vendredi 1 juillet 2016

La Rectrice Claudine Schmidt Lainé qui m'a exclue 2 ans auditionnée par la PJ pour "abus de confiance" et "faux et usages de faux"

Par Julie Amadis


Le 01/07/2016
"la police a découvert des choses plus stupéfiantes comme l’achat et le remboursement de pots de confiture, de bouteilles de jus d’orange, de tranches de jambon, d’œufs et même de petites bouteilles d’Actimel... Par ailleurs, ils auraient aussi découvert que notre ancienne rectrice se serait fait rembourser des frais de transport entre Rouen et Lyon, sa ville d’attache, prétextant des rendez-vous professionnels. » (Paris Normandie)"



L'ex rectrice de Seine Maritime, Claudine Schmidt Lainé est auditionnée par la PJ pour "abus de confiance" et "faux et usage de faux".

Paris Normandie titre ce matin : 




Billet d’avion, tranches de jambon, Actimel... L’ex-rectrice de l’Académie de Rouen auditionnée par la PJ sur d’éventuelles malversations

Il y a 9 mois, le 27 septembre 2015, ce scandale incroyable avait été révélée  par Paris Normandie. 

La justice enquête sur l’ex-rectrice de l’académie de Rouen, soupçonnée de malversations


Et depuis plus rien. Une rectrice de l'Education Nationale est une voleuse et l'Etat attend tranquillement pendant toute l'année scolaire en laissant la voleuse à son poste, responsable de milliers d'enfants.
 
La Rectrice de Seine Maritime mutée Rectrice à Grenoble juste avant que l'affaire ne sorte dans la presse coulait de beaux jours sans être inquiétée.
Elle gagne 10 000 euro par mois (source Paris Normandie) pendant qu'elle m'a collée au RSA pendant deux ans !!

Ça va. La vie n'est pas trop difficile pour elle.

 

Mais, apparemment,  10 000 euros chaque mois ça ne lui suffit pas
Il faut qu'elle se fasse rembourser ses courses en plus des billets d'avion !
 La police a épluché tous les justificatifs de Mme Schmidt-Lainé, confie une source interne au rectorat de Rouen.Au-delà de l’achat et du remboursement en 2014 d’un billet d’avion en classe Business pour faire un aller-retour professionnel Paris-Montréal alors qu’elle aurait dû voyager dans la classe la plus économique, la police a découvert des choses plus stupéfiantes comme l’achat et le remboursement de pots de confiture, de bouteilles de jus d’orange, de tranches de jambon, d’œufs et même de petites bouteilles d’Actimel... Par ailleurs, ils auraient aussi découvert que notre ancienne rectrice se serait fait rembourser des frais de transport entre Rouen et Lyon, sa ville d’attache, prétextant des rendez-vous professionnels. » (Paris Normandie)

Il a fallu attendre 9 mois pour que la police judiciaire auditionne la Rectrice.
C'est normal !!! Quand on fait partie du clan Hollande Belkacem et qu'on a permis aux professeurs violents de poursuivre dans la même voie en Seine Maritime, on est quand même bien protégée par ses supérieurs hiérarchiques...

LA RECTRICE QUI VOLAIT DANS LA CAISSE EST LA MÊME QUI  A DONNE LE FEU VERT A L'INSPECTION POUR M 'EXCLURE 2 ANS

Cette Rectrice soupçonnée d'"abus de confiance" et de "faux et usage de faux" et celle qui participait à mon exclusion 2 ans de l'Education Nationale en juillet 2014.
Tout a commencé en novembre 2013, quand suite à un harcèlement professionnel de mon inspecteur protecteur des profs qui tapent leurs élèves, je lui écris pour lui demander sa protection.



