé au début des années 2000.
Sous le titre « Facilitateurs ou complices passifs ? », on apprend dès le premier rapport, paru en avril 2001, que SDV, filiale à 100 % du groupe Bolloré, figure « parmi les principaux maillons de ce réseau d’exploitation et de poursuite de la guerre. Des milliers de tonnes de colombo-tantalite ont ainsi été chargées à partir de Kigali ou ont transité par le port de mer de Dar es-Salaam (18).  » Les experts de l’ONU réitèrent leurs accusations en novembre 2001, avant qu’un nouveau rapport, en 2002, place SDV sur la liste des entreprises qui « violent les principes directeurs de l’Organisation de coopération et de développement économiques [OCDE] à l’intention des entreprises multinationales  » ; et un autre encore, en 2003, la range parmi celles qui n’ont « pas donné suite » aux sollicitations des experts « alors qu’elles avaient tout le temps nécessaire pour se manifester (19)  ».
Rapport du groupe d’experts sur l’exploitation illégale des ressources naturelles et autres richesses de la République démocratique du Congo, 12 avril 2001. Le Monde Diplomatique

DES ÉLECTIONS ESCLAVAGISTES
POUR LIBÉRER CHARLES TAYLOR
RESPONSABLE DE 400000 MORTS



Charles Taylor - bien que protégé du 4° producteur d'armes au monde la France et du premier, les USA - était allé trop loin dans le bain de sang...
Des films Blood Diamonds de Edward Zwitck, Lord of War  de Andrew Niccol et des documentaires ont scandalisé l'opinion des pays occidentaux contribuèrent certainement au lâchage de celui qui était le pantin des pires patrons esclavagistes.
Dans un premier temps, les USA lui avait promis l'impunité en échange de son départ de la présidence. Les États-Unis avaient exilé leur protégé au Nigeria pour le protéger de la colère de la population.
Charles Taylor a, néanmoins, fini par être jugé.
Il avait été arrêté en mars 2006 extradé en Sierra Léone pour y être jugé par la CSSL (Cour spéciale pour la Sierra Leone).
En avril 2006 il fut transféré à la Haye et jugé par le Tribunal spécial pour la Sierra Leone pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité. Il y fut condamné à 50 ans de prison et est actuellement dans une prison en Grande-Bretagne.


Mais les Etats impérialistes n'oublient pas les services rendus par leurs criminels sanguinaires. On l'a vu encore récemment avec Nina Wallet Intalou du MNLA, Ahmada Ag Bibi leader d'Ansardine et la plupart des 28 principaux chefs terroristes de la liste du procureur général Daniel Tessougué du Mali.
C'est le procureur qui fut chassé pour que Hollande, Le Drian et Macron puissent promotionner et récompenser leurs pantins terroristes.

Les Etats impérialistes n'oublient pas que ces criminels - toujours dangereux - risquent de dévoiler qui sont réellement leurs maîtres... Alors il faut leur lâcher du lest...
C'est le projet des patrons esclavagistes français et américains ....
Donner des gages à Taylor pour qu'il se taise sur l'ampleur de sa collaboration avec eux....
Mettre au pouvoir au Liberia sa complice ex-femme Jewel Taylor qui a gagné des milliards grâce aux trafics de diamants et qui devraient elle aussi être en prison pour avoir fait partie du gang....
"Chez l’ex-maître de Monrovia, la guerre est au service du business, de l’enrichissement personnel et familial. Décidé le 23 juillet 2004, le gel de ses avoirs aux États-Unis touche ainsi, outre Taylor lui-même, son épouse d’alors Jewell Howard, son fils et conseiller Charles « Chuckie » Taylor, mais également ses deux ex-femmes, Agnes Reeves-Taylor, ancienne représentante permanente auprès de l’Organisation maritime internationale, et Tupee Enid Taylor. La fortune du clan est estimée à plusieurs dizaines de millions de dollars (à titre indicatif, tout au long de ses années de pouvoir, de 1997 à 2003, Taylor prélevait sur le seul secteur de la distribution des produits pétroliers une dîme de l’ordre de 600 000 dollars par mois)." Jeune Afrique

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