 Julie Amadis
Professeur des Écoles
Affectée à l'école Valmy 1 (75 %) et Valmy 2 (25 %) le 01/09/2013
XXXXXXX
76600 Le Havre
06XXXXXX
XXX@XXX


Madame la Rectrice de Seine-Maritime


transmis directement vu l'urgence
copie Mr le Directeur Académique
copie à Mr le Directeur Académique adjoint en résidence au Havre
copie à Mme l'IEN adjointe au directeur académique
transmettre copie à IEN Mr Patrick Deplanque

Cinq motifs principaux m'incitent à me tourner vers vous
- Le fait que je refuse d'être inspectée par l'IEN Mr Patrick Deplanque et que j'invoque la législation du refus d'inspection pour refuser toute inspection.
- Le fait que cet inspecteur censé me protéger est venu - le 26 septembre 2013 peu après 16h -, faire pendant mon temps de classe, en présence de mes élèves, dans la classe et devant un témoin, la directrice de Valmy 2, un harcèlement moral totalement inacceptable: Une menace à peine déguisée de recommencer le licenciement abusif dont j'ai été victime en 2008 par ses soins et un réseaux ad hoc.
- Le fait que votre prédécesseur de 2008, Recteur de Seine-Maritime, n'ait pas jugé bon de répondre à mon courrier de juin 2008 malgré les graves accusations qu'il contenait. (Et malgré le fait que, 4 mois plus tard, j'ai été agréée, par le Rectorat, à travailler comme institutrice suppléante dans l'enseignement privé catholique). J'attends encore la réponse à ce courrier de 2008 qui permettra de clarifier qui mentait dans les violences commises à l'école maternelle Varlin concernant Kévin (3 ans) et Luciano (4 ans).
- Le fait que j'ai été informée que certain secrétariat de Rouen faisait campagne contre moi.
- Le fait, enfin, que l'information que je faisais auprès de parents de mes élèves des années précédentes concernant les maltraitances dans l’Éducation Nationale m'a fait découvrir avant-hier un quatrième cas de violences à enfants du primaire au Havre.
Ce 4° cas (de violences réitérées sur "plusieurs enfants" de maternelle) concerne, cette fois-ci , une école du centre ville. Et non des quartiers défavorisés pour lesquels on m'avait fait comprendre en 2008 qu'il était quasiment légitime d'user contre ces enfants de violences physiques. Je suppose qu'il doit exister, au Havre, plusieurs dizaines de cas du même genre.
Dans la mesure où mon témoignage de 2008 n'avait été pris au sérieux et que l'on avait fini par me traiter de "menteuse" (cf la déclaration qui m'avait été lue par le policier) , je ne peux prendre le risque que ce même inspecteur mentent concernant son observation de la classe, c'est pour cette raison que je refuse qu'il entre dans ma classe. J'ai déjà été visitée dans le passé mais pas par quelqu'un qui
1° m'a traité de menteuse
2° a orchestré le harcèlement subi et mon renvoi (non renouvellement de contrat)
3° vient "régler des comptes" 5 ans plus tard en commençant une campagne à mon encontre à peine il prend ses nouvelles fonctions.
La terreur qui règne contre les témoins fait que, dans les 3 cas qui m'ont été rapportés, ceux qui ont vu ces violences ne veulent pas témoigner.
Ils sont confortés dans leurs crainte par la perte de mon emploi d'assistante pédagogique en 2008 avec l'indifférence totale de votre prédécesseur, de l'Inspecteur d'Académie en résidence au Havre (qui, à l'époque, avait annoncé qu'il allait me convoquer), du maire du Havre que j'avais rencontré à l'époque et qui ne fit absolument rien contre les auteurs de violences ni en faveur de celle qui témoignait).
Tout cela eut comme résultat, outre la perte de mon emploi par non renouvellement de contrat, une tentative de condamnation par la justice de celle qui avait témoigné et du blogueur qui me soutenait.
Une justice qui "oublia" d'enquêter sur les faits de violences.... et qui dû néanmoins classer cette plainte contre moi.
L'indifférence de votre prédécesseur eut donc comme résultat que c'est la témoin des violences qui fut la seule à être sanctionnée et que les diffamateurs et menteurs s'en sortirent la tête haute. Ainsi que les auteurs des violences évidemment.
Par ailleurs, j'ai appris que des conseillers pédagogiques en réunion de circonscription de rentrée avaient entendu l'IEN Deplanque mener campagne contre moi en leur donnant une information diffamatoire à mon encontre.
En réitérant mon annonce de refus d'inspection, je vous prie, madame de prendre enfin , au moins pour le Havre, les mesures urgentes en vue de protéger les enfants et les témoins. Que les témoins soient fonctionnaires ou auxiliaires.
Je peux vous affirmer que les témoins sont tellement terrorisés que même l'annonce d'une enquête officielle de votre part qui ne leur garantirait pas leur emploi serait insuffisante à reconstituer leur confiance en la légalité du fonctionnement interne à l'institution.
J'escompte que prochainement les syndicats mettront comme priorité la défense des enfants et des témoins. Le Conseil de l'Europe pèsera prochainement dans ce sens.
Je vous demande de prendre toutes dispositions nécessaires pour faire cesser immédiatement toutes nouvelles tentatives de harcèlement à mon encontre. En particulier dans le cas où - comme le le 26 septembre dernier - je suis en présence de mes élèves.
Il est insupportable de travailler pour des enfants avec la possibilité à tout moment de voir arriver dans ma classe un harceleur menaçant ironiquement de me faire une nouvelle fois chasser de l’Éducation Nationale.
Dans l'attente d'une réaction active de votre part en faveur des enfants ayant été battus au sein de l’Éducation Nationale au Havre depuis 2008 et d'une intervention protégeant mon statut et mes conditions de travail, veillez, Madame la Rectrice, recevoir l'expression de mes salutations respectueuses.
Julie Amadis

Violences à enfants. Claudine Schmidt-Lainé : au lieu de me protéger à ma demande la Rectrice a déclenché mon exclusion pour 2 ans

Le courrier de Julie Amadis à la rectrice Claudine Schmidt-Lainé (se plaindre de harcèlement suite à témoignage de violences en 2008 et signaler 4 autres cas a déclenché des sanctions terribles : suspension de la témoin et protection d'un nouvel agresseur)



 Suite à cette lettre de demande de protection en tant que témoin de violences à enfants subissant un harcèlement professionnel, j'ai été sanctionnée. J'ai reçu un avertissement avec pour motif d'avoir écrit à la rectrice !

LIRE : Ma demande de protection en tant que témoin de violences à enfants m'a valu un avertissement


Claudine Schmidt Lainé est la Rectrice  du réseau Omerta 76, du
réseau de protection des enseignants qui tapent leurs élèves. Ce réseau m'a exclue 2 ans de l'Education Nationale avec un faux en écritures inventant que j'aurai distribué les tracts des parents d'élèves.

Pas très étonnant que dans un tel contexte, le ministère mente pour protéger cette rectrice soupçonnée "d'abus de confiance" et de "faux et usage de faux".


 "En septembre dernier, le cabinet de la ministre de l’Éducation nationale répondait à notre journal « être au courant d’anomalies de gestion »,précisant également qu’« elles ont été réglées avant le départ Mme Schmidt-Lainé »." Paris Normandie

Pour le cabinet de la ministre de l'Education nationale, être poursuivie pour "abus de confiance" et "faux et usage de faux" ce sont des "anomalies de gestion" !

Si les malversations qui s'élèvent à 15000 euros avaient été rendues, les journaux se seraient empressés de prévenir la population afin d'amoindrir le scandale. Ce n'est pas le cas. Le ministère de l'Education Nationale ment donc en affirmant que "ces anomalies de gestion ont été réglées avant le départ de Mme Schmidt-Lainé" !

L'Education Nationale est une vieille machine qui a à sa tête une ministre qui se vante de taper ses enfants !
Violences à enfants, exclusion de ceux qui les dénoncent, détournement de fonds, faux et usage de faux... 
La population française en a assez de tout cela. Leur colère, Hollande et Belkacem ne l'entendent pas du haut de leur tour d'ivoire...

Louis XVI ne l'entendait pas non plus la colère du peuple ... 



